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  • HackAlgeria #Post-Covid-19 du 1er au 3 Juillet 2020

    HackAlgeria #Post-Covid-19 du 1er au 3 Juillet 2020

    Après avoir annoncé officiellement le lancement des inscriptions  pour HackAlgeria #Post-Covid-19,  le 17 mai 2020, le FCE a le plaisir d’annoncer le démarrage officiel de la compétition le 1 Juillet à 10h00 et s’étalera sur une durée de 3 jours jusqu’au 3 Juillet à 23h59.

    Les évaluations des projets HackAlgeria #Post-Covid-19 se dérouleront immédiatement le 04 Juillet à 00h00 et se terminera le même jour à 12H00 ! Un véritable marathon technologique complètement en ligne, en présence de coach et de mentor professionnel, avec des évaluations, elle aussi, 100% en ligne, conduites par un jury de très haut niveau présidé par Sami Agli, président du FCE.

    HackAlgeria #Post-Covid-19 : annonce des résultats le 04 juillet

    L’annonce des lauréats se fera à travers un « live » sur la toile le même jour à 16H00 à la veille du 5 juillet, fête nationale de l’indépendance et de la jeunesse.

    HackAlgeria #Post-Covid-19, rappelons-le, permettra de lancer des chalenges numériques, fédérer des compétences autour de projets concrets ainsi que d’accompagner et former des talents à l’esprit entrepreneurial afin d’aboutir à la création de Startup et de projet dans le cadre de la R&D qui répondent à des besoins précis.

    Après le lancement des inscriptions le 17 mai 2020, la plateforme HackAlgeria a enregistré plus de 350 idées reparties sur 1500 participants à travers les 48 wilayas du pays, avec un taux de participation de plus 50 % d’étudiants et plus de 30% de femmes.

    Après une première sélection le comité d’organisation  de HackAlgeria #Post-Covid-19 a retenue 171 projet repartie comme suit : 63 projets dans la Santé, 47 projets autour de la Société, 30 projets pour l’économie, 19 dans la gouvernance et enfin 12 projets dans la Finance FinTech.

    HackAlgeria #Post-Covid-19: 05 lauréats par catégorie

    Ces 171 projets de HackAlgeria #Post-Covid-19 vont entrer en compétition très serrée pour sélectionner 5 lauréats dans chacune des trois (03) catégories.

    La catégorie de la meilleure initiative (5 gagnants), réservée à des porteurs d’idée émanant de la société civile avec comme récompense une somme symbolique de cinq cents mille dinars et une assistance technique et juridique pour les associations.

    La catégorie de la meilleure avancée technique (5 gagnants), réservée aux chercheurs universitaires afin de faire sortir les résultats de la recherche des laboratoires et leur donner un véritable écho sur le terrain économique en valorisant leurs résultats d’une part.

    D’autre part, créer des solutions à forte valeur ajoutée s’insérant dans l’économie fondée sur la connaissance.

    Cette catégorie bénéficiera d’un accompagnement technique, une recherche de financement, d’un mentorat de haut niveau scientifique assuré par des Professeurs chercheurs et docteurs de renom tel que le Pr Kamel Youcef Toumi, Pr Nourredine Melekchi et le  Dr Belgacem Haba et en dernier lieu un voyage en immersion technologique à MIT et Harvard avec l’accompagnement du Pr Kamel Youcef-Toumi.

    La Catégorie Meilleure Startup (5 gagnants)

    Une combinaison de progrès technique avec les modèles d’affaires innovants agiles et flexibles, elle offre une force de frappe économique aux Startups qui leur permet de relever les différents défis nationaux et internationaux auxquels fait face notre économie.

    Cette catégorie vise à détecter les pépites mais surtout de les accompagner avec des mécanismes dédiés et spécifiques à leurs besoins particuliers. Une levée de fonds allant jusqu’à 10 Millions de dinars et un accompagnement sur la réalisation du modèle économique à travers un mentorat de haut niveau et une visibilité internationale.

    L’entreprenariat féminin

    Cette catégorie ne sera pas en marge de cet évènement, bien au contraire, un pack coup de cœur a été introduit dans cette édition intitulé « Women-In-Tech » (01 gagnante), avec à la clé un accompagnement jusqu’à la mise en main du projet !

    Les lauréats des catégories Avancé technique, startup et Women-In-Tech, seront accompagnés après le 04 Juillet pour une durée de 6 mois, et auront une visibilité internationale dans deux événements majeurs à savoir « Emmerging-Valley » à Marseille en décembre 2020, et une représentation à VivaTech en mai 2021 dans stand Algerie où le FCE détient l’exclusivité pour l’année 2021.

    Tous les détails sur cet événement majeur sur le site : www.hackalgeria.com

  • Promotion de l’investissement: Les recommandations du FCE

    Promotion de l’investissement: Les recommandations du FCE

    Le forum des chefs d’entreprises (FCE) a, dans une étude intitulée «pour un dispositif d’investissement au service de la croissance et du développement»,dressé un constat alarmant sur le climat des affaires en Algérie et suggéré quelques pistes pour la promotion de l’investissement.

    Présentée ce matin lors du rendez vous mensuel du FCE, «Les Débats du Forum» cette étude propose des recommandations précises pour attirer plus d’investissements en Algérie.

    D’emblée, le FCE suggère  d’aller vers une convergence des politiques de promotions des investissements entre les pays, particulièrement sur les questions institutionnelles et d’assainir les incitations fiscales et budgétaires en mettant fin de la discrimination par les coûts de facteurs si l’on tient à la promotion des investissements. .

    Aussi, cette organisation patronale propose la fin de la distinction entre investisseurs locaux et investisseurs étrangers, sauf dans le cas du taux de change et de la convertibilité de la monnaie locale.

    L’émergence de nouveaux instruments de promotion suggère, pour le FCE, des partenariats industriels, comme les investissements verticaux ou de réexportation.

    En outre, le FCE estime que le marché du travail et particulièrement la qualité de la ressource humaine, notamment lorsqu’il s’agit de la nouvelle économie et dont la marché local, doit recouvrir son importance.

    Après quoi, le FCE soulève la stabilité macroéconomique, institutionnelle et juridique et la qualité de l’administration qui reviennent au-devant des préoccupations des investisseurs.

    Pour décliner ses recommandations, visant la promotion de l’investissement,  le FCE a souligné qu’«en moins de trois décennies, 7 cadres juridiques régissant l’investissement ont été adopté. En effet de 1988 à 2016 cinq dispositifs d’investissements et deux réformes lourdes dont celui ayant précédé le cadre actuel, ont été essayés.

    Tous ont été déclarés insatisfaisants au motif qu’ils n’auraient pas produit les effets escomptés en termes de volume d’investissements, de nombre de projet, de transfert de technologie, de création d’emploi ou de croissance et, d’avoir, pour certains, été à l’origine de pratiques négatives».

    Sans complaisance aucune, le FCE estime que ces dispositifs d’investissements «ont à chaque fois, été abrogés et remplacés par un nouveau dispositif censé être plus efficient et porteur de la réponse la plus adéquate aux préoccupations de l’heure. Les échecs sont imputable principalement au fait que les dispositifs ne sont pas accompagnés d’une politique de promotion de l’investissement tirée d’une vision économique, encore absente».

    Pour le FCE «le cadre juridique n’a jamais été et ne sera jamais, le 1er déterminant de l’investissement. Il est, certes, nécessaire, mais il ne peut produire d’effets s’il n’est pas accompagné d’un climat des affaires favorable».

    Pour l’heure, ajoute le FCE, «il est possible de se satisfaire du dispositif existant, qui, il faut le rappeler, ne peut en aucun cas porter la responsabilité des dérives observées, exclusivement imputables aux organes chargés de sa mise en œuvre, qui, en l’absence de textes d’application encadrant leur fonctionnement et fixant les modalités d’application de certaines des questions dont ils ont la charge, ont édicté, sans en être habilité».

    Ils l’ont fait soutient le FCE, «en dehors du processus normatif en vigueur et sans publication, un ensemble de règles qui ont profondément altéré les principes édictés par la loi , en particulier ceux ayant trait à la liberté d’investissement, à l’automaticité des avantages, à la modulation des avantages en fonction du degré de contribution du projet aux objectifs économiques pour suivi par l’Etat, au système d’éligibilité, à l’allègement et à la simplification des procédures, à la décentralisation de la décision, aux mécanismes d’’évaluation des projets en vue de la détermination du niveau des avantages, aux critères d’identification des projets relevant du régime de la convention».

    Engager un programme d’actions pour la promotion de l’investissement

    Pour l’organisation patronale, «il suffit, pour cela, d’abroger, un article de la loi, d’adopter le plus rapidement possible les textes d’application qu’elle prévoit et d’annuler toutes les résolutions et autres décisions prises par les organes en charge de l’investissement, ayant un caractère réglementaire».

    Par ailleurs, le FCE suggère l’urgence d’engager le programme d’actions pour l’investissement destiné au traitement des éléments constitutifs du climat des affaires par une révision profonde de la gouvernance des administrations économiques et de ses rapports avec l’entreprise avec, pour objectif un changement du droit administratif pour le faire passer d’un droit de la puissance publique à un droit des relations de l’administration avec ses usagers.

    «On observe une convergence des politiques d’attractivité des IDE dans les pays du Sud de la Méditerranée. Cette convergence est le fruit de plusieurs années d’ajustement des indicateurs sur la base des recommandations des institutions internationales, particulièrement la Banque mondiale à travers son Doing Business, publié annuellement», a encore expliqué le FCE.

    Selon le FCE, la deuxième raison tient à la faible attractivité de ces pays au regard des IDE. «Ces pays en développement souffrent d’une faible productivité globale des facteurs due notamment à la faible productivité du capital. Ils souffrent également d’instabilités macroéconomiques, politiques, institutionnelles. Certains sont, aux prises avec des crises institutionnelles importantes», développe le FCE qui plaide l’attractivité des IDE.

    En revanche, regrette encore le FCE, «on ne distingue plus l’investissement local des IDE, excepté les cas des pays dont la convertibilité de la monnaie n’est pas encore mise en œuvre. Ce sont des questions qui sont traitées dans le cadre des Pactes d’actionnaires».

    Par ailleurs, relève cette organisation, «tantôt c’est l’investissement étranger qui impulse l’investissement local, tantôt c’est la dynamique des investisseurs locaux qui encouragent l’arrivée des IDE».

    Pour convaincre, le FCE propose des politiques économiques «stabilisatrices» et des «mesures incitatives».

    Cela peut être, de manière non exhaustive, en abordant à la fois des aspects macroéconomiques et microéconomiques, des politiques de Change, des politiques d’exonération fiscale, la création de zones franches, la signature d’accords de partenariat avec l’Europe, la mise en place de politiques d’amélioration du climat des affaires, le désengagement de l’Etat dans certains secteurs d’activité…etc.

    Rabah Nadri

  • Entreprises en difficultés: Le FCE tire la sonnette d’alarme

    Entreprises en difficultés: Le FCE tire la sonnette d’alarme

    Le Forum constate avec inquiétude la dégradation de la situation des entreprises nationales publiques et privées et exprime sa préoccupation quant à l’avenir de leur situation et de celle de leurs employés.

    La dégradation des entreprises en difficultés s’est accentuée au cours des derniers jours selon les déclarations des entreprises à l’instar de, Eniem, Condor, IRIS, Sacomi-Thomson, Bya Electronics, Brandt, Starlight, Géant,…etc.

    En effet, les entreprises en difficultés sont de plus en plus nombreuses. l’année 2019 a été pour bon nombre d’entre elles catastrophique. Pour rappel l’économie nationale a été fortement impactée par le mouvement du hirak à cela s’ajoute les décisions prises par les pouvoirs publics pour réduire la facture d’importation.

    Ainsi au moins deux fleurons de l’industrie électronique et de l’électroménager, en l’occurrence Condor et Eniem, ont annoncé la libération de plusieurs milliers de travailleurs et la préparation de plans sociaux pour mettre d’autres travailleurs au chômage technique.

    Tout comme le secteur public, le secteur privé enregistre lui aussi sont d’entreprises en difficultés.

    Le Forum des chefs d’entreprises inquiets de l’avenir des entreprises en difficultés a alerté dans un passé récent, en novembre – décembre 2019, des risques de l’arrêt de plusieurs unités de production suite à la mise en œuvre d’un certains nombres de solutions à même de débloquer la situation.

    – des dispositions de la note de l’ABEF (Réf. 479/DGC/2019 du 30 septembre 2019), notamment l’obligation du différé de paiement ;

    -du blocage des autorisations d’approvisionnements en Kits et collections pour les filières électroménager et téléphonie mobiles, ce à quoi il faut ajouter les homologations des produits par les autorités de régulation (ARPCE).

    En effet, le Forum s’est interrogé sur le champ d’application de ladite note qui a imposé de nouvelles exigences en matière d’importation des inputs, qui a ciblé les producteurs et exclu les importateurs des produits finis.

    Ce paradoxe encourage l’importation des produits au dépend de la production locale, ainsi que le renforcement de l’informel qui pèse déjà sur notre économie et sa compétitivité.

    De nombreuses entreprises en difficultés ont procédé à l’arrêt des différentes usines et la mise au chômage de milliers d’employés, le Forum avait souligné d’autres risques à savoir, l’augmentation de la facture d’importation, la pénurie des produits et son impact certain sur l’inflation et les prix; ce qui commence à se manifester sur le marché grand public.

    Le Forum estime que plus de 20% des employés de la filière ont été mis au chômage et ce taux est appelé à augmenter dans le cas où des mesures urgentes ne sont pas prises par les pouvoirs publics, au moins, pour stopper la dégradation de la situation en attendant de dynamiser le secteur productif dans le cadre d’un plan de redressement économique ambitieux et réaliste et permettre aux entreprises en difficultés de sortir la tête de l’eau.

    Dans l’immédiat, il y a lieu donc de lever les obstacles suscités à savoir :

    -surseoir la note de l’ABEF dans sa disposition relative au différé de paiement, et

    – libérer les autorisations d’importations des kits CKD/SKD en attendant la mise en place d’un nouveau dispositif pertinent, mieux réfléchi, adapté à la situation de chaque activité et incitatif de manière différenciée en fonction des efforts de chaque entreprise dans le progrès d’amélioration du taux d’intégration.

    Dans cette perspective, le Forum des chefs d’entreprise se met à la disposition des pouvoirs publics et des opérateurs économiques pour trouver des solutions appropriées urgentes et engager une réflexion globale sur la situation des entreprises en difficultés afin de juguler le problème de la mise au chômage des travailleurs dont les conséquences seront très graves pour la stabilité sociale qui est nécessaire pour un redressement de l’économie nationale dans les mois et les années à venir.

  • Sami Agli: «Le FCE soutient fortement la révision de la règle 49/51»

    Sami Agli: «Le FCE soutient fortement la révision de la règle 49/51»

    A travers son président, Sami Agli, le Forum des Chefs d’entreprises (FCE) s’est, enfin exprimé sur la révision de la règle 49/51 régissant les investissements étrangers en Algérie, affirmant qu’il soutenait fortement cette modification majeure dans l’économie nationale.

    En effet, lors des travaux de la 5e édition de l’université d’été du FCE, tenue à Alger, le président du FCE, Sami Agli, a assuré que son organisation «plaidait depuis 2009 pour la révision de cette règle qui freine les investissements étrangers. Nous considérons que c’est aux partenaires de gérer leur relations et le partage des actions, sauf lorsqu il  s’agit des secteurs stratégiques, dont la règle reste toujours en vigueur».

    Lors d’une conférence de presse, Sami Agli a indiqué que «le climat économique pour cette conjoncture nécessite, plus que jamais, une réflexion sérieuse en veillant à examiner toutes les alternatives et les solutions idoines pour assurer une relance sûre et durable de l’économie nationale. La levée des contraintes énoncées dans le cadre de la règle 51/49 % devrait améliorer l’attractivité de l’économie nationale».

    Concernant les autres nouvelles propositions du projet de loi de Finances (PLF-2020), Sami Agli a prévenu que «toute augmentation d’impôts en ce moment est un message négatif pour les investisseurs et pour l’économie nationale d’une manière générale».

    Quant à l’impôt sur la fortune proposé également dans ce projet de loi, Sami Agli a répondu que «le FCE était pour le partage, mais ce partage doit se faire au moment opportun, car à présent les entreprises vivent des  difficultés financières qui ne leur permet même pas de payer leur employés».

    Pour Sami Agli, «l’économie va mal et aucun secteur n’a été épargné par la crise que traverser le pays». A une question sur la politisation du FCE, Sami Agli a répliqué en affirmant que «son organisation est apolitique et le restera. Ceci dit, chaque membre du Forum est libre d’avoir ses propres points de vue politiques et de prendre des positions à titre individuel».

    Sami Agli a tenu a précisé également qu’«être apolitique ne signifie pas pour autant que nous ne sommes pas concernés par la conjoncture politique du pays».

    Abordant les entreprises qui sont au bord de la faillite, il a fait savoir qu’une rencontre a eu lieu entre le ministre du Travail et les membres du FCE, «afin d’accorder un délai de quelques mois à ses entreprises qui ne peuvent pas honorer leur charges (impôts et taxes) et qui ont du mal à payer leur salariés, mais la question n’a pas été tranché à ce jour».

    «Il est vrai que les entreprises économiques doivent honorer leur engagement vis-à-vis les institutions de l’Etat, mais en situation de crise les Etats en générale interviennent  pour leur accorder des délais. Dans une situation exceptionnelle, il y a toujours des mesures exceptionnelles».

    Yanis Oumakhlouf

  • FCE: La feuille de route du candidat Sami Agli

    FCE: La feuille de route du candidat Sami Agli

    Candidat unique à la présidence du Forum des chefs d’entreprises (FCE), suite au retrait de Hassen Khelifati, PDG d’Alliance Assurances, Mohamed Sami Agli, s’est engagé, lors d’une conférence de presse organisée à Alger, «à rendre l’organisation apolitique», dans le cas où il sera élu.

    S’exprimant devant les journalistes, Sami Agli qui a indiqué que son premier engagement était de rendre le Forum apolitique, recommandant, dans ce sens, que «l’exercice de la politique devrait se faire en dehors de l’organisation et sans l’utilisation des moyens de cette dernière».

    Selon le conférencier, «le FCE a commis des erreurs de fonds en affichant dans le passé des positions politiques, «ce qui a, a-t-il estimé, nui à l’image de cette organisation patronale qui regroupe près de 4 000 chefs d’entreprises».

    Le programme de Sami Agli

    Dans son programme de campagne, Sami Agli s’engage aussi à lancer une profonde réflexion, en concertation avec l’ensemble des membres du Forum, dans une quête de transformation durable.

    A ce propos, il prévoit de créer un comité pour mener des consultations inclusives sur les moyens permettant de développer l’organisation. Le comité se chargera aussi d’étudier la question de la transformation du FCE en syndicat.

    Le programme de Sami Agli comporte également plusieurs engagements visant «la valorisation des grandes entreprises, la décentralisation et l’amélioration de la collaboration avec les délégations locaux du Forum, ainsi que l’accompagnement des PME/TPE et la dynamisation de Jil FCE, considéré comme l’un des plus important acquis de l’organisation».

    Le FCE compte organiser son assemblée générale ordinaire élective le 24 juin prochain à Alger. Sami Agli est devenu le candidat unique à la présidence du Forum, suite au retrait de l’autre candidat, Hassen Khelifati, le 21 mai courant.

    Agé, de 38 ans, Sami Agli est le PDG du groupe familial AGLI qui active principalement dans l’industrie agroalimentaire, mais aussi dans la promotion immobilière, la construction, la distribution automobile, la logistique et le tourisme.

    Il succédera, en cas de son élection, à Ali Haddad qui a quitté la présidence de l’organisation le 28 mars dernier, un mois après le début des marches populaires appelant à un changement profond du système politique.

    Trois jours après sa démission, il a été arrêté à la frontière algéro-tunisienne, alors qu’il s’apprêtait à quitter le pays. Actuellement, il est placé sous mandat de dépôt à la prison d’El-Harrach (Alger) jusqu’à son procès.

    Pour rappel Moncef Said Othmani qui assurait, depuis le 7 avril dernier la présidence par intérim du FCE, après son élection à l’unanimité par le Conseil exécutif du Forum démissionne le 22 mai dernier en raison de pressions pour imposer un candidat particulier.

    «A ma prise de fonction, et contre toute attente, j’ai fait l’objet d’une campagne diffamatoire d’une rare violence par certains vice-présidents aux objectifs inavoués visant à maintenir la main mise sur le FCE comme par le passé» avait expliqué dans sa lettre de démission Moncef Said Othmani. Ce seraient ces mêmes raisons qui auraient poussé Hassen Khelifati à retirer sa candidature.

    Salim Oukaci

  • FCE: Moncef Othmani démissionne, Khelifati retire sa candidature

    FCE: Moncef Othmani démissionne, Khelifati retire sa candidature

    Le président par intérim du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Moncef Othmani, a annoncé sa démission de sa fonction.

    Dans une lettre adressée aux membres de cette organisation patronale, Moncef Othmani a indiqué qu’«après mûre réflexion et conformément à mes principes, valeurs et éducation, je n’ai d’autres choix que de vous présenter ma démission de ma fonction de président par intérim du FCE à compter de ce jour».

    Moncef Othmani assurait depuis le 7 avril dernier la présidence par intérim du FCE, après son élection à l’unanimité par le Conseil exécutif du Forum, suite de la démission de l’ancien président de l’organisation, Ali Haddad, le 28 mars dernier.

    Sa mission principale consistait à l’organisation de l’Assemblée générale ordinaire pour élire un nouveau président du FCE, fixée pour le 24 juin prochain.

    «A ma prise de fonction, et contre toute attente, j’ai fait l’objet d’une campagne diffamatoire d’une rare violence par certains vice-présidents aux objectifs inavoués visant à maintenir la main mise sur le FCE comme par le passé», affirmait Moncef Othmani, assurant qu’«en dépit de ce climat délétère, j’ai tenu à poursuivre ma mission de préparation de l’organisation des élections fixées pour le 24 Juin 2019 dans le strict respect des règles régissant notre organisation en la matière».

    Suite à la démission du président intérimaire, l’un des candidats en lice, Hassen Khelifati, le PDG d’Alliance Assurance a annoncé officiellement son retrait de la candidature à la présidence du FCE.

    «Après le départ du président par intérim, garant du processus électoral, nous ne sommes plus en confiance pour continuer ce processus », a déclaré M. Khelifati.

    Par ailleurs, il compte, avec le groupe des membres démissionnaires, lancer dès la rentrée sociale prochaine, un nouveau projet d’espace plus sain dédié aux chefs d’entreprises.

    Yanis Oumakhlouf

  • FCE: Hassen Khelifati annonce officiellement sa candidature

    FCE: Hassen Khelifati annonce officiellement sa candidature

    Le Président directeur-général du groupe Alliance Assurances, Hassen Khelifati, a, officiellement, annoncé sa candidature à la présidence du Forum des chefs d’entreprises (FCE) pour les élections du 24 juin prochain.

    Dans une lettre adressée, hier aux membres du FCE, Hassen Khelifati, a motivé sa candidature par les changements qu’enregistre le pays depuis le 22 février dernier, arguant que «le vent de la liberté a ouvert toutes les  portes et visité toutes  les alcôves pour y chasser les démons de la corruption et du népotisme.

    «J’ai l’immense plaisir et l’honneur de vous annoncer mon intention de présenter ma candidature à la présidence de notre association», écrit Hassen Khelifati.

    Pour le patron du groupe Alliance Assurances, il était temps de changer le cours de l’histoire, notamment celle du FCE qui, selon lui, «a été sérieusement affecté, car assimilé, bien malgré la majorité d’entre nous, aux abus et travers commis par certains représentants bien en vue du FCE».

    Tout en rappelant avoir opposé aux incohérences qui rongeait le FCE, notamment le mode de fonctionnement établi par le président sortant et son équipe restreinte au sein même du conseil exécutif (CE), marqué par la confusion d’ambitions malsaine, Hassen Khelifati a affirmé que cet état de fait avait abouti au clientélisme «qui a tôt fait de se substituer au rôle naturel qui est le sien: celui de produire plaidoyers et réflexions à même de favoriser l’émergence d’un climat des affaires sain et capable d’encourager la diversification de notre économie, de promouvoir un dialogue social et d’accélérer la sortie de l’économie rentière».

    Il est plus que temps, pour doter la communauté d’affaires, d’une représentation catégorielle digne du rôle qu’elle est appelée à endosser dans l’économie nationale en reconstruction pour éloigner l’image exécrable qu’on voudrait lui coller et redresser son image d’honorabilité et de sérieux dont on n’aurait jamais dû s’éloigner. Il est temps d’engager toutes les mesures afin de rétablir notre organisation dans son rôle d’origine.

    Tour en évoquant les  raisons majeures de ses engagements, Hassen Khelifati dit s’inscrire dans une logique et la nécessaire œuvre de redressement, voire de refondation du FCE pour se présenter aux élections du 24 juin prochain.

    Et à Hassen Khelifati de révéler que sa candidature «est naturellement accompagnée d’un programme de rupture par rapport aux objectifs, à la gouvernance et au mode de fonctionnement qui nous ont conduits à cette situation (…) Sans une refondation totale de notre association, le Forum continuerait à être un appareil au service d’un groupe d’intérêts qui, forcément, se retrouverait dans la confusion dans laquelle nous nous sommes déjà trouvés».

    Tout en se disant conscients des enjeux de cette période de transition, Hassen Khelifati a indiqué que l’objectif était de se préparer en tant qu’entreprises algériennes à être au cœur des politiques publiques économiques. «Il nous faudra rattraper le retard d’investissement et de modernisation de nos capacités et de nos modes de gestion et de gouvernance», écrit-il encore.

    Les cinq engagements de Hassen Khelifati

    Par ailleurs, Hassen Khelifati a énuméré ses cinq principaux engagements au cas où il était élu à la présidence du FCE. A commencer par le la stricte neutralité politique du FCE, non sans respecter la liberté des membres quant à leurs engagements politiques, mais à titre strictement personnel avec interdiction formelle d’engager le Forum.

    «A ce titre le forum s’interdira toute initiative à caractère politique (déclaration de soutien politique, participation financière et/ou matérielle à une quelconque campagne électorale ou tout financement des institutions politiques, etc.)», annonce Hassen Khelifati.

    Aussi, celui-ci s’engage à conformer impérativement le FCE aux missions qu’il s’est données ou de celles qu’il est amené à se donner dans le futur, conformément aux lois de la République et entamer un débat interne pour enrichir les statuts du Forum dans la perspective de renforcer son fonctionnement démocratique et notamment pour promouvoir le rôle des jeunes et des femmes chefs d’entreprises.

    «A ce titre, un large débat impliquant l’ensemble des membres du FCE dans l’option ou non de transformer le FCE en syndicat patronal. Dans ce sillage, les membres se prononceront sur le maintien, le cas échéant, de son appellation actuelle», s’engage Hassen Khelifati qui préconise le recours au vote à bulletin secret ou tout autre moyen moderne, tel que le vote électronique, pour régler les questions d’intérêts communs et promouvoir le consensus le plus large dans la prise de décision.

    En outre, Hassen Khelifati s’engage à réhabiliter les délégués du FCE marginalisés à travers un mécanisme de représentation dans l’exécutif directe ou périodique. Du reste, Hassen Khelifati a rappelé que l’accès aux responsabilités dans les organes exécutifs doit être basé sur le mérite, la compétence, l’expertise et l’expérience.

    Yanis Oumakhlouf

  • FCE: Moncef Athmani élu président provisoire

    FCE: Moncef Athmani élu président provisoire

    Moncef Athmani, membre fondateur du Forum des chefs d’entreprises (FCE), a été élu aujourd’hui à l’unanimité président provisoire de cette organisation patronale pour une période de transition de 3 mois.

    La nomination de Moncef Athmani intervient après la démission de Ali Haddad, le 28 mars dernier, d’une part, et qu’à l’issue de cette période, un président du Forum sera élu.

    L’élection de Moncef Athmani a eu lieu lors d’une réunion regroupant la majorité du Conseil exécutif du Forum après un dialogue marqué par l’objectivité, la transparence et le sens de responsabilité.

    Moncef Athmani préparer la tenue d’une Assemblée générale élective (AGE)

    Du coup, Moncef Athmani devra ainsi préparer la tenue d’une Assemblée générale élective (AGE) du FCE, conformément au statut du forum et des lois en vigueur.

    A l’issue de l’élection, les membres du Conseil exécutif du forum ont affirmé leur soutien absolu au président provisoire du FCE et leur engagement à préserver le forum comme étant un espace réunissant les opérateurs économiques et une force de proposition pour la construction d’une économie nationale forte et durable.

    Ils ont assuré que le Forum demeurera une association patronale active avec ses propositions loin de tous les tiraillements politiques.

    Dans une lettre adressée aux membres du FCE, M. Haddad, qui présidait le FCE depuis 2014, avait officialisé sa volonté de quitter la présidence de l’organisation en déclarant avoir «décidé, sans contrainte, de quitter la présidence du Forum des chefs d’entreprise à compter de ce jour (…) Soucieux de préserver la cohésion et surtout la pérennité de l’organisation».

    Vu la conjoncture que traverse actuellement le pays, M. Haddad avait alors estimé que «le FCE avait grandement besoin de rassembler toutes ses forces pour jouer un rôle constructif (…) Chacun doit favoriser la création des meilleures conditions à même de permettre au Forum de poursuivre son développement dans la sérénité et sur la voie dont décideront ses adhérents».

    Pour rappel, M. Haddad, patron de l’ETRHB Haddad, réélu en décembre dernier à la tête du Forum à l’issue d’un vote lors d’une assemblée générale élective de cette organisation, ayant été seul candidat en lice de ces élections, a récemment été arrêté au poste frontalier d’Oum Tboul, avant qu’il ne soit transféré à Alger où le procureur de la République près le tribunal de Bir Mourad Raïs l’a placé sous mandat de dépôt.

    A noter que le FCE est une association à caractère économique créée en octobre 2000, regroupant 4 000 chefs d’entreprise représentant plus de 7 000 entreprises qui cumulent un chiffre d’affaires global de plus de 4 000 milliards de dinars, selon les chiffres avancés par cette organisation.

    De nombreuses entreprises membres sont leaders dans leur filière d’activité. Les principaux secteurs couverts (18 sur les 22 que comprend la classification nationale) sont notamment ceux des industries agroalimentaires, des matériaux de construction, des industries électriques et électroniques, des industries mécaniques, des industries pharmaceutiques, du papier et de l’emballage, du bois, des travaux publics et de la construction, et de la grande distribution.

    Salim Oukaci

  • France: Ali Haddad évoque le dynamisme entrepreneurial du privé

    France: Ali Haddad évoque le dynamisme entrepreneurial du privé

    Ali Haddad, président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a estimé, hier à Paris, que l’entreprise privée en Algérie constitue un véritable levier pour la création de richesse et d’emplois, affirmant que «sur 11 millions de personnes en activité en Algérie, 7 millions, c’est-à-dire plus de 63 %, sont employées par les entreprises privées».

    Dans une longue allocution prononcée lors d’une rencontre intitulée «les nouvelles dynamiques entrepreneuriales en Algérie», organisée par le groupe Les Echos(Le Parisien), Ali  Haddad a, souligné «la confiance et l’intérêt» que portait la France à l’Algérie, à son économie et à la communauté des entrepreneurs algériens, non sans mettre en exergue les efforts consentis par l’Algérie durant les 20 dernières années en matière d’équipements et d’infrastructures publics.

    Pour le patron du FCE, «les différentes infrastructures récentes permettent l’accessibilité et l’attractivité des différentes régions et favorise les nouveaux investissements».

    Abordant le partenariat algéro-français, Ali  Haddad a estimé que la coopération «doit transcender l’aspect commercial et favoriser l’investissement productif, le transfert de technologies et du savoir-faire et la réalisation de pôles de compétitivité et de centres d’excellence (…) La réussite des entreprises installées en Algérie dénote de la portée du marché algérien», car, a encore expliqué le patron du FCE «l’Algérie est un pays en mouvement et cette transformation est porteuse d’opportunités et d’ambitions multiples».

    A ce propos, il dira que «l’Algérie vit actuellement un moment déterminant. Une mutation de son modèle économique a été engagée par les plus hautes autorités du pays, sous la conduite de son excellence le président de la République Abdelaziz Bouteflika (…) ses orientations ont permis au pays de valoriser son immense territoire et de construire un socle solide, sur lequel s’appuient les réformes de deuxième génération engagées récemment».

    Evoquant les conclusions de la Banque mondiale (BM), Ali Haddad a indiqué que «les échanges ont porté sur la vision 2035 de la Banque mondiale pour la région et sur les principales opportunités qu’offre l’Algérie. A l’issu de ces rencontres, l’institution a salué les réformes et la direction prises par l’Algérie», citant, entre autres, la jeunesse qui représente un enjeu majeur et le potentiel de la diaspora algérienne.

    En revanche,Ali  Haddad a estimé que la digitalisation de l’économie ne devait pas s’appuyer sur la simple acquisition de solutions, mais sur le développement d’innovations, non sans mettre en valeur l’intérêt qu’accorde le FCE aux startups sur le modèle de la co-création.

    Abordant l’Algérie de l’après-pétrole, Ali  Haddad a insisté sur les mutations que connait le secteur de l’agriculture qui figure aux priorités du pays. «Les réformes menées commencent déjà à donner des résultats dans le domaine des fruits et légumes et de la production céréalière qui a atteint cette année 65 millions de quintaux», a-t-il affirmé, révélant que les opportunités ne manquent pas pour les entreprises françaises et algériennes dans le cadre de partenariats de coproduction et de co-localisation.

    Ali Haddad  rappellera que L’Algérie était «pour les entreprises la porte de l’Afrique. Nous nous projetons dans le futur et c’est l’Algérie de 2030 que nous sommes en train de façonner dès aujourd’hui», comme il s’engagera que le FCE était disposé à soutenir ce mouvement et à accompagner tous les projets d’investissements entre nos deux pays.

    Lamara Benarab

  • Le FCE appelle  le Président à briguer un 5ème mandat

    Le FCE appelle le Président à briguer un 5ème mandat

    « Le Forum des Chefs d’Entreprise appelle avec sincérité, respect et déférence notre Président à poursuivre son œuvre en se présentant aux élections présidentielles de 2019. Il en appelle à ses hautes valeurs d’engagement, de patriotisme et de sacrifice envers l’Algérie. » a déclaré le FCE dans le communiqué qui sanctionné   le Conseil Exécutif du Forum des Chefs d’Entreprise (FCE), réuni ce mercredi 05 septembre 2018.

    Présidé par Ali Haddad, le Conseil a examiné plusieurs points à l’ordre du jour, dont   l’organisation de la 4ème session de l’Université du FCE devant se tenir en octobre,  le lancement de l’incubateur FCE, les projets de réalisation en cours (siège social, Sidi Abdallah), l’université du FCE est devenue un moment important de débats socio-économiques dans le pays ; un rendez-vous incontournable et attendu par l’ensemble des acteurs.

    La 4ème session qui se tiendra à El-Oued portera sur des problématiques d’actualité liées à la modernisation de l’entreprise et les conditions d’amélioration de sa compétitivité.

    Le Conseil Exécutif a adopté la décision de la création d’un incubateur de Startups au niveau du siège du FCE. Encadré par des compétences et expertises Algériennes mondialement reconnues, il sera le lieu d’émergence et d’éclosion de l’esprit entrepreneurial de nos jeunes. Les membres du Conseil se sont félicités de cette initiative.

    Ali Haddad a présenté un point de situation sur l’état d’avancement du projet de réalisation du siège social du FCE, situé à Bab-Ezzouar et dont la construction sera lancée dans quelques jours. Ce sera un édifice moderne dont les opérateurs Algériens seront fiers. Il abritera les structures nécessaires pour les activités du forum mais également des incubateurs, des pépinières d’entreprises, des bureaux de consulting, des espaces de débats et d’échange, des espaces d’animation culturelle et artistique.

    Le Conseil Exécutif a également abordé les questions liées à la conjoncture socio-politique du pays. A ce titre, il a souligné son adhésion pleine et entière au message de Son Excellence Monsieur le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA à l’occasion du 20 aout, journée Nationale du Moudjahid. Le FCE est pleinement conscient et engagé et encore plus aujourd’hui, dans la voie tracée par Monsieur le Président de la République. A ce titre, il exprime son adhésion totale à son appel à la constitution d’un « front populaire afin de garantir la stabilité de l’Algérie et sa résistance face à toutes les manœuvres internes et menaces externe ».

    L’Algérie dispose de ressources humaines et matérielles pour opérer une accélération décisive de son développement et réaliser son insertion active et positive dans les enjeux de l’économie globalisée.

    Nous en sommes pleinement conscients, l’entreprise étant au centre de ces enjeux qui structurent le monde d’aujourd’hui, et qui nous dicte la nécessité impérieuse de travailler d’abord à préserver les acquis de l’heure et de poursuivre l’effort de construction d’une économie forte et durable, comptant sur ses ressources propres, sur la force de ses travailleurs et sur ses entreprises créatrices de richesse.

    Il nous faut souligner, en effet, que notre action tire son essence même du programme de Son Excellence, Monsieur le Président de la République Abdelaziz BOUTEFLIKA et le rôle du FCE a été de contribuer et de continuer à contribuer à donner corps à cette orientation, à cette ambition plus précisément, pour laquelle les pouvoirs publics et sous la conduite du Président de la République ont travaillé à réunir toutes les conditions et tous les soutiens nécessaires.

    Le Forum des Chefs d’Entreprise appelle avec sincérité, respect et déférence notre Président à poursuivre son œuvre en se présentant aux élections présidentielles de 2019. Il en appelle à ses hautes valeurs d’engagement, de patriotisme et de sacrifice envers l’Algérie.

    Le FCE s’engage à tout mettre en oeuvre pour réussir, sous la haute gouvernance de M. Abdelaziz BOUTEFLIKA, le pari d’un développement national solidaire pour le progrès et la prospérité porteur de richesses et de paix.