Étiquette : partenariat

  • Iris Tyres se lance dans la fabrication des pneus Enso

    Iris Tyres se lance dans la fabrication des pneus Enso

    Le groupe Iris Tyres a signé, aujourd’hui à Sétif, un contrat de partenariat stratégique avec le groupe Enso pour la fabrication des pneus de marque Enso dédiés pour les véhicules électriques. Avec ce partenariat, Iris Tyres complète sa gamme de pneus, avec notamment les pneus Aurès, Sefar, Ecoris et Stormy.

    Lors d’une conférence de presse animée en marge d’une visite guidée de l’usine d’Iris Tyres au profit de l’ambassadeur du Royaume‐Uni à Alger, Mme. Sharon Wardle, et le patron d’Enso, Gunnlaugur Erlendsson, le P-DG d’Iris, Yacine Guidoum, a, tout de go, met l’accent sur le fait que « le pneu Enso a été conçu en partenariat avec les ingénieurs d’Iris et combinent les dernières innovations en matière de pneumatique ayant pour but d’augmenter l’autonomie des véhicules électriques tout en réduisant la pollution émise par les pneus ».

    Selon M. Guidoum, ce partenariat entre Iris Tyres et Enso est le fruit de plusieurs mois de coopération. «Il est passé par différentes phases, allant de la production du prototype par les ingénieurs d’Iris au début de l’année 2020, au testing sur des véhicules de taxi londoniens, il y a seulement quelques mois. Ces pneus ont été homologués par une entreprise allemande qui a décerné la note « A » pour le produit algérien qui répond aux standards internationaux en matière d’efficacité énergétique et de la protection de l’environnement. Une société de taxi londonienne est déjà preneuse ! ».

    Sur sa lancée, Yacine Guidoum s’est félicité : « l’Algérie est le premier pays dans la région à produire ce type de pneus adaptés aux exigences des véhicules électriques », ajoutant que l’entreprise Iris Tyres a réussi à réaliser ses objectifs en produisant des pneus de qualité et de les exporter à pas moins de vingt pays ».

    Par ailleurs, le pneu Enso développé en Algérie sera également aussi commercialisé pour le constructeur automobile britannique LEVC, une filiale de la marque  Volvo et Geely.

    Selon M. Guidoum, « la production passera de 50 000 à 100 000 unités/an dès 2023 avec d’autres opportunités en 2024, notamment le projet d’extension de l’usine. Nous sommes prêts à couvrir la demande nationale conformément à la stratégie nationale en matière de production et de commercialisation tout en exportant ».

    Pour sa part, le P-DG de la société Enso a indiqué que « les usines d’Iris sont à la pointe de la technologie, voire parmi les meilleures au monde. C’est un partenariat stratégique qui a un avenir florissant. Ce partenariat est une étape essentielle pour la sécurisation d’une technologie plus avancée et de meilleure qualité spécifiquement pour les véhicules électriques ».

    A noter que Mme. Sharon Wardle a mis l’accent sur l’innovation, le transfert de connaissances de haute technologie et l’expertise manufacturière de pointe mondiale », soulignant les avantages que le commerce international apporte aux deux pays.

    « C’est grâce à des collaborations innovantes comme celle des sociétés Enso et Iris que notre relation va continuer à se développer », a fait remarquer Mme. Sharon Wardle.

    Nadine.S

  • Sonatrach: Nouveaux accords de partenariat avec les universités

    Sonatrach: Nouveaux accords de partenariat avec les universités

    Le Groupe Sonatrach a signé, jeudi 09 septembre, sept accords de partenariat et de coopération avec des établissements universitaires des wilayas de l’Est du pays. Il s’agit des universités d’Annaba, El Tarf, Souk Ahras, Tébessa et Khenchela, ainsi que l’Ecole nationale de technologie industrielle d’Annaba et celle nationale des énergies renouvelables, de l’environnement et du développement durable de Batna.

    A la faveur de ces derniers, la compagnie pétrolière s’engage à accompagner universités partenaires impliqués dans la concrétisation de la stratégie d’efficacité et de transition énergétique, dans la réalisation de leurs projets, notamment en mettant à leur disposition ses moyens techniques et technologiques.

    Sonatrach n’est pas à son premier partenariat avec les universités. Elle a déjà conclu 20 accords avec des établissements du même genre et prévoit d’autres dans un avenir proche. Le 08 avril dernier, elle a signé des conventions-cadres avec sept autres établissements de la même région de l’Est du pays. Il s’agit des universités de Constantine 1 et3, Batna2, Sétif, Oum El Bouaghi, Guelma et Jijel.

    Le Groupe algérien œuvre à rapprocher le monde universitaire de celui économique et ambitionne de créer des pôles d’excellence dans tous les métiers liés aux hydrocarbures et aux énergies renouvelables.

    Lors de cette même sortie du 08 avril, la société pétrolière a conclu deux accords avec le Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) et l’Ecole nationale polytechnique de Constantine.

    Par ailleurs, dans le cadre de ses actions de mécénat, Sonatrach a signé, durant la même journée de jeudi 09 septembre, une convention de sponsoring, avec l’Office national des publications scolaires (ONPS). Elle porte sur une contribution financière au profit de cet office pour l’acquisition d’équipements informatiques à distribuer sur 50 classes numériques. Dans un communiqué rendu public, la première entreprise nationale explique que cela entre dans le cadre du projet «école numérique» initié par le département de l’Education nationale.

    Karima Mokrani

  • Connectivité des écoles: Partenariat mondial entre Ericsson et l’UNICEF

    Connectivité des écoles: Partenariat mondial entre Ericsson et l’UNICEF

    Ericsson et l’UNICEF annoncent aujourd’hui un partenariat mondial pour aider à cartographier la connectivité des écoles dans 35 pays d’ici la fin 2023.

    Cartographier la connectivité internet des écoles et des communautés environnantes est une première étape essentielle pour permettre à chaque enfant d’accéder aux opportunités de l’apprentissage numérique.

    Cet effort conjoint s’inscrit dans le cadre de l’initiative Giga qui a été lancée l’année dernière et menée par l’UNICEF et l’Union Internationale des Télécommunications (UIT). Giga vise à connecter chaque école à internet.

    Ericsson est le premier acteur du secteur privé à s’engager à hauteur de plusieurs millions de dollars dans cette initiative et cela en tant que partenaire mondial d’UNICEF for School Connectivity Mapping.

     Selon l’UIT, 360 millions de jeunes n’ont actuellement pas accès à internet. Cela engendre une exclusion, moins de ressources pour apprendre et des possibilités limitées pour les enfants et les jeunes les plus vulnérables de développer leur potentiel.

    L’amélioration de la connectivité augmentera l’accès à l’information, les opportunités et les choix, permettant ainsi à des générations d’écoliers de participer à la construction de leur propre avenir.

     « L’aggravation de la fracture numérique est l’une des nombreuses inégalités que la pandémie COVID-19 a mises en évidence », a déclaré Charlotte Petri Gornitzka, directrice générale adjointe des partenariats de l’UNICEF.

     « Les fermetures d’écoles, associées à des possibilités limitées ou inexistantes d’apprentissage à distance, ont bouleversé l’éducation des enfants dans le monde entier. Notre partenariat avec Ericsson nous permettra d’offrir à chaque enfant et jeune l’accès aux opportunités de l’apprentissage numérique ».

    En plus du financement, Ericsson allouera des ressources supplémentaires pour l’ingénierie des données et la science des données afin d’accélérer la cartographie de la connectivité des écoles. Plus précisément, Ericsson aidera à la collecte, la validation, l’analyse, le suivi et la représentation visuelle des données de connectivité scolaire en temps réel.

    Les données de la connectivité favoriseront l’apprentissage

    Les données de connectivité en temps réel générées par la cartographie permettront aux gouvernements et au secteur privé de concevoir et de déployer des solutions numériques qui favorisent l’apprentissage des enfants et des jeunes. Ericsson fera également appel à son vaste réseau de clients pour faire progresser les objectifs de l’initiative Giga.

    « Ericsson occupe une position unique en tant que partenaire clé dans la résolution de ce problème important, grâce à son expertise technologique, à sa dimension mondiale, à ses décennies d’expérience dans les partenariats public/privé et à ses résultats probants dans la mise en relation des étudiants et des éducateurs », a déclaré Heather Johnson, vice-présidente en charge du développement durable et de la responsabilité d’entreprise chez Ericsson.

     « Travailler en collaboration avec des partenaires comme l’UNICEF et l’UIT amplifie l’impact potentiel de la connectivité des écoles et constitue une première étape concrète pour aider à réduire la fracture numérique au niveau mondial ».

    « L’UIT apporte une connaissance historique des politiques technologiques et une expertise en matière de réglementation à la mission qui consiste à connecter toutes les écoles du monde », a déclaré Doreen Bogdan-Martin, directrice du bureau de développement des télécommunications de l’UIT. « Nous sommes ravis qu’Ericsson se joigne à Giga et aide à construire les outils cartographiques nécessaires pour faire de la connectivité de chaque école une réalité ».

     Le partenariat UNICEF/Ericsson contribue également au projet Generation Unlimited Global Breakthrough concernant la connectivité numérique qui vise à offrir aux jeunes des compétences digitales afin qu’ils puissent participer pleinement et utilement à l’économie numérique. Il s’agit d’un partenariat mondial multisectoriel visant à répondre au besoin urgent d’élargir les possibilités d’éducation, de formation et d’emploi pour les jeunes.

    De plus, ce partenariat soutient le récent programme d’action COVID-19 de l’UNICEF, dans le cadre duquel l’organisation appelle à une action mondiale pour que les enfants continuent à apprendre, ce qui nécessite de donner la priorité à la connectivité internet dans les zones rurales et isolées. Suivez nos progrès et découvrez les actions en cours en matière de cartographie scolaire sur www.projectconnect.world/.

    Pour plus d’informations sur cette importante initiative et sur la manière d’y prendre part, veuillez consulter le site www.gigaconnect.org.

    À propos d’Ericsson

     Ericsson permet aux fournisseurs de services de communication d’exploiter toute la valeur de la connectivité. Le portefeuille de la société couvre les réseaux, les services numériques, les services gérés et les activités émergentes. Il est conçu pour aider nos clients à passer au numérique, à accroître leur efficacité et à trouver de nouvelles sources de revenus. Les investissements d’Ericsson dans l’innovation ont permis à des milliards de personnes dans le monde entier de bénéficier des avantages de la téléphonie et du haut débit mobile. L’action Ericsson est cotée au Nasdaq Stockholm et au Nasdaq New York. www.ericsson.com

    À propos de l’UIT L’Union Internationale des Télécommunications (UIT) est l’agence spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l’information et de la communication (TIC). Elle est le moteur de l’innovation dans le domaine des TIC, avec 193 États membres et près de 900 entreprises, universités et organisations internationales et régionales membres.

    Créée il y a plus de 150 ans, en 1865, l’UIT est l’organisme intergouvernemental chargé de coordonner l’utilisation partagée du spectre radioélectrique à l’échelle mondiale, de promouvoir la coopération internationale dans l’attribution des orbites de satellites, d’améliorer les infrastructures de communication dans le monde en développement et d’établir les normes mondiales qui favorisent l’interconnexion transparente d’une vaste gamme de systèmes de communication.

    Des réseaux à large portée aux technologies sans fil de pointe, en passant par la navigation aéronautique et maritime, la radioastronomie, la surveillance océanographique et satellitaire de la terre ainsi que la convergence des technologies de téléphonie fixe et mobile, d’internet et de radiodiffusion, l’UIT s’est engagée à connecter le monde. Pour plus d’informations, visitez www.itu.int.

    À propos de Generation Unlimited Generation Unlimited est un partenariat mondial qui prépare les jeunes à devenir des citoyens productifs et engagés. Il relie l’éducation et la formation secondaires à l’emploi et à l’esprit d’entreprise, donnant ainsi à chaque jeune les moyens de s’épanouir dans le monde du travail.

    À propos d’UNICEF UNICEF travaille dans certains des endroits les plus difficiles au monde, pour venir en aide aux enfants les plus défavorisés. Dans plus de 190 pays et territoires, nous travaillons avec chaque enfant, où qu’il soit, pour construire un monde meilleur pour tous. Pour plus d’informations sur l’UNICEF et son travail en faveur des enfants, visitez www.unicef.org

    Communiqué de presse

  • L’Anvredet et Sonatrach signent un accord de partenariat

    L’Anvredet et Sonatrach signent un accord de partenariat

    Afin d’établir des bases pour une coopération productive entre l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique ( Anvredet ) et le groupe pétrolier Sonatrach, un accord –cadre vient d’être signé entre les deux parties.

    L’Anvredet était représentée par sa Directrice générale, Dr Demmouche Mounsi Nedjoua et la Sonatrach par Benamara Mustapha, Directeur central recherche et développement par intérim, selon ce qui est annoncé dans un communiqué de presse.

    « L’accord-cadre  a pour objectif d’établir les bases d’une coopération entre l’Anvredet et la Sontrach et de mettre en évidence les conditions dans lesquelles les partenaires seront amenés à coopérer dans les domaines d’intérêts communs. » lit –on dans le communiqué.

    Contenu de l’accord entre l’Anvredet et CRD Sonatrach

    L’accord signé au siège du centre de recherche et du développement-CRD Sonatrach à Boumerdes, comprend des axes de coopération portant sur l’échange d’expertise entre les opérationnels de recherche de Sonatrach et  ceux de l’Anvredet.

    Il comprend aussi la prise en charge du volet études technico-économiques et l’intégration des experts de Sonatrach dans les comités d’évaluation de l’Anvredet pour tous les projets en relation avec le domaine de compétences du groupe pétrolier.

    Il porte également sur l’accompagnement  des projets matures de Sonatrach pour tout ce qui concerne la propriété intellectuelle comme la rédaction de brevet, l’étude de brevetabilité, recherche d’antériorité et enfin la protection nationale et internationale.

    Il est aussi question d’œuvrer en commun pour la réalisation des études technico-économiques et environnementales en priorisant les projets ayant recours au traitement de données par l’intelligence artificielle et la robotique.

    Selon ce qui est précisé dans le communiqué de presse, le rôle de l’Anvredet dans ce cadre se concrétise par l’accompagnement des projets inscrits par le groupe pétrolier Sonatrach pour la promotion de l’entreprenariat.

    Elle est aussi chargée de faire des propositions portant sur la formation et l’innovation, tout comme elle assure la veille pour les travaux de  recherche réalisés dans les centres de recherches en rapport avec la stratégie de Sonatrach.

    Pour sa part, Sonatrach se doit d’apporter à l’Anvredet l’appui pour tout ce qui touche au domaine de la certification ou d’attestation de conformité ainsi que la réglementation pour le lancement de nouveaux projets dans le domaine des hydrocarbures.

    Elle est aussi chargée pour être le partenaire socio-économique de l’incubateur d’Ouargla ainsi que d’autres incubateurs dont l’activité est liée au secteur de l’énergie.

    Ainsi, elle contribue à l’accompagnement efficace de porteurs de projets accompagnés par l’Anvredet,  pour la réalisation de prototypes.

    Cet accord –cadre s’inscrit dans le cadre de la stratégie adoptée par l’Anvredet ayant pour objectif de dynamiser les mécanismes de valorisation des résultats de la recherche et du développement et, d’arriver par la même occasion à multiplier les possibilités  de transfert de technologies vers le monde socio-économique.

    Afin de tirer le meilleur de cet accord de partenariat, un comité mixte constitué de représentants de Sonatrach et de l’Anvredetsera installé prochainement.

    Il aura pour mission, comme l’expliquent les rédacteurs du communiqué de presse, d’identifier, orienter et impulser le développement des actions envisagées par les deux parties signataires de l’accord.

    Pour rappel, l’Anvredet dont la mission principale est de valoriser les résultats de la recherche, qu’elle soit issue de l’université ou des différents  centres de recherches, quelle que soit leur spécialité, est une sorte de passerelle entre les besoins exprimés par l’économie nationale et le potentiel représenté par la recherche scientifique.

    Elle veille également à identifier les résultats de la recherche, les valorise et leur assure un accompagnement et l’appui nécessaire à leur concrétisation en projets porteurs.

    Elle est aussi un espace de rencontre permettant aux demandeurs et offreurs de technologie d’avoir des contacts fructueux.

    Le suivi des projets se fait à travers 03 principaux axes qui sont le transfert technologique, l’incubation et enfin la création de Startups.

    K.M.B.

  • Partenariat :«Rencontres Algérie» le 21 juin à Paris

    Partenariat :«Rencontres Algérie» le 21 juin à Paris

    La 11ème édition des «Rencontres Algérie» se tiendra le 21 juin prochain à Paris. Organisée par Business France, cette édition sera placée sous le signe des partenariats productifs entre entreprises françaises et algériennes.

    Selon l’ambassade de France à Alger, «cette nouvelle édition se situe également dans la continuité du dernier Comité intergouvernemental de Haut-niveau (CIHN) qui s’est tenu à Paris en décembre 2017 et à l’occasion duquel les autorités algériennes et françaises ont souhaité multiplier les opportunités de rencontres et de partenariat entre les entreprises des deux pays».

    Ce carrefour économique, qui bénéficie de l’appui du ministère de l’Industrie et de Mines, et verra l’implication du Forum des chefs d’entreprises (FCE), de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI), du Comité des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI) et de la Chambre algéro-française de commerce et d’industrie (CCIAF).

    Les «Rencontres Algérie 2018» verront également la participation d’une délégation forte de plus d’une centaine de chefs d’entreprises et de représentants des secteurs publics et privés algériens et se veulent une opportunité d’évoquer, lors des tables rondes, les principaux atouts dont dispose l’Algérie en termes de partenariats productifs.

    Au total, quatre ateliers sectoriels aborderont les opportunités de partenariat dans les secteurs de l’industrie et de la sous-traitance, de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire, de la santé et des biens de consommation, et enfin les formes de distribution modernes.

    Les entreprises pourront également échanger et nouer des contacts utiles de manière conviviale, notamment à travers des entretiens B2B organisés pour les entreprises porteuses de projets précis.

    Enfin, souligne la même source, la 11ème édition des «Rencontres Algérie» sera l’occasion d’approfondir et de développer les liens entre les entreprises des deux rives de la Méditerranée pour faire émerger de nouveaux projets au service du développement et de la prospérité de nos deux pays.

    Lamara Benarab