Sonatrach enregistre une progression remarquable dans son classement de l’indice de gouvernance des ressources naturelles. L’institut de gestion des ressources naturelles (Naturel Resource Governance Institute) de New York qui est une organisation indépendante fait état d’une augmentation de 18 points en 2020 par rapport à l’année 2017. L’information est rapportée et publiée par la compagnie algérienne sur sa page Facebook.
Ainsi, lit-on dans le communiqué de Sonatrach, «dans une évaluation intermédiaire de l’indice de gouvernance des ressources pour l’année 2020, publié par l’institut de gestion des ressources naturelles de New York, le groupe Sonatrach a enregistré une progression remarquable dans son classement, avec une augmentation de 18 points par rapport à 2017». Selon le même institut, la performance du groupe pétrolier algérien est satisfaisante et positive.
La même source rappelle que l’indice de gestion des ressources mesure la qualité de gestion des ressources des pays et les classe. Suivra une enquête envoyée à 150 experts à travers 81 pays pour validation. Dans le rapport de l’année 2017, la note de Sonatrach était de 47/100 avec un chiffre d’affaires de 70 366 millions de dollars.
En juin dernier, c’est le magazine Jeune Afrique qui a classé la compagnie algérienne première en Afrique pour l’année 2021. Un choix effectué parmi 500 entreprises africaines. Satisfait de sa position de leader, le groupe Sonatrach, dans un communiqué rendu public, a indiqué que ce «couronnement» n’est pas le premier du genre et a été réalisé en pleine pandémie de virus Covid-19.
A ce propos, le P-DG de Sonatrach, Toufik Hakkar, a assuré que les activités de production de la compagnie n’ont pas été impactées par la Covid-19, le groupe ayant réussi à atteindre ses objectifs avant le déclenchement de la pandémie. En terme d’investissement, et à l’instar de toutes les compagnies pétrolières à travers le monde, l’activité a connu un ralentissement.
En visite de travail à Hassi Messaoud (Ouargla), en avril de cette année, M. Hakkar a mis en avant la nécessité de réduire les coûts de production et de rationaliser les dépenses au niveau des différentes infrastructures du groupe.
Karima Mokrani
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