Catégorie : Banques

  • SIEERA 2023 : La  BDL contribue au développement du secteur de l’environnement

    SIEERA 2023 : La BDL contribue au développement du secteur de l’environnement

    La Banque de Développement Local-BDL prend part au Salon International de l’Environnement et des Energies Renouvelables d’Alger (SIEERA 2023) et ce du 27 au 29 septembre 2023, au palais des expositions pins maritimes Alger, annonce un communiqué transmis à notre rédaction.  

    Cette même source précise que de cette participation  démontre «la volonté de la BDL de participer à la mise en place d’un écosystème durable dédié au développement d’une économie verte, notamment à travers l’utilisation des panneaux solaires photovoltaïques». Un procédé déjà effectué au sein de l’agence BDL d’El Mouradia qui réduit de plus de 70% de la consommation d’énergie de ladite agence.

    A travers cette participation au SIERRA 2023, la BDL va vers les porteurs de projets et  dévoile sa démarche  voulue pour contribuer  au développement du secteur de l’environnement et des énergies renouvelables, à travers un nombre appréciable de projets financés.

    Pour rappel, le SIEERA 2023, mis sous le haut patronage du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a été l’occasion pour les exposants de faire part de leurs offres et expériences en matière de solutions innovantes liées à l’environnement et aux énergies renouvelables, mais aussi les possibilités et potentiels de la valorisation des déchets tous types confondus.

    R.N

  • La BNA adopte de nouvelles mesures incitatives au profit des exportateurs

    La BNA adopte de nouvelles mesures incitatives au profit des exportateurs

    Après l’ouverture de filiales à l’étranger, notamment dans des capitales africaines, les banques publiques, à l’image de la BNA, passent à la vitesse supérieure dans l’appuie et l’accompagnement des entreprises algériennes ayant des potentialités à l’export.

    Dan cette perspective, la BNA (Banque nationale algérienne) adopte de nouvelles mesures incitatives au profit des exportateurs, selon son Directeur général, Mohamed Lamine Lebbou, qui vient de faire part de «grandes facilitations», notamment en matière de procédures de domiciliation.

    Rappelant à juste titre que la filiale algéro-sénégalaise de la BNA était en phase d’ «ouverture effective», après avoir été accréditée à Dakar en avril dernier, M. Lebbou a précisé que, selon l’APS, la BNA a «effectué des opérations relatives aux transactions commerciales internationales, et nous avons offert de grandes facilitations aux exportateurs pour leur permettre de se procurer le document de domiciliation propre à l’opération d’exportation», et ce, dans le cadre de la stratégie de la banque de passer à la numérisation de ses opérations bancaires.

    A travers sa démarche, le premier responsable de la BNA a précisé aussi que les procédures qui sont menées actuellement dans ce sens sont à même de faciliter les opérations du commerce international pour les opérateurs économiques, notamment «par le biais des correspondants bancaires qui se trouvent dans les quatre coins du monde».

    Dans le volet relatif à la diversification de ces produits, le DG de la BNA vient de faire état du service « e-Trade » qui vient d’être lancé au début de l’année en cours. Ce dernier consiste en un service d’information et de notification des opérations de commerce extérieur sur le réseau Swift via la plateforme des services bancaires électroniques de la Banque.

    Ce nouveau service vient donc s’ajouter aux produits mis déjà à la disposition des entreprises exportatrices, comme le crédit documentaire, la remise documentaire, le service de transfert libre et de garanties internationales.

    Evoquant la connectivité de la banque publique au marché bancaire international, M. Lebbou a fait savoir que les opérations commerciales de la BNA sont acceptées auprès de toutes les banques avec lesquelles elle travaille d’une façon «souple et claire, conformément aux standards internationaux en vigueur» à travers le monde.

    Tout en insistant sur l’importance de la décision prise récemment concernant l’ouverture d’agences bancaires algériennes dans des pays comme le Sénégal, la Mauritanie, la France, et à l’avenir en Ethiopie, le premier responsable de la BNA précise que la présence de banques nationales dans des capitales étrangères, notamment en Afrique permettra aux exportateurs algériens d’avoir des informations sur les marchés internationaux et de « faire la promotion de leurs produits rapidement et garantir leurs revenus ».

    Une gestion numérisée des crédits dès septembre

    Concernant les mesures prises pour la numérisation des opérations d’octroi de crédits, le DG de la BNA a déclaré que, en plus de permettre un passage à une opération de gestion des crédits «numérisée à 100% dès septembre prochain», la banque disposait d’un service en ligne permettant d’introduire des demandes de crédit, choisir son agence, et prendre rendez- vous avec le Directeur de l’agence ou encore avec les chargés de clientèles.

    Outre sa nouvelle stratégie visant à accompagner les entreprises nationales, tant publiques que privées dans leur quête de parts de marché à l’international, la BNA, qui est une des principales banques activant sur le marché national, joue un rôle clé dans le financement de l’économie, avec pas moins de 13 000 crédits octroyés durant l’année 2022, d’une valeur globale avoisinant les 1 600 milliards de dinars, soit une valeur moyenne de 123 milliards de dinars par crédit.

    Cependant, dans le cadre de sa politique de modernisation de son réseau, la même banque, selon son DG, vient de procéder à la mise en ligne de 32 espaces automatiques accessibles 24/24, ainsi que 10 agences de finance islamique, avec l’ouverture d’autres agences au courant de l’année 2023, dans le but de couvrir la totalité du territoire national, avec plus de 65 guichets dédiés à ce type de produits bancaires.

    Enfin, il est utile de rappeler qu’à l’instar des mesures que vient de prendre la BNA au profit des entreprises exportatrices, d’importantes autres facilitations sont accordées ces dernières années au niveau de différentes administrations, comme le CNRC (Centre national du registre de commerce), où il est désormais plus facile de créer une entreprise exportatrice que celle dont l’activité se limite au marché national selon le ministère du Commerce et de la promotion des exportations, et ce, dans l’objectif d’accroitre les exportations hors hydrocarbures qui viennent de passer d’ailleurs de 1,7 milliard de dollars seulement en 2019 à un record de 13 milliards de dollars d’ici la fin de l’année en cours.

    R. N.

  • Green Talk de BNP Paribas : l’économie circulaire en débat

    Green Talk de BNP Paribas : l’économie circulaire en débat

    L’Algérie dispose, depuis les années 2000, d’un arsenal juridique des plus fournis et adéquats pour réussir le défi de l’économie circulaire, mais tous les plans relatifs aux Objectifs de développement durable (ODD) déployés jusqu’à présent butent sur l’absence de textes d’application et, le plus souvent, sur l’incompréhension des entreprises. C’est ce qu’a indiqué Kamel Djemouai, consultant indépendant sur les questions d’environnement et de développement durable, lors de la deuxième édition du Green Talk,  consacrée à l’économie circulaire, et organisée mercredi soir par le groupe BNP Paribas à l’hôtel Sofitel d’Alger.

    S’inscrivant pleinement dans l’objectif de favoriser le développement Durable, l’un des axes prioritaires du groupe BNP Paribas, cette rencontre a permis notamment d’échanger sur la réglementation, les perspectives de développement, les opportunités et freins de l’économie circulaire sur le marché algérien.

    D’emblée, M. Djemouai a affirmé que «l’absence des textes d’application rendent la tâche difficile sur le terrain, notamment au niveau de ceux qui doivent respecter les axes majeurs des ODD, sachant, a-t-il souligné, que l’Algérie a engagé plusieurs plans relatifs à la protection de l’environnement, du littoral, des forêts et la lutte contre les déchets spéciaux, outre le mise en place de six entités chargées du suivi des ces ODD sur le terrain, à l’instar de l’Agence nationale des déchets. « Toutes les entités découlent des ODD lancés au début des années 2000.

    L’Algérie avait amorcé la transition écologique et environnementale avec succès en déployant un important cadre juridique. Aujourd’hui, on est en plein dedans, car le pays a ratifié toutes le conventions internationales, comme l’Accord de Paris ou encore les conventions onusiennes », a expliqué M. Djemouai, ajoutant que l’Algérie s’est engagée à réduire les gaz à effets de serre à l’horizon 2030 ».

    Abordant l’engagement de son institution financière (BNP Paribas-ndlr), le responsable Corporate Banking, Laurent Ravachol, a réitéré le rôle des banques l’accompagnement des entreprises et sa contribution dans l’économie circulaire. «Au niveau de BNP Paribas, on mesure le comportement de nos clients en faisant appel à l’agence Ecovadis pour les évaluer durant tout le processus».

    Présent à cette rencontre, un représentant d’Ecovadis, une plateforme d’évaluation des performances RSE (responsabilité sociétale des entreprises), achats responsables et gestion des risques, a indiqué que son agence que «la notation d’Ecovadis décline plusieurs avantages, comme la gestion et l’amélioration de l’image de l’entreprise et sa compétitivité ainsi que l’amélioration de la performance de son RSE en accompagnant les entreprises, et ce, quelle que soient leurs tailles».

    Pour illustrer cet état de fait, la représentante de l’entreprise General Emballage, Mme. Ouali, que sa société travaillait avec Ecovadis depuis 2017. « On a déployé en 2017 un dispositif de récupération du papier et du carton et nous avons travaillé dans le cadre du programme Green Edge 2030.

    Cette évaluation indépendante nous a permis, entre autres, de travailler l’image de marque de l’entreprise, d’identifier les pistes d’amélioration pour obtenir un score de 48%, certes modeste, mais significatif », a affirmé Mme. Ouali, révélé que sa société a lancé le certificat de tous ses produits FSC (chaîne de contrôle et d’exploitation) et la mise en place de la norme ISO 26001, mais, aussi l’ambition d’installer, très prochainement, des stations photovoltaïques à Sétif et Bejaia, et ce, après la succès des stations installées à Oran.

    Pour le directeur général de BNP Paribas El Djazaïr, Pierre Bérégovoy, l’objectif de sa banque était de contribuer à réduire la consommation de ressources non renouvelables et la production de déchets et d’aider et à accompagner les entreprises à investir dans l’économie circulaire.

    Farid Belgacem

  • Laziz Faid prône le soutien de l’inclusion financière pour une économie verte et durable

    Laziz Faid prône le soutien de l’inclusion financière pour une économie verte et durable

    Le ministre des Finances, Laziz Faid, a affirmé ce jeudi que l’Algérie continue de s’investir dans le processus de modernisation du secteur bancaire, dans l’objectif de renforcer l’inclusion financière, à travers le renforcement du réseau des agences bancaires numérique à l’échelle nationale, la promotion de la finance islamique, tout en assurant les services de la finance classique, le but étant d’être plus proche du citoyen et au service de l’économie.

    « Le ministère des Finances aspire, dans le cadre de sa stratégie d’appui à l’inclusion financière, à travers certaines activité, axes et réformes, pour améliorer les indicateurs dans toutes les activités économiques et les catégories sociales, plus particulièrement jeunes », dans l’objectif de soutenir le développement durable, a déclaré d’emblée Laziz Faid, dans son allocution à l’occasion de la célébration de la «Journée arabe de l’inclusion financière», à l’Ecole nationale supérieure des statistiques et de l’économie appliquée (ENSSEA) de Koléa (Tipasa).  

    Pour le ministre des Finances, les changements climatiques, à l’origine d’un bouleversement économique et social, à travers le monde, poussent de nombreux pays, dont l’Algérie, à s’orienter prioritairement vers un soutien de plus en plus important au développement de l’économie verte et au développement durable, qui constitue d’ailleurs un des objectifs du millénaire de l’Organisation des nations unies.

    L’objectif de développement verte et durable doit s’appuyer sur le financement qu’offre nos banques nationales qui réponde à deux exigences qui sont, selon Laziz Faid: «le soutien et renforcement des projets innovants qui visent à atténuer des effets du changement climatique, ainsi que l’appui aux projets écoresponsables qui œuvrent à diminuer les gaz à effet de serre, la pollution des sols, des eaux souterraines et de l’espace marin».

    Organisée sous le slogan « L’inclusion financière pour soutenir les efforts de lutte contre les changements climatiques », cette journée a été en effet une occasion pour le ministre des Finances de rappeler que l’Algérie est disposée et veut travailler avec les organisations régionales, continentales et internationales en faveur d’une économie verte et durable, dans le cadre de la lutte contre les effets du changement climatique, dont certains sont le résultat de l’activité humaine.

    Pour Laziz Faid, le choix du pôle universitaire de Koléa, où sont regroupés plusieurs écoles et instituts de formations en lien avec le secteur des Finances, « est la preuve de notre grand intérêt à ancrer l’éducation et la culture financière, en général, et la culture financière verte en particulier ». et  «c’est dans ce cadre que notre pays a décidé en 2016 de participer avec les pays de l’Organisation arabe à la proposition faire par le Gouverneur du Conseil des banques centrales et les institutions financières arabes du Fond arabe pour l’inclusion financière», a-t-il encore souligné.

    Il a une fois encore rappelé «les mesures prises par les pouvoirs publics pour la réalisation de l’inclusion financière requiert la densification et l’élargissement du réseau des agences bancaires numériques et de proximité, en plus du renforcement des prestations du e-paiement, tout en assurant la disponibilité des produits de la finance islamique et classique en fonction des besoins des citoyens», surtout celui habitant dans des régions éloignées.

    Ceci sans oublier « l’actualisation de la loi monétaire et bancaire pour les besoins du lancement de la monnaie numérique nationale et pour l’ouverture d’agences bancaires à l’étranger afin d’accompagner les investisseurs nationaux pour l’exportation », a ajouté le ministre des Finances, assurant que l’objectif est de « parvenir à des prestations financières innovantes permettant au citoyen de bénéficier de produits de qualité ».

    « Les banques nationales sont déterminées à poursuivre l’exécution du processus de développement et de modernisation du secteur, dans le cadre de ce qui va avec les aspirations des autorités publiques, dans l’objectif de servir les personnes et les entreprises», a assuré pour sa part Ali Kadri, vice-président de l’ABEF, dans son intervention. «Notre premier objectif demeure celui de travail à hisser notre industrie monétique et financière à l’échelle nationale et au niveau professionnel», a-t-il ajouté.

    «il s’agit de renforcer le financement des projets, notamment ceux relevant de l’économie verte qui bénéficient d’un grand intérêt de la part des banques nationales, étant conscients des grandes occasions qui peuvent être concrétisées à travers le renforcement de l’inclusion financière, dans le cadre du développement global et durable », a-t-il insisté, rappelant les efforts fournis dans l’appui aux petites et grandes entreprises, en application des orientations et instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et du Gouvernement.

    Lyès Menacer

  • Les réserves de change ont atteint 66,14 milliards de dollars à fin mars 2023

    Les réserves de change ont atteint 66,14 milliards de dollars à fin mars 2023

    Les réserves de change (y compris les DTS*), exprimées en équivalent dollar américain, ont atteint 66,14 milliards de dollars à fin mars 2023 contre 60,99 milliards de dollars à fin décembre 2022.

    C’est ce que révèle la Banque d’Algérie dans un communiqué portant sur la réunion ordinaire du Comité des Opérations de Politique Monétaire (COPM) tenue, sous la présidence du Gouverneur Salah Eddine Taleb, le jeudi 13 avril 2023.

    La Banque d’Algérie parle d’un contexte de forte amélioration du compte courant du Trésor qui enregistre à fin mars 2023 un solde positif de 2 1 788,31 milliards de dinars dont 833,73 milliards de dinars logés dans le Fonds de Régulation des Recettes.

    L’évolution des fondamentaux de l’économie nationale montre également que le solde global estimé à fin mars 2023 de la balance des paiements enregistre un excédent de 4,5 milliards de dollars.

    Aussi, en termes de liquidité bancaire, celle-ci ne cesse d’augmenter passant de 1 996,41 milliards de dinars à fin décembre 2022 à 2 475,817 milliards de dinars à fin mars 2023. Ceci est la résultante de l’augmentation des revenus des exportations.

    «Cette liquidité contraste avec une croissance modérée des crédits à l’économie de 3,27% à fin décembre 2022 et de 0,64% à fin février 2024. A la lumière de ces évolutions et de leurs perspectives à moyen terme, le Comité des Opérations de Politique Monétaire a décidé d’une augmentation du taux de réserve obligatoire de 1% pour le ramener à 3% à compter du 15 avril 2023 et de renforcer les reprises de liquidité bilatérales introduites au mois de septembre 2020 pour les porter à 600 milliards de dinars », indique-t-on.

    Ces mesures ciblent, selon la banque d’Algérie, dans un premier temps, les sources de l’excès de liquidité, potentiellement inflationnistes, tout en maintenant le système bancaire en situation permettant le financement de l’économie nationale sans effet d’éviction et sans coûts supplémentaires.

    Augmentation du taux de réserve obligatoire à 3%

    Le comité des Opérations de Politique Monétaire se dit attentif à l’évolution conjoncturelle des indicateurs macroéconomiques et de leurs perspectives notamment celle de l’inflation et de l’inflation sous-jacente et réévaluera régulièrement l’utilisation et le calibrage des différents instruments de politique monétaire selon les données disponibles.

    Se basant sur les indicateurs macroéconomiques, le comité a décidé d’augmenter le taux de réserve obligatoire de 1% pour le ramener à 3% à compter du 15 avril 2023 et de renforcer les reprises de liquidité bilatérales introduites au mois de septembre 2020 pour les porter à 600 milliards de dinars et ce dans le but notamment, de cibler les sources de l’excès de liquidité, potentiellement inflationnistes.

    Notons que la réunion du comité des Opérations de Politique Monétaire a été consacrée à la revue des principales évolutions de la situation économique, monétaire et financière nationale et internationale ainsi que de ses perspectives à court et moyen terme, notamment celle ayant trait à l’évolution de l’inflation, du crédit, de la liquidité bancaire et de la croissance économique.

    Par ailleurs, le Comité des Opérations de Politique Monétaire a évalué la mise en œuvre de la normalisation progressive de la conduite de la politique monétaire post-covid entamée dès mars 2022 par le retour à la normale en matière d’application par les banques et les établissements financiers des normes prudentielles en terme du seuil minimum du coefficient de liquidité et de l’obligation de constitution du coussin de sécurité. Il est à noter que le Programme Spécial de Refinancement d’un montant de 2100 milliards de dinars initié par la Banque d’Algérie en Juillet 2021 a été clôturé en juin 2022.

    A ce jour, précise la Banque d’Algérie, un montant de 463,37 milliards de dinars, soit 22 % du programme a été déjà remboursé.

    Rabah Nadri

    *DTS : droits de tirage spéciaux (en anglais Special Drawing Rights, SDR), également au singulier, sont un instrument monétaire international créé par le FMI en 1969 pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres.

  • Inclusion financière : la BDL organise des portes ouvertes dans tout le pays

    Inclusion financière : la BDL organise des portes ouvertes dans tout le pays

    Dans le cadre de sa stratégie de rapprochement et de proximité avec les citoyens et de contribuer activement à l’inclusion financière et à l’essor de l’économie nationale, la banque de développement local (BDL) organise, durant le mois de Ramadan au niveau de l’ensemble du territoire national et en direction du grand public des journées de sensibilisation et d’éducation financière.

    Selon un communiqué de la BDL, l’objectif étant de vulgariser auprès des citoyens les différentes prestations bancaires en rapport avec l’inclusion financière.

    Lors de ces journées, précise la BDL, l’accent est mis sur les différentes formules de comptes et des financements conformes aux préceptes de la Charia tels que Mourabaha véhicules, Mourabaha consommation. Les produits digitaux de la BDL sont également à l’ordre du jour à travers la réalisation de simulation d’utilisation de l’application mobile de la BDL, DIGITBDL, lequel permet de réaliser les opérations bancaires à partir de Smartphone.

    Durant ces journées de sensibilisation, les chargés de l’animation des différents stands installés dans le cadre de cette opération ont constaté beaucoup d’intérêt chez les citoyens visiteurs

    « En fait cette initiative représente pour eux une possibilité de poser des questions particulièrement celles ayant trait au paiement par internet au dépôt d’argent, en banque et même l’acquisition de logements », indique-t-on dans le communiqué.

    La valeur des opérations de paiement électronique a dépassé 6,5 milliards de DA en 2022

    Dans son dernier bilan, la BDL révèle que la valeur des opérations de paiement électronique a dépassé 6,5 milliards de DA représentant plus de 879.000 opérations en 2022.

    Le nombre des TPE de la BDL que la BDL mis à la disposition des commerces gratuitement est passé de 7933 TPE en 2021 à 8116 TPE en 2022 (+ 2,31%).

    La banque a également acquis 3.200 autres qui seront livrés et installés dans les prochaines semaines, ce qui permettra d’augmenter les transactions financières.

    Comme objectif, la banque vise à doter 6000 commerçants de TPE avant la fin de l’année en cours. Par ailleurs, le nombre des opérations de paiement via les sites internet des e-commerçants agréés et domiciliés à la banque, est passé de 4087 opérations en 2021 à 11750 opérations en 2022 (+187,50%), ce qui représente en termes de valeur plus de 608 millions de DA.

    La BDL compte 39 e-commerçants inscrits en 2022, contre 27 commerçants en 2021, ce qui représente un taux de croissance de 44,44% alors que l’opération d’agrément des sites internet de 40 e-commerçants domiciliés à la banque se poursuit. La banque a distribué 34.980 cartes bancaires au profit de ses clients en 2022, soit une croissance estimée à 3,3% par rapport à 2021.

    Signature de deux accords de partenariat

    En février 2023, la Banque de Développement Local (BDL) a signé deux accords de partenariat avec l’entreprise «El-Djazaïr takaful», spécialisée dans l’assurance Takaful des biens et l’entreprise «El-Djazaïr El-Moutahida Takaful» spécialisée dans l’assurance Takaful des personnes, pour soutenir la stratégie commerciale de la banque dans le domaine de la finance islamique.

    Pour rappel, en janvier 2022, la BDL avait lancé sa finance islamique dénommée «El Badil». El «Badil» prévoit neuf produits certifiés par l’Autorité Charaïque nationale de la Fetwa pour l’industrie de la finance islamique et le Comité de contrôle charaïque de la banque.

    Il s’agit des produits Ijara Mountahia Bitamlik, Mourabaha véhicule, Mourabaha consommation, Mourabaha investissement pour les entreprises, Mourabaha exploitation pour les entreprises, compte courant islamique, compte chèque islamique,compte d’épargne islamique et dépôt en compte d’investissement « Moudarabah ». 

    Fatiha A.

  • Takaful : la CNEP-Banque signe deux conventions pour une meilleure gestion des risques

    Takaful : la CNEP-Banque signe deux conventions pour une meilleure gestion des risques

    Après avoir été la première banque à l’échelle nationale à lancer des produits de ce type, la CNEP-Banque vient d’innover dans le domaine de la finance islamique. Deux conventions de partenariat avec des compagnies d’assurance pour la couverture et la garantie des produits émis dans ce segment viennent en effet d’être signées ce mardi par la CNEP-Banque avec El Djazair El Moutahida Family Takaful et El Djazair Takaful.

    Destinées à assurer une meilleure gestion des risques inhérents aux spécificités de la finance islamique, tel que souligné dans un communiqué rendu public par la CNEP-Banque à l’issue de la cérémonie de signature desdites conventions, présidée par le Directeur général de la banque, Tamrabet Samir, le Directeur général d’El Djazair El Moutahida Family Takaful, El-Kacimi El-Hassani, ainsi que le P-DG d’El Djazair Takaful, Ziane Bouziane Mahfoudh, ces conventions d’assurance constituent une nouvelle étape qui permettra de donner un nouvel élan à la finance islamique sur le marché national, en consolidant l’encadrement et la sécurisation des produits lancés dans ce domaine.

    Selon le même communiqué émanant de la CNEP-Banque, la première convention, conclue avec la compagnie El Djazair El Moutahida Family Takaful, porte sur « la couverture contre les risques de décès et d’invalidité absolue et définitive au titre des financements islamiques accordés aux clients de la banque », tandis que la deuxième convention, conclue avec El Djazair Takaful, porte sur « la couverture de l’ensemble des risques susceptibles d’affecter le patrimoine mobilier et immobilier financé par la CNEP-Banque dans le cadre de formules de financement islamique destinées aux particuliers et aux entreprises ».

    Tel qu’elle se décline, la démarche de la CNEP-Banque, accordant un grand intérêt à l’assurance des financements de ce type, vise le développement de l’activité de la finance islamique et permet une meilleure gestion des risques liés à ses produits. Elle permet également « de conforter notre clientèle désireuse de financement conforme à la Charia », est-il encore souligné dans le même communiqué.

    Pour rappel, au début de l’année en cours, la CNEP-Banque a procédé à l’ouverture de 13 nouveaux guichets dédiés à la finance islamique au niveau de ses agences implantées dans les localités d’Aïn Oulemane (wilaya de Sétif), Nedroma, Imama et Tlemcen (wilaya de Tlemcen), El Biar, Sidi Yahia, Kouba, Cheraga, El Achour (wilaya d’Alger), Mazouna (wilaya de Relizane), Sour El Ghozlane ( wilaya de Bouira), ainsi que deux autres guichets au niveau des wilayas d’Annaba et El Tarf, a annoncé la banque dans un communiqué à la fin décembre dernier.

    Ces nouveaux guichet ont permis à la CNEP-Banque de porter à 81 le nombre total de ses guichets destinés à la finance islamique, dont les premiers sont opérationnels depuis 2020, répartis sur 44 wilayas à travers le territoire national.

    M. N.

  • Banques publiques : Tebboune veut que l’on accélère le processus de l’ouverture du capital

    Banques publiques : Tebboune veut que l’on accélère le processus de l’ouverture du capital

    Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a demandé l’accélération du processus d’ouverture du capital des banques publiques et des banques publiques à l’étranger, lit-on dans le communiqué rendu public ce dimanche soir, à l’issue de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidé en milieu de journée.

    «Monsieur le Président a insisté sur le principe de transparence pour engager la réforme financière et s’adapter aux mutations internationales dans ce secteur, pilier de l’économie nationale», a indiqué le communiqué, ajoutant aussi que le chef de l’Etat a demandé d’«accélérer le processus d’ouverture du capital des banques publiques suivant une méthode scientifique et savamment étudiée qui encourage le changement de l’ancien mode de gouvernance, reposant actuellement sur l’administration au lieu de l’efficience économique».

    Lancé depuis quelques mois, l’opération d’ouverture d’agences de certaines banques publiques à l’étranger a été également un des sujets abordés lors de cette réunion durant laquelle M. Tebboune «a insisté sur l’accélération de l’opération d’ouverture des banques algériennes à l’étranger, en veillant à parachever toutes les procédures selon une approche nouvelle et efficace ».

    Il était par ailleurs question de « rattraper le retard accusé dans le lancement de la banque de l’habitat par la réduction des délais arrêtés pour son entrée en service », selon la même source.

    Le président de la République «a ordonné l’élaboration de trois projets de décrets présidentiels régissant la répartition du foncier économique, touristique et urbain», et revenu de nouveau sur la question de la numérisation des Domaines, des Impôts et des Douanes, en accordant un délai de six mois «au maximum» pour finaliser la première phase de cette opération.

    «Monsieur le Président a enjoint aux ministres des Finances et de la Numérisation de concrétiser le projet de numérisation dans les secteurs précités, dans un délai de 6 mois au maximum, et ce à titre de première phase avant la numérisation globale», rapporte le communiqué.

    Le chef de l’Etat a ordonné «la mise en place, dans l’immédiat et en urgence, d’une banque de données algérienne par le ministère des Finances, afin de faciliter aux différents services de l’Etat, l’exercice de leurs fonctions et l’accomplissement de leurs devoirs envers leurs citoyens, de la manière la plus efficace », rapporte la même source. Pour le président de la République, la numérisation n’est pas seulement une opération de modernisation des transactions administratives, mais relève de la sécurité nationale ».

    Concernant la question du foncier et son attribution pour des projets d’investissements, le président de la République a ordonné «la création, l’organisation et la gestion des zones industrielles doivent répondre à une nouvelle vision qui attire les investissements, y compris les investissements privés », en insistant sur la transparence dans la gestion de ce dossier, à l’origine de nombreux scandales dans un passé récent.

    L’Etat, à travers l’ensemble des wilayas du pays, a engagé une vaste opération de récupération du foncier industriel et agricole inutilisé ou attribué pour des investissements qui n’ont jamais vu le jour.

    Lyès Menacer

  • BNA : Près de 13.000 crédits accordés en 2022

    BNA : Près de 13.000 crédits accordés en 2022

    Près de 13.000 crédits,  d’une valeur avoisinant  les 1 600 mds DA, ont été octroyés par la Banque nationale d’Algérie (BNA) en 2022. La majorité de ces crédits est dédiée au financement des projets d’investissement, a appris l’APS de cette banque publique.

    Concernant le nombre de dossiers de crédit traités en 2022 par la même banque, il est de 12.590 contre 11.058 en 2021, soit une hausse de 13.85%.  La valeur des crédits octroyés est de l’ordre de 1589,2 mds DA en 2022 contre 1442 mds DA l’année précédente (+10.22%).

    Pour ce qui est des secteurs ayant bénéficié de crédits, on trouve l’industrie manufacturière avec un total de 590.2 mds DA, suivie du bâtiment avec plus de 262 mds DA, la santé et les activités sociales (près de 244 mds), la production et la distribution du gaz et de l’électricité (près de 196 mds) et l’industrie minière (163.5 mds).

    D’autres secteurs ont bénéficié des crédits de la BNA. Il s’agit de la pêche et de l’aquaculture pour un coût 34,76 Mds DA, les transports (34,66 Mds DA), l’hôtellerie et la restauration (22,22 Mds DA), les services ménagers (16,33 Mds DA), le commerce, la réparation automobile et les articles ménagers (13,11 Mds DA), les activités financières (6,1 Mds DA), l’immobilier, la location et les services commerciaux (6 Mds DA), l’agriculture, la chasse et la foresterie (près de 607 millions DA).

    Par ailleurs, les transferts financiers effectués l’an dernier dans le cadre du e-commerce ont atteint 958.087 opérations contre 509.407 opérations en 2021, soit une hausse de 88% avec une valeur financière qui s’élève à 3,52 Mds DA, contre 1,4 Mds DA en 2021, soit une hausse de 149%, et ce, grâce à l’augmentation du nombre de e-commerçants clients de la BNA, passant de 20 en 2021 à 35 l’an dernier.

    Le nombre d’espaces numériques de la BNA est passé de 19 en 2021 à 31 en 2022, en attendant la création de 5 nouveaux espaces numériques en 2023. S’agissant des opérations réalisées à travers les distributeurs et les guichets automatiques, elles ont atteint 5.801.339 en 2022, d’une valeur financière de près de 90 Mds DA, en hausse de 41%.

    La banque a installé, en 2022, 9 nouveaux distributeurs automatiques de billets (DAB), portant à 169 le nombre total d’appareils, qui s’ajoutent à 100 guichets automatiques bancaires (GAB). Durant cette période, 64,3 milliards de dinars ont été retirés à partir des distributeurs de la banque, soit une hausse de 13%, rendue possible grâce à l’émission, par la banque, de 116.031 nouvelles cartes de paiement, portant à 539.658 le nombre total de cartes en circulation.

    31.057 comptes de la finance islamique enregistrés en 2022

    La BNA a commencé en août 2022, la commercialisation en ligne de produits de la finance islamique via la plateforme électronique Diar Dzair afin de faciliter aux citoyens l’accès à ce type de financement. A travers cette plateforme électronique, les e-consommateurs (clients particuliers) peuvent également solliciter le financement Dar Iamar afin de bénéficier du produit (mourabaha équipements) et qui consiste en l’acquisition de matériaux d’aménagement de produits de fabrication locale selon la formule islamique mourabaha. La durée de ce financement est de 12 à 36 mois et le montant peut atteindre 1.000.000 DA, a fait savoir la BNA.               

    Les e-consommateurs peuvent bénéficier aussi via cette plateforme du financement de la location d’une habitation à travers le produit Dar Idjara, destiné aux particuliers pour faire face au coût de location d’une habitation et la payer mensuellement sur une durée qui peut atteindre les 24 mois.

    Le portefeuille des comptes clients de la finance islamique est passé de 14.875 en 2021 à 31.057 en 2022 (+109%), ce qui a contribué à l’augmentation du montant des dépôts qui a atteint 20,7 milliards de dinars (+130%). Selon les données de la banque, le nombre de dossiers de la finance islamique traités l’année dernière a atteint 2.467 (+220%), avec 3,65 milliards de dinars de financement dans ce cadre (+163% par rapport à 2021).

    Les prêts accordés aux entreprises s’élèvent à 3,5 milliards DA en 2022

    Pour rappel, la BNA a annoncé en février 2023 que la valeur des prêts accordés aux entreprises par la Banque nationale d’Algérie (BNA) au cours de l’année écoulée 2022 a augmenté de 220%, pour atteindre 3,5 milliards de dinars. Le chiffre d’affaires de la Banque en 2022 a dépassé les 160 milliards de DZD, soit l’équivalent de 1,2 milliard de dollars.

    La valeur des dépôts au niveau de la Banque nationale d’Algérie jusqu’au 31 décembre 2022 s’élevait à plus de 21 milliards de DZD.

    Concernant les projets en cours et à venir, la banque ambitionne d’étendre son réseau local pour couvrir à 100% l’ensemble du territoire national. Sur le plan externe, la banque entend ouvrir de nouvelles agences en Afrique.

    Rabah Nadri

  • CPA : des crédits islamiques pour l’achat de voitures

    CPA : des crédits islamiques pour l’achat de voitures

    La banque du Crédit populaire d’Algérie (CPA)  propose des crédits sous la formule de la finance islamique pour l’acquisition de voitures fabriquées localement, outre les crédits  conventionnels.

    C’est- ce qu’a annoncé hier le directeur général du CPA, Ali Kadri, dans un entretien accordé au quotidien «El-Khabar». «La finance islamique jouera un rôle important dans les opérations d’acquisition de nouvelles voitures fabriquées localement, et ce, à travers la proposition de produits conformes à la Charia,  notamment, la Mourabaha », a-t-il déclaré en précisant que la formule de la finance islamique pour l’acquisition de voitures offrira une alternative aux citoyens qui refusent toute transaction en crédits  conventionnels. Selon lui, cela permettra  d’élargir les offres proposées aux clients de la banque.

    Concernant la modernisation des services bancaires le PDG de CPA a souligné les efforts fournis par  la banque CPA. «Le CPA a été la première banque en Algérie à délivrer, au début des années 1990, des cartes bancaires aux collectivités locales qui permettent les retraits aux distributeurs automatiques, ainsi que Visa», a-t-il ajouté. Preuve à l’appui, M.Kadri évoque l’attention particulière que la banque porte au développement du service «e-banking» au profit de ses clients.

    Chiffres à l’appui : M.Kadri a fait état de l’émission de plus de 677.000 Cartes Interbancaires (CIB) et de plus de 55.000 CIB aux professionnels, en plus de plus de 80.000 cartes Visa, à fin janvier 2023.

    Pour ce qui est des services de paiement à distance proposés par CPA, M. Kadri a indiqué qu’ils donnent aux clients la possibilité de payer facilement leurs factures d’eau, d’électricité et de gaz en plus de leurs factures de loyer « AADL ».

    S’agissant du paiement via les BFI, M. Kadri évoqué la distribution de 7.625 terminaux de paiement électronique locaux et de 517 appareils de paiement internationaux, tandis que la banque dispose de 158 distributeurs automatiques de billets.

    Pour rappel, le Crédit Populaire d’Algérie (CPA) a procédé, début janvier 2023, à Alger à l’inauguration de son premier espace digital en libre-service, dans le cadre de la dématérialisation et l’amélioration des services de cette banque publique.

    Cette démarche intervient, selon les responsables, dans le cadre de la stratégie de modernisation de la banque, déjà engagée à travers l’implémentation de « nombreux » projets structurants tels que le développement de l’activité monétique et le système d’information de la banque.

    Cet espace digital en libre-service 24h/24 et 7 j/7, est doté de deux bornes tactiles connectées, permettant à la clientèle la consultation des comptes, l’accès à l’application e-banking et à l’ensemble des services qu’elle propose, les opérations de virements de compte. Il permet également d’effectuer des opérations de paiement en ligne telles que le règlement des redevances locatives (AADL) ainsi que le paiement des factures et autres prestations auprès de 25 web-marchands.

    594 milliards de dinars issus de la finance islamique

    Le Secrétaire général de l’ABEF (Association des banques et établissements financiers) M. Lazhar Latrèche et directeur général de la BEA (Banque extérieure d’Algérie) a déclaré aujourd’hui qu’une augmentation significative des montants de dépôts au niveau des banques, a été enregistrée, expliquée, entre autres, par la dynamique de la finance islamique qui a contribué par quelque 594 milliards de dinars.

    M. Latrèche, qui s’exprimait sur les ondes de la radio chaine 3, a précisé que ce chiffre remonte au 31 décembre 2022, tout en soulignant que la finance islamique représente désormais un nouveau marché très important.

    En matière de modernisation des services bancaires, notamment par la digitalisation, l’invité de la Radio rappelle le nombre de DAB et GAB (guichet et distributeur automatique de billet) qui dépasse actuellement les 3 640, les 37 500 de TPE (terminal de payement électronique) déployés au niveau des commerces, avec une augmentation de 23% entre 2021 et 2022, ainsi que le nombre de cartes de payement qui, lui, a franchi la barre des 13,5 millions de cartes, entre les CIB et Dahabia d’Algérie Poste.

    Fatiha A.