Étiquette : Algerac

  • Sonatrach obtient le certificat ISO/IEC délivré par ALGERAC

    Sonatrach obtient le certificat ISO/IEC délivré par ALGERAC

    Des points en plus pour la compagnie Sonatrach dans son cheminement vers la performance de ses activités. Sa division «Laboratoires Activité Exploration et Production» vient d’obtenir le certificat d’accréditation et de conformité aux normes légales internationales de compétence et de qualité pour les activités d’essais (ISO/IEC) délivré par l’Organisme algérien d’accréditation (ALGERAC).

    Dans un communiqué rendu public, il est indiqué que cette division a obtenu le certificat pour effectuer les activités d’essais dans les laboratoires (ISO/IEC 17025:2017), après avoir rempli toutes les exigences des normes internationales de l’Organisation internationale de normalisation (ISO).

    Une gratification qui est «une reconnaissance de la compétence de la division Laboratoires de Sonatrach à mener des essais sûrs et précis».

    Le communiqué poursuit que cette accréditation «qui est une mise à jour» des versions précédentes dont a bénéficié la division Laboratoires, «contribuera à l’augmentation du niveau de performance de cette division, et ce en réponse aux exigences de la chaîne des valeurs de Sonatrach et des besoins de ses clients».

    Le 9 juin dernier, à l’occasion de la journée mondiale de l’accréditation, le directeur général d’ALGERAC, Noureddine Boudissa, a lancé un appel aux organisations patronales pour l’aider à sensibiliser davantage les entreprises économiques à s’inscrire dans cette démarche d’accréditation. Un passeport pour l’export. Les laboratoires de contrôle de la qualité sont les premiers visés.

    Selon le premier responsable d’ALGERAC, 240 laboratoires qui activent dans des disciplines différentes, sont en cours d’accréditation sur une période allant jusqu’à 2024. L’année dernière, avait-il rapporté, seuls 100 laboratoire sont accrédités sur un ensemble de 2000 qui existent à travers tout le pays.

    Samia Hanifi

  • Accréditation des entreprises : ALGERAC s’appuie sur le patronat

    Accréditation des entreprises : ALGERAC s’appuie sur le patronat

    C’est en travaillant en étroite collaboration avec les organisations patronales que l’Organisme algérien d’accréditation (ALGERAC) compte atteindre plus d’entreprises économiques pour les sensibiliser sur la nécessité d’adopter l’accréditation.

    Encore une fois cette année, à l’occasion de la journée mondiale de l’accréditation, Noureddine Boudissa, le directeur général d’Algerac, a fait état d’un retard, très urgent à rattraper, en la matière.

    La célébration de cette journée a eu lieu en présence du ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, des représentants d’autres départements ministériels, ainsi que des acteurs économiques. L’évènement a eu lieu sous le slogan : «Accréditation, croissance économique et environnementale durable».

    M. Boudissa s’est adressé, en termes clairs, aux organisations patronales, leur demandant de l’accompagner dans sa démarche d’élargir le champ de l’accréditation auprès des entreprises concernées, principalement les laboratoires de contrôle de la qualité et de la lutte contre la fraude.

    Concernant justement les laboratoires, il a précisé que ces derniers ne peuvent activer et remettre une carte d’analyse sans l’obtention de l’accréditation. un sésame dont ils ont aussi besoin pour les opérations d’exportation à venir.

    Selon le premier responsable d’Algerac, 240 laboratoires qui activent dans des disciplines différentes, sont en cours d’accréditation sur une période allant jusqu’à 2024. L’année dernière, avait-il rapporté, seuls 100 laboratoire sont accrédités sur un ensemble de 2000 qui existent à travers tout le pays.

    A souligner que lors de cette rencontre, plus de 50 attestations d’accréditation ont été remises à des organismes et des entreprises des deux secteurs public et privé. Aussi, une convention a été signée entre Algerac et le Conseil du renouveau économique algérien (CREA).

    Procédant à l’ouverture officielle de cette journée, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, a mis en avant l’importance de l’accréditation en tant «qu’outil important de développement durable, de soutien à l’économie et de promotion de la compétitivité industrielle en encourageant et en développant des infrastructures de qualité».

    Le représentant du gouvernement a assuré de la volonté de l’Etat à «promouvoir la conformité et la qualité de l’activité des différents produits et services» de façon à ce cette « certification » soit adoptée par tous les concernés, à commencer par les acteurs économiques, auxquels s’ajoutent les partenaires sociaux.

    Le ministre a rappelé que depuis 2009, Algerac a accrédité 131 laboratoires, «avec une perspective de 240 laboratoires qui répondent aux besoins des différents secteurs économiques, notamment les secteurs prioritaires que portait le programme présidentiel à l’horizon 2024».

    Karima Mokrani

  • ALGERAC : Sur les 2000 laboratoires existants, seule une centaine est accréditée

    ALGERAC : Sur les 2000 laboratoires existants, seule une centaine est accréditée

    L’organisme Algérien d’Accréditation (Algerac) qui a célébré aujourd’hui la journée Mondiale de l’accréditation a fait état d’une situation accablante concernant l’accréditation en Algérie.

    En effet, sur 2000 laboratoires de contrôle et de qualité, existantes en Algérie, seuls 100  sont accrédités. Ils interviennent notamment dans les secteurs de la santé, de l’agroalimentaire, des mines,  de la sous-traitance et  de la pièce détachée.

    Pour le secteur stratégique comme celui de l’Agriculture, il n’existe actuellement aucun laboratoire de contrôle  et de qualité accrédité, « cabale d’accompagner les agriculteurs à exporter vers les marchés internationaux », a estimé Noureddine Boudissa, directeur général d’AlGERAC lors d’une conférence de presse organisée  aujourd’hui 09 juin 2021.

    A cette occasion Noureddine Boudissa a beaucoup insisté sur l’importance de l’accréditation en tant qu’une priorité à mettre en service du développement durable, à même d’assurer une amélioration continue des performances  et de la compétitivité des entreprises, de garantir la qualité des produits mis sur le marché et par conséquent renforcer la confiance du consommateur. « La politique qualité doit s’intégrer dans la stratégie de développement économique du pays», a-t-il insisté.


    Il considère d’ailleurs, que  «l’Algérie doit en urgence s’engager dans les transformations nécessaires qui permettront véritablement de faire reposer notre développement économique sur une infrastructure qualité fondamentale solide et efficace à même de contribuer à une croissance économique forte et durable». A ce titre, le Dg d’ALGERAC  a plaidé  pour  la création de fonds spéciaux destinés au financement de programme de mise à niveau au profit des acteurs de l’infrastructure qualité, afin « de répondre au mieux aux attentes des opérateurs économiques pour les opérateurs d’exportation des produits hors hydrocarbures et à la valorisation et la protection du produit national dans le pays mais aussi à l’international », ajoutant qu’ «il est plus qu’indispensable d’aider les opérateurs économiques à être compétitifs  à l’international ».

    Pour le directeur d’ALGERAC, il est important  d’instaurer un réseau connecté multidisciplinaire d’organismes d’évaluation de la conformité accrédités, qui aura pour mission  d’assurer une politique d’évaluation de la conformité rigoureuse sur lequel pourrait s’appuyer les différents intervenants. 

    L’Algérie qui devrait remédier à ses insuffisances en matière de règlements techniques doit,  selon Boudissa,  mettre à niveau la réglementation technique régissant le fonctionnement des organismes d’évaluation de la conformité, et «  mettre beaucoup d’efforts pour sa généralisation en vue d’assurer un meilleur contrôle et une sécurité effective des biens , services et processus conformément aux exigences  des standards internationaux et de garantir une protection élevée, particulièrement dans les secteurs stratégique », ajoute-t-il.

    Entre outre, une réflexion pourrait être lancée pour repenser l’organisation et le fonctionnement des acteurs principaux composant l’infrastructure qualité en vue d’asseoir une coordination permanente des capacités des institutions de contrôle qualité nationale d’une part et de pouvoir conduire efficacement la politique générale de l’Etat en matière de qualité de conformité et de sécurité des produits, préconise le directeur d’ALGERAC.

    Nacima Benarab               

  • Accréditation: Le rappel à l’ordre du ministère de l’industrie

    Accréditation: Le rappel à l’ordre du ministère de l’industrie

    Dans un communiqué publié sur le site web du Ministère de l’industrie, il est fait état d’entreprises en Algérie ayant recours, pour leur accréditation, à des organismes de certification non accrédités « ni par l’Organisme Algérien d’accréditation ALGERAC, ni par l’Organisme d’accréditation de leurs pays d’origine.» Précise cette même source.

    Le ministère invite à travers ce « rappel à l’ordre » toutes les entreprises qui entament le processus de certifications de se conformer à toutes les dispositions du cahier de charges, faute de quoi «  Elles se verront dispensés  de l’éligibilité au programme d’aide à l’accréditation.» Tient à rappeler le communiqué du département de Ferhat Ait Ali Braham.

    Pour rappel, l’accréditation, lancée en mars 2000 en Algérie, est encadrée par des textes réglementaires précisant que la certification selon la norme ISO 9001, l’ISO 14001 et autres référentiels, doit se faire auprès d’organismes certificateurs dont la liste est préalablement établie par le Ministère chargé de la normalisation. 

    Il s’agit de la loi n°99-11 du 23 décembre 1999, portant loi de finances de l’année 2000, dans ses articles 89 et 92; le décret exécutif n°02-192 du 16 juillet 2000, fixant les modalités de gestion du « Fonds de promotion de la compétitivité industrielle » et de l’arrêté interministériel du 12 décembre 2001 fixant la nomenclature des recettes et dépenses du même fonds.

    Selon cette législation, les entreprises  ayant bénéficié de l’aide financière lui permettant d’accomplir les démarches exigées par l’accréditation, doivent choisir un organisme certificateur lui-même accrédité par l’organisme Algérien d’accréditation ALGERAC.

    Le communiqué du ministère de l’industrie explique clairement, qu’il est demandé aux entreprises en quête de certification et d’accréditation « de ne faire appel qu’aux organismes de certification accrédités par ALGERAC ».

    Accréditation et certification

    Pour rappel, l’Algérie a depuis le début de l’année 2000, entrepris un programme national  de normalisation, lancé par le ministère chargé de la normalisation et approuvé par le gouvernement.

    A travers ce programme, les pouvoirs publics visaient l’amélioration de la compétitivité des entreprises nationales et assurer le soutien financier de ces entreprises dans leur démarches pour se faire certifier, grâce au Fonds de promotion de compétitivité industrielle. De nombreuses entreprises ont bénéficié de cette aide, notamment celles qui visaient l’exportation.

    Des conventions étaient alors signées entre les entreprises et le ministère de l’industrie, de la PME et de la promotion des investissements. Dans ces conventions est précisée le bureau d’études chargé de la certification  ainsi que de l’organisme certificateur. Ainsi que les aides financières dont bénéficient les entreprises.

    Au fil des années, des changements sont apportées aux conditions d’éligibilité des entreprises aux aides financières qui leur sont accordées dans le cadre de la normalisation.

    En 2019, suite aux délibérations du Comité national de la compétitivité industrielle, des notifications sont envoyées aux organismes d’évaluation et aux entreprises devant bénéficier des aides de l’état que les dossiers reconnus valables, sont ceux des organismes d’évaluation de la conformité accrédités par l’Organisme d’accréditation ALGERAC.

    Pour rappel, l’organisme algérien d’accréditation ALGERAC est chargé de mettre en place un dispositif national d’accréditation en conformité avec les normes nationales et internationales. 

    Il doit également évaluer les compétences des organismes d’évaluation et de conformité, parachever l’infrastructure nationale de qualité et délivrer les décisions d’accréditation.

    ALGERAC est créé par le décret exécutif n°05-466 du 6 décembre 2005. C’est un établissement  public industriel à caractère  industriel et commercial. il est sous la tutelle du Ministère  du Ministère chargé de la normalisation, en l’occurrence le Ministère de l’industrie et des mines.

    Il est à rappeler que l’organisme Algérien d’accréditation a bénéficié de la reconnaissance internationale en 2019, par une équipe de l’EA, en octobre de la même année.

    L’équipe de l’EA reconnait les compétences d’ALGERAC en matière d’étalonnage, d’essais l’inspection. Grâce à cette reconnaissance internationale, l’expertise d’ALGERAC est demandée dans plusieurs pays africains.

    K.M.B

  • ALGERAC: « L’accréditation est un passeport pour l’export »

    ALGERAC: « L’accréditation est un passeport pour l’export »

    «L’accréditation est un passeport pour l’export » c’est qui ressort en substance de la conférence de Noureddine Boudissa, Directeur Général d’ ALGERAC , lors de la conférence de presse animée  ce 11 décembre 2018 à l’occasion du mois de la qualité. Un événement instauré à l’initiative du Ministère de l’Industrie et de la promotion des investissements, et où des journées d’information et de sensibilisation seront organisées.

    «Beaucoup  de laboratoires demandent à  être accrédités dans divers domaines comme celui de   la santé où des groupes de travail œuvrent pour remettre à niveau l’ensemble des laboratoires, qu’ils soient privés ou publics, il existe aussi une demande assez importante dans le secteur de la pièce de rechange. Dans le domaine du contrôle des produits cosmétique, le laboratoire Venus sera accrédité dans quelques jours » a indiqué à la presse le patron d’ALGERAC.

    L’accréditation devient une démarche obligatoire d’autant que les pouvoirs publics affichent leur volonté de faire de l’année 2019, l’année de l’export. « Aussi, il faut sensibiliser les producteurs  à avoir des documents pour chaque produit fabriqué, délivrés par des laboratoires accrédités. Ce sont ces documents qui sont le vrai passeport pour le commerce international » explique le Directeur Général d’ALGERAC  avant de préciser  que «même au niveau national les donneurs d’ordre exigent dans leurs appels d’offres l’accréditation d’ALGERAC. Nous devons nous organiser pour rattraper le retard que nous accusons en matière de règlements techniques. Ce qui est positif c’est qu’il existe une prise de conscience et une demande. Actuellement nous avons 120 laboratoires accrédités et en 2019, le nombre sera encore plus grand».

    Le Directeur Général d’ ALGERAC  affirme que son organisme a signé des protocoles d’accréditation avec des donneurs d’ordre  à savoir, SONATRACH, le ministère de la défense, SONELGAZ et le ministère de l’agriculture. Il insiste aussi sur le fait que l’accréditation qui est très technique est plutôt coûteuse. « Pour permettre aux entreprises d’aller vers l’accréditation, il faut alimenter le fonds d’aide à  pour pouvoir répondre à la grande demande».

    Pour rappel, ALGERAC,  organisme national d’accréditation a été créé en 2006. Il  a commencé les opérations d’accréditation depuis l’année 2009. Il a bénéficié de la reconnaissance international  par l’european  Accreditation , depuis le 15 octobre 2017 à travers  des accords bilatéraux tout en étant membre associé , ainsi qu’une reconnaissance internationale de l’international  laboratory  Accreditation Cooperation.

    ALGERAC  a également signé des protocoles de reconnaissance mutuelle avec l’Egypte, les pays du Golfe et bientôt avec la Corée du sud. Dès l’année 2019, l’organisme d’accréditation  se lance dans l’accréditation à l’international.

    K.M.B

     

  • Algerac : les laboratoires d’Essais et d’Etalonnage rappelés à l’ordre

    Algerac : les laboratoires d’Essais et d’Etalonnage rappelés à l’ordre

    Les laboratoires d’Essais et d’Etalonnage accrédités  selon l’ISO/CEI 17025 :2005, disposent d’une période de transition de 3 ans (jusqu’au 1er Décembre 2020) pour conformer leurs processus aux exigences de la nouvelle norme ISO/CEI 17025 :2017, rappelle Algerac dans un communiqué  publié sur son site web.

    L’accréditation constitue l’outil principal apte à démontrer la compétence des organismes d’évaluation de la conformité que sont laboratoires d’essais et d’étalonnage, organismes d’inspection et organismes de certification des systèmes, personnes et produits . Elle est devenue une condition nécessaire pour accéder au commerce international et contribue grandement à l’élimination des entraves techniques dans les échanges commerciaux internationaux, rappelle cette même source.

    La  norme  ISO/CEI  17025 contient  les  exigences  générales concernant la compétence  des laboratoires d’étalonnages et d’essais.  Elle leur sert de base à l’accréditation au niveau international.

    Cette norme a récemment fait l’objet d’une révision.  Ainsi,  l’ISO  a  publié  le  30  novembre  2017  une nouvelle édition de la norme  qui englobe les activités et les nouvelles méthodes de travail des laboratoires d’aujourd’hui. Elle tient compte des évolutions techniques du vocabulaire et des  progrès  informatiques,  et  reflète  également  la  dernière  version  de  l’ISO  9001  sur  le management de la qualité. Dans sa nouvelle politique de transition vers la norme ISO/CEI 17025 :2017.

    S.C

    Passage à la nouvelle norme ISO/CEI 17025 :2017

    • A partir du 1 er septembre 2018 : Algerac sera prêt à réaliser des évaluations selon le référentiel ISO/CEI 17025 :2017.
    • A partir  du  1 er mars  2019 :  toutes les évaluations initiales se feront selon les exigences de la dernière version ISO/CEI  17025 :2017.  A partir de cette date, Algerac  n’accepte aucune nouvelle demande d’accréditation selon la norme ISO/CEI 17025 :2005.
    • Les laboratoires actuellement accrédités selon la norme ISO/CEI 17025 :2005, doivent se mettre en conformité par rapport aux exigences de la  dernière édition de la norme,  afin que leur accréditation d’ Algerac soit  maintenue, au  plus  tard  le  30 novembre 2020.
    • A partir du 1erdécembre 2020 :  les accréditations selon la norme ISO/CEI 17025 :2005, ne seront plus valides. Les laboratoires qui ne sont passés à la version 2017, à cette date, ne  pourront plus faire référence à l’accréditation pour leurs résultats d’essai ou d’étalonnage, et leurs certificats (et annexes techniques) seront retirés.

    Processus de transition pour les laboratoires accrédités :

    En préparation de l’évaluation du passage à la nouvelle norme, les laboratoires accrédités doivent réalisés au minimum, les étapes suivantes:

    • Préparation d’un plan d’action documenté pour la mise en œuvre de la nouvelle version, sur la base d’une comparaison entre l’ancienne et la nouvelle norme.
    • Formation du personnel sur les exigences de la nouvelle norme et aux ajustements et modifications qui en résultent dans le système de management du laboratoire.
    • Transmettre à Algerac, une demande et un plan de transition au plus tard le 1er décembre  2019. Le plan doit présenter avec suffisamment de détail, les actions prises par le laboratoire pour répondre aux nouvelles exigences de la norme ainsi que les dates de mise en œuvre.
    • La dernière  date  possible pour l’évaluation de transition vers la norme ISO/CEI 17025 :2017 est fixée au 30 juin 2020, afin de pouvoir finaliser tout  le processus de transition à temps, les actions correctives mises en place par les laboratoires pour répondre aux écarts en rapport  avec les exigences nouvelles ou modifiées de la nouvelle version, devront être réalisées au  plus  tard  le  30  septembre 2020.Les évaluations   seront autant que possible effectuées en combinaison avec les évaluations de surveillance et de renouvellement programmées dans les plans de surveillance et renouvellement des laboratoires accrédités. En cas de nécessité cette évaluation pourrait être réalisée sous forme d’évaluation supplémentaire.

    Autres dispositions

    • La durée minimale de l’évaluation de transition sur site, est d’une  journée (08 heures) ,en  fonction de la taille et de la complexité du  laboratoire,cette durée peut être augmentée  par  Algerac,  si l’évaluation est combinée avec une évaluation planifiée (surveillance  ou  renouvellement), la  durée d’évaluation requise pour latransition sera ajoutée à la durée de l’évaluation planifiée.
    • Aucune demande d’extension d’accréditation selon l’ISO/CEI 17025 :2005 ne sera acceptée après le 31 mai 2019.

    A propos de l’ALGERAC

    L’Organisme Algérien d’Accréditation (ALGERAC), créé en décembre 2005, complète, avec les autres structures déjà existantes, comme l’IANOR (Institut Algérien de Normalisation) ou l’ONML (Office National de la Métrologie Légale), le système national de la qualité essentiel à toute stratégie industrielle.  La création d’ALGERAC s’inscrit dans le cadre du renforcement de la démarche qualité initiée par les pouvoirs publics visant à l’amélioration de la compétitivité des entreprises algériennes et à faciliter leur insertion dans l’économie mondiale. Les objectifs visés à travers sa création consistent en la protection de l’économie nationale et particulièrement les secteurs stratégiques, en la garantie de la qualité des services et produits algériens, en la promotion de la production nationale sur les marchés mondiaux et enfin en la facilitation de l’adhésion de l’Algérie aux standards et organismes internationaux.