Catégorie : NTIC

  • Applications d’entreprises : Ooredoo signe un partenariat avec l’allemand SAP

    Applications d’entreprises : Ooredoo signe un partenariat avec l’allemand SAP

    L’opérateur de téléphone mobile Ooredoo a annoncé son partenariat avec le plus grand fournisseur de logiciels d’applications d’entreprises au monde, en l’occurrence SAP. Un logiciel allemand qui offre des solutions qui permettent un traitement des données et des flux d’informations efficaces au sein des entreprises.

    De ce partenariat, le Groupe Ooredoo aspire à une transformation digitale complète de l’entreprise et l’unification de toutes les solutions intégrées de gestion des ressources des entreprises (ERP) à travers la majorité des marchés du Groupe. Les applications intégrées de l’éditeur connectent toutes les composantes d’une entreprise en une suite intelligente sur une plateforme entièrement digitale.

    SAP est aujourd’hui est un des leaders mondiaux des ERP. L’entreprise compte plus de 105 000 employés. En 2015, elle a lancé une nouvelle version appelée S/4 HANA qui bénéficie des dernières évolutions technologiques et digitales.

    Début janvier dernier, c’est le Groupe pétrolier Sonatrach qui a annoncé le lancement de système d’information intégré SAP. Dans un communiqué rendu public, il a été fait état du lancement, avec succès, de la première opération de son projet de système d’information intégré «Go Live» au niveau du complexe de liquéfaction de gaz GL3Z dans la zone industrielle d’Arzew, dans la wilaya d’Oran. Du même communiqué, on apprend que cette étape sera suivie d’autres lancements au niveau des unités de production appartenant aux activités d’exploration et de production, ainsi qu’au transport par pipeline.

    Le système d’information intégré permet d’améliorer la planification des ressources de l’entreprise et le niveau de performance de sa gestion, notamment en rationalisant les coûts opérationnels et en augmentant la rentabilité des activités en plus de réaliser un contrôle automatisé au sein de l’entreprise, soutient Sonatrach.

    Le lancement de l’exploitation de ce système s’inscrit dans le cadre de la stratégie de Sonatrach de modernisation de la gestion du groupe, assure la compagnie.

    Karima Mokrani

  • La couverture réseau d’ATM Mobilis reconnue par Ookla au MWC 2022

    La couverture réseau d’ATM Mobilis reconnue par Ookla au MWC 2022

    ATM Mobilis a annoncé par un communiqué de presse sa distinction au Mobile World Congress (MWC 2022), qui se tient du 28 février au 02 mars à Barcelone en Espagne.  Cette réunion annuelle regroupe les acteurs mondiaux du monde des télécommunications.  

    « ATM Mobilis vient de remporter le Speedtest Award pour la meilleure couverture réseau en Algérie en 2021 (Best Mobile Coverage), attribué par la renommée société Ookla. » précise le communiqué de l’opérateur public de téléphonie mobile.

    Cette même source a indiqué que ce trophée a été remis au Président Directeur Général d’ATM Mobilis, Chaouki Boukhazani. Avec cette distinction l’opérateur national de téléphonie mobile renforce sa position de leader sur le marché national grâce aux efforts consentis pour la couverture réseau du vaste territoire national algérien.

    Pour rappel, en 2020, ATM Mobilis a investi un montant de 40 milliards de dinars dans l’installation et le développement de son réseau dans ces localités.

    Un récent rapport de l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) octroie la position de leader à l’opérateur public, qui devance de loin ses deux concurrents Djezzy et Ooredoo, selon cette même source.

    Le rapport a précisé qu’au 30 septembre 2021, les abonnés aux réseaux GSM (3G et 4G) de Mobilis étaient de 19,97 millions, alors que ceux de Djezzy et d’Ooredoo étaient respectivement de 14,34 millions et 12,47 millions. Au 30 septembre 2020, les abonnés d’ATS Mobilis étaient au nombre de 19,22 millions. 

    R.N

  • Tadjeddine Bachir : «la surtaxation des équipements informatiques persiste pour  les importateurs»

    Tadjeddine Bachir : «la surtaxation des équipements informatiques persiste pour les importateurs»

    Contacté par DzEntreprise, le président du Groupement algérien des acteurs du numérique (GAAN), Tadjeddine Bachir, affirme sa satisfaction de la décision du Conseil des ministres, portant sur la suppression des taxes sur le commerce électronique. «Nous saluons la décision du président de la République de supprimer les taxes et droits de douanes introduits par la loi de finance 2022, spécialement celles qui ont été appliquées par les douanes algériennes sur les achats opérés par des citoyens sur des sites en ligne et reçus par colis».

    Toutefois, en ce qui concerne les taxes sur les équipements informatiques, la bataille est loin d’être gagnée, si l’on tient compte des propos de notre interlocuteur. En effet, M. Tadjeddine Bachir évoque le cas des opérateurs économiques importateurs de ces équipements et insiste sur le fait que ces derniers demeurent pénalisés par ce qu’il appelle «surtaxation». Un fait sur lequel ont été interpellées les hautes autorités du pays en 2020.

    «La surtaxation des équipements informatiques persiste pour les opérateurs économiques importateurs. En août 2020, nous avions envoyé au Premier ministre de l’époque un plaidoyer dans lequel on évoquait cette surtaxassions qui impactait les importateurs».

    Un opérateur économique, pour importer un ordinateur portable, explique le premier représentant du GAAN, doit payer 30% de droits de douane et 30% de taxes intérieures de consommation, en plus de deux autres taxes de 2% chacune. Aussi, le calvaire de l’importateur «ne se résume pas à payer des taxes surélevées» mais doit aussi demander une homologation au niveau de l’ARPCE, «ce qui peut prendre plus d’un mois. Tout cela ne peut pas servir le processus de numérisation prôné par les plus hautes autorités de l’Etat».

    Dès lors, le président du GAAN considère impératif de revoir à la baisse les taux de taxation actuels en droits et taxes appliqués aux ordinateurs personnels et d’autres équipements informatiques essentiels (switch et routeurs, serveurs…etc.). Ces derniers, souligne M. Tadjeddine, se trouvent actuellement à un niveau excessif, rendant ainsi l’accès à un outil aussi essentiel que l’ordinateur impossible pour la plus grande frange de la population.

    Karima Mokrani

  • Surtaxation des produits TIC : le GAAN interpelle le gouvernement

    Surtaxation des produits TIC : le GAAN interpelle le gouvernement

    « Ces taxes élevées de ces biens affectaient directement les prix de ces produits, ce qui n’est pas conforme aux objectifs du gouvernement et au vœu du Président qui n’a cessé d’appeler à accélérer le processus de numérisation et de soutenir les startups ». C’est en ces termes que le Groupement algérien des acteurs du numérique (GAAN) a réagi à la surtaxation des produits électroniques et informatiques.

    Dans un communiqué rendu public, le GAAN a indiqué avoir « installé un groupe de travail composé d’experts et d’opérateurs économiques dans le but de formuler des propositions et des solutions pratiques à soumettre au gouvernement dans le cadre de l’élaboration de la loi de Finances complémentaire 2022 », affirmant que « le nouveau barème d’imposition appliqué à l’importation des produits numériques » constituent « une sanction infligée à la majorité des Algériens, faute de sanctionner le comportement d’une minorité ».

    Pour le GAAN la décision de l’administration douanière d’imposer de nouvelles taxes, dont les taux dépassent sur certains produits les 100%, notamment sur les laptops et les smartphones importés par colis, s’inscrit en porte-à-faux avec l’ambition d’encourager le commerce électronique et la numérisation, mais surtout les visioconférences et le télétravail en cette période de grande pandémie du Covid-19.

    Interpellant le gouvernement, le GAAN estime que « les citoyens non-commerçants parmi les étudiants et les chercheurs seront grandement affectés par ces nouvelles taxes qui vont considérablement augmenter les coûts des consommables dont ils ont besoins dans leurs activités scientifiques et techniques, d’autant plus que certains de ces appareils et accessoires aux spécificités particulières ne sont pas disponibles sur le marché national ».

    Aux yeux du groupement, ces taxes se veulent un coup de massue au monde des technologies de l’information et de la communication (TIC) à l’ère du Tout-Numérique et viennent s’ajouter au régime fiscal drastique appliqué à l’importation sur les kits CKD-SKD destinés usines de l’électronique et de l’électroménager.

    Misant leur espoir sur la loi de Finances complémentaire 2022, ce groupement a rappelé avoir adressé, au mois d’août 2021, une lettre au Premier ministre Aïmene Benabderrahmane, pour « revoir les taxes douanières appliquées à l’importation aux consommables informatiques et du numérique ». Ce qui, pour le moment, n’est pas le cas.

    Nadine. S

  • Téléphonie mobile : Mobilis maintient sa place de leader

    Téléphonie mobile : Mobilis maintient sa place de leader

    Un nouveau rapport de l’Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques (ARPCE) vient confirmer la position de leader de l’opérateur public, Mobilis. Ce dernier devançant de loin ses deux concurrents Djezzy et Ooredoo.

    Ainsi, au 30 septembre 2021, les abonnés aux réseaux GSM (3G et 4G) de Mobilis étaient de 19,97 millions, alors que ceux de Djezzy et d’Ooredoo étaient respectivement de 14,34 millions et 12,47 millions. Au 30 septembre 2020, les abonnés d’ATS Mobilis étaient au nombre de 19,22 millions. 

    Selon le même rapport de l’ARPCE, le parc des abonnés actifs de la téléphonie mobile en Algérie a augmenté de 2,09%, en passant de  45,83 millions abonnés au 2ème trimestre de l’année 2021 à 46,79 millions abonnés au troisième trimestre de la même année.

    Pour ce qui est de la téléphonie fixe, les mêmes chiffres indiquent que sur un ensemble de 4,98 millions d’abonnés, durant cette même période de l’année 2021, 4,53 millions étaient des abonnés résidentiels (4,46 millions au 1er trimestre) et 448 602 des abonnés professionnels (449.707 au 2ème trimestre).

    Autrement dit, une participation très faible des professionnels, ces derniers ne représentant que 9,16% sur le total des abonnés de la téléphonie fixe, alors que ceux résidentiels représentaient 91,01%.

    Quant à l’abonnement internet, le nombre d’abonnés au réseau en fibre optique jusqu’au domicile (FTTH) a atteint 136 660 clients au 3ème trimestre 2021 contre 113 238 au 2ème trimestre de la même année. A ce propos, il est à rappeler que l’opérateur public déploie d’énormes efforts pour assurer une couverture large des zones d’ombre.

    Malgré les coûts élevés et les contraintes techniques et autres, plusieurs antennes 3G haut débit ont été installées et d’autres sont en cours d’installation, dans des zones difficilement accessibles, dépourvues de commodités, appelées communément zones d’ombre.

    En 2020, Mobilis a investi un montant de 40 milliards de dinars dans l’installation et le développement de son réseau dans ces localités.

    Dans une intervention à la radio, un ancien ministre, en l’occurrence Brahim Boumzar, s’est plaint du fait que seul Mobilis s’engageait dans ce genre d’opérations.  «Nous constatons que c’est uniquement Mobilis qui active au niveau des zones d’ombre» a-t-il affirmé, considérant que «ce n’est pas normal que tout le travail tombe sur le seul opérateur public, alors qu’il y a deux autres privés».

    Et l’ancien ministre de rappeler que le cahier des charges est précis à ce sujet. Qu’il prévoit les mêmes missions pour les trois opérateurs. «L’ARPCE doit prendre ses responsabilité» a-t-il lancé.

    Samia Hanifi

  • L’efficacité énergétique est la clé de la durabilité des Data Centers en Afrique

    L’efficacité énergétique est la clé de la durabilité des Data Centers en Afrique

    L’accès à des sources d’électricité abordables, fiables et respectueuses de l’environnement est un problème urgent pour le nombre croissant d’opérateurs de Data Centers à travers l’Afrique.

    Ces installations doivent assurer une haute disponibilité d’électricité pour atténuer les temps d’arrêt, mais de nombreux pays africains sont confrontés à de fréquentes pannes d’électricité. Les Data Centers existants se sont appuyés sur des générateurs à diesel pour maintenir leurs opérations pendant les pannes de courant, une pratique qui pourrait exacerber les émissions de carbone à l’avenir. En effet, le déploiement d’une capacité de data center à grande échelle devrait augmenter les émissions grâce à une utilisation accrue des générateurs à diesel.


    Dans un rapport d’orientation récemment publié par Oxford Business Group intitulé « Data Centers en Afrique », le PDG de MainOne, Funke Opeke, a estimé que les réseaux de distribution d’électricité sont confrontés à des pénuries fréquentes, mais qu’il existe un approvisionnement adéquat en électricité dans les réseaux nationaux de la région. «En plaçant stratégiquement nos Data Centers à proximité des sources d’énergie et en nous associant à des sociétés de distribution d’électricité locales pour établir des connexions directes au réseau national, nous assurons une disponibilité élevée de l’énergie et réduisons l’utilisation de la production d’électricité au diesel dans nos installations », déclare-t-elle.

    MainOne a augmenté la capacité de ses Data Centers, et ils ont atteint 5 MW sur les marchés clés du Nigeria, du Ghana et de la Côte d’Ivoire, avec des services fournis à un total de 10 pays à travers l’Afrique de l’Ouest. Sa filiale de data center, MDXi, gère des installations écoénergétiques en optimisant le flux d’air, en utilisant des capteurs et l’intelligence artificielle pour gérer les opérations et en installant du matériel écoénergétique. Ensemble, ces actions contribuent grandement à réduire l’empreinte carbone et à améliorer l’efficacité énergétique pour la durabilité de ses data centers.

    Après le lancement de son Data Center de niveau III à Appolonia City à Accra, au Ghana, plus tôt dans l’année, MDXi a commencé l’expansion de son Data Center de Lekki à Lagos, au Nigeria, dans le but d’augmenter son installation de 600 racks à plus de 1200 racks d’ici 2023. D’autres investissements ont également été consacrés à l’expansion de son Data Center en Côte d’Ivoire.


    L’Afrique connaît l’une des croissances d’accès à Internet les plus rapides au monde, en grande partie en raison de sa population jeune. Ainsi, la consommation de données continuera de croître dans l’avenir. Cela alimentera de nouveaux investissements dans les câbles sous-marins et les Data Centers pour rapprocher les données aux consommateurs. Cependant, sans stratégies énergétiques durables, l’industrie va continuer à contribuer au réchauffement climatique dans une région qui est la moins préparé au niveau de la gestion des conséquences.

    APO-Group

  • Digitech 2021: Forte présence des développeurs de solutions digitales

    Digitech 2021: Forte présence des développeurs de solutions digitales

    Le Digitech 2021, Salon du digital, technologie, IoT et monétique ouvert samedi 16 octobre au CIC Abdelatif Rahal (Alger) a fermé ses portes, lundi 18 octobre, après trois jours d’intenses échanges entre les différents acteurs du numérique.

    Le Digitech 2021 a vu la participation de dizaines d’entreprises nationales et étrangères, spécialisées dans le développement des solutions digitales au profit d’autres entreprises qui activent dans différentes domaines, entre autres la logistiques, les biens d’équipement, la téléphone fixe et mobile, la santé et autres.

    L’évènement est une initiative de l’agence de communication «Digitech» qui est aussi l’organisatrice de la première édition ayant lien en 2018. Pour cause de la crise sanitaire liée à la Covid-19, la deuxième édition n’a pu avoir lieu en 2019 ni en 2020. Elle a été reportée à cette année 2021. C’est une manifestation de grande importance, de l’avis des exposants et des visiteurs, évoquant les décisions prises à un haut niveau pour la digitalisation des entreprises et des institutions algériennes. Trois ministères ont d’ailleurs parrainé le Salon : ceux du Commerce, de la Poste et des Télécommunications, ainsi que le département de la Numérisation et des Statistiques, représentés par leurs secrétaires généraux.

    «La présence en force, au Digitech 2021 , des développeurs de solutions digitales, est une très bonne chose. D’un côté parce que cela témoigne de l’intérêt accordé par les pouvoirs publics aux projets lancés ou à lancer dans ce domaine et de l’adhésion des entreprises du digital à cette démarche. D’un autre, nous constatons qu’il y a de la concurrence et cela est un fait à prendre du bon côté parce qu’il incite au travail dans les règles et surtout à l’innovation» affirme un des participants, conforté par ses dires par d’autres.

    En effet, avons-nous observé durant le Digitech 2021 un nombre important des participants sont venus présenter de nouvelles solutions. A l’exemple de la SPA Anderson qui est une entreprise à 100% algérienne, créée en 1999 et spécialisée dans le transport et la logistique, les trois jours du Salon ont été une occasion de plus de vulgariser sa plateforme numérique appelée «e-express». Une application mobile, désormais disponible sur Google Play, réalisée en partenariat avec la société Netfer smart solutions. La nouvelle application a pour principal objectif de mettre en relation des transporteurs de marchandises avec des clients particuliers ou professionnels.

    Le Groupe Serport était aussi au rendez-vous du Digitech 2021 , à travers sa filiale APCS qui est aussi le nom de son application numérique créée spécialement pour un échange de données entre les différents acteurs des métiers de la chaîne logistique portuaire en Algérie. Sa représentante, Mme Takjout Insaf, affirme sa satisfaction de la bonne organisation du Salon et des échanges fructueux entre les différents partenaires. La représentante de la filiale du Groupe Serport note aussi un certain intérêt accordé à son stand par des étudiants et d’autres personnes curieuses de découvrir ce qui cache derrière les deux noms Serport et APCS.

    Parallèlement à la présence des développeurs des solutions digitales, l’on note la présence d’entreprises qui activent dans les domaines de la monétique et du paiement mobiles, des banques, des compagnies d’assurances et autres organismes publics et privés intéressés par ce nouveau mode de paiement.

    Comparativement à la première édition, observe un exposant, les visiteurs du Digitech 2021 sont nettement moins nombreux qu’en 2018. La crise sanitaire en serait la cause mais pas seulement : «Je pense que c’est aussi liée à la fête du Mawlid En Nabawi et probablement à l’éloignement. Il faut dire que le CIC n’est pas accessible à tous».

    Karima Mokrani

  • Mobilis participe au salon Digitech qui se tient au CIC

    Mobilis participe au salon Digitech qui se tient au CIC

    Mobilis participe à la 2ème édition du Salon du DIGITAL TECHNOLOGIE & IOT « DIGITECH » qui se tient du 16 au 18 octobre 2021 au Centre International de Conférences Abdelatif-Rahal (CIC) Alger.

    Organisé sous le parrainage des ministères du Commerce, de la Poste, des Télécommunication et des Technologies, le Digitech réunira le plus grand écosystème IT, des plus grands constructeurs aux intégrateurs de solutions (banques, assurances et Mobile paiement), avec plus de 90 exposants dont quatre pays étrangers que sont, les États-Unis, le Liban, le Sénégal et la France.

    Le Digitech, une manifestation technologique d’envergure, se veut un carrefour de rencontres et une opportunité pour les sociétés participantes d’échanger entre elles leurs expériences et faire découvrir aux visiteurs férus du monde digital et numérique comment mener le changement et la construction de l’avenir de leur entreprise, à travers notamment, le numérique responsable, la cybersécurité, l’intelligence artificielle, l’IOT, la réalité virtuelle et augmentée, le Big Data, les outils collaboratifs, le télétravail, le cloud computing, le business intelligence, les solutions dématérialisées, etc.

    Mobilis leader dans l’innovation et les nouvelles technologies, marquera sa présence au salon à travers un stand regroupant les filiales du Groupe Télécom Algérie, au niveau duquel, ses conseillers technico-commerciaux, exposeront les dernières solutions innovantes de l’entreprise.

    À travers sa participation à cet important espace technologique, Mobilis confirme son implication dans le processus de transformation numérique du pays et de son écosystème digital.

    Communiqué de presse

  • Boukhazani Chawki nouveau PDG de Mobilis

    Boukhazani Chawki nouveau PDG de Mobilis

    Depuis hier, 3 octobre, l’opérateur public de téléphonie mobile à un nouveau Président Directeur Général. Il s’agit de Boukhazani Chawki nommé par le ministre de le poste et les télécommunications, Karim Bibi Triki à la tête de Mobilis en remplacement de Adel Doukali.   

    Boukhazani Chawki occupait avant cette nomination le poste de conseiller principal auprès du Président Directeur Général ATM Mobilis, une entreprise qu’il connait bien puisqu’il y a occupé aussi, avant d’être nommé conseiller, le poste de Directeur de la Division Principale de développement et d’ingénierie et auparavant celui de Directeur des systèmes d’information ATM Mobilis.

    Agé de 39 ans le nouveau PDG d’ ATM Mobilis est diplômé de l’Ecole Militaire Polytechnique (EMP ex ENITA Bordj El Bahri-Alger) où il a obtenu son ingéniorat d’Etat en génie électrique Option traitement de Signal, il en sortira Major de promotion.  

    Boukhazani Chawki, suivra dans cette même école une Post Graduation Spécialisée (PGS) en Télécommunication et Sécurité des Réseaux Informatiques qu’il termine major de promotion. Il entamera par la suite une série de formations pour obtenir des certificats de renommées internationales, notamment en Project Management Professional PMP délivré par l’américain Project Management Institute ou encore  le Professional Scrum Master PSM délivré par Scrum.org (Etats Unis d’Amérique), la certification ISO 27001 Provisional Lead Auditor délivré par LSTI (France) et   ITIL® 4 délivré par AXELOS (Royaume-Uni).

    Sa carrière professionnelle Boukhazani Chawki l’entamera à la gendarmerie nationale où il a mené plusieurs projets liés au système d’information et de télécommunication.

    R.N 

  • Huawei: 49,6 milliards de dollars de revenus au 1er semestre 2021

    Huawei: 49,6 milliards de dollars de revenus au 1er semestre 2021

    L’équipementier chinois Huawei a publié, le 06 août dernier, ses résultats financiers pour le premier semestre 2021. Ces derniers témoignent du maintien de sa performance global malgré la crise de la Covid-19 qui ne fait que s’empirer à travers le monde.

    Ainsi, indiquent les chiffres, Huawei a généré, au premier semestre 2021, 320,4 milliards de yuans de revenus, équivalent 49,6 milliards de dollars, avec une marge bénéficiaire nette de 9,8%. Les revenus de l’activité réseau sont de 136,9 milliards de yuans, soit 21,2 milliards de dollars, alors que ceux de l’activité entreprise sont de 42,9 milliards de yuans, équivalent de 6,6 milliards de dollars. Pour ce qui est des revenus des activités grand public, ils sont de l’ordre de 135,7 milliards de yuans, soit 21 milliards de dollars.

    Satisfait, Eric Xu, le président tournant de Huawei, a affirmé : «Nous avons fixé nos objectifs stratégiques pour les cinq prochaines années. Notre objectif est d’assurer la pérennité de Huawei sur le long terme. Nous y parviendrons en créant de la valeur pour nos clients et nos partenaires». Il poursuivra : «En dépit d’une baisse des revenus de notre activité grand public causée par des facteurs externes, nous sommes convaincus que nos activités d’opérateur et d’entreprise continueront à croître de manière régulière».

    Aussi, a indiqué le même responsable, «nous avons traversé une période difficile mais nos employés ont su faire preuve d’une détermination à toute épreuve et pour cela je tenais à les remercier. Nous sommes confiants vis-à-vis de l’avenir et nous sommes plus que jamais convaincus que les technologies numériques peuvent apporter des solutions nouvelles aux problématiques de notre siècle». Et d’assurer : «Le Groupe continuera d’innover et d’investir, pour contribuer à la construction d’un monde intelligent et à faible émission de carbone».

    Fin mars dernier, Huawei a publié son rapport de l’année 2020. Le chiffre d’affaires s’est élevé à 891,4 milliards de yuans (136,7 milliards de dollars), soit une augmentation de 3,8% et son bénéfice net est passé à 64,6 milliards de yuans (9,9 milliards de dollars), soit une hausse de 3,2 %. 

    Karima Mokrani