Catégorie : NTIC

  • Ooredoo renforce ses investissements en Algérie

    Ooredoo renforce ses investissements en Algérie

    Le groupe de télécommunications Ooredoo a rendu public, ce jeudi 28 juillet 2022, ses résultats financiers du 1er semestre 2022. 

    Les revenus de Ooredoo (Algérie) ont atteint 42,6 milliards de dinars algériens au 1er semestre 2022, contre 41 milliards de dinars durant le 1er semestre 2021, soit une progression de 4,3%.

    Le parc clients est quant à lui estimé à 12,9 millions d’abonnés à fin juin 2022.

    Le résultat avant intérêts, impôts (taxes), dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations (EBITDA) a atteint 15,6 milliards de dinars algériens au 1er semestre 2022, contre 14.6 milliards de dinars à la même période de l’année 2021,soit une progression de 6,4%.

    En termes d’investissements durant le premier semestre 2022, Ooredoo Algérie a consacré 6,6 milliard de dinars algériens, contre 3,6 milliards de dinars durant la même période de l’année 2021, soit une progression de 86,5%.

    A l’annonce de ces résultats, le Directeur général de Ooredoo, M. Bassam Yousef Al Ibrahim, a déclaré : « Ooredoo Algérie clôture le premier semestre de l’exercice 2022 par des résultats positifs confirmant ainsi la viabilité de sa stratégie tournée vers la transformation digitale, qui contribuera à faire de l’économie numérique un moteur de développement du secteur de la téléphonie mobile en Algérie grâce notamment au renforcement de nos investissements.» 

    Et d’ajouter «Le bilan d’activités de Ooredoo au 1er semestre 2022 a dépassé nos prévisions grâce notamment à la multitude des actions à Responsabilité sociétale dans des domaines aussi divers que l’environnement, l’éducation, le volontariat et la santé. Ces résultats prouvent une fois de plus que Ooredoo a adopté une stratégie fiable et qui s’est traduite notamment par sa certification de « Best Place To Work » ainsi que sa double consécration des prix du Silver Stevie Award et le Bronze Stevie Award, respectivement pour son offre YOOZ et sa politique en termes de Ressources Humaines durant la pandémie de la COVID-19. » 

  • Mémorandum d’entente entre le GAAN et la Chambre de commerce américaine en Algérie

    Mémorandum d’entente entre le GAAN et la Chambre de commerce américaine en Algérie

    En marge de la 53ème Foire internationale d’Alger, le Groupement algérien des acteurs du numérique (GAAN) a signé un mémorandum d’entente avec la Chambre de commerce américaine en Algérie, portant sur un cadre de promotion des services et des technologies respectives aux deux parties.

    L’accord a été signé par Tadjeddine Bachir, côté GAAN, et Karim Sid Ahmed, le représentant de la Chambre de commerce américaine en Algérie, également directeur général de Cisco Algérie, ce mercredi, en présence de Mme Elizabeth Moore Aubin, l’ambassadrice des USA en Algérie.

    La veille, lors d’une conférence de presse, tenue à l’occasion des travaux de la 7ème session du Conseil gouvernemental international algéro-américain du commerce et de l’investissement (TIFA), la représentante de l’ambassade des USA en Algérie a affirmé la volonté de son pays de hisser la coopération bilatérale dans différents secteurs, entre autres celui des TIC.

    En effet, dans le pavillon USA, invité d’honneur de cette FIA, l’on remarque la présence de leaders mondiaux de l’ingénierie et de la technologie, entre autres Dell et Palo Alto Networks. Depuis quelques années, ces entreprises aident à apporter la technologie américaine de pointe en Algérie.

    Durant la période de confinement, imposée par la pandémie de la Covid-19, l’ambassade américaine a encouragé des entreprises comme Cisco, Kofax et le partenaire algérien de Kofax, Capture Doc, à fournir aux entreprises algériennes des solutions de signature numérique et des plateformes de réunion en ligne pour permettre le travail virtuel.

    Tout récemment, Kofax et Capture Doc ont remporté un prix mondial pour leur travail pendant la pandémie avec la Banque d’Algérie et la Société générale.

    Sonia Miloud.

  • ACSS/Sami Agli : «Mettre en avant les innovations algériennes»

    ACSS/Sami Agli : «Mettre en avant les innovations algériennes»

    Partenaire de la CASSIS Agency, dans son organisation de la 3ème édition de l’Africain Cyber Security Summit (ACSS), le président de la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC) soutient que l’évènement est de grande importance pour les pays du continent noir et pour les entreprises. Ce sera une occasion de plus de mettre en avant, selon ses dires, leur savoir-faire et les innovations en la matière.

    «Cet évènement référence en matière de cybersécurité en Afrique est un véritable carrefour d’échanges et de débats sur un sujet d’une importance capitale, voire stratégique dans le monde, et l’un des défis les plus importants auxquels sont confrontées les entreprises. Il permettra également de mettre en avant le savoir-faire et les innovations africaines mais surtout algériennes» a-t-il affirmé, non sans assurer que «la CAPC considère que le secteur du numérique est un véritable levier de la croissance économique et de la compétitivité».

    Intervenant à la conférence de presse, annonçant l’organisation de cette 3ème édition de l’ACSS, M. Agli a rappelé certains dispositifs et mesures mis en place pour encourager l’exportation des produits mais aussi des services vers les autres pays d’Afrique. Ceux du numérique en font partie.

    De son côté, le président du Syndicat national du patronat citoyen du numérique (SNPCN), Souheil Guessoum, fait observer que «si le numérique est devenu un axe stratégique pour l’Algérie, la cybersécurité devra l’être aussi».

    Pour ce syndicat créé il y a un peu plus d’une année, la cybersécurité «est devenue, aujourd’hui, un enjeu stratégique. La maitriser signifie protéger ses actifs, ses acquis, voire même sa souveraineté et son développement futur». Et de poursuivre : « Aujourd’hui plus que jamais, notre pays doit se doter des dernières technologies relatives à ce secteur. Faire de l’Algérie le carrefour du développement et de la maitrise de ces technologies devient un enjeu critique dans lequel s’inscrit l‘ACSS».

    Sonia Miloud

  • Africain Cyber Security Summit (ACSS) : 1000 participants attendus en novembre à Alger

    Africain Cyber Security Summit (ACSS) : 1000 participants attendus en novembre à Alger

    L’Africain Cyber Security Summit (ACSS) est de retour après une absence de deux années en raison de la pandémie de la Covid-19. Evènement phare de l’écosystème de la sécurité informatique, il aura lieu les 16 et 17 novembre prochain, au CIC «Abdelatif Rahal» à Alger.

    Il revient dans sa troisième édition, sous le thème «A Secure Digital Africa». Plus de 1000 participants de 60 pays y sont attendus. 100 ateliers techniques et 6 panels sont au programme.

    L’Africain Cyber Security Summit, carrefour d’échange et de débats sur les questions de sécurité informatique se veut non seulement africain mais aussi mondial. Focus toutefois sur le rôle de l’Algérie en sa qualité de leader dans la région d’Afrique dans ce domaine. Tel est l’objectif premier de l’organisation de cet évènement.

    Une conférence de presse annonçant la préparation active de cette manifestation a été organisée, ce dimanche, au siège de la Confédération algérienne du patronat citoyen (CAPC). Le choix du lieu n’est pas fortuit. Pour cause : la CAPC est partenaire de L’Africain Cyber Security Summit et pas seulement elle, puisque le SNPCN (Syndicat national du patronat citoyen du numérique) s’est aussi joint à cette initiative.

    El-Mehdi Zakaria, le fondateur et le président de L’Africain Cyber Security Summit, fait appel à la CAPC pour l’aider à trouver d’autres partenaires et se rapprocher d’un maximum d’entreprises pour les sensibiliser sur ce phénomène de cybersécurité. Comme c’est le cas d’autres personnes, d’autres organismes et organisations, l’ACSS s’appuie sur la CAPC, comptant sur la richesse de son réseau. «Nous comptons sur les réseaux de la CAPC» confie l’organisateur.

    Plusieurs thématiques seront débattues lors de l’Africain Cyber Security Summit . L’on citera, entre autres, «les leçons acquises à l’ère de la pandémie & informations clés pour aller de l’avant», «construire la prochaine vague de capacités de cybersécurité, en formant la prochaine génération d’experts», «renforcement des réglementations et de la collaboration africaine», «leadership en cybersécurité », ainsi que «la protection des données personnelles, une opportunité et un impératif pour l’Afrique».

    Elles seront abordées après la présentation du baromètre 2022 de la cybersécurité des organismes privés et public algériens. Il s’agit d’une étude qui devra permettra, selon le même représentant de l’ACSS, d’apporter un éclairage concret sur la réalité des pratiques en matière de cybersécurité. Elle se veut un cadre de sensibilisation sur les enjeux de la cybersécurité.

    M. Zakaria soutient que l’Afrique doit «tirer pleinement parti de la révolution numérique pour l’épanouissement de ses citoyens et renforcer la transparence à tous les niveaux. Cela se produira grâce à la volonté de tous les peuples d’Afrique et ses gouvernants qui oseront le numérique, qui oseront mettre la confiance et l’innovation au cœur de leur avenir».

    Karima Mokrani

  • Startups : Lancement prochain d’un crédit à l’innovation (Yacine Oualid)

    Startups : Lancement prochain d’un crédit à l’innovation (Yacine Oualid)

    Un crédit à l’innovation, destiné spécialement aux porteurs de projets innovants, sera prochainement lancé au profit des startups, a indiqué, ce samedi, le ministre délégué chargé de l’Economie de la connaissance et des Startups, Yacine Oualid. Le crédit à l’innovation, nouveau produit, finalisé par les services du département ministériel, sera présenté en Conseil du gouvernement, a-t-il rapporté.

    Le ministre était à Béjaïa où il s’est entretenu, à nouveau, avec des porteurs de projets qui l’ont relancé sur ce problème de financement. Se montrant rassurant, il a assuré de la pertinence de sa proposition au gouvernement et des grandes chances de son aboutissement, étant donné que le crédit à l’innovation s’inscrit dans le cadre des dispositifs financiers et règlementaires, adoptés depuis 2021 et qui visent à créer l’écosystème favorable au développement des startups et des projets innovants.

    A rappeler, à ce propos, le travail en étroite collaboration avec la Cosob (Commission d’organisation et de surveillance des opérations de la bourse) qui a fini par mettre en place un premier laboratoire dédié au développement de l’innovation technologique, en l’occurrence le Finlab.

    Ce laboratoire de financement des startups a été lancé officiellement en septembre 2021. Depuis, les trois partenaires (Cosob, Finlab et les startups) travaillent ensemble, soutenus dans leurs actions par le département ministériel mais aussi d’autres parties, entre autres l’Union algérienne des sociétés d’assurance et de réassurance (UAR) pour ce qui est des startups qui activent dans le domaine des assurances et dont certaines ambitionnent de devenir des Insurtechs.

    La semaine dernière, le même ministre a annoncé le lancement d’un premier programme de télévision portant sur l’innovation. Le nouveau programme portera le nom : «Innovation». Il est attendu de ce nouvel espace de faire découvrir aux grands investisseurs, appelés «Business Angels», les nouveaux projets présentés par les startups, dans un objectif clair de financement.

    Samia Hanifi

  • Numérisation : 465 plateformes ministérielles développées en Algérie

    Numérisation : 465 plateformes ministérielles développées en Algérie

    Les travaux du Digital africain summit se sont poursuivis aujourd’hui, deuxième jour de la manifestation, autour de la mise en place d’un écosystème favorable à la numérisation dans tout le continent noir.

    Les différents intervenants ont mis l’accent sur la nécessité d’encourager les initiatives émanant des pouvoirs publics aussi bien que du secteur privé et ce dans le but d’accélérer la numérisation du pays et du continent. Il est question notamment d’appuyer davantage les startups. Le tout au service de la citoyenneté numérique et l’atteinte des objectifs du développement durable.

    Réaffirmant la volonté politique d’aller de l’avant dans cette démarche en Algérie, trois ministres du gouvernement Benabderrahmane ont marqué, aujourd’hui, leur présence à cette rencontre africaine : Hocine Cherhabil, ministre de la Numérisation et des Statistiques, Karim Bibi Triki, à la tête du secteur de la Poste et des télécoms, ainsi que Yacine Oualid, le ministre délégué chargé de l’Economie de la connaissance et des Startups.

    Les trois ministres ont présenté leurs politiques et leurs actions respectives pour le développement du numérique en Algérie. Ils ont assuré qu’ils travaillent de concert pour l’atteinte d’un même objectif, à savoir la numérisation de tous les services de façon à les rendre accessibles à tous les algériens à travers les 58 wilayas du pays.

    M. Cherhabil a soutenu que l’Algérie est en train de passer d’une administration traditionnelle à une administration numérique par le nombre des plateformes développées jusqu’à présent. Elles sont 465, tous secteurs confondus. Le même ministre poursuivra : «nous travaillons pour que la numérisation atteigne les régions les plus isolées. Notre satisfaction sera plus grande quand tous les algériens auront accès aux services du numérique».

    Le ministre de la Poste et des télécommunications a assuré de l’augmentation du nombre des algériens qui disposent d’une bonne connexion internet via le réseau FTTH, après celui de l’ADSL, sans oublier les réseaux 3G et 4G. A souligner aussi qu’Algérie Télécom a multiplié par cinq la capacité du débit Internet au profit d’environ deux millions de clients, sans augmenter le prix.

    En avril dernier, le site web «datareportal» a publié un rapport dans lequel il a indiqué que le taux de pénétration d’internet en Algérie s’élevait à 60,6 % en janvier 2022, en progression par rapport à la même période de 2021 où il était de 59,6%. Selon le même site, 46,57 millions de personnes disposaient d’une connexion internet mobile en janvier 2022 en Algérie, soit une augmentation de 936 000 personnes (+2,1%) en une année.

    Sur un autre registre, le datareportal a recensé quelque 1,6 million nouveaux utilisateurs de médias sociaux en Algérie, au 31 janvier 2022, soit une hausse de 6,4% par rapport à la même période de l’année 2021. Le total des utilisateurs de ces médias s’élève ainsi à 26,60 millions dans notre pays, soit près 59,1% de la population algérienne.

    Pour ce qui est de la vitesse moyenne de la connexion, le même site rapporte que celle-ci était de 9,78 Mégabit par seconde (Mbps) en janvier 2022, soit une augmentation de 6,16 Mbps (+170%) par rapport à la même période de 2021 et celle de l’internet mobile était de 11,44 Mbps, soit une augmentation de 3,58 Mbps (+45,5%)».

    De son côté, l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications électroniques (ARPCE) a confirmé, dans son dernier rapport sur le marché de l’internet mobile, une évolution positive de l’abonnement aux réseaux des trois opérateurs (Mobilis, Djezzy et Ooredoo) avec une croissance annuelle de près de 7,8%. Le nombre d’abonnés a atteint 41,78 millions au 31 décembre 2021 contre 38,77 millions au 31 décembre 2020, soit une augmentation de 7,76%.

    Karima Mokrani

  • Viber dévoile une autre facette de l’application de messagerie

    Viber dévoile une autre facette de l’application de messagerie

    Rakuten Viber, plateforme globale de messagerie et d’appel, partage les tendances et les défis du secteur, les solutions Viber for Business et les devenirs de la communication et relation entre les marques et leurs clients.

    Le 30 mai 2022, Viber s’est rendue, à Alger, pour leur première table ronde média, afin de présenter l’offre destinée aux entreprises. Aux représentants des médias présents, l’équipe Viber a partagé son point de vue sur quelques sujets clés, comme les défis actuels de l’industrie, les avantages des solutions Viber for Business, ainsi que l’objectif de la marque de devenir une super-application.

    Une nouvelle ère pour la communication entre les consommateurs et les marques

    Le nombre d’heures que les utilisateurs passent sur leur mobile chaque jour continue d’augmenter. Plus important encore, 95 % des internautes se servent d’applications de chat et de messagerie. Les utilisateurs souhaitent pouvoir gérer davantage de tâches sans changer d’application. Ils ont tendance à passer beaucoup de temps sur leurs applications préférées, dont les outils de messagerie font souvent partie.

    Par ailleurs, les internautes souhaitent dialoguer avec des marques via des applications de messagerie : 74 % des utilisateurs préfèrent échanger des messages avec les entreprises si c’est une personne réelle qui leur répond. Dans un monde où le smartphone est omniprésent, il devient déterminant pour les marques de contacter les utilisateurs là où ils se trouvent.

    Viber est bien placé pour tirer profit de ces tendances : rien qu’en Algérie, la marque a facilité plus d’un milliard d’appels et douze milliards de messages, et créé d’innombrables liens entre les utilisateurs et les marques.

    Viber for Business : des solutions pour l’interaction marque-consommateur

    D’un point de vue commercial, Viber propose des solutions publicitaires (annonces natives, stickers ou encore filtres pour des photos et vidéos), des solutions de messagerie (chatbots, messages personnalisés) et des solutions d’appels. Tous ces outils aident les entreprises à interagir avec leurs clients à chaque étape du parcours d’achat.

    Aujourd’hui, plus de 8500 marques à travers le monde font confiance aux solutions de messagerie d’entreprise pour renforcer la communication avec leurs clients. L’année dernière, l’entreprise a enregistré :

    • Une croissance mondiale de 20 % du nombre de chatbots, où les clients obtiennent des réponses automatisées aux demandes en temps réel 24h/24 et 7j/7. Les chatbots offrent une expérience de mini-application pour les marques qui souhaitent proposer leur service sur Viber de manière native.

    • 55 % de croissance des messages Viber Business Messages émis dans le monde. L’objectif est de renforcer le lien entre les marques et les clients, grâce à un canal unique. Viber Business Messages rassemble tout ce dont vous avez besoin pour une interaction efficace : d’un canal d’acquisition via des messages promotionnels personnalisés, jusqu’aux notifications envoyées avec des messages transactionnels, toujours en passant par un service client renforcé grâce aux messages conversationnels.
    • La tendance des messageries professionnelles devrait poursuivre sa croissance à l’échelle mondiale, notamment en Algérie, où l’entreprise a enregistré une augmentation de 243 % des messages professionnels envoyés au cours des 6 derniers mois de 2021.

    Pour augmenter leur visibilité et attirer de nouveaux utilisateurs, les marques peuvent également tirer parti des solutions publicitaires Viber. Les publicités natives et non intrusives continuent de gagner en popularité, notamment grâce à différentes options de ciblage.

    L’année dernière, le volume de publicités sur Viber a augmenté de 70 %, démontrant l’intérêt considérable des annonceurs du monde entier. Parmi les secteurs les plus performants au niveau mondial, il y a la santé et le bien-être, qui ont enregistré une augmentation de 90 %, l’énergie avec +56 % et les transports +51 %.

    Les nouveaux filtres aident les entreprises à atteindre la génération Z. Les stickers Viber sont d’autres outils créatifs qui permettent aux marques de gagner en visibilité et d’interagir avec leurs clients existants ou potentiels.

    Cependant, les solutions de messagerie et de publicité ne sont pas les seuls moyens de renforcer le lien entre marques et consommateurs sur Viber. Dans les prochains mois, il est prévu deux lancements majeurs : les comptes commerciaux, dédiés aux marques, ainsi que le service Viber Business Calls. Ces deux fonctionnalités permettent aux utilisateurs de trouver leurs marques préférées, de consulter leurs pages professionnelles et de les contacter ou leur envoyer un message directement depuis l’application.

    Les marques et les utilisateurs accordent leur confiance à Viber, dont les engagements de sécurité et de confidentialité sont très forts. La sécurité est intégrée dans l’ADN de l’entreprise, avec des fonctionnalités comme le cryptage de bout en bout et par défaut pour les discussions privées, mais aussi les discussions de groupe et les appels privés.

    Viber propose aussi l’ajout d’IP sur une liste blanche, des connexions uniquement en HTTPS et un cryptage pour les messages professionnels, pour ne citer que quelques-unes des fonctionnalités qui garantissent la sécurité et la confidentialité des données.

    Viber : une application tournée vers le futur

    « Aujourd’hui, les utilisateurs préfèrent éviter de jongler d’une application à l’autre. En moyenne, ils passent 77 % de leur temps sur seulement 3 applications, dont près de la moitié sur une seule application. En fait, les utilisateurs d’aujourd’hui cherchent aujourd’hui à accéder à un maximum d’options depuis une seule app, » explique Berina Tanovic, Senior Partnership Manager MENA chez Rakuten Viber. « Les objectifs de Viber à long terme s’inscrivent dans une stratégie globale qui consiste à devenir une super-application pour les consommateurs et les marques. En maximisant les fonctionnalités de l’application, l’utilisateur pourra résoudre autant de tâches que possible sans quitter le confort de Viber, et les marques pourront atteindre leur public cible à chaque étape du parcours client. »

    Communiqué de presse

  • Rapport : une avancée « significative» de l’Internet en Algérie

    Rapport : une avancée « significative» de l’Internet en Algérie

    Le nombre d’internautes et la vitesse de connexion à Internet ne cessent de progresser, un peu plus chaque année, en Algérie, faisant de notre pays un modèle en termes d’investissements sur les infrastructures et les plateformes d’accès aux nouvelles technologies de l’information et de communication.

    C’est ce qui ressort du dernier rapport publié par le site web « datareportal », spécialisé dans les statistiques relatives à l´internet fixe et mobile dans le monde, affirmant que « le taux de pénétration d’internet en Algérie s’élevait à 60,6 % en janvier 2022, en progression par rapport à la même période de 2021 où il était de 59,6% ».

    Selon ce site, ce taux de pénétration a impliqué une augmentation, en 2021, du nombre d’utilisateurs de l’internet en Algérie atteignant près de 1,8 million d’internautes, soit une progression de 7,3% en l’espace d’une année pour atteindre un total de 27,28 millions d’internautes.

    En ce sens, « datareportal » relève dans son rapport qu’« un total de 46,57 millions de personnes disposaient d’une connexion internet mobile en janvier 2022 en Algérie, soit une augmentation de 936 000 personnes (+2,1%) en une année ».

    A ce propos, ce site explique que de « nombreuses personnes dans le monde utilisent plus d’une connexion mobile et peuvent posséder, par exemple, une connexion pour un usage personnel et une autre pour le travail », soulignant qu’« il n’est pas donc rare que les chiffres de connexion mobile dépassent de manière significative le nombre total de la population ».

    Abordant la fréquentation des réseaux sociaux, comme Facebook, YouTube, Instagram, Tweeter et autres Tik-Tok, le rapport révèle que « l’Algérie a également connu une évolution au 31 janvier 2022. A cette date, plus de 1,6 million de nouveaux utilisateurs de médias sociaux a été enregistré au 31 janvier 2022, soit une augmentation de 6,4%, en une année, portant ainsi le nombre total d’utilisateurs de ces médias à 26,60 millions, soit 59,1% de la population algérienne ».

    « datareportal » a indiqué que « la vitesse de la connexion internet fixe et mobile en Algérie a connu une hausse significative durant l’année 2021 ».

    Selon ce rapport, « la vitesse moyenne de la connexion internet fixe en Algérie était de 9,78 Mégabit par seconde (Mbps) en janvier 2022, soit une augmentation de 6,16 Mbps (+170%) par rapport à la même période de 2021 et celle de l’internet mobile était de 11,44 Mbps, soit une augmentation de 3,58 Mbps (+45,5%) ».

    Ce qui, au demeurant, explique encore « datareportal »  qui publie aussi les statistiques relatives aux médias sociaux, ainsi que les tendances et informations sur l’état du numérique dans le monde, renseigne des efforts déployés par notre pays depuis quelques années dans la généralisation de la fibre optique, notamment dans les nouvelles cités, et le basculement des lignes téléphoniques vers les nouvelles numérotations pour fluidifier et augmenter le débit de connexion à Internet.

    Enfin, souligne « datareportal », « l’Algérie a tracé une stratégie pour améliorer les performances, laquelle doit passer par plusieurs étapes avant d’atteindre le niveau escompté avec des avancées progressives et satisfaisantes.

    Pour rappel, un rapport publié en juillet dernier par l’Autorité de régulation de la Poste et des communications électroniques (ARPCE) faisait ressortir que plus de 98,8% de la population algérienne est connectée à l’internet.

    Nadine.S

  • Cyberattaques : aucune  entreprise n’est à l’abri

    Cyberattaques : aucune entreprise n’est à l’abri

    Aucune entreprise, y compris de grande taille, n’est à l’abri des cyberattaques que perpètrent les hackers qui se spécialisent davantage dans le vol de données et les demandes de rançons.

    C’est ce qui ressort d’une conférence sur «les enjeux de la cybersécurité en Algérie» qui s’est tenue, hier soir à Alger.

    « La menace du cyberespace et de nos données sont devenus une question de souveraineté nationale. Il nous appartient, en conséquence, de fédérer nos compétences et nos moyens pour protéger l’Algérie de ces menaces », a indiqué d’emblée la directrice de l’entreprise I-Net, Mme Fella Gaouar, organisatrice de cet événement dédié entre autres aux moyens de faire face aux cyberattaques.

    En présence du ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l’économie de la connaissance et des Start-up, Yacine El Mahdi Oualid et un panel de représentants d’entreprises privées et publiques activant dans le secteur et d’institutions, Mme. Gaouar a souligné que « les cybercriminels démultiplient les méthodes et les modes opératoires », sachant que plus de 200 virus émergent chaque jour dans le monde pour tenter de trouver les failles pour une intrusion intelligente dans les systèmes d’information des entreprises vulnérables et qui ne misent pas sur des logiciels certifiés.

    Les experts, eux, estiment que les cyberattaques sont bien plus fréquentes qu’on le pense, et que nul n’est à l’abri « la cybersécurité devra être une véritable ligne de défense pour protéger l’Algérie, ses institutions, son économie et ses citoyens mais également pour assurer la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité des données ».

    En ce sens, Mme. Gaouar a préconisé l’acquisition de moyens sophistiqués, en adéquation avec les usages malveillants des hackers car se doter des outils nécessaires et à la pointe et des compétences qui vont avec, réduisent et considérablement les risques des cyberattaques.

    Et pour faire face aux cyberattaques , « l’Algérie doit se doter de moyens pour assurer sa transition numérique en mesure d’arrimer son économie à l’économie mondiale », a-t-elle expliqué, affirmant que « cette transition nécessite cependant, pour notre pays, le développement d’un écosystème économique et numérique de plus en plus dynamique, en sus d’une infrastructure adéquate, des compétences humaines qualifiées ».

    Ce à quoi, deux experts, à savoir Mehdi Gaouar et Christophe Loba, ont plaidé pour la mise en place « des moyens à déployer pour contrer les cybercrimes à travers notamment une gouvernance efficiente axée sur la formation de la ressource humaine et la sensibilisation à la cybersécurité ».

    Même son de cloche chez les informaticiens, les développeurs et les spécialistes des questions de cybersécurité qui ont appelé à « l’élaboration de stratégies de défense en cybersécurité et présenté un éventail de solutions et outils permettant aux institutions, organisations et aux entreprises de renforcer la sécurité de leurs infrastructures et leurs données.

    Pour sa part, le ministre Yacine El Mahdi Oualid a indiqué que « le gouvernement travaille sur des mécanismes pour pousser les grandes entreprises à investir plus sur la sécurité informatique et à mettre en place une stratégie nationale de sécurité informatique pour réduire la dépendance. Les recherches en matière de cybersécurité s’effectuent au niveau du secteur privé. Mais, le nombre de startups activant dans la cybersécurité en Algérie n’est pas très important, ne dépassant pas les 3% du taux global des startups dans le pays ».

    Pour M. Yacine El Mahdi Oualid, « l’enjeu le plus important est de repérer les talents », soulignant que « l’Algérie compte de très bons ingénieurs en informatique et en cybersécurité, mais la plupart d’entre eux se font offrir des perspectives à l’international ».

    Nadine.S

  • Blida : 2 nouvelles  antennes Mobilis à la nouvelle ville de Bouinan

    Blida : 2 nouvelles antennes Mobilis à la nouvelle ville de Bouinan

    Deux nouveaux sites relais de l’opérateur téléphonique public Mobilis, couvrant la nouvelle ville de Bouinan, dans la wilaya de Blida, ont été mis en service ce mardi 22mars, plus précisément à la cité 5000 logements. Cela à la faveur d’une visite des premiers responsables locaux du secteur. A cette même occasion, une agence commerciale d’Algérie Télécom ainsi qu’un bureau de poste ont été inaugurés, au grand bonheur des habitants de la nouvelle ville de Bouinan.

    Trois réalisations accueillies avec grande satisfaction par les locataires des nouveaux logements AADL de Bouinan qui, trois années durant, subissaient la grande difficulté d’échanger par téléphone ou par internet via le réseau Mobilis.

    A travers cette présence dans la nouvelle ville de Bouinan , lit-on dans le communiqué de l’opérateur public, «Mobilis se distingue encore une fois par sa couverture réseau la plus étendue à travers le territoire national et confirme son engagement, en offrant un service de qualité accessible à tous».

    En effet, depuis des années déjà, Mobilis multiple les efforts pour une couverture la plus large possible des différentes régions du pays, particulièrement celles appelées «zones d’ombre». Fort de son expérience en la matière, il ne compte pas les dépenses pour des investissements très coûteux sur des terrains aux contraintes multiples. Très souvent, seul à s’y engager, les autres opérateurs ne considérant pas ce genre d’investissement rentable. En 2020, ATM Mobilis a investi un montant de 40 milliards de dinars dans l’installation et le développement de son réseau dans ces localités.

    Un ancien ministre, en l’occurrence Brahim Boumzar, dans une déclaration à la radio, avait exprimé son regret de voir les opérateurs privés manquer au rendez-vous de ces réalisations.

    Début mars de cette année, ATM Mobilis a remporté le Speedtest Award pour la meilleure couverture réseau en Algérie en 2021 (Best Mobile Coverage), attribué par la renommée société Ookla. Ce trophée a été remis à son PDG, Chaouki Boukhazani. Avec cette distinction, l’opérateur public renforce davantage sa position de leader sur le marché national.

    Samia Hanifi