Catégorie : Formation

  • SLB Algérie et IncubMe, partenariat pour créer un hub d’excellence à Ouargla

    SLB Algérie et IncubMe, partenariat pour créer un hub d’excellence à Ouargla

    SLB Algérie, anciennement appelé Schlumberger et IncubMe, incubateur panafricain, ont signé ce lundi à Alger une convention de partenariat pour la création du premier hub d’excellence dans la wilaya de Ouargla, à destination des porteurs de projets et des créateurs de start-ups.

    La convention a été signée au siège de SLB Algérie, où le directeur général Afrique du Nord de SLB Rédha Kelkouli et Adel Amalou, directeur général d’IncubMe, ont expliqué ce projet et le choix de la wilaya de Ouargla, où se concentre entre autres une grande activité du numéro un mondial de services et d’équipements pétroliers.

    «Le principe sur lequel nous nous sommes mis d’accord, c’est d’avoir les centres d’excellence opérationnels d’ici la fin de l’année 2023», selon le DG de SLB pour l’Afrique du Nord, ajoutant travailler avec les autorités locales et de fédérer un maximum de personnes et d’institutions autour de ce projet de Hub d’excellence.

    «L’idée de cette convention avec IncubMe a pour objectif principal la création d’une alternative aux services et les technologies que nous importons dans le secteur de l’énergie, du moins dans un premier temps et pourquoi pas élargir notre champ d’action à d’autres secteurs d’activités comme l’industrie pharmaceutique, l’agriculture, etc.», explique d’emblée M. Kelkouli.

    «Dans le moyen et le long terme, nous voulons que ces entreprises que nous voulons soutenir puissent offrir dans cinq, dix ou quinze ans les services et les technologies dont nous avons besoins et offrir leur expertise à l’échelle régionale et internationale», a-t-il ajouté,

    «En tant qu’opérateur économique, grâce à des services et à des technologies avec un contenu local, cela nous permet de renforcer notre compétitivité à l’échelle locale et renforcer la compétitivité de l’Algérie sur le marché régional, continental et international », a-t-il encore précisé, soulignant que ce projet de hub d’excellence vise à «renforcer notre croyance, ancrée, que le sud de l’Algérie n’est pas seulement les ressources naturelles qu’il renferme, mais surtout ses ressources humaines qui sont le meilleur capital pour le pays».

    M. Kelkouli en veut pour preuve l’expérience de SLB dans sa coopération avec plusieurs universités du sud du pays qui constituent, insiste-t-il, un véritable gisement de compétences et de créativité qui mérite d’être soutenu dans les projets qu’il cherche à faire aboutir.

    Le choix d’une wilaya du sud s’est en effet imposé de lui-même, même si la portée du projet est d’essence nationale, ses initiateurs annonçant dans la foulée qu’une plateforme numérique sera mise en place  pour permettre à tout porteur de projet d’avoir la chance d’être sélectionné, peu importe sa wilaya.

    «À travers la création de ce hub d’excellence, nous voulons participer à l’attractivité et à la dynamisation du territoire à partir du sud du pays », expliquent encore les dirigeants de SLB qui affirment chercher à créer un lien social.

    «Cette idée, c’est elle qui renforcera l’économie nationale et qui créera des postes d’emploi», a-t-il par ailleurs noté.

    «Nous existons en Algérie depuis 2018. Nous avons reçu beaucoup de sollicitation de la part de jeunes de Ouargla qui nous ont demandé de les accompagner. Aujourd’hui, au niveau d’IncubMe, nous avons une capacité d’une trentaine de start-ups qu’on peut accompagner chaque année», a affirmé pour sa part Adel Amalou, expliquant que grâce à ce partenariat avec SLB, «nous n’allons pas développer seulement des start-ups, mais nous allons aussi développer tout un écosystème, que ce soit pour la jeunesse ou autre. Nous accompagnerons aussi les réussites dans la région».

    La contribution de SLB sera, dans une première phase, d’ordre financier et le coup de l’investissement se chiffre en plusieurs milliers de dollars, selon M. Kelkouli, dont l’entreprise est également prête à solliciter les experts dans l’accompagnement des jeunes et porteurs de projets.

    Mais plus que ça, SLB se dit prêt pour mettre à disposition du centre d’excellence un toute l’expertise du groupe. «Concernant les start-up, il s’agit pour nous de leur donner un maximum de confiance pour avoir accès aux marchés», a-t-il affirmé, se félicitant du fait que le nouveau siège régional de SLB à Alger puise 15% de sa consommation énergétique de panneaux solaires qu’une start-up algérienne leur installé.

    «Donc, c’est du concret, la dynamique, elle y est. Cela est très important pour nous», s’est encore dit. «Notre rôle, c’est aussi orienter les étudiants ou les stagiaires des centres de formation professionnelle qui ont une idée de projet mais qui a besoin d’être approfondie», conclut M. Kelkouli, dont le souhait est que ce Hub puisse à l’avenir s’autofinancer.

    La sélection des projets sera fera sur la base de deux critères, a précisé Adel Amalou d’IncubMe. «Nous sélections sur la base de la faisabilité du projet présenté. Il faut que ce soit un projet porteur. Et nous regardons aussi le profil du porteur de ce projet», a-t-il répondu.

    A noter que parmi les objectifs du Hub en question, la prise en charge d’au moins 30 projets d’incubation. La structure sera dotée, en plus de l’incubateur, d’un espace de coworking et évènementiel, d’un espace d’animation et d’activités mini-vidéo, mais aussi d’une salle d’expositions et de stands, «pour permettre surtout aux femmes travaillant à la maison dans le domaine de l’artisanat notamment, d’avoir plus de visibilité», détaillent les responsables du projet.

    Lyès Menacer

  • Le CDCA organise le 1er séminaire  Algéro-Canadien sur la lutte contre les feux de forêt par des moyens aériens

    Le CDCA organise le 1er séminaire Algéro-Canadien sur la lutte contre les feux de forêt par des moyens aériens

    Sous le parrainage du Ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, M. Mohamed Abdelhafid Henni, le Conseil de Développement Canada-Algérie (CDCA) a organisé aujourd’hui au Centre International des Conférences d’Alger (CIC) – Abdelatif Rahal, le premier séminaire sur la lutte contre les feux de forêts par des moyens aériens.

    En marge de ce séminaire, de nombreux spécialistes, experts canadiens et nord-américains en aéronautique ainsi que des entreprises leaders du secteur de lutte aérienne contre les incendies ont pris part à ce rendez-vous. La tenue de ce dernier a également permis aux acteurs locaux, notamment les spécialistes de la Direction Générale Des Forêts (DGF), la Direction Générale de la Protection Civile (DGPC) ainsi que les assureurs et responsables de la gestion des risques liées aux feux de forêt en Algérie, de capitaliser le savoir-faire, l’expertise et l’expérience algérienne et canadienne dans la lutte contre les feux de forêt.

    Par ailleurs, plusieurs ateliers ont été organisés et animés à l’occasion dudit séminaire par des experts canadiens, incluant les thématiques suivantes : protection, surveillance et détection des feux de forêt, déploiement des avions Airtankers, pompiers des feux de forêt, apport des moyens de Télécommunications ainsi que toutes les technologies, produits et solutions envisageables pour la lutte contre les feux de forêt par des moyens aériens.

    « Ce type d’événement facilite les échanges et la création de partenariats qui permettraient le développement de solutions concrètes et durable dans la lutte contre ce fléau, a déclaré Ghani Kolli, Président du CDCA.

    Nous avons notamment pu discuter de la mise en place d’un projet de plateforme aéronautique Algéro-Canadienne qui  comprend une école des métiers de l’aéronautique pour assurer la main d’œuvre qualifiée pour ce nouveau secteur ainsi qu’un Incubateur/Accélérateur Aérospatial afin d’accompagner l’ensemble des parties prenantes locales spécialisées dans lutte contre les feux de forêt par voie aérienne, selon les normes internationales, tout en favorisant le développement d’une expertise algérienne sur le moyen et le long terme. Ces deux éléments susciteront l’attractivité auprès des donneurs d’ordre canadiens et autres pour l’émergence d’une industrie aéronautique locale spécialisée dans la lutte contre les feux de forêt et éventuellement son élargissement vers l’aviation civile et militaire. » a ajouté M.Kolli.

    Dans le cadre de la lutte contre les feux de forêts, Le ministère de l’Agriculture et du Développement Rural a installé un comité national dédié à cette cause. Outre la contribution à l’effort national de lutte contre les feux de forêt en Algérie, ce premier séminaire du CDCA a pour objectif de renforcer les relations économiques entre l’Algérie et le Canada en favorisant le développement de potentiels partenariats avec des entreprises canadiennes spécialistes du domaine de la gestion des risques liés aux feux de forêt telles que : CONAIR, Vancouver Island Hélicoptères, RotorMaxx, SEI-Industries, Complexe Capitale hélicoptère et IWCG.

    A propos du CDCA

    Fondé en 2016 par des professionnels Algériens et Canadiens, le CDCA est un organisme qui vise à accélérer l’impact économique et commercial entre l’Algérie et le Canada en développant les opportunités économiques et les relations d’affaires entre les deux pays, tout en mobilisant les entreprises, les gouvernements et les organisations.

    Pour plus d’informations, merci de visiter : https://www.cdc-a.org/

  • « B-Imtiyaz »: Partenariat entre le MESRS et Pfizer pour la formation

    « B-Imtiyaz »: Partenariat entre le MESRS et Pfizer pour la formation

    « B-Imtiyaz », une initiative qui a pour objectif le soutien et la promotion de la formation des compétences algériennes dans les domaines de la pharmacie industrielle et de la biotechnologie.

    Un mémorandum d’entente a été signé entre le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) et le laboratoire Pfizer Pharm Algérie, en partenariat avec le Ministère de l’Industrie Pharmaceutique.

    Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et le Ministère de l’Industrie Pharmaceutique portent la vision d’une Algérie future ‘Hub de Biotechnologie’ avec l’ambition de développer des compétences nouvelles axées sur l’innovation et le leadership pour la nouvelle génération de spécialistes algériens en pharmacie industrielle et biotechnologie.

    Pfizer Inc., un des principaux leaders mondiaux en biotechnologie, partage cette vision, et s’associe aux efforts des autorités algériennes à travers l’initiative « B-Imtiyaz ».

    « B-Imtiyaz », une initiative qui permettra à des étudiants en pharmacie et à des ingénieurs de l’Ecole Nationale Supérieure de Biotechnologie, dûment sélectionnés par les autorités pédagogiques, de bénéficier d’un programme de formation aux standards internationaux dans ce domaine de pointe.

    L’initiative « B-Imtiyaz » se déclinera en trois phases :

    1. Des séminaires et formations liés aux sciences de la santé, de l’industrie du médicament et de la biotechnologie impliquant des experts de Pfizer Inc. et des experts internationaux ;

    2. Le renforcement des acquis pédagogiques à travers des stages au sein des sites de production Pfizer au profit d’étudiants dûment sélectionnés par les autorités pédagogiques ;

    3. Une étude de faisabilité pour la création d’un incubateur de recherche dédié à l’industrie pharmaceutique, à travers une plateforme de réflexion, dans le but d’accompagner et promouvoir les innovations développées par les chercheurs algériens.

    « Pfizer Pharm. est engagé à accompagner la vision d’une Algérie ‘Hub de Biotechnologie’, portée par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et le Ministère de l’Industrie Pharmaceutique. « B-Imtiyaz » est un programme qui soutient le développement d’une génération de spécialistes algériens en pharmacie industrielle et biotechnologie à travers des séminaires qui compterons la participation d’experts de Pfizer, d’éminents universitaires américains et autres, des stages pratiques ainsi que la création potentielle d’un incubateur d’innovation dédié aux étudiants et chercheurs algériens.» A indiqué Abderrahmane Mekerba, Président Directeur Général, Pfizer Pharm. Algérie

    « Nous sommes convaincus qu’en investissant dans les futurs leaders de l’industrie algérienne, nous contribuerons à bâtir les fondements d’un secteur plus fort et plus dynamique qui permettra à l’innovation algérienne de prospérer. » A affirmé le Président Directeur Général, Pfizer Pharm. Algérie.

    « La Biotechnologie constitue le coeur du métier de Pfizer Inc. et nous sommes heureux de pouvoir transformer en actions concrètes les engagements de Pfizer en termes de partage de connaissances à travers cette ’initiative. “B- Imtiyaz” a le potentiel de préparer la voie à une nouvelle génération de professionnels algériens en biotechnologies, et d’accompagner la vision de l’Algérie pour devenir un véritable « hub” pour la région. » A pour sa part déclaré  M. Sinan Atlig Nevzat, Président Pfizer de la région de l’Afrique et Moyen Orient.

  • Fatiha Rachdi: «21 start-up bénéficieront d’un appui financier»

    Fatiha Rachdi: «21 start-up bénéficieront d’un appui financier»

    Une vingtaine de start-up parmi une centaine vont profiter du programme ELIP, que supervise Fatiha Rachdi.

    Ces start-up vont officiellement, présenté leurs projets innovants à l’Institut national de formation des cadres de la jeunesse en présence d’experts et de technologues dans la perspective de bénéficier d’un appui financier leur permettant de mettre leur projets sur le marché, notamment dans le secteur de l’industrie.

    Ces start-up, issues de plusieurs wilayas du pays, ont été sélectionnées parmi une centaine en vue de bénéficier d’un soutien financier des pouvoirs publics ou de bailleurs de fonds privés intéressés par leurs projets ce qu’il leur permettra de créer leurs propres entreprises ou de s’associer à des opérateurs économiques.

    Selon la directrice du programme Global Entrepreneur Ship Net Work, Fatiha Rachdi, «le programme ELIP (Entrepreneur-ship, Leadership&Innovation Program), est destiné à la formation de 1200 jeunes étudiants à l’entrepreneuriat.

    « Ce programme nous a permis de former des start-up pour des périodes allant entre une et deux années ce qui a permis à certaines d’entre elles à prototyper leur produit», affirme Fatiha Rachdi qui tient à préciser qu’«à présent il y a des start-up qui sont passées du prototype au produit final».

    En parallèle, révèle Fatiha Rachdi , «il existe des start-up qui n’ont pas encore commercialisé leurs produits car ils ont besoin de faire des essais techniques avant de le mettre sur le marché et nous sommes là pour les accompagner dans toute ses phases avec l’aide des technologues pour finaliser leur prototypes, cibler leur clientèles ce qu’il leur évite d’investir à perte».

    Selon Fatiha Rachdi, 12 entreprises ont déjà été créées, alors que d’autres en cours de création. «Le rôle de l’association consiste également à leurs apprendre à faire accroître leur chiffre d’affaires et leur bénéfice à travers des formations dans le marketing et la stratégie commerciale des entreprises, en plus des formations dans le domaine juridique», a encore expliqué cette responsable.

    Celle-ci a évoqué le rôle de l’Institut national algérien de propriété industrielle (Inapi) qui a contribué dans le cadre de cet événement à encadrer les start-up et les jeunes innovateurs à travers l’assistance technique leur permettant de breveter leurs produits.

    A propos des innovateurs qui ne vont pas créer leur start-up, elle a affirmé qu’il était possible «d’intégrer leur innovation dans certains processus pour appuyer les  groupes industriels».

    Selon les chiffres communiqués par Fatiha Rachdi, ELIP compte, actuellement, 25 campus à travers différentes wilayas, plus de 1 900 étudiants, 12 start-up et 40 autres, dont leur prototype est en phase d’être prototypé.

    Rabah Nadri

  • Petrofac Algérie inaugure un centre de formation aux métiers de la construction

    Petrofac Algérie inaugure un centre de formation aux métiers de la construction

    Petrofac Algérie a inauguré aujourd’hui son centre de formation aux techniques de construction, à Hassi Messaoud, dans le sud de l’Algérie, à la suite de l’achèvement du programme de modernisation des installations de ce centre.

    Ce dernier offrira à la prochaine génération de la main d’œuvre des industries pétrolière et gazière algériennes, une formation de haut niveau, avec une capacité de former 400 délégués algériens chaque année.

    Le centre a été conçu, bâti et sera exploité par Petrofac, dans le cadre de son engagement pour le développement des compétences locales. Petrofac étant active en Algérie depuis 1997, plus de 85% de sa main-d’œuvre travaillant dans le pays est recrutée localement.

    Les installations de ce centre de formation de Petrofac Algérie comprennent des salles de classe modernes, climatisées et bien équipées, ainsi que de grands ateliers ouverts dotés d’équipements de pointe.

    Le programme initié pour ce centre de formation de Petrofac Algérie couvre cinq domaines de spécialisation – Instrumentation, Électricité, Mécanique, Tuyauterie et Soudage – tous avec un fort accent sur l’hygiène et la sécurité.

    Une méthodologie de formation appliquée fournira aux étudiants les connaissances théoriques et les compétences pratiques essentielles dont ils auront besoin pour travailler dans la discipline professionnelle de leur choix, une fois leur diplôme obtenu.

    La cérémonie d’inauguration du centre de Petrofac Algérie, qui comprenait une visite guidée des installations, a réuni des représentants du gouvernement et des autorités locales, ainsi que des représentants des industries pétrolière et gazière.

    Graham Mac Millan, vice-Président Directeur pour l’Afrique du Nord, a déclaré : « Nous sommes ravis de marquer la reprise et la modernisation de cette importante installation qui fournira la meilleure formation technique possible aux jeunes algériens.

    Le premier groupe de 45 stagiaires développe actuellement des compétences essentielles en construction au niveau de notre centre.

    La formation permet à Petrofac de transférer à la chaîne d’approvisionnement locale, ses connaissances approfondies et son expérience dans les métiers clés, ce qui améliore la sécurité et la qualité de nos propres projets et ceux de l’ensemble de l’Algérie.

    Petrofac est une entreprise active, engagée et créatrice d’emplois. Nous souhaitons participer aux développements futurs en Algérie et maintenir notre présence de longue date dans le pays. »

    A propos de Petrofac Algérie

    Petrofac Algérie existe depuis 1997, année de l’ouverture de ses premiers bureaux à Alger. Depuis, la société a développé bon nombre de projets actifs pétroliers et gaziers les plus importants du pays, avec une expérience impressionnante dans l’exécution de projets, étayée par un engagement à soutenir le programme de nationalisation et à développer la main-d’œuvre locale. Petrofac Algérie a entrepris 14 projets dans le pays, dont certains sont en cours de réalisation.

    En 2018, Petrofac a remporté un contrat d’ingénierie, d’approvisionnement et de construction (EPC) avec Sonatrach pour le projet de développement sur le terrain de Tinrhert.

    Cette opération a été suivie en mars 2019 par un contrat avec Groupement Isarene, le groupe opérationnel conjoint mis en place par Sonatrach et Petroceltic pour le projet de développement d’Ain Tsila. Des stagiaires ont été recrutés localement pour soutenir ces derniers projets clés.

    A propos de Petrofac

    Petrofac est un fournisseur international de services de premier plan dans le secteur de la production et du traitement du pétrole et du gaz, avec un portefeuille de clients varié comprenant de nombreuses sociétés pétrolières et gazières intégrées, indépendantes et nationales parmi les plus importantes au monde. Petrofac est coté à la London Stock Exchange (symbole : PFC).

    Petrofac conçoit et construit des installations pétrolières et gazières ; elle gère et entretient les installations et forme le personnel ; améliore la production ; et, là où elle peut exploiter sa capacité de service, développe et co-investit dans des projets en amont et dans des projets d’infrastructure. La gamme de services de Petrofac répond aux besoins de ses clients tout au long du cycle de vie des actifs pétroliers et gaziers.

    Avec 11 500 employés Petrofac opère dans sept centres opérationnels situés à des endroits stratégiques, Aberdeen, Sharjah, Abu Dhabi, Woking, Chennai, Mumbai et Kuala Lumpur. Elle dispose également de 24 bureaux dans le monde entier, y compris à Alger.

    Pour plus d’information, consultez le site Web de Petrofac à l’adresse www.petrofac.com.

  • Formation: l’USTO s’associe aux entreprises

    Formation: l’USTO s’associe aux entreprises

    L’USTO (université des Sciences et de Technologie d’Oran Mohamed Boudiaf)  a conclu, des conventions de partenariat avec cinq entreprises.

    Les documents définissant ces accords de coopération ont été paraphés avec cinq entreprises partenaires,  lors de la rencontre consacrée au programme national «adéquation-formation-emploi-qualification» qui s’est déroulée le 14 février.

    Les nouveaux partenaires de l’USTO  sont le Groupe d’industrie mécanique AGM, la compagnie maritime CNAN-Nord, le constructeur automobile Renault Algérie Production (RAP), la société d’exploitation des tramways d’Oran (Setram) et la Caisse nationale du logement (CNL).

    Les domaines investis par ces entreprises cadrent parfaitement avec les objectifs de professionnalisation des parcours de formation universitaires ciblés par ce programme national.

    Aussi, cinq filières dispensées à l’USTO en voie de professionnalisation,  sont liées aux énergies renouvelables, au génie civil, à la gestion portuaire, au génie des matériaux, et à l’informatique.

    La rencontre a vu la participation de plusieurs opérateurs économiques et cadres centraux des secteurs partenaires qui ont également évoqué les plans d’actions portant professionnalisation des formations dans deux autres universités du pays, à savoir l’USTHB (Alger) et l’UKMO (Ouargla).

    Les filières retenues pour l’USTHB sont la chimie (industries papetières), les énergies renouvelables, le génie mécanique (maintenance et fabrication) et les mathématiques, tandis que l’UKMO se focalisera sur l’agriculture saharienne, l’aquaculture, les énergies renouvelables et les hydrocarbures.

    Ce programme, qui s’inscrit dans le cadre de la coopération entre l’Algérie et l’Union européenne (UE) et est placé sous l’égide du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, vise à renforcer l’employabilité des jeunes diplômés est mis en œuvre par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, et de la Formation et de l’Enseignement professionnels.

    Salim Oukaci

  • Ooredoo organise une formation sur le journalisme numérique

    Ooredoo organise une formation sur le journalisme numérique

    Ooredoo poursuit son programme de formation dédié aux journalistes et professionnels des médias algériens en organisant,  ce jeudi 06 décembre 2018, la 64ème session de formation de son Club de presse au niveau de son institut, sis à Tixeraïne (Alger).

    Cette session de formation sous le thème : « Le journalisme numérique : une nouvelle méthode du journalisme et de l’homme numérique », a été animée par M. M’Hamed Bitouri, Docteur en Psychologie et Expert international en Ressources humaines et en Communication. Dans son introduction, Dr. Bitouri a défini les principes du Journalisme Assisté par Ordinateur (JAO) qui est une nouvelle méthode de journalisme qui utilise notamment les outils numériques et le réseautage social et qui a bousculé les modèles économiques classiques.

    Cette nouvelle forme de source d’informations constitue une véritable innovation qui donne un nouveau pouvoir à des individus grâce aux nouvelles technologies mobiles. Le formateur a également indiqué que le journalisme numérique a un impact important sur le paysage de l’information qui connaît une réelle mutation grâce aux faibles barrières et la rapidité de diffusion qu’offrent ces outils technologiques.

    Poursuivant la formation, Dr. Bitouri a évoqué les 10 compétences clefs du journalisme numérique notamment : le goût pour l’expérimentation, l’invention de nouvelles écritures et de nouvelles formes de narration ; savoir se servir de cameras vidéos, d’appareils photos et de téléphones portables ;  connaitre les bases juridiques des copyrights sur Internet ainsi qu’une maitrise des méthodes d’exploitation des réseaux sociaux et des sites contributifs pour diffuser l’information.

    Dr. Bitouri a souligné dans sa conclusion, la nécessité pour les médias professionnels de s’adapter au fonctionnement du journalisme numérique.

    La 64ème session de formation s’inscrit dans la série des formations dispensées par Ooredoo depuis la création de son Club de Presse en 2006. A ce jour, 64 sessions de formation ont été assurées, dont 8 en régions pour les journalistes correspondants.

     Biographie succincte de Dr. M’hamed Bitouri

    Docteur en psychologie, expert à la Banque Mondiale et expert en Communication et en Ressources humaines, il intervient régulièrement en qualité de coach pédagogique pour les doctorants en psychologie à l’Université de la Sorbonne (France), à l’Ecole Française des Attachés de Presse et des Métiers de la Communication (EFAP) ainsi qu’à l’Ecole Supérieure de Management de Paris (EMP).

  • Université d’été: l’étudiant convié à créer son entreprise

    Université d’été: l’étudiant convié à créer son entreprise

    La Maison de l’Entrepreneuriat de l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumédiène, en collaboration avec l’ANSEJ-Antenne Alger Est, organisent l’Université d’été «Algeria Summer University » du 18/06/2018 au 20/06/2018 sous le thème : « Étudiant entrepreneur : ne cherchez plus un emploi, créez-le ! ». Annonce un communiqué de  l’ANSEJ-Antenne Alger Est.

    Cet événement, précise cette même source,  proposera aux étudiants un programme de conférences très riche. Les  étudiants auront  à l’occasion de ce rendez-vous estudiantin de l’été 2018,  d’échanger et d’interagir avec les conférenciers à travers les débats et les discussions ouverts sur des thématiques en lien avec le thème principal de l’événement. En somme tout ce qui a trait à la création d’entreprise et à toutes les facilitations accordées  par l’Etat aux jeunes diplômes ou pas dans le cadre de la création d’entreprise et d’emploi.

    Et c’est à ce titre que seront présents lors de cette  importante rencontre , les représentants de  l’administration, notamment celle  des impôts et du commerce , des deux caisses d’assurances sociales la CNAS et  la CASNOS , l’ Agence Nationale de l’Emploi et les banques.

    L’objectif visé par l’organisation de ces journées de l’université d’été étant  de contribuer à développer l’esprit «d’entrepreneuriat» dans le milieu estudiantin et au-delà, dans toute la société. « Il s’agit aussi de donner le coup de pouce nécessaire à cette population estudiantine, qui ne manque certainement pas de véritables entrepreneurs en herbe qui peuvent monter leurs propres affaires. Force est de reconnaître qu’ils ont toutes les compétences qu’il faut pour cela, ne manquant réellement que d’informations complémentaires concernant les aspects afférents aux modalités de réalisation d’un projet et à celles concernant sa durabilité». Fait remarquer cette même source.

    Pour rappel, depuis quelques temps déjà, les maisons de l’entrepreneuriat qui sont « accolées » aux universités, en concert avec les antennes locales de l’Ansej et les associations estudiantines multiplient les initiatives pour inculquer la culture entrepreneuriale dans le milieu universitaire.

     

  • Lancement du programme Entrepreneurship, Leadership & Innovation Program- ELIP

    Lancement du programme Entrepreneurship, Leadership & Innovation Program- ELIP

    Entrepreneurship, Leadership & Innovation Program- ELIP est un programme dédié aux étudiants désireux de se lancer dans la création d’entreprise, dans l’optique de construire des success stories algériennes à forte valeur ajoutée, ce dispositif est régi par REG ; une association agréée par l’Etat et soutenu par MIDDLE EAST PARTNERSHIP INITIATIVE (MEPI) une entité de l’ambassade des Etats Unis d’Amérique.

    C’est un programme de soutien  et d’accompagnement pour les futurs étudiants entrepreneurs et les porteurs de projets, dans le cadre de la diversification de l’économie et la lutte contre le chômage des jeunes.Il vise à former et accompagner les futurs entrepreneurs dans une quinzaine de villes algériennes.

    Il permettra de former 1200 étudiants âgés entre 18 et 24 ans, de les accompagner dans la validation de leurs idées et de sélectionner les meilleures d’entre elles. Les porteurs de projet sélectionnés bénéficient de l’expertise d’une équipe de coachs et de mentors d’excellence qui les accompagnent dans le processus de création et d’accélération de leur startup.

    Initié par le Réseau Entrepreneuriat Global, avec le soutien du Middle East Partnership Initiative – MEPI, ce programme, permettra aux étudiants, ayant la volonté d‘entreprendre, de concrétiser et d’accélérer leur startup. La mise à disposition d’outils de suivi permettra de donner aux startups prometteuses, une expertise de niveau international qui facilitera l’accès au marché mondial.

    ELIP aura lieu dans les villes suivantes : Alger (ESI, INPTIC, ENP, USTHB, EPAU), Boumerdes, Blida, Tipaza, Tizi-Ouzou, Tlemcen, Oran, Mostaganem, Béjaïa, Bordj Bou Arreridj, Annaba, Tébessa, Adrar, Biskra, Ghardaïa et Ouargla.

    Durant les mois qui suivent la formation, les startups sélectionnées bénéficieront d’un mentorat continu assuré par des entrepreneurs. Les équipes les plus prometteuses seront accompagnés pour l’accès aux marchés, l’accès aux ressources et les connectera avec des investisseurs qui fournissent aide, soutien et orientation.

    Ce programme  se déroulera du mois de Mars 2018 au mois de Mars 2019. Son objectif est de faire émerger une quarantaine de startups prometteuses et de les accompagner vers le succès et la croissance. Le programme s’articule autour de 5 phases ; Start, Launch, Connect, Accelerate et Win.

    Les différentes étapes du programme

    Première étape de la formation, ELIP START est animé par des formateurs experts dans leur domaine qui vise à développer le potentiel de leader de 1200 étudiants (60 par campus) et de valider les meilleures idées.

    Ce programme se déroule sur 5 jours et comprend des ateliers sur le leadership, le design thinking, le processus d’idéation et le prototypage.

    A l’issue d’ELIP Start, chaque étudiant présentera son idée de projet devant le jury dans une« bataille des idées ». Cet exercice permettra de sélectionner les meilleures idées innovantes. Cette session est animée par des spécialistes en leadership et idéation. ELIP Start  aura lieu entre février 2018 et juin 2018 dans vingt campus.

    ELIP LAUNCH : Seconde étape de la formation, ELIP LAUNCH dure 5 jours, et abordera le business model et les techniques de pitching. Son objectif est de passer de l’idée de projet à la startup viable.

    Elle fournira notamment les clefs de l’utilisation du Business Model Canevas pour la détermination de la proposition de valeur, des segments de clientèle et de tout ce qui a trait à la profitabilité du projet. ELIP Launch est réservé aux 800 étudiants (40 par campus) sélectionnés dans ELIP Start et permet de sélectionner les meilleures startups. ELIP Launch se déroulera de février 2018 à juin 2018 au sein des 20 campus mentionnés plus haut.

    ELIP CONNECT :Troisième étape du programme d’accompagnement qui durera plus de 2 mois, avec 320 sessions de coaching et mentorat personnaliséspour 400 étudiants (5 startups par campus), avec des professionnels, permettant d’accompagner les startups dans chaque étape de développement de leur projet : création, lancement, croissance et développement ainsi que détailler tous les aspects relatifs à la startup : juridiques, financières, équipes, etc. Les séances de coaching et de mentorat sont assurées par des consultants experts dans différents domaines dont le marketing, les finances et la relation avec la banque, la communication. ELIP Connect se déroulera de juillet 2018 à septembre 2018.

    ELIP ACCELERATE :Quatrième étape du programme qui soutient les startups innovantes et prometteuses dans leur croissance en leur proposant un déroulé d’accélération intensif de  6 mois. Les startups accélérées bénéficient des conseils d’un réseau d’experts et de mentors, de financeurs et d’investisseurs potentiels de premier plan. A travers des sessions one-on-one en présentiel ou en ligne, les mentors assurent aux 40 jeunes startups un suivi personnalisé et un accompagnement vers la croissance.

    ELIP Accelerate se déroulera du 1er octobre 2018  au 31 mars 2019.

    ELIP WIN est la dernière étape du programme qui clôturera la fin de la formation avec une cérémonie ou les meilleures startups seront primées.

    A propos du  Réseau Entrepreneuriat Global

    C’est une association agréée par l’Etat qui œuvre pour la promotion de l’entrepreneuriat. Connectée  à un réseau mondial, the Global Entrepreneurship Network, qui regroupe aujourd’hui plus de 170 pays, elle offre à ses partenaires et membres un nombre important d’opportunités.

    REG s’engage à promouvoir une culture entrepreneuriale et à bâtir des liens durables entre pouvoirs publics, entrepreneurs et universitaires. Elle se veut aussi un lieu de réseautage et de développement de partenariats d’affaires.

    Elle promeut l’esprit d’entreprises auprès des étudiants, des femmes, et des médias, permettant de les relier à l‘échelle nationale et internationale, par des activités et des programmes, soutenant leur réussite.

  • Gitrama lance son Ecole des métiers

    Gitrama lance son Ecole des métiers

    Le Groupe   d’infrastructures  des travaux maritimes  (Gitrama) créé en juin 2016 est le fruit de la restructuration du secteur des travaux publics. En une année cette nouvelle entité enregistre une belle avancée. Avancée qui se matérialise par la création de l’Ecole des  métiers des travaux publics.  « 70% des effectifs du groupe Gitrama à moins de 40 ans, un vivier qu’il faut former, d’autant que  le Groupe a doté ses filiales d’outils de réalisations sophistiqués nécessitant une certaine connaissance des machines et de leur fonctionnement.» A indiqué  dans un entretien accordé à la revue du SITP 2017 Boualem Akhrouf, Président directeur général du groupe Gitrama.

    Cette école qui est domiciliée au siège de la SONATRO, filiale du Groupe accueillera  dans un premier temps, dès le début de l’année  prochaine,  les conducteurs d’engins. « Cette école s’occupera de la requalification du personnel opérant dans le domaine de la conduite et de et la maintenance (enginistes, conducteurs de travaux, mécaniciens, électriciens, topographes et d’autres métiers en rapport avec notre activité). Cette formation en alternance leur permettra de s’adapter au contexte professionnel tout en requérant la base théorique, indispensable à l’amélioration continue de la qualité des travaux et services. » Précise  Boualem Akhrouf.

    Comprenant des classes de cours, un amphithéâtre, une cantine et dotée d’engins pour les cours pratique, en attendant des cours de maintenance, l’école accueillera, dans un premier temps  les travailleurs des 3 Groupes des travaux publics. Elle pourra une fois ses statuts finalisés dispenser des formations pour toutes les autres entreprises qu’elles soient publiques ou privées.

    S.C