Catégorie : LaUne

  • Bourse de Palestine : 3,2 milliards de dollars de capitalisation contre 100 millions de dollars pour la Bourse d’Alger

    Bourse de Palestine : 3,2 milliards de dollars de capitalisation contre 100 millions de dollars pour la Bourse d’Alger

    La Bourse d’Alger, la SGBV,  et la Bourse de Palestine, la PEX, fêtent cette année leur 19ème anniversaire  de mise en place. Toutefois, les deux institutions financières connaissent des fortunes différentes.

    Si pour la Bourse d’Alger, la capitalisation boursière ne dépasse pas les 100 millions de dollars avec cinq entreprises cotées en bourse activant dans les domaines de l’hôtellerie(1), la pharmacie (2), les assurances(1) et l’agroalimentaire (1),  la Bourse de Palestine, est loin, très loin, devant, et nettement au-dessus, avec une capitalisation qui dépasse les 3,2 milliards de dollars et près d’une cinquantaine d’entreprises cotées en bourse activant dans  les domaines des banques et services financiers, les assurances, la grande distribution, l’industrie et les services

    A titre de comparaison, les transactions à la date du 21 avril donnaient pour la PEX la valeur équivalant à 120 Millions de dinars d’actions El quds index échangées contre environ 1,2  millions de dinars d’actions  Dzairindex pour la Bourse d’Alger.

    La comparaison est sans doute éloquente. Et la différence tout autant.

     

  • Plus de gaz algérien pour la Tunisie ?

    Plus de gaz algérien pour la Tunisie ?

    La Tunisie serait sur le point de solliciter l’Algérie pour plus de quantité de gaz, rapporte la presse tunisienne qui justifie cette démarche par le souci de couvrir les besoins du pays en raison de la situation intérieure et la crise qui le secoue.

    Les gisements  exploités par Petrofac sont au stade de l’épuisement, explique la même source, rappelant que le gaz naturel fourni à la Tunisie provient des gisements exploités par Petrofac dans les îles Kerkennah et qui couvrent que moins de 16 % des besoins de la Tunisie.

    La Tunisie produit  seulement 55% de ses besoins en gaz naturel grâce notamment aux puits de Petrofac à Kerkennah et ceux de British Gaz à Sfax, alors que le reste de ses besoins, estimés à 45%, est fourni par l’Algérie.

  • Le patron de l’ENI en visite secrète à Alger

    Le patron de l’ENI en visite secrète à Alger

    Claudio Descalzi, le directeur exécutif de la compagnie pétrolière italienne ENI, était, hier, «secrètement» venu en Algérie pour rencontrer de hauts responsables algériens. Cette visite serait même  la troisième du genre.

    Selon le journal Echourouk, qui révèle l’information, au cours de son séjour, M. Descalzi a rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre de l’Energie, Salah Khebri et le P-dg de Sonatrach, Amine Mazouzi. Les discussions ont porté sur le partenariat entre les deux pays et les deux entreprises.

    Le même journal a rappelé que  lors de sa dernière visite «secrète» à Alger en novembre dernier,  Descalzi était venu évaluer les possibilités d’investissements dans les énergies renouvelables et renforcer le partenariat dans le domaine énergétique.

    L’entreprise italienne Eni est considérée comme le premier producteur pétrolier étranger en Algérie.

    Et cette visite, comme celles qui l’ont précédée autres, s’est faite discrètement, en raison de la sensibilité du dossier de corruption instruit en Italie, où ENI est impliquée à travers sa filiale Saipem, malgré l’acquittement de l’ancien P-dg d’ENI, Paolo Scaroni, dans le scandale de corruption internationale et de fausses déclarations fiscales.

  • Ooredoo Algérie dépose plainte contre le journal électronique français Mondafrique

    Ooredoo Algérie dépose plainte contre le journal électronique français Mondafrique

    Ooredoo Algérie a annoncé, ce jeudi 21 avril, avoir lancé des « poursuites judiciaires contre « Mondafrique », journal électronique français dirigé par Nicolas Beau. La plainte fait suite à la « à la publication par ce dernier d’informations diffamatoires et calomnieuses » visant Ooredoo, souligne l’opérateur de téléphonie mobile dans un communiqué.

    Dans un article paru aujourd’hui sur son site, « Mondafrique » accuse Ooredoo d’organiser des transferts illégaux de  devises à l’étranger, à travers  le programme T-Start, destiné à promouvoir et financer l’émergence des start-ups en Algérie.

    Ooredoo réagit donc et dénonce « Mondafrique » qui l’accuse d’être au cœur d’un montage financier illégal en Algérie, destiné à transférer illicitement des capitaux en devises à l’étranger.

    L’opérateur de téléphonie mobile dit vouloir « mettre en œuvre toutes les voies de droit nécessaires pour mettre un terme à la stratégie systématique de dénigrement et de calomnie » de ce site internet, conclut le communiqué d’Ooredoo.

    Affaire à suivre…

  • Azouaou Mehmel : les raisons d’un limogeage

    Azouaou Mehmel : les raisons d’un limogeage

    Comme nous vous l’annoncions précédemment, le PDG d’Algérie Telecom, Azouaou Mehmel, a été limogé, hier (https://dzentreprise.net/le-pdg-dalgerie-telecom-limoge/). Nous en savons un peu plus sur ce limogeage qui a été décidé, selon nos sources après que le désormais ex-patron d’AT ait sollicité, sans se référer au ministère de tutelle, le financement pour l’acquisition  d’équipements auprès d’opérateurs français lors des discussions sectorielles tenues en marge  de la dernière visite du premier Ministre français Manuels Valls en Algérie.

    Azouaou Mehmel ne serait pas à sa première imprudence, mais la dernière en date  lui a été fatale compte tenu des circonstances particulières qui ont entouré la visite du premier ministre français en Algérie.

  • Le PDG d’Algérie Telecom limogé

    Le PDG d’Algérie Telecom limogé

    Selon des sources proches du secteur, le PDG d’Algérie Telecom (AT), Azouaou Mehmel, a été limogé hier soir par la ministre de la Poste, des Technologies de l’information et de la Communication, Mme Houda Feraoun.

     

    Les raisons de ce limogeage sont encore inconnues. C’est un cadre d’Algérie Telecom, en l’occurrence le DGA chargé de l’infrastructure technique, qui aurait été installé ce matin pour remplacer Azouaou Mehmel. Pour rappel, ce dernier est en poste depuis le 31 Mars 2012

    Nous reviendrons avec plus de détails sur les raisons de ce limogeage.

  • Les exportations algériennes baissent de 39,65% durant le premier trimestre 2016

    Les exportations algériennes baissent de 39,65% durant le premier trimestre 2016

    Les exportations algériennes baissé de 39,65% durant le premier trimestre 2016 après avoir atteint seulement 5,914 milliards de dollars, contre 9,8 milliards de dollars durant la même période de l’année 2015, selon le Centre national des statistiques des Douanes (Cnis).

    Les importations ont également connu un recul pour les trois premiers mois de l’année en cours, mais à une cadence moins soutenue, atteignant 11,53 mds usd contre 13,264 mds usd au premier trimestre 2015, soit une baisse de 13,07%, indique encore le CNIS.

    Quant au déficit commercial de l’Algérie, il a connu une hausse, après avoir atteint 5,616 mds usd au premier trimestre de l’année 2016, contre 3,464 mds usd à la même période de 2015.

    Le taux de couverture des importations par les exportations a été de 51% entre janvier et mars 2016, contre 74% à la même période de 2015.

    Les hydrocarbures continuent à dominer sensiblement les exportations algériennes avec une part de 93,19% du volume global. Mais la chute des cours du pétrole a encore eu ses effets négatives sur les rentrées provenant de ce secteur qui s’est contenté de 5,511 mds usd durant le premier semestre 2016 contre 9,142 mds usd à la même période de 2015, en recul de 39,72%.

    Même les exportations hors hydrocarbures, qui ont représenté 6,81% du montant global des exportations, ont diminué à 403 millions usd, en baisse de 38,75% par rapport aux trois premiers mois de 2015.

    Les exportations hors hydrocarbures sont composées des demi-produits avec 316 millions usd (contre 542 millions usd en 2015), des biens alimentaires avec 66 millions usd (contre 81 millions usd), des produits bruts avec 12 millions usd (contre 28 millions usd), des biens d’équipement industriels avec 6 millions usd (contre 4 million usd) et des biens de consommation non alimentaires avec 3 millions usd (même montant au 1er trimestre 2015).

    Pour ce qui est des importations, tous les groupes de produits ont connu une baisse durant la période allant de janvier à mars 2016.

    Les produits alimentaires ont reculé à 1,974 md sud (-21,95%), les biens d’équipements industriels à 4,068 mds usd (-13,3%), les biens destinés à l’outil de production à 3,54 millions usd (-9,8%) et les biens de consommation non alimentaires à 1,948 md sud (-8,07%).

     

  • Première plate-forme à avoir introduit le recrutement sur internet : Emploitic. Com souffle sa 10ème bougie

    Première plate-forme à avoir introduit le recrutement sur internet : Emploitic. Com souffle sa 10ème bougie

    Quand la plate forme Emploitic. Com. voit le jour, le marché du recrutement était dominé à 100%  par les journaux et les annonces qu’on y faisait paraitre. Cette situation n’a pas découragé les deux amis, Tarik Metnani et Louai Djaffar, qui sont allés jusqu’au bout de leur idée.   Ils ont finalement eu  raison car, des années après,  la tendance a été inversée et les annonces de recrutements se font aujourd’hui à plus de 80% sur internet. Et, c’est leur plate-forme qui a donné le ton. En 2015, le site enregistre une des meilleures audiences avec 7 millions de visites.

    Son arrivée en 2006 a indéniablement révolutionné les méthodes de recrutement basées alors  sur les annonces de la presse quotidienne.  Proposer une plate-forme pour le recrutement sur internet, voilà une idée peu habituelle à cette époque.  « Même les banquiers nous disaient qu’ils n’avaient jamais entendu parler  de recrutement par Internet » se rappelle Tarik Metnani, co-fondateur et directeur associé d’Emploitic.  Com.  Les deux amis étaient rentrés de France spécialement pour concrétiser leur projet. « J‘ai étudié la communication, Djaffar le management et nous sommes rentrés avec une idée bien définie. Lancer le recrutement sur InternetNous avions aussi la possibilité de concrétiser ce projet à travers le dispositif de soutien à l’emploi des jeunes. C’était une opportunité très intéressante et nous l’avions saisi », nous confie Tarik.    Dix ans après, la micro-entreprise lancée dans le cadre de l’ANSEJ a bien  grandi. Elle emploie une cinquantaine de personnes, tous des jeunes talents  et peut, sans prétention se dire leader dans son domaine grâce à 6000 entreprises clientes, tous secteurs confondus, 60 000 placements depuis sa création mais, aussi par tous les développements qui sont apportés par l’équipe technique, une quinzaine de personnes, à l’outil afin de permettre aux entreprises de mieux gérer le processus de recrutement et, avoir des délais de recrutements plus courts . Un long chemin a été parcouru depuis l’année 2006 grâce à un travail et des efforts continus pour garder la primauté. « Nous sommes les premiers dans ce domaine et sommes de par ce fait, obligés d’innover, de trouver à chaque fois une idée nouvelle ». Ces efforts ont fini par donner des fruits et dés l’année 2008, Emploitic.com devient membre du réseau international The Network, leader mondial en solutions recrutements. En 2010, l’entreprise devient une agence de placement agrée par l’ANEM. Emploitic est un site qui suit la tendance des développements sont assurés pour que le site soit fonctionnel à partir du téléphone mobile. « Après l’avènement de la 3G,   nous avons constaté  que 30% des visiteurs se connectent à partir de leur téléphones portables » nous explique Narimane Saidoun Debbabi, responsable marketing. Emploitic est toujours dans une démarche d’amélioration de ses services. « En 2015, nous avons  entamé la 3ème version du site.  ce travail nous a pris prés d’une année et demi » reconnaît Tarik Metnani qui nous explique aussi que l’entreprise est co-fondatrice du salons « talents et emplois qui est à sa troisième édition, tout comme elle intervient dans les entreprises à travers des rencontres et dans les universités à travers des  ateliers emplois. Toutes ces actions, permettront à l’entreprise de proposer un service global basé sur une technologie innovante et de l’expertise.

    La première valeur c’est l’équipe

    Tout comme l’idée apportée par les deux amis est nouvelle, il faut reconnaître que l’ambiance de travail  de l’équipe, si elle est studieuse, il y a toujours de nouvelles idées à développer, elle n’a en fait rien de conventionnel ou de figé. Une tournée à travers les départements de l’entreprise nous permet de constater la jeunesse de l’équipe. « Une moyenne d’âge de 28ans » et des profils différents, ingénieurs, techniciens…selon la tâche à accomplir. Plus de 50% de l’équipe est constituée de femmes. Des employés en train de bavarder dans une sorte de salon attirent notre attention. « C’est le coin détente de l’entreprise. Les employés peuvent s’y rencontrer pour débattre d’un sujet relatif au travail quand la salle de réunion n’est pas disponible par exemple » nous explique la responsable du marketing qui nous guide à travers les différents services. Le coin est en effet des plus agréables avec des poufs, et une sorte de bibliothèque.  Le vert,  du même ton que celle que l’on retrouve dans le sigle de l’entreprise, nous accompagne tout au long de notre  visite et, explique par son effet antistress  la sérénité que l’on ressent. Nous commençons par le département IT qui s’occupe de la recherche et du développement. « C’est dans ce département que l’on conçoit le site web et où l’on corrige les bugs. ». Viennent  ensuite d’autres départements à savoir, celui du marketing et de communication, « qui est toujours à l’écoute des clients. Là toutes les données sont récupérées pour peaufiner l’outil ». Lors de notre passage au département commercial, les bureaux étaient presque vides «  les commerciaux sont pour la plupart sur le terrain. C’est la nature de leur travail d’aller vers les clients.  Il y a toujours un travail de proximité à faire ». Dans ce département, existent deux services l’un pour les petites et moyennes entreprise ou les grands comptes et un autre spécialement réservé aux entreprises publiques. « Pour les entreprises publiques, nous développons des fonctionnalités  selon un cahier de charge spécifique » nous explique le jeune homme qui s’occupe de ce service. Le service clients est plutôt bien animé. Des jeunes femmes face à leurs PC prennent connaissance des doléances des clients.  « C’est à partir de ce service que remontent toutes les informations utiles  par rapport au site et aux bugs. Les nouveaux clients sont systématiquement orientés vers ce service qui les prend en charge ». Au cours de notre tournée, nous remarquons une salle de sport équipée en appareils modernes « pour que les travailleurs puissent s’y entrainer le temps de la pause ou après les heures de travail ». à Emploitic, l’équipe est vraiment au centre de tout.  « Au départ nous étions deux personnes, l’équipe s’est agrandie au fil des années et des développements. Aujourd’hui, nous sommes une cinquantaine de personnes et travaillons tous pour améliorer nos services et les adapter aux besoins des utilisateurs. C’est-à-dire, envoyer la bonne information à la bonne personne »  indique Tarik Metnani. Que de chemin parcouru depuis le tout début, quand l’entreprise frayait son chemin en essayant d’introduire  Internet comme outil principal de recrutement. Dix années, c’est chose faite et l’entreprise envisage de nouveaux développements comme nous l’explique Louai Djaffar, co-fondateur et directeur général d’Emploitic.com « Notre objectif est d’avoir plus d’impact sur la société dans laquelle nous vivons. Convaincre plus d’entreprises à adhérer. Nous voudrions aussi lancer d’autres produits pour résoudre d’autres problématiques dans la ressource humaine. Par exemple, toucher à la formation à distance pour les salariés, aller aussi dans d’autres pays Africains où la maîtrise de notre métier nous permet de faire beaucoup de choses. Nous voudrions aussi partager notre expérience avec les jeunes générations pour les encourager à entreprendre sur le net.  Nous sommes prêts à les aider à préparer un plan business à lever des financements, comment trouver les premiers clients et surtout à avoir plus d’impact sur l’écosystème web ». Des ambitions qu’il n’est pas difficile de concrétiser mais, pour ce faire, « il faudrait trouver les bonnes personnes. Nous sommes porteurs d’une vision et, si elle n’est pas partagée et portée par ceux qui travaillent avec nous, elle ne sera pas matérialisée » conclue Djaffar Louai.

    Yasmine Meddah

     

  • 150 entreprises tunisiennes installées en Algérie

    150 entreprises tunisiennes installées en Algérie

    150 entreprises tunisiennes sont installées en Algérie, pour un investissement de 200 millions d’euros, à indiqué le chef de la mission commerciale tunisienne à Alger, Riadh Bezzarga.

    Le nombre des entreprises algériennes installées en Tunisie est, par contre, très faible, à souligné M. Bezzarga.

    Selon lui, la règle des 49/51 n’encourage pas l’investissement étrangers en Algérie,  de même que   la réglementation sur les changes en Algérie ne favorise pas l’installation des entreprises algériennes  à l’étranger, contrairement aux entreprises européennes et celles des pays voisins qui sont encouragées et accompagnées par leurs Etats.

  • Le nouveau code de l’investissement devra aboutir avant fin juin

    Le nouveau code de l’investissement devra aboutir avant fin juin

    Le projet de code de l’investissement, dont le texte est en cours d’examen par l’Assemblée populaire nationale (APN), devra aboutir avant juin prochain, a indiqué, dimanche à Abu Dhabi, le ministre de l’Industrie et des mines, Abdessalam Bouchouareb.

    « Le gouvernement algérien a accéléré, durant ces deux dernières années, les réformes économiques pour booster l’économie, dont le nouveau code de l’investissement et de nouvelles mesures pour attirer les investissements, qui devront aboutir durant le premier semestre 2016 », a-t-il affirmé lors de l’ouverture du premier forum d’affaires algéro-émirati tenu dimanche à Abu Dhabi.

    Cette refonte du cadre juridique régissant l’investissement en Algérie s’inscrit, a rappelé M. Bouchouareb, dans le cadre de la politique du gouvernement à diversifier l’économie nationale dans une logique d’import-substitution.

    Le ministre avait présenté, début avril en cours, le projet de révision de la loi sur l’investissement devant la Commission des affaires économiques de l’APN, rappelle-t-on.

    En plus de ce projet, des textes devront être promulgués qui porteront sur les modalités d’application de certaines mesures ne pouvant être incluses dans ce code telles des dispositions des lois de finances ou des recommandations du Doing Business pour améliorer le climat des affaires, explique-t-on.

    A titre d’exemple, il s’agit d’introduire des dispositions facilitant le financement des PME, de stimuler leur compétitivité, de développer l’activité de la sous-traitance et d’adapter les politiques de la formation professionnelle.

    Annoncé depuis l’été 2014, le projet de code de l’investissement devra apporter plusieurs facilitations pour encourager l’industrie nationale en améliorant le climat des affaires.

    Il portera sur quatre volets essentiels: simplification des procédures, adéquation entre le système d’incitations et la politique économique, ajustement du cadre de régulation des Investissements directs étrangers (IDE) et révision du statut et des missions de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) laquelle devra jouer le rôle d’accompagnateur à l’investissement.

    L’actuelle loi sur l’investissement a été promulguée en 2001 et a été modifiée une douzaine de fois.

    APS