Catégorie : LaUne

  • Tahar Hadjar: « il est encore tôt pour se prononcer sur l’ouverture de l’université au privé « 

    Tahar Hadjar: « il est encore tôt pour se prononcer sur l’ouverture de l’université au privé « 

    Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a indiqué jeudi 19 mai que des dossiers pour l’ouverture d’université privée en Algérie ont été déposé au niveau de son ministère. S’exprimant dans le cadre de la deuxième journée dédiée à la relation entreprise-université organisée à Oran par le Forum des chefs d’entreprises FCE ,le ministre a précisé que  les 4 dossiers ont été jugés incomplets . L’ex recteur de l’université d’Alger qui a fait remarquer qu’il est encore tôt de se prononcer sur l’ouverture de la première université privée algérienne a fait savoir que beaucoup d’investisseurs sont intéressés par ce créneau .

    La déclaration du ministre sonne comme un démenti à la déclaration du patron du FCE qui en mars dernier a déclaré que la première université privée algérienne ouvrira ses portes en septembre prochain. Ali Haddad avait également affirmé dans une déclaration faite au journal EChourouk que le projet était ficelé et que l’investisseur et le ministère étaient au stade du choix des filières et des spécialités que devra assurer la première université privée algérienne.

    Pour rappel le cahier de charges relatif à l’investissement dans l’enseignement supérieur avait été élaboré par le ministère en 2014. Une commission chargée d’étudier les dossiers et délivrer les agréments avait été installée la même année.

    R.N

  • Internet: risque de perturbation en raison d’un problème technique sur le câble

    Internet: risque de perturbation en raison d’un problème technique sur le câble

    Un problème technique est survenu ce matin sur le câble sous-marin SMWE4 reliant Annaba à Marseille, ce qui pourrait engendrer des perturbations sur le trafic internet dans les heures qui suivent, annonce Algérie Télécom dans un communiqué.

    « Algérie Télécom tient à rassurer ses clients que le trafic de la bande passante internationale est actuellement sécurisé via la liaison Annaba-Palerme, qui pourrait être renforcée si nécessaire afin d’assurer un trafic internet régulier », indique le communiqué.

    « Les équipes techniques d’Algérie Télécom travaillent de concert avec le centre de supervision du câble sous marin SMWE4 pour localiser le problème et déterminer son origine », peut-on lire.

    « Des informations seront rendues publiques une fois l’origine et la localisation du problème confirmées », promet Algérie Télécom.

  • BEA: Une banque 100% algérienne à l’étranger pour bientôt

    BEA: Une banque 100% algérienne à l’étranger pour bientôt

    Une  banque  100 % algérienne à l’etranger c’est ce qu’ambitionne la BEA a révélé, hier à Alger, son président-directeur général, Mohamed Loukal. «La loi algérienne permet de créer une banque à l’international. On passera certainement par le Conseil de la monnaie et du crédit, entre autres. Mais nous n’avons pas encore déposé de dossier dans ce sens.»

    Nous en sommes au cinquième axe de notre stratégie de développement. Nous avons conforté nos paramètres financiers, ce qui nous permet d’être une banque émergente.

    Et nous ambitionnons donc d’aller à l’international», a déclaré M. Loukal, en marge d’une journée d’information sur l’emprunt obligataire national lancé par l’Etat le 17 avril.

    «La BEA est déjà présente à l’international à travers plusieurs filiales et participations en Europe, aux Emirats arabes unis et au Luxembourg, a-t-il précisé.

    En Algérie, la banque publique disposait en 2013 de plus de 20 participations et filiales, tant industrielles que financières. Lors de la présentation du bilan financier pour l’année 2015, le patron de la BEA a souligné que la banque, dont le client majeur est le groupe Sonatrach, a réussi à atténuer «l’onde de choc externe» liée la baisse drastique des prix de pétrole grâce à ses «capacités de résilience».

    Pour l’exercice 2015, la BEA a réalisé un bénéfice net de 33,4 milliards de dinars, en hausse de 13% par rapport à 2014. La baisse des ressources financières des hydrocarbures (-46% en 2015) a été «largement compensée», d’après M. Loukal, par une hausse de 238 milliards de dinars des ressources d’autres secteurs, provenant à hauteur de 161 milliards de dinars de grandes entreprises hors Sonatrach, de 57 milliards de dinars de PME/PMI et de 20 milliards de dinars des ménages et des particuliers.

    «La diversification du portefeuille de la banque est devenue structurelle. (…) Nos capacités financières restent intactes», a insisté Mohamed Loukal, notant que la BEA a augmenté son capital en décembre 2015, le portant de 100 à 150 milliards de dinars. Pour ce qui est de l’emprunt obligataire national, la BEA a collecté jusque-là plus de 50 milliards de dinars. Une part de 60 à 70% de ce montant a été souscrite par de grandes entreprises publiques, contre 30 à 40% par des entreprises privées et des particuliers.

     

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  • Elle est la première de son genre en Algérie : Iscomarket.com, une bourse d’échange inter-entreprises

    Elle est la première de son genre en Algérie : Iscomarket.com, une bourse d’échange inter-entreprises

    Recourir le moins possible à sa trésorerie par ces temps de crise est le rêve de toute entreprise, un rêve désormais possible avec la plate-forme Iscomarket lancée en février de l’année en cours. Le principe de cette bourse d’échanges  est de vendre et d’acheter des biens et des services sans débourser  le moindre sou grâce à des échanges interentreprises. L’ambition de Mohamed Islem Ayad à travers  cette alternative économique qui est le Bartering, est d’aider les entreprises, surtout celles ne disposant pas de moyens financiers conséquents, à préserver leur trésorerie.

    Il a fallu deux années de réflexions pour que la bourse d’échanges interentreprises voie enfin le jour. Le concept  encore nouveau en Algérie a été lancé durant les années trente aux Etats-Unis et a déjà donné ses preuves.  Elle s’adresse à toutes les entités économiques,  qu’elles soient PME, start-up, entrepreneurs ou industriels, désireux d’avoir plus de croissance, de développer leur activité et surtout d’être plus compétitifs sur le marché. Iscomarket.com propose, à tous ces professionnels de vendre et d’acheter des biens et des services sans avoir recours à l’argent et en effectuant des échanges gagnant- gagnant avec d’autres entreprises. A titre d’exemple, un traiteur peut facilement créer son site Internet en livrant des plats cuisinés aux collaborateurs d’une agence d’internet, pour leur déjeuner. En parallèle, cette agence procède à la création du site web du traiteur sans qu’aucune des deux parties n’ait à débourser de l’argent. L’idée donc est de répondre aux besoins des entreprises sans que cela n’ait une incidence sur leurs moyens financiers. Se regrouper pour échanger leurs produits ou leurs stocks grâce à une procédure simplifiée et dans un cadre juridique sécurisée. Les avantages présentés par cette plate-forme sont innombrables. En effet, elle est un excellent moyen pour  valoriser des machines sous-employées et parfois inutilisés, une main d’œuvre en sous charge ou même des stocks dormants.  Elle est aussi  à même de donner plus de visibilité à l’entreprise dans la mesure où elle permet de mettre la lumière sur des prestations parfois mal connues. Cet échange permet souvent de mettre en contact des entreprises ni clientes ni fournisseurs et donne ainsi lieu à une relation nouvelle et aussi l’achat d’un produit  testé, ou même un nouveau service, sans pour autant toucher à la trésorerie. L’autre avantage de la plate-forme est d’offrir un accès gratuit à ceux qui le désirent et une sécurisation de leurs informations.

    K.M.B. redacation@dzentreprise.net

  • Produits pharmaceutique : Une facture de 3 milliards d’euros en 2015

    Produits pharmaceutique : Une facture de 3 milliards d’euros en 2015

    La 9ème  édition des Débats du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a reçu ce mardi  messieurs Mohamed Ayad, directeur général de la Pharmacie centrale des hôpitaux, et Hammou Hafed, directeur général de la pharmacie au ministère de la Santé, qui ont animé un  débat sur la politique des pouvoirs publics en matière d’industrie pharmaceutique

    Pour ce qui est de son développement, Ayad a fait savoir l’existence du plan d’extension de l’activité de la PCH, à la fois sur le plan commerciale et du développement de la production pharmaceutique.

    Hammou Hafed, DG de la pharmacie au ministère de la Santé, a, pour sa part, axé son intervention sur l’industrie pharmaceutique en Algérie, en indiquant que 143 unités de production pharmaceutique sont opérationnelles dont 80 pour les médicaments. Pour ces derniers, M. Hafed a fait une analyse comparative entre 2010 et 2015. Selon lui, en 2010, le nombre de médicaments enregistrés était de 5 800 dont 1/3 était composé de produits fabriqués localement.

    Alors qu’en 2015 le nombre de médicaments enregistrés est de 4 269 (après assainissement de la nomenclature) dont 54% de produits fabriqués localement. La facture globale des produits pharmaceutiques en 2015, a-t-il ajouté, comprend l’ensemble des produits pharmaceutiques (médicaments, dispositifs médicaux, réactifs ou produits dentaires), qu’ils soient fabriqués, importés ou conditionnés, par des opérateurs publics ou privés, a été de 3 076 827 965 euros, dont 2 792 466 956 euros facture du médicament. «La part du médicament importé a baissé de 4,435 % pour l’ensemble des opérateurs, privés et publics (PCH et IPA).

    La part du médicament conditionné a baissé de 61,563% et la facture globale de l’importation de produits pharmaceutiques a, quant à elle, et pour la première fois, baissé de 7%, soit 132 541 208,50 euros. La part du médicament fabriqué a augmenté de 10,36%.

     

     

  • Montants attribués pour l’importation de véhicules : Sovac, Renault et Toyota en tête

    Montants attribués pour l’importation de véhicules : Sovac, Renault et Toyota en tête

    Comme annoncé, le ministère du commerce a   alloué un montant d’un milliard de dollars à une quarantaine de concessionnaires pour l’importation de véhicules au titre de l’année 2016

    Le groupe Sovac,  représentant de VW, Seat, Skoda, Audi et Porsche, obtient le  quota le plus élèvé en terme de valeur soit 148, 7 millions de dollars  pour un volume  de 11 000 véhicules.

    Derrière Sovac, c’est Renault, avec ses deux marques Renault et Dacia, qui se classe en seconde position avec un montant de 130 millions de dollars destinés à l’importation de 15 000 unités, soit le plafond en termes de quotas alloués.

    Toyota, avec un quota de 8 500 véhicules a eu droit à 105 millions de dollars et se positionne en troisième position devant Emine Auto, distributeur de marques chinoises, coréenne et de la marque américaine Ford, avec 67 millions de dollars pour un quota de 4 600 véhicules.

    Emin Auto est talonné par GM Trade (Groupe Maazouz) avec quasiment la même enveloppe pour 5 000 véhicules à importer.

    La marque coréenne Kia a eu droit, quant à elle, à 48 960 000 dollars pour un quota de 6 800 véhicules

    Au chapitre des déceptions, Peugeot , marque habituellement prisée par les Algériens, devra se contenter  d’une enveloppe de 57 millions de dollars pour un quota de 7 000 véhicules seulement

    Pour sa part, Hyundai Motor Algérie,  du groupe Cevital, propriété de Issaad Rabrab, qui a vu son quota réduit à 3 100 véhicules, bénéficie de tout juste 30 millions de dollars.

    Nissan Algérie n’est pas mieux servi que HMA. Pis encore, la marque japonaise représentée par le groupe Hasnaoui a eu droit à un montant de  8 632 000 dollars pour un quota limité à tout juste 830 véhicules.

     

  • Reprise du trafic ferroviaire après plus d’une semaine de grève des conducteurs

    Reprise du trafic ferroviaire après plus d’une semaine de grève des conducteurs

    Le trafic ferroviaire a repris « totalement » à travers l’ensemble du territoire national après plus d’une semaine de grève des conducteurs de trains, a déclaré mardi le directeur général de la Société nationale du transport ferroviaire (SNTF), Yacine Bendjaballah.

    Il a indiqué que le mouvement de protestation enclenché par les conducteurs de trains « inopinément » le 8 mai dernier, à travers les différentes gares d’Alger, de Constantine et d’Oran a pris fin en vertu d’un accord conclu avec les travailleurs portant reprise du protocole d’accord conclu avec la Direction générale durant les premiers jours de la grève.

    La reprise intervient après la réunion tenue lundi soir entre la direction générale de la SNTF et la Fédération nationale des cheminots avec les représentants des grévistes. Il a été convenu d’une « reprise immédiate » du travail.

    Il a souligné à ce propos, que la rencontre « avait été soldée par une décision portant retour au protocole d’accord qui comptait cinq points précédemment soumis à la direction générale de la SNTF ».

    Par ailleurs, le protocole d’accord SNTF/FNC porte sur la plateforme de revendications en date du 12 avril 2016 et qui concerne le repositionnement des mécaniciens selon le niveau d’études exigé.

    M. Bendjaballah a précisé d’autre part, avoir rassuré les conducteurs de trains que cette opération allait être confiée à un bureau d’études externe et que le délai de réalisation de cette étude sera déterminée en fonction des propositions du partenaire retenu qui sera communiqué à la FNC dans un délai n’excédant pas 15 jours.

    L’examen englobera la situation professionnelle de toutes les catégories des travailleurs de la SNTF représentés par 36 sections et ne se cantonnera pas seulement à celle des conducteurs pour éviter toute complication pouvant générer une autre grève à l’avenir, a-t-il enfin dit.

     

  • Le groupe Saidal va exporter ses produits vers 13 pays africains

    Le groupe Saidal va exporter ses produits vers 13 pays africains

    Saidal met le cap sur l’Afrique. Le groupe pharmaceutique algérien va entamer prochainement l’exportation de ses produits vers 13 pays de ce continent, à savoir la Côte d’Ivoire, Gabon, Sénégal, Cameroun, Mali, Congo, République démocratique du Congo (RDC), Niger, Togo, Bénin, Guinée-Bissau, Tchad et Mauritanie.

    L’opération est déjà aux préparatifs depuis « février dernier après la signature par le groupe Saidal d’un accord de partenariat avec un groupe qui prendra en charge la distribution des produits de Saidal dans 13 pays africains », a indiqué à l’APS le directeur général du groupe, Mohamed Hamouche., précisant que la Côte d’Ivoire sera le premier pays à recevoir les produits de Saidal après la visite cette semaine d’experts de ce pays aux unités de production du groupe à Alger, Médéa et Constantine.

    M. Hamouche rappellera aussi que le groupe qu’il dirige avait participé à un appel d’offres en Côte d’Ivoire pour la commercialisation de 50 médicaments destinés notamment aux hôpitaux.

    Selon le même responsable, qui n’a pas révélé la valeur et le volume des médicaments à exporter, cette expérience est à même « d’ouvrir la voie pour le groupe d’élargir l’opération vers d’autres pays ».

     

     

     

     

  • Le baril de Brent proche des 50 dollars

    Le baril de Brent proche des 50 dollars

    Le baril de Brent progressait mardi en direction de la barre symbolique des 50 dollars, le cours de l’or noir étant soutenu par les incendies au Canada et les problèmes de production au Nigeria De nouveaux feux de forêts ont éclaté pendant le week-end dans la province canadienne d’Alberta, menaçant la région des sables bitumineux. Sur la quinzaine d’incendies toujours en activité lundi, trois sont totalement hors de contrôle, selon la Première ministre de la province canadienne de l’Alberta, Rachel Notley.

    De son côté, le gouvernement nigérian a rencontré lundi des représentants syndicaux pour tenter d’enrayer un appel à la grève nationale illimitée lancé pour protester contre la hausse de 67% du prix de l’essence à la pompe. Le Nigeria est le premier producteur de pétrole d’Afrique.

    « Les gens guettent n’importe quel signe de baisse de l’offre. Le marché est enthousiasmé par toute information sur des perturbations de la production », a indiqué Peter Lee, analyste chez BMI.

    « Un dépassement du seuil des 50 dollars dans les prochains jours est tout à fait possible. Au second semestre, le pétrole devrait osciller entre 45 et 50 », estime-t-il.

    Les cours ont également été soutenus par des commentaires encourageants de la banque Goldman Sachs sur les perspectives des cours de l’or noir mettant en avant le fait qu’ils pensent que le surplus de l’offre s’est déjà récemment transformé en léger déficit temporaire.

  • Grève à la SNTF: 80 millions de dinars perdus en une semaine

    Grève à la SNTF: 80 millions de dinars perdus en une semaine

    Les pertes essuyées par la Société nationale du transport ferroviaire (SNTF) suite à la grève des conducteurs de train qui boucle sa première semaine ont été estimées à 80 millions de dinars, a indiqué dimanche le directeur général adjoint de la SNTF,  Aktouche Abdelouahab.

    La SNTF enregistre des pertes allant de 10 à 11 millions DA/j, soit un total de plus de 80 millions de dinars après 8 jours de débrayage, a précisé M. Aktouche dans une déclaration à l’APS.

    Outre l’aspect matériel, la SNTF subit un dommage moral qui relève d’une l’atteinte à sa notoriété en tant qu’entreprise « responsable, sérieuse et soucieuse d’offrir un service de qualité à ses clients », a-t-il ajouté.

    Il a, à cette occasion, rappelé la décision de justice portant illégalité de la grève des conducteurs de trains ainsi que les tentatives de la direction générale pour entamer des négociations avec les grévistes.

    Face à cette situation, la direction générale, a-t-il poursuivi, se trouve dans l’obligation d’ »appliquer le règlement intérieur de la SNTF afin que l’entreprise ne reste pas otage des mouvements de grève.

    Pour sa part, le secrétaire général de le Fédération nationale des cheminots (FNC), Abdessalam Albane a fait savoir que les négociations avec les conducteurs grévistes et leurs représentants étaient dans l’ »impasse » du fait de leur attachement à des revendications qui ne peuvent être satisfaites par la SNTF dans l’immédiat.

    Les grévistes n’ont donné aucun préavis de grève ni affiché leur intention dans ce sens bien que la FNC soit la seule partie syndicale habilité à prendre une telle décision.

    Concernant la grève qui se poursuite pour la 8ème journée consécutive, M. Albane a précisé que « chacun doit assumer ses responsabilités », indiquant que la FNC et la SNTF ont toujours prôné le principe du dialogue, sauf que les grévistes « ont décidé de fermer la porte du dialogue et doivent aujourd’hui en assumer la responsabilité, d’autant que la justice a qualifié cette grève d’illégale ».

    Le protocole d’accord SNTF/FNC conclu au premier jour de la grève englobe cinq points précédemment soumis dans une plateforme de revendications à la Direction le 12 avril 2016.

    La plateforme de revendications concerne le repositionnement des mécaniciens selon le niveau d’études exigé, une opération qui sera confiée, selon la direction générale, à un bureau d’études externe.

    Le Directeur général de la Société nationale du transport ferroviaire (SNTF), Yacine Bendjaballah avait indiqué dans une déclaration à l’APS que le bureau d’études définirait les aspects professionnels des travailleurs des 36 filiales de la SNTF. Le partenaire social sera informé des résultats du bureau d’études dans les délais.

     

    Le service minimum a été assuré au 8eme jour de la grève.