Catégorie : National

  • KFC recrute en prévision de l’ouverture de sa première franchise en octobre prochain à Alger

    KFC recrute en prévision de l’ouverture de sa première franchise en octobre prochain à Alger

    Annoncée il y a plusieurs semaines, la marque américaine de la restauration rapide KFC (Kentucky Fried Chicken) vient de confirmer son implantation prochaine en Algérie. Pour preuve, la multinationale de Fastfood, ayant pour spécialité le poulet frit, organise des journées de recrutement du 11 au 13 juin courant.

    Tel que vient de l’annoncer le groupe Azadea, leader de la vente au détail dans la région MENA (Moyen orient, Afrique du Nord), à qui KFC a attribué la franchise de son implantation en Algérie, la campagne de recrutement en question vise à embaucher une centaine d’employés de différents  grades, dont gérant de restaurant, des assistants, des superviseurs, des teams members et autres en prévision de l’ouverture de son premier restaurant en octobre prochain Alger.

    Sis à Daly Brahim, dans la banlieue ouest d’Alger, cette première franchise du leader américain du poulet frit s’étale sur une superficie de 400 m2, alors que, à moyen terme, la marque vise à s’élargir à d’autres wilayas à l’est et ouest du pays, ce qui générera au total quelque 500 nouveaux emplois, annoncent les responsables du projet.

    Pour les journées de recrutement qui auront lieu la semaine prochaine à l’hôtel Holiday Inn de Cheraga, le groupe Azadea semble vouloir faciliter la tâche aux candidats potentiels, à qui il n’est demandé que de se présenter munis d’un CV, sans aucune condition d’expérience à priori.

    S’exprimant à la fin mai dernier sur cette nouvelle implantation sur le marché algérien, le directeur général de KFC de la région MENA, Menapakt et Inde, Samir Menon, déclare que «nous sommes ravis de lancer officiellement KFC en Algérie. Nous savons que les Algériens apprécient les plats savoureux, et nous sommes convaincus que KFC répondra à leurs attentes. Notre partenariat avec Azadea témoigne de notre engagement envers la qualité et la satisfaction des clients».

    La célèbre marque américaine de restauration rapide appartenant au groupe Yum ! Brands, tout comme Pizza Hut et Taco Bell, totalise 26 000 KFC à travers le monde, tandis que les deux autres enseignes en comptent 27 000, réalisant un chiffre d’affaires qui a atteint 6,5 milliards de dollars en 2021. En Afrique, KFC est implanté dans 25 pays, avec des perspectives de s’élargir à d’autres pays du continent.

    M. N.

  • Accaparement des terres de l’Etat : durcissement des sanctions pénales

    Accaparement des terres de l’Etat : durcissement des sanctions pénales

    Après avoir mené de multiples opérations de récupération de terres attribuées à des porteurs de projets d’investissement, que ce soit agricole, industriel ou autre, mais sans qu’ils ne soient réalisés, les pouvoirs publics viennent de passer à une nouvelle étape dans leur politique visant à mettre fin à toute forme d’accaparement du foncier du domaine privé et/ou public de l’Etat.

    C’est cette volonté qu’exprime en effet la conception d’un avant-projet de loi portant protection des terres de l’Etat, que le ministre de la Justice et garde des sceaux, Abderrached Tabi, vient de présenter ce lundi devant la Commission des affaires juridiques et des libertés de l’APN, annonce un communiqué mis en ligne sur le site du département ministériel.

    Préparé sur la base des instructions formulées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, réitérant sans cesse sa détermination à mener jusqu’au bout la lutte contre l’agression et la dégradation de la propriété publique, à travers le durcissement des sanctions à l’encontre de ceux qui s’en rendent coupables, le nouveau projet de loi prévoit ainsi des sanctions pénales allant jusqu’à 15 ans d’emprisonnement et des amendes pouvant atteindre 1,5 million de dinars à l’encontre de tout contrevenant.

    Tel qu’il se décline dans sa nouvelle mouture, le nouveau projet de loi que vient de présenter le ministre de la Justice devant les membres de la Commission des affaires juridiques de la chambre basse du Parlement comprend trois axes principaux, qui sont le renforcement des mesures de protection des terres relevant du domaine de l’Etat, la lutte contre les constructions illicites sur les terrains publics ainsi que le durcissement des sanctions pénales contre ces formes d’atteinte aux biens de l’Etat.

    Des responsabilités à assumer par les autorités locales

    Lors de sa présentation en réunion du gouvernement en mai dernier, l’exposé du projet de loi en question met l’accent notamment sur l’assainissement de l’épineux dossier de terrains accaparés par d’ «indus occupants» , d’une part, et sur la responsabilisation des collectivités locales dans le processus de récupération des terres publiques illégalement occupées et leur protection.

    Après avoir été revue, la nouvelle mouture du projet de loi en question exposée par le ministre de la Justice devant les membres de l’Exécutif le 10 mai dernier est qualifiée, selon le communiqué du gouvernement, comme étant «adaptée en fonction des directives édictées par Monsieur le Président de la République lors du dernier Conseil des ministres, notamment à travers l’obligation faite aux autorités locales d’assumer la protection des terres récupérées dès les premières heures suivant l’achèvement du relogement de leurs indus occupants, l’application de mesures coercitives à l’encontre de toute personne impliquée ou responsable de l’accaparement de terres de l’Etat, en leur imposant les peines les plus sévères, en sus de la restauration de l’autorité de l’Etat en la matière, en toute transparence, avec la protection des droits des citoyens».

    Ce nouveau projet de loi vient ainsi s’ajouter aux différentes autres mesures prises dans ce sens visant à assurer une gestion rationnelle des ressources foncières relevant du domaine étatique et garantir leur protection.

    Dans le même registre, faut-il rappeler, d’importantes parcelles attribuées précédemment à des porteurs de projets d’investissement mais non exploitées ou détournées de leur vocation initiale ont été récupérées par les services de l’Etat. Dans ce cadre, pas moins de 750 000 hectares de terres agricoles censés accueillir des investissements agricoles ont été récupérées en 2022 par le ministère de l’Agriculture et du développement rural pour leur réattribution à de nouveaux bénéficiaires.

    Au sein des zones industrielles et d’activités, d’importants lots ont été également récupérés pour les mêmes motifs. Près de 15 000 hectares relevant du foncier industriel ont été ainsi récupérés durant l’année 2022, a annoncé le ministère de l’Industrie et des mines.

    Mohamed Naïli

  • CNRC : Le CARE dénonce le verrouillage de l’information financière

    CNRC : Le CARE dénonce le verrouillage de l’information financière

    Dans une note qu’il vient de rendre publique ce samedi, le CARE (Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise) vient de faire état d’une sorte de verrouillage de l’information financière au sein du CNRC (Centre national du registre de commerce), une situation jugée «surprenante», en refusant l’accès aux comptes sociaux des entreprises.

    Dans cette note, intitulée «Le CNRC doit laisser ouvert l’accès à l’information financière des entreprises », le CARE affirme que de nombreuses entreprises, analystes et observateurs de l’économie algérienne ont attiré son attention «au sujet de la décision surprenante qui vient d’être prise, depuis quelques mois déjà, par les responsables du CNRC, consistant à refuser l’accès à la base de données des comptes sociaux des entreprises ».

    Cette situation est ainsi perçue par le Think Tank présidé par Me Hind Benmiloud comme anormale dès lors que «le principe même de l’obligation de dépôt des comptes sociaux ne se justifie précisément que par la nécessité de garantir leur publication et leur accessibilité pour tous les acteurs économiques ou sociaux, sans distinction». En conséquence, «le CNRC assume de ce fait une mission de service public pour laquelle il est du reste rémunéré, sachant que le dépôt des comptes donne lieu à un paiement par les entreprises», précise encore le CARE.

    En se référant à la loi 04-08 du 14 août 2004 relative aux conditions d’exercice des activités commerciales qui spécifie dans son article 12 que « les publicités légales, pour les personnes morales, ont pour objet de faire connaître aux tiers, le contenu des actes constitutifs de sociétés, les transformations, les modifications ainsi que les opérations portant sur le capital social, les nantissements, les locations-gérances, les ventes de fonds de commerce ainsi que les comptes et avis financiers », le CARE estime que, contrairement à la décision de rendre inaccessible l’information financière sur les entreprises que vient de prendre le CNRC, « la publication des comptes d’entreprise et leur accessibilité pour les tiers répond donc bel et bien à une exigence de transparence qui est consacrée dans la loi algérienne en vigueur».

    Déni d’accès à l’information

    En décidant ainsi de rendre inaccessible les comptes sociaux des entreprises, le CNRC exerce rien d’autre que, selon les termes utilisés par le CARE dans sa note, un «déni d’accès à l’information financière des entreprises (qui) serait difficile à comprendre à un moment où les autorités économiques se sont engagées à stimuler l’investissement productif privé et public, national et étranger, au sein de l’économie algérienne», parce que, estime encore le Think tank, «nul n’ignore que tout projet d’investissement ne se décide qu’après analyse et évaluation financière complète du contexte sectoriel précis dans lequel il est censé intervenir».

    Convaincu que «la libre circulation de l’information financière des entreprises est la base même du fonctionnement des économies modernes», c’est pourquoi d’ailleurs, « la loi régissant l’entrée en bourse oblige les entreprises concernées à rendre publics leurs comptes financiers sur une base semestrielle », le CARE estime que «plus l’information économique et financière sera disponible, plus les entreprises et autres acteurs nationaux ou étrangers seront incités à transiger entre eux au sein de notre économie, et plus il y aura de concurrence et plus les prix des produits et services seront tirés à la baisse». Or, le CNRC, à travers sa démarche de rendre inaccessibles les comptes sociaux des entreprises, semble s’inscrire dans une logique aux antipodes de la vision des pouvoirs publics en matière d’amélioration du climat des affaires sur le marché national, parce que, soulignent les rédacteurs de la note du CARE, «moins l’information économique sera accessible, plus restreint sera le nombre d’acteurs qui voudront transiger sur nos marchés, moins de concurrence il y aura, et plus nous paierons cher les biens et services que nous consommons».

    Enfin, si le CARE considère que cette décision de verrouiller l’accès aux comptes sociaux des entreprises est «surprenante», c’est parce que «ni le CNRC ni son autorité de tutelle n’ont rendu publique une quelconque décision formelle à ce sujet».

    M. Naïli

  • Recettes fiscales : Plus de 2 000 milliards de dinars au premier trimestre 2023

    Recettes fiscales : Plus de 2 000 milliards de dinars au premier trimestre 2023

    Les recettes fiscales ont enregistré une croissance significative durant le premier trimestre de l’année en cours, que ce soit celles relevant de la fiscalité pétrolière ou ordinaire, en dépassant les 2 000 milliards de dinars.

    Selon la Directrice générale des Impôts, Amal Abdelatif, comparativement aux trois premiers mois de l’année 2022, la fiscalité pétrolière enregistré une croissance de 38%, alors que la fiscalité ordinaire a augmenté de 21%.

    Pour la fiscalité pétrolière, les recettes réalisées entre janvier et mars de l’année en cours ont avoisiné les 1 300 milliards de dinars, contre un peu plus de 942 milliards de dinars durant la même période de 2022, selon les précisions de la DG des impôts lors de son passage sur la chaîne TV Echourrouk News ce mardi.

    Cependant, avec des recettes de 791 milliards de dinars de janvier à fin mars dernier, la fiscalité ordinaire a ainsi enregistré une hausse de 21% par rapport aux trois premiers mois de l’année d’avant, où ces recettes ont été d’un peu plus de 650 milliards de dinars seulement. Ce niveau est important dans la mesure où « les déclarations annuelles des entreprises sont toujours en cours, celles-ci étant prorogées jusqu’à la fin du mois de mai courant », a déclaré Amal Abdelatif, ce qui signifie que d’importantes recettes supplémentaires de fiscalité des entreprises seront enregistrées durant le deuxième trimestre de cette année.

    Nouvelles dispositions fiscales

    Revenant sur les facteurs ayant favorisé cette évolution, la première responsable des impôts précise qu’ « il y a, d’un côte, une croissance des activités économiques, mais il y a aussi les effets de la réforme fiscale de 2020, avec les nouvelles dispositions mises en œuvre à  travers les lois de Finances pour 2021 et 2022 », instaurant une nouvelle politique de recouvrement fiscal, qui commencent à se traduire sur le terrain.

    C’est pourquoi donc, explique-t-elle, « en comparant le premier trimestre de l’année en cours à la même période de l’année d’avant, cette évolution se fait remarquer à travers les résultats, que ce soit en termes de recouvrements ou en élargissement de l’assiette fiscale ».

    Parmi les changements qu’ont apportés les nouvelles dispositions introduites par les lois de Finances en question, la DGI site « des procédures qui viennent d’être simplifiées (aux entreprises et agents économiques, ndlr) et leur accompagnement dans leurs démarches administratives relatives à leurs déclarations fiscales et au recouvrement ».

    «Ces nouvelles dispositions ont eu un impact notamment sur les recettes fiscales ordinaires», fait-elle remarquer, soulignant que «les résultats qui viennent d’être obtenus sont en nette croissance, et ce, malgré les différentes mesures de suppression ou d’allégement fiscal qui ont été prises, comme l’annulation de l’impôt sur l’activité professionnelle (IAP) ou des taxes dont certains secteurs ont été exonérés».

    Si la suppression ou l’allégement de certaines taxes n’ont pas impacté les recettes de la fiscalité ordinaire, parce qu’ «il y a eu en parallèle d’autres mesures ayant garanti l’équilibre», a tenu à préciser aussi le DG des impôts.

    M. Naïli

  • Forum des investisseurs algériens : signature d’un accord pour la promotion de l’investissement touristique

    Forum des investisseurs algériens : signature d’un accord pour la promotion de l’investissement touristique

    Le Forum des investisseurs Algériens (FDIA) a conclu hier à Alger un accord de partenariat avec l’Organisation nationale avec la voie authentique des énergies créatives (ORAVAEC) pour la promotion de l’investissement touristique en Algérie.

    L’accord a été signé par le président du FDIA, Mohamed Nadir Hezaimia, et Naïma Tassadit pour l’ORAVAEC, en marge d’une rencontre organisée au siège du Forum sur l’investissement touristique dans notre pays, auquel le gouvernement accorde depuis quelques mois une grande importance, en accordant de nombreux avantages aux éventuels investisseurs que ce soit sur le plan foncier, fiscal ou financier, à travers l’accès aux crédits bancaires entre autres.

    En effet, le développement du tourisme constitue un des axes du programme gouvernemental, qui encourage l’investissement dans un secteur qui reprend son souffle après des décennies de stagnation, à cause entre autre d’une situation sécuritaire défavorable, notamment dans le sud du pays, qui a connu fin 2022 et début 2023 un retour remarquable des touristes étrangers, en plus d’un afflux très important des touristes nationaux.

    Selon le bilan statistique du ministère du Tourisme et de l’Artisanat, le nombre de touriste nationaux et étrangers ayant franchi nos frontières jusqu’à fin 2022 est de 1 398 048 contre 2 864 606 Algériens qui ont préféré passer leurs vacances à l’étranger.

    La rencontre organisée par le Forum des investisseurs a pour but principal « d’offrir aux entrepreneurs une plate-forme pour discuter des pratiques et des stratégies d’investissement mais aussi  de leur offrir un espace pour se connecter entre eux et avec les  professionnels du secteur et débattre de l’importance de l’investissement touristique dans la construction d’une économie forte et constructive », affirme le FDIA, rappelant par la voix de son président « le patrimoine touristique extrêmement riche et varié dont dispose l’Algérie, outre des sites archéologique et historique exceptionnels, les ressources naturelles attrayantes à longueur d’année avec ses montagnes, la mer et une destination tant prisée par tous : le grand sud. Ce qui fait de chacune des régions une destination unique ».

    Dans un communiqué diffusé à la presse, le FDIA affirme que «plusieurs propositions et recommandations ont été présentées en vue de développer et de moderniser le domaine du tourisme afin de générer des opportunités d’investissement réalisables pour augmenter la contribution du secteur au produit intérieur brut et relever les défis pour l’avancement de l’économie nationale en dehors des hydrocarbures, conformément aux recommandations du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune».

    pour rappel, le Forum des investisseurs algériens a été crée fin 2022. En janvier 2023 les activités du Forum sont officiellement lancées .

    Lyès Menacer

  • Djazagro 2023 : forte participation des entreprises et producteurs algériens

    Djazagro 2023 : forte participation des entreprises et producteurs algériens

    Le salon de l’industrie agroalimentaire Djazagro 2023 qui verra la célébration du 20e anniversaire du Djazagro , connaitra cette année une forte participation des entreprises algérienne, a indiqué ce mardi Nabil Bey Boumezrag, directeur de Promosalons et coorganisateur de cet événement, lors d’un point de presse organisé à Alger.

    Le Djazagro 2023 est prévu du 5 au 8 juin prochain au Palais des expositions de la Safex à Alger.

    «Nous avons cette année un retour des exposants internationaux et surtout des entreprises algériennes qui sont venues en force. D’ailleurs, nous avons un problème d’espace et nous continuons à recevoir des demandes de participation », s’est réjoui M. Bey Boumezrag, regrettant de ne pas avoir pu répondre à certaines demandes mais promettant de faire mieux l’année prochaine.

    En effet, environ 150 entreprises algériennes devront être présentes au Djazagro 2023, parmi quelques 600 participants issus de 27 pays, a ajouté M. Bey Boumezrag.

    «Tous types d’entreprises seront présents, à commencer par les producteurs d’ingrédients et d’arômes, ainsi que celles qui produisent des équipements. En résumé, il y aura toute la chaîne de production », a-t-il précisé, soulignant que le secteur dominant est celui des produits finis et de l’emballage.

    «D’année en année, nous constatons une nette amélioration de la qualité des produits des entreprises algériennes qui augmentent aussi le taux d’intégration concernant les producteurs d’équipements destinés à cette industrie », a noté par ailleurs M. Boumezrag.

    Pour rappel, l’industrie agro-alimentaire a enregistré une croissance de 15,1% en 2021, selon l’Office National des Statistiques (ONS). «Un redressement appréciable caractérise les Industries Agroalimentaires dont la variation de la production passe de -0,9% en 2020 à +15,1% en 2021 », note le rapport de l’ONS.

    Concernant les entreprises participantes à Djazagro, « elles sont réparties sur six secteurs : Process pour l’industrie agro-alimentaire, conditionnement et emballage alimentaire, matières premières, ingrédients et additifs, produits alimentaires et boissons, boulangerie et pâtisserie, et, froid industriel et restauration », a expliqué madame Chantal de Lamotte, directrice du salon, précisant que «28% des entreprises participantes activent dans le conditionnement et l’emballage, 40% dans la fabrication du matériel et des équipements pour le process agro-alimentaire, 11% dans les matières premières, les produits semi-finis, les ingrédients et les additifs, 17% dans le secteur de produits alimentaires et des boissons ».

    Lancé l’année dernière, le concours de l’innovation «Djaz’innov » qui récompense les innovations présentées par les exposants est reconduit pour cette édition 2023, a affirmé Mme de Lamotte. Ce concours distingue aussi bien les équipements que les produits et services innovants dans le secteur agro-alimentaire, expliquent encore les organisateurs de cet événement auquel sont attendus quelques 22000 visiteurs professionnels.

    Rendez-vous incontournable de Djazagro, l’Agora des experts sera aussi une occasion pour les participants et les professionnels du secteur pour débattre et échanger sur l’actualité et l’avenir de l’industrie agro-alimentaire durant quatre jours. Plusieurs thématiques liées entre autres à la sécurité sanitaire des aliments, à la végétalisation de l’alimentation, au développement des emballages alimentaires, à la production des fromages et à la tendance nutrition-santé en Algérie seront au cœur des débats de l’Agora des experts, selon le programme fournis par les organisateurs de Djazagro.

    Lyès Menacer

  • ANADE, fermes pilotes, ressources forestières : les orientations du président Tebboune

    ANADE, fermes pilotes, ressources forestières : les orientations du président Tebboune

    Le dossier de l’ex-Agence nationale de soutien et de l’emploi de jeunes (ANSEJ) a fait l’objet ce dimanche d’un examen en réunion du Conseil des ministre, lors duquel le président de la République Abdelmadjid Tebboune a ordonné la mise en place d’une commission chargée de traiter ce sujet, a indiqué un communiqué de la Présidence de la République.

    «Les dossiers de litiges et de corruption découlant des précédentes politiques de la Issaba, dans le cadre de l’ANSEJ, doivent être traités à un autre niveau de compétence, après mise en place d’une commission chargée de les régler de manière définitive, cette mesure ne relevant pas des prérogatives du ministère des Start-up», lit-on dans le communiqué en question, soulignant que « les tâches de cette agence consistent en l’appui et l’accompagnement des jeunes dans leurs activités créatrices de richesses et d’emplois».

    Une enquête a révélé, il y a quelques mois, que l’ex-ANSEJ dont le nom a été changé en l’Agence nationale d’aide au développement des entreprises (ANADE) a financé des centaines de projets fictifs et que des porteurs de projets avaient été escroqués par des fournisseurs, selon un communiqué du ministère de l’économie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises en date du 16 janvier dernier.

    C’est l’ANADE, elle-même, qui a lancé une cette enquête sur ordre des autorités, dans le cadre de sa restructuration.

    «Dans le cadre de la démarche visant à réformer et à restructurer l’ANADE, une analyse de données concernant l’existence des petites entreprises sur le terrain, plus de 22 687 PME ont été visitée durant la période de septembre 2022 à nos jours», avait expliqué à l’époque l’ANADE, précisant que le nombre de sociétés actives était d’à peine 8464, alors que « 12528 PME n’ont aucune existence sur le terrain». La même source avait affirmé aussi que 1448 ont acheté les équipements nécessaires, mais elles ne sont pas en activité».

    Fermes pilotes et richesses forestières : ce qui va changer

    Abordant la question des Fermes pilotes, M. Tebboune a fixé un délai d’un mois pour l’élaboration d’une «nouvelle vision approfondie», estimant que «les résultats de la conception sur les fermes pilotes n’ont pas été à la hauteur des exigences de l’Etat», souligne le communiqué. «Le président de la République a ordonné d’élaborer une nouvelle vision approfondie, à soumettre au plus tard dans un mois, qui dégagerait une approche globale à même de mettre en avant le nouveau rôle de ces fermes et le cadre juridique devant les régir et en préserver la pérennité à travers toutes les régions du pays, en fonction de la vocation agricole de chaque région», explique en effet ce communiqué.

    La création des fermes pilotes remonte à 1982 via un le décret N° 82-19 du 16 janvier de la même année et qui fixe leur « statut-type ». Ce décret, abrogé en 1989, avait offert aux fermes pilotes le statut d’établissements publics à caractère industriel et commercial dotés de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elles remplissent leur mission conformément à un cahier de charges établi par l’administration. Elles sont gérées par un directeur nommé par arrêté du ministre de l’agriculture. Leurs bénéfices sont répartis entre leurs fonds propres (40%) et les fonds de répartitions travailleurs (60%), selon les termes fixés dans le Journal officiel.

    Ce mardi, Abdelmadjid Tebboune a enjoint de «transformer les fermes pilotes en pépinières pour les ressources animales et végétales, soit une locomotive pour la recherche et le développement du secteur agricole, dans le cadre du processus de développement de l’économie nationale», lit-on dans le communiqué de la Présidence de la République, ajoutant que M. Tebboune a également instruit le gouvernement du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane «à l’effet d’accorder davantage de facilitations aux familles algériennes qui s’évertuent à hisser le rendement du secteur agricole, à travers l’exploitation des espaces forestiers, et ce pour doubler les revenus de ces familles de manière optimale et non nuisible au couvert forestier, ni à l’environnement»

    Quant au projet de loi relatif aux forêts et au patrimoine forestier, le président de la République conditionne son approbation par «l’impératif de fixer et déterminer l’objectif de sa révision dans le contexte de l’actualisation et l’adaptation du rôle des forêts et du patrimoine forestier dans le développement et la promotion de l’économie nationale», selon la même source.

    Par ailleurs et concernant le projet de la mine de zinc d’Amizour, dans la wilaya de Béjaïa, Abdelmadjid Tebboune a mis un coup de pression sur l’exécutif en lui ordonnant de «réduire tous les délais liés aux chantiers techniques secondaires pour accélérer l’entrée en exploitation de ce projet, d’autant que l’étape des régularisations administratives est dépassée», ordonnant l’adoption du «système de travail en équipes 24/24, pour faire avancer les travaux, au vu de son impact positif au niveau national».

    Rabah Nadri

  • Agriculture, pouvoir d’achat, EHH et BRICS : Les priorités économiques de Tebboune

    Agriculture, pouvoir d’achat, EHH et BRICS : Les priorités économiques de Tebboune

    Le pouvoir d’achat, les exportations hors hydrocarbures (EHH), l’agriculture, l’eau, l’emploi, les BRICS et l’Afrique. Autant d’axes majeurs de la politique déployée pour la relance de l’économie nationale et la consolidation de la place de l’Algérie sur l’échiquier économique régional et international que vient d’aborder le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors de sa dernière entrevue avec des représentants de la presse nationale.

    Evoquant la question du pouvoir d’achat des ménages, marqué de surcroît ces derniers mois par des fluctuations de prix de plusieurs produits sur le marché, le chef de l’Etat est revenu sur les différentes décisions prises par les pouvoirs publics et annoncées en Conseil des ministres. A cet égard, le chef de l’Etat a réitéré la détermination exprimée pour faire de ces décisions un levier pour «opérer le changement voulu par tous les Algériens et à consacrer un mode de gestion à même de réaliser le développement global».

    Création de 1 300 nouvelles entreprises

    Concernant la lutte contre le chômage par la redynamisation du marché du travail, le président Tebboune a révélé un nombre de 1 300 nouvelles entreprises créées depuis le mois d’octobre de l’année précédente, ce qui a permis la création de pas moins de 52 000 emplois. Cette novelle tendance s’est en conséquence traduite par le recul du nombre de chômeurs, parmi lesquels 20 000 viennent de renoncer à l’allocation chômage dont ils bénéficiaient, après «avoir obtenu des postes d’emploi permanents», a déclaré le président Tebboune.

    La préservation de l’économie nationale contre toutes sortes de dérives et la lutte contre la corruption menée ces trois dernières années ont également été évoquées par le chef de l’Etat, faisant savoir que la récupération de «de fonds et de biens pillés à l’intérieur du pays et à l’étranger» a atteint un équivalent qui dépasse les 22 milliards de dollars, tout en insistant que la bataille contre ce fléau se poursuit et concerne désormais de nouveaux dossiers.

    13 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures

    Ayant fait de la diversification de l’économie et la sortie de la dépendance des recettes pétrolières le pivot de la politique de développement économique mise en œuvre depuis quelques années, le président Tebboune a abordé le dossier des exportations hors hydrocarbures, un domaine dans lequel le gouvernement s’est fixé l’objectif de «13 milliards de dollars d’exportations» de produits autres que le pétrole et le gaz.

    A ce propos, il y a lieu de noter qu’au rythme suivi par l’évolution de la balance commerciale ces deux dernières années, il n’est pas exclu de voir ce challenge réalisé à moyen terme. Après avoir atteint la barre des 5 milliards de dollars en 2021, les exportations hors hydrocarbures ont avoisiné en effet les 7 milliards de dollars l’an dernier, alors qu’elles n’étaient que de 1,7 milliard de dollars en 2019.

    Considéré comme un des piliers stratégiques de la nouvelle dynamique de l’économie nationale, le secteur agricole est au registre des priorités du chef de l’Etat, réitérant hier devant les représentants de la presse sa détermination à « amorcer un nouveau décollage pour l’agriculture algérienne ». Pour ce faire, il a souligné l’importance de mettre à profit les grandes capacités dont dispose l’Algérie et a exhorté les opérateurs du secteur à s’inspirer de l’expérience étrangère, que ce soit en matière de nouvelles techniques de production, d’adaptation aux nouvelles conditions et autres.

    Les BRICS un contrepoids au système économique mondial actuel

    Au volet relatif au déploiement de l’Algérie dans l’espace économique international et africain, le chef de l’Etat est revenu à cette occasion sur la candidature de l’Algérie à l’adhésion au groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du sud), rappelant que cette démarche « aidera l’Algérie en matière de développement plus que toute l’aide apportée à ce jour par les instances financières internationales ».

    Avec cette dernière déclaration, le président Tebboune se joint ainsi aux voix qui s’élèvent de plus en plus, à l’instar du prédisent brésilien Lola Da Silva, lors de sa visite à Pékin en avril dernier, pour remettre en cause la doctrine économique qu’imposent jusqu’ici les puissances industrialisées à travers des institutions comme le FMI et la Banque mondiale, avec tout son lot d’inégalités et d’exclusion que subissent les pays en développement, ceux d’Afrique notamment.

    C’est comme un contrepoids au système économique mondial actuel qu’est donc perçue l’initiative des BRICS, une organisation à laquelle de plus en plus de pays expriment, à l’instar de l’Algérie, le souhait d’adhérer, dont l’Argentine, le Nigéria, l’Egypte, l’Arabie Saoudite, entre autres.

    Sur le continent africain, un espace économique représentant d’importantes opportunités d’exportation pour le produit national et auquel l’Algérie accorde un intérêt grandissant, le chef de l’Etat a annoncé le « lancement par l’Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement, dans un mois, de projets de développement dans des pays africains, à commencer par le Mali et le Niger ». Ces projets concerneront, a tenu à préciser le président Tebboune, les domaines de l’eau, la santé et l’éducation.

    M. Naïli

  • Laziz Faid prône le soutien de l’inclusion financière pour une économie verte et durable

    Laziz Faid prône le soutien de l’inclusion financière pour une économie verte et durable

    Le ministre des Finances, Laziz Faid, a affirmé ce jeudi que l’Algérie continue de s’investir dans le processus de modernisation du secteur bancaire, dans l’objectif de renforcer l’inclusion financière, à travers le renforcement du réseau des agences bancaires numérique à l’échelle nationale, la promotion de la finance islamique, tout en assurant les services de la finance classique, le but étant d’être plus proche du citoyen et au service de l’économie.

    « Le ministère des Finances aspire, dans le cadre de sa stratégie d’appui à l’inclusion financière, à travers certaines activité, axes et réformes, pour améliorer les indicateurs dans toutes les activités économiques et les catégories sociales, plus particulièrement jeunes », dans l’objectif de soutenir le développement durable, a déclaré d’emblée Laziz Faid, dans son allocution à l’occasion de la célébration de la «Journée arabe de l’inclusion financière», à l’Ecole nationale supérieure des statistiques et de l’économie appliquée (ENSSEA) de Koléa (Tipasa).  

    Pour le ministre des Finances, les changements climatiques, à l’origine d’un bouleversement économique et social, à travers le monde, poussent de nombreux pays, dont l’Algérie, à s’orienter prioritairement vers un soutien de plus en plus important au développement de l’économie verte et au développement durable, qui constitue d’ailleurs un des objectifs du millénaire de l’Organisation des nations unies.

    L’objectif de développement verte et durable doit s’appuyer sur le financement qu’offre nos banques nationales qui réponde à deux exigences qui sont, selon Laziz Faid: «le soutien et renforcement des projets innovants qui visent à atténuer des effets du changement climatique, ainsi que l’appui aux projets écoresponsables qui œuvrent à diminuer les gaz à effet de serre, la pollution des sols, des eaux souterraines et de l’espace marin».

    Organisée sous le slogan « L’inclusion financière pour soutenir les efforts de lutte contre les changements climatiques », cette journée a été en effet une occasion pour le ministre des Finances de rappeler que l’Algérie est disposée et veut travailler avec les organisations régionales, continentales et internationales en faveur d’une économie verte et durable, dans le cadre de la lutte contre les effets du changement climatique, dont certains sont le résultat de l’activité humaine.

    Pour Laziz Faid, le choix du pôle universitaire de Koléa, où sont regroupés plusieurs écoles et instituts de formations en lien avec le secteur des Finances, « est la preuve de notre grand intérêt à ancrer l’éducation et la culture financière, en général, et la culture financière verte en particulier ». et  «c’est dans ce cadre que notre pays a décidé en 2016 de participer avec les pays de l’Organisation arabe à la proposition faire par le Gouverneur du Conseil des banques centrales et les institutions financières arabes du Fond arabe pour l’inclusion financière», a-t-il encore souligné.

    Il a une fois encore rappelé «les mesures prises par les pouvoirs publics pour la réalisation de l’inclusion financière requiert la densification et l’élargissement du réseau des agences bancaires numériques et de proximité, en plus du renforcement des prestations du e-paiement, tout en assurant la disponibilité des produits de la finance islamique et classique en fonction des besoins des citoyens», surtout celui habitant dans des régions éloignées.

    Ceci sans oublier « l’actualisation de la loi monétaire et bancaire pour les besoins du lancement de la monnaie numérique nationale et pour l’ouverture d’agences bancaires à l’étranger afin d’accompagner les investisseurs nationaux pour l’exportation », a ajouté le ministre des Finances, assurant que l’objectif est de « parvenir à des prestations financières innovantes permettant au citoyen de bénéficier de produits de qualité ».

    « Les banques nationales sont déterminées à poursuivre l’exécution du processus de développement et de modernisation du secteur, dans le cadre de ce qui va avec les aspirations des autorités publiques, dans l’objectif de servir les personnes et les entreprises», a assuré pour sa part Ali Kadri, vice-président de l’ABEF, dans son intervention. «Notre premier objectif demeure celui de travail à hisser notre industrie monétique et financière à l’échelle nationale et au niveau professionnel», a-t-il ajouté.

    «il s’agit de renforcer le financement des projets, notamment ceux relevant de l’économie verte qui bénéficient d’un grand intérêt de la part des banques nationales, étant conscients des grandes occasions qui peuvent être concrétisées à travers le renforcement de l’inclusion financière, dans le cadre du développement global et durable », a-t-il insisté, rappelant les efforts fournis dans l’appui aux petites et grandes entreprises, en application des orientations et instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et du Gouvernement.

    Lyès Menacer

  • Fiat Al Djazair : baisse sensible des prix des véhicules

    Fiat Al Djazair : baisse sensible des prix des véhicules

    Moins d’un mois après son lancement officiel en Algérie, Fiat Al Djazair, la filiale du Groupe Stellantis, a annoncé, ce matin, une baisse sensible des prix sur certains modèles de véhicules.

    Dans un communiqué parvenu à notre rédaction,  Fiat Al Djazair indique que cette baisse des prix intervient après que la maison-mère a obtenu le label d’origine Europe (EUR 1) pour ses usines européennes qui permet l’exportation de véhicules de l’Union européenne (UE) vers l’Algérie qui a conclu avec l’UE des accords préférentiels et qui permet, entre autres, de bénéficier de droits de douane réduits voire supprimés dans certains cas.

    « C’est dans cette dynamique positive que Fiat souhaite annoncer l’obtention du label d’origine Europe (EUR 1) pour ses usines européennes, qui permet l’accès à des droits de douane plus avantageux (…) Fiat a décidé de faire bénéficier ses clients de cet avantage. Par conséquent, les véhicules particuliers et utilitaires vont permettre de proposer des tarifs encore plus avantageux aux clients », a souligné la même source, précisant que « Cet avantage bénéficiera à l’ensemble des clients de Fiat El Djazaïr, y compris à titre rétroactif pour ceux qui ont déjà effectué des commandes, depuis le début de la commercialisation des véhicules de la marque en Algérie, le 21 mars dernier ».

    Ainsi, le modèle Fiat 500 Hybrid affiché à 2 635 000 de dinars sera cédée à 380 000 de dinars (TTC), alors que la Fiat 500X affichée à 3 790 000 de dinars sera vendue à 3 435 000 de dinars (TTC).

    Aussi, le Doblo, dont le prix initial était à 3 259 000 de dinars est affiché à 2 178 000 de dinars (TTC), alors que le Scud, dont le prix initial était à 3 970 000 de dinars sera affiché à 3 825 000 de dinars (TTC), pendant que le Ducato, dont le prix était affiché à 4 120 000 de dinars est revu à la baisse, soit à 4 019 000 de dinars (TTC).

    En revanche, la Fiat Tipo ne bénéficie pas de cet avantage douanier. Ainsi la finition City sera toujours affichée à 2 995 000 dinars (TTC), alors que la version Life sera cédée à 3 325 000 dinars (TTC).

    Cela étant dit, lors des portes ouvertes récemment organisées à Cheraga, une source proche de Fiat Al Djazair nous a affirmé que les prix de ces véhicules pourraient encore baisser après le début de la production si, notamment, les opérateurs locaux venaient à s’investir dans la sous-traitance.

    Du reste, ajoute Fiat Al Djazair dans son document, « depuis l’annonce de son retour en Algérie, le 19 mars dernier, la marque Fiat connaît un engouement singulier auprès des clients algériens qui s’est illustré par un nombre record de 150 000 visiteurs», estimant que « Fiat a tout de suite séduit les automobilistes algériens, grâce à sa gamme de véhicules particuliers et utilitaires qui allie iconicité, ingéniosité, accessibilité, fiabilité, et qui répond aux besoins des clients particuliers et professionnels de façon optimale».

    Tout en rassurant sa clientèle, Fiat Al Djazair indique avoir mobilisé son réseau de distribution constitué, pour le moment, de 28 points de vente, pour répondre à la forte demande du marché automobile algérien.

    Farid Belgacem