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  • APO Group soutient les gouvernements africains dans la lutte contre le COVID-19

    APO Group soutient les gouvernements africains dans la lutte contre le COVID-19

    APO Group , le principal cabinet panafricain de conseil en communication et de conseil aux entreprises, a annoncé qu’il allait soutenir la diffusion auprès de la presse et du public des informations émises par les gouvernements africains au sujet du coronavirus.

    APO Group rassemblera la totalité du contenu pertinent émis par les gouvernements africains et le diffusera gratuitement par le biais de son service de distribution de communiqués de presse, et d’un tag ‘Coronavirus’ spécialement conçue à cet effet (https://bit.ly/APOcoroTag) sur https://www.Africa-Newsroom.com/. Les informations publiées par les gouvernements seront distribuées en anglais, français, portugais et arabe.

    APO Group est le leader de la distribution de communiqués de presse en Afrique et diffuse du contenu auprès de plus de 400.000 journalistes africains ou couvrant l’actualité du continent.

    Parmi les ministères de la santé qui vont immédiatement bénéficier de cette initiative se trouve notamment les pays suivants : Algérie, Angola, Bénin, Burkina Faso, Cabo Verde, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Djibouti, Égypte, Guinée équatoriale, Érythrée, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Ghana, Guinée, Kenya, Libéria, Madagascar, Mauritanie, Maurice, Maroc, Namibie, Niger, Nigéria, Rwanda, Sénégal, Seychelles, Somalie, Afrique du Sud, Soudan, Tanzanie, Togo, Tunisie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.

    Tout gouvernement, institution ou organisation officielle africaine souhaitant distribuer gratuitement des communiqués de presse sur le coronavirus peut envoyer un email à APO Group à coronavirus@apo-opa.com.

    APO Group distribuera également des communiqués de presse de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), du Bureau régional pour l’Afrique de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS-AFRO) et du Centre Africain de Contrôle et de Prévention des Maladies (Africa CDC).

    « Il est crucial de fournir au public des informations précises sur le COVID-19 », a déclaré le Directeur ad intérim des Urgences régionales de l’OMS pour l’Afrique, le Dr Zabulon Yoti. « Ces efforts des médias contribueront à diffuser des informations potentiellement vitales. »

    « Il est essentiel que les gouvernements africains disposent d’un outil pour faire entendre leur voix », a déclaré le Directeur Général d’APO Group, Lionel Reina. « En allouant des ressources à la gestion de ce service gratuit de distribution de communiqués de presse et à la création d’un tag spécifique sur https://www.Africa-Newsroom.com/ nous aidons les gouvernements africains à communiquer leurs informations à une audience nationale et internationale et nous contribuons à la lutte mondiale contre le virus du mieux qu’il nous est possible. Nous croyons au pouvoir de la communauté, c’est pourquoi nous travaillons en collaboration avec les gouvernements africains, les médias et les journalistes pour aider à communiquer des informations fiables sur le coronavirus. »

    Le tag ‘Coronavirus’ (https://bit.ly/APOcoroTag) est importante car il permet aux journalistes d’accéder en un seul clic à tous les communiqués de presse liés aux coronavirus. Les médias peuvent également s’abonner (www.Africa-Newsroom.com/africarc) par e-mail ou créer un flux RSS pour rester informés des dernières informations émises par le gouvernement au sujet du coronavirus.

    Alors que la pandémie s’intensifie, une communication fiable et en temps voulu, joue un rôle important en aidant les populations à se préparer et à prendre autant de mesures préventives que possible. Mais la diffusion de fausses informations et de rumeurs sur le virus représente un risque majeur, comme l’a récemment souligné le Directeur Général de l’Organisation Mondiale de la Santé. Certaines des plus grands médias sociaux au monde se sont récemment engagés à collaborer pour supprimer les publications trompeuses de leurs plateformes (https://tcrn.ch/2J3MXdR), et les journalistes et les médias travaillent en collaboration pour regrouper des informations exactes et officielles afin de mieux informer le public.

    Une communication claire et précise est essentielle, en particulier dans un environnement où les fausses nouvelles sur le virus ne cessent de se répandre. Cette initiative aidera les gouvernements africains à communiquer un contenu d’actualités authentique et crédible, ainsi qu’à fournir des conseils sur la meilleure façon de lutter contre le coronavirus.

    La réputation d’APO Group en tant que source fiable d’informations a longtemps servi de point de repère contre les fausses nouvelles et est désormais, plus que jamais, essentielle pour lutter contre la désinformation sur COVID-19.

    C’est un rôle qu’APO Group connaît bien. L’entreprise distribue gratuitement les communiqués de presse de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

    Pendant la crise d’Ebola, APO Group a gratuitement apporté son soutien au gouvernement de la Sierra Leone en organisant une série de visioconférences de presse (https://bit.ly/APOfightEbola).

    Le porte-parole du gouvernement Sierra-Léonais, Abdulai Bayraytay, avait alors déclaré : « Les visioconférences de presse sont parvenues à démultiplier l’intérêt de la communauté internationale pour la lutte contre Ebola en Sierra Leone. Grâce à APO Group, nous avons pu faire passer notre message dans le reste du monde et exprimer notre propre point de vue. »

    A propos d’ APO Group

    APO Group a organisé des visioconférences de presse pour les éditions 2018 et 2019 de la Semaine Africaine de la Vaccination (https://bit.ly/2wgpHqp et https://bit.ly/2UaXZ7v).

    APO Group est également le service de distribution de communiqués de presse en Afrique pour plusieurs leaders de l’industrie pharmaceutiques, tels que Merck (également connu sous le nom de MSD), Novartis et la Fondation Merck, entre autres.

    APO Group reste pleinement opérationnel et prêt à accompagner ses clients dans cette crise hors du commun.

    Distribué par APO Group pour APO Group.

  • Amar Belhimer plaide pour la suppression de l’agrément  pour les entreprises de presse.

    Amar Belhimer plaide pour la suppression de l’agrément pour les entreprises de presse.

    Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Amar Belhimer, a plaidé, aujourd’hui à Alger, pour la suppression du système de l’agrément pour la création d’une entreprise de presse.

    « Je prône comme cadre commun d’exercice du métier de journaliste, une matrice qui repose sur l’équation liberté-responsabilité. Elle mettra en harmonie une liberté totale avec abolition du système d’agrément ».

    Pour Amar Belhimer, un journal ou un site électronique est, avant tout, une entreprise pour laquelle il faudra faciliter les démarches.

    En parallèle, le ministre estime que cette liberté d’entreprendre doit être encadrée par un dispositif juridique et responsabiliser les pourvoyeurs de projets.

    « La liberté d’expression doit respecter le droit à l’image d’autrui, l’honneur et la vie privé des personnes ».A affirmé Amar Belhimer.

    Pour lui, cette matrice repose aussi sur des valeurs partagées relatives à l’éthique et la déontologie, ainsi qu’à l’autorégulation et la régulation de la profession ».

    Sur un autre plan Amar Belhimer a indiqué qu’« il n’y a pas une seule entreprise de presse, publique ou privée, qui soit viable. Toutes les entreprises rencontrent aujourd’hui des difficultés, dont celle de s’adapter à des mutations technologiques ».

    « Pour l’instant il n’y a aucun outil financier pour soutenir la presse papier en difficulté puisque le fonds de soutien à la presse n’est plus alimenté depuis 2015 », souligne-t-il.

    Selon le ministre, les seuls soutiens à la presse se limitent aux dettes auprès des imprimeries, la publicité d’Etat et les maisons de la presse qui mettent des locaux à la disposition des titres de la presse au niveau des wilayas.

    Abordant les médias audiovisuels et électroniques, il dira que « les chaînes de télévision relevant du secteur privé seront de droit algérien et nous allons mettre dans la mesure du possible un système qui les mettra sur le satellite algérien Alcomsat-1 ».

    Il ajoutera que « les médias électroniques seront prochainement encadrés juridiquement. Nous sommes engagés à encadrer l’activité de la presse électronique qui réunit pour le moment quelque 150 sites électroniques.

    « Nous leur avons donné l’autorisation d’exercer leurs activités en attendant de les encadrer juridiquement. En Algérie, aucun site électronique n’est bloqué ».

    Rabah Nadri