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  • Oxford Business Group : Etude sur l’économie algérienne post-Covid-19

    Oxford Business Group : Etude sur l’économie algérienne post-Covid-19

    Le cabinet d’intelligence économique et de conseil «Oxford Business Group» (OBG) publie une étude sur les nouveaux indicateurs économiques en Algérie. Produite en collaboration avec Bomare Compagnie, elle met en avant les efforts des autorités du pays pour une relance effective de l’économie algérienne, près de deux années après le début de la pandémie de la Covid-19.

    Le nouveau rapport d’Oxford Business Group est sous le titre : «L’Algérie capitalise sur ses atouts pour diversifier ses exportations». Réparti sur 32 pages, ce travail présenté en anglais, retrace la politique gouvernementale menée sous l’égide du président Tebboune, dans l’objectif de faire de 2022, une année de relance économique par excellence, avec des objectifs d’amélioration du climat des affaires.

    C’est un rapport «ciblé» qui analyse notamment les efforts déployés pour réduire la dépendance aux hydrocarbures, en encourageant l’investissement aussi bien national qu’étranger, dans le domaine de l’industrie, en s’appuyant particulièrement sur le privé.

    «Le rapport revient en détail sur les efforts déployés dans un objectif de reprise économique, insistant entre autres sur le cadre règlementaire en vigueur, les investissements à destination du développement du capital humain, le soutien aux PME et les mesures visant à incorporer davantage les activités de l’économie informelle dans l’économie formelle ou encore la politique de digitalisation» indique un communiqué d’OBG.

    Oxford Business Group «identifie les segments industriels à fort potentiel de croissance, tels que les engrais, l’agro-industrie ou le ciment, illustrant son analyse de nombreux chiffres et graphiques, dans un format clair et accessible». Sont aussi passés au crible, «le développement d’une industrie à plus forte valeur ajoutée et l’essor récent du secteur manufacturier, notamment dans les segments électronique et électroménager».

    « L’Algérie dipose de nombreux avantages compétitifs qui la placent en bonne position pour exporter une gamme de produits variés vers les marchés européens. Tout d’abord, sa proximité géographique avec l’Europe. Si un composant ou un produit fabriqué dans un pays plus lointain, tel que la Chine, peut mettre des semaines à atteindre l’Europe, pour un coût de plusieurs milliers de dollars, l’Algérie peut le fournir plus rapidement et à moindre coût grâce à son emplacement et à des liaisons de transport fiables,» affirme Ali Boumediene qui se dit optimiste quant aux perspectives de diversification de l’économie algérienne. 

    A propos d’Oxford Business Group

    Oxford Business Group (OBG) est un cabinet d’intelligence économique et de conseil présent dans plus de trente pays d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient et des Amériques. La firme produit de l’information stratégique sur les marchés ayant démontré un taux de croissance parmi les plus rapides au monde, afin d’aiguiller les décisions commerciales et d’investissement.  

    Samia Hanifi

  • Oxford Business Group lance un CEO survey Africa dédié au COVID-19

    Oxford Business Group lance un CEO survey Africa dédié au COVID-19

    Une nouvelle édition du CEO Survey sur l’Afrique menée par le cabinet de recherche et de conseil Oxford Business Group (OBG) en partenariat avec BASF examine en détail comment les pays de la région réagissent au Covid-19, quels secteurs de l’économie ont été les plus touchés et sous quelle forme la reprise pourrait se dessiner.

    Oxford Business Group a lancé ses premiers CEO Surveys en 2016 afin de fournir à ses abonnés un aperçu de la confiance des entreprises dans les économies où le cabinet est présent, appelées marchés « Yellow Slice ». Ces enquêtes renommées font aujourd’hui partie intégrante du portefeuille d’outils de recherche de l’entreprise.

    300 cadres dirigeants africains sondés

    Pour évaluer l’impact de la pandémie du coronavirus sur la confiance des entreprises, Oxford Business Group a posé une série de questions à près de 300 cadres dirigeants africains. Les résultats de l’enquête numérique, intitulée « A la loupe : comment réagissent les PDG aux perturbations liées au Covid-19 ? », peuvent être consultés dans leur intégralité sur le site: https://oxfordbusinessgroup.com/blog/souhir-mzali/obg-ceo-surveys/french/la-loupe-comment-reagissent-les-pdg-aux-perturbations-liees-au-covid-19

    Oxford Business Group a demandé aux chefs d’entreprise de s’exprimer sur une série de questions économiques, couvrant notamment les secteurs suivants : la santé, l’industrie locale, l’agriculture et la sécurité alimentaire, et la technologie et l’innovation.

    En complément de l’enquête, la Directrice Editoriale pour l’Afrique d’OBG, Souhir Mzali, livre une analyse approfondie des réponses et du climat économique global dans lequel elles ont été obtenues.

    L’enquête d’Oxford Business Group a été menée la dernière semaine d’avril, alors que de nombreux pays africains avaient déjà pris des mesures rapides pour restreindre la circulation des personnes, des biens et des services, et pour fermer les entreprises non essentielles en raison de la propagation du Covid-19, comme en témoignent les réponses à une question sur la capacité opérationnelle à cette période.

    La majorité (61 %) des personnes interrogées ont déclaré que leurs entreprises fonctionnaient à 1-60 % de leur capacité à l’heure de l’enquête, avec seulement 32 % fonctionnant à 61-100 % et 7 % en fermeture totale.

    Le tourisme et la construction particulièrement touchés

    Le tourisme et la construction ont été particulièrement touchés, avec 80 % et 78 % respectivement des entreprises de ces deux secteurs fonctionnant à 0-20 % de leur capacité.

    Signe que le virus a révélé à quel point l’Afrique était mal préparée pour faire face à une pandémie de l’ampleur du coronavirus après des années de sous-investissement dans les systèmes de santé, une grande majorité (82 %) des dirigeants ont déclaré qu’ils s’attendaient à ce que la pandémie du Covid-19 entraîne une augmentation des dépenses publiques dans le secteur à plus long terme.

    Le Covid-19 a également révélé les faiblesses de longue date des chaînes de valeur et d’approvisionnement, soulignant la forte dépendance de plusieurs nations du continent en matière de produits manufacturés importés pour répondre à la demande intérieure. Sans surprise, étant donné les circonstances, 66 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles jugeaient la pandémie susceptible ou très susceptible de stimuler l’industrie et la fabrication dans leur pays.

    La disponibilité des matières premières menacée selon l’enquête d’Oxford Business Group

    Les matières premières, le transport et la logistique ont été cités respectivement par 28 % et 22 % des dirigeants comme étant la plus grande menace potentielle pour les chaînes d’approvisionnement industrielles.

    « La crise apportera des changements importants, et compte tenu des perturbations au niveau des chaines d’approvisionnement surtout celles associées à la Chine, beaucoup de pays opteront pour l’industrie locale au lieu d’importer, » déclare Khaldoun Bouacida, PDG de BASF au Maghreb et en Afrique de l’ouest.

    Le coronavirus devrait aussi avoir un impact ralentisseur sur le secteur agricole africain, avec des retombées attendues sur la sécurité alimentaire. Pour 44 % des sondés, l’industrie agricole locale serait affectée de manière importante ou très importante. Les trois quarts d’entre eux ont également répondu qu’ils s’attendaient à ce que les prix des denrées alimentaires augmentent quelque peu dans les deux ou trois mois à venir. Ces deux questions ont soulevé plus d’inquiétudes dans les pays d’Afrique subsaharienne.

    Alors que la numérisation apparaît comme déterminante pour aider les entreprises à se relever après la pandémie, plusieurs économies de la région misent déjà sur les technologies innovantes.

    Près de la moitié (48 %) des personnes interrogées ont indiqué que leur entreprise investissait actuellement de manière significative ou très significative dans des solutions technologiques innovantes pour faciliter leurs opérations.

    Un nombre encore plus important (53 %) a déclaré que la crise entraînerait des transformations numériques majeures, de manière significative ou très significative.

    Selon Bouacida, l’Afrique était déjà un continent pionnier dans le domaine digital. « Cette tendance n’en est pas une nouvelle pour l’Afrique. Ceci dit, les autorités par le passé étaient réticentes face à ces outils, mais la crise offre désormais la possibilité à la jeunesse africaine et aux startups de prouver l’inverse. Ceci est une opportunité pour adopter davantage de solutions technologiques et d’outils numériques à l’avenir. »

    Selon Madame Mzali, si l’Afrique occupe une place de choix dans les portefeuilles des entreprises et des investisseurs du monde entier et compte aujourd’hui certaines des économies à la croissance la plus rapide, l’arrivée de la pandémie de Covid-19 a assombri les perspectives prometteuses de l’année.

    « Selon le FMI, l’Afrique devrait connaître en 2020 sa première récession en 25 ans et perdre des milliards de dollars en production », a-t-elle déclaré.

    Souhir Mzali a ajouté que si les solutions numériques répondent à certains besoins immédiats de l’Afrique, l’ampleur du défi à venir et les problèmes urgents que le Covid-19 a mis en lumière ne peuvent être sous-estimés.

    « Au vu de la transformation digitale observée pendant la pandémie, l’accès à Internet apparaît comme un facteur déterminant de la prospérité socio-économique du continent et de sa capacité à créer des emplois et des opportunités dont l’Afrique a tant besoin pour aller de l’avant », a-t-elle noté.

    L’analyse de Souhir Mzali est disponible dans son intégralité sur le Blog d’OBG intitulé ‘Editors’ Blog’. Sont également disponibles des analyses supplémentaires des quatre rédacteurs régionaux d’OBG sur leurs marchés respectifs. Intitulé « Next Frontier », le blog sert de plateforme aux experts d’OBG pour partager leurs réflexions sur les derniers développements concernant les différents secteurs des marchés à forte croissance (plus de 30) couverts par l’activité de recherche du cabinet.

    Les CEO Surveys d’Oxford Business Group font partie du vaste portefeuille d’outils de recherche du Groupe. L’intégralité des résultats des enquêtes est disponible en ligne et en version imprimée.

    Des études similaires sont également en cours dans les nombreux marchés couverts par Oxford Business Group.

    A propos des CEO Surveys

    Cette étude a pour vocation d’évaluer la confiance des chefs d’entreprise (directeur général ou équivalent) et leur vision des conséquences de la Covid-19. Pour cette édition spéciale, l’enquête a été menée en ligne par des employés du cabinet Oxford Business Group, et couvre l’ensemble des industries, tailles d’entreprises et fonctions. Les résultats sont anonymes.

    Notre étude Africa Covid-19 CEO Survey se base sur les réponses de 281 entreprises réparties comme suit, entre autres paramètres :

    • 15,3 % des entreprises interrogées sont originaires d’Egypte
    • 5 % des entreprises interrogées sont originaires du Ghana
    • 17,4 % des entreprises interrogées sont originaires du Kenya
    • 18,5 % des entreprises interrogées sont originaires du Nigeria
    • 10,7 % des entreprises interrogées sont originaires d’Algérie
    • 12,5 % des entreprises interrogées sont originaires de la Côte d’Ivoire
    • 13,9 % des entreprises interrogées sont originaires du Maroc
    • 6,8 % des entreprises interrogées sont originaires de la Tunisie

    A propos d’Oxford Business Group 

    Oxford Business Group (OBG) est un cabinet d’intelligence économique et de conseil présent dans plus de trente pays d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient et des Amériques. La firme produit de l’information stratégique sur les marchés ayant démontré un taux de croissance parmi les plus rapides au monde, afin d’aiguiller les décisions commerciales et d’investissement.

    À travers sa gamme de produits – veille économique : Economic News & Views, sondages OBG CEO Surveys ; événements et conférences; capsules vidéo exclusives : Global Platform, publications annuelles : The Report – et sa division-conseil, Oxford Business Group développe des analyses exhaustives et précises de l’évolution macroéconomique et sectorielle.

    Ces produits d’intelligence économique sont diffusés via différentes plateformes permettant à Oxford Business Group de joindre ses abonnés directs, ainsi que les abonnés de Dow Jones Factiva, Bloomberg Professional Services, Eikon de Refinitiv (anciennement Thomson Reuters), Factset, et plusieurs autres.

     Communiqué de presse

  • OGB: l’industrie pharmaceutique a atteint une croissance de 65% en 2018

    OGB: l’industrie pharmaceutique a atteint une croissance de 65% en 2018

    La portion des médicaments fabriqués en Algérie a connu une croissance importante puisqu’elle  est passée de 25% en 2008 à 65% en 2018, selon le dernier rapport du cabinet Oxford Business Group. Cette croissance à la hausse est corroborée par le président de l’union nationale des opérateurs de pharmacie, Abdelouahed  Kerrar qui s’exprimait lors des deuxièmes journées de l’industrie pharmaceutiques, tenues début décembre à Alger, et avait affirmé que l’industrie nationale pharmaceutique a réalisé une croissance de 17% durant ces dernières années.

    Cette croissance a permis de réduire la facture d’importation des médicaments à 02 milliards de dollars alors qu’elle se chiffrait à 05 milliards de dollars américains en 2008. Une croissance qui répond  aux objectifs des pouvoirs publics d’arriver à couvrir 70% des besoins nationaux en médicaments grâce au développement de la production locales, tous types de médicaments confondus.

    Une croissance encore plus grande dans l’industrie du médicament en Algérie est prévue, selon les rédacteurs du rapport du cabinet Oxford Business Group, et s’étendra à d’autres groupes de médicaments comme ceux pour les maladies lourdes tels le cancer ou les maladies chroniques comme le diabète. Cette nouvelle tendance s’explique par les nouveaux cas de cancer enregistrés chaque année, ils se situent entre 42 000 et 45 000 nouveaux cas. Ces chiffres sont appeler à augmenter pour atteindre 61000 cas en 2025, selon OGB.

    Pour rappel, 354 projets sont en cours de réalisation, dont 92 concernent la production de médicaments et 74 projets connaissent un état d’avancement  dans la production,  a récemment annoncé le ministre de la santé, de la population  et de la réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui.  Ces unités, selon les déclarations du ministre, produisent 2500 classes de médicaments, c’est-à-dire, l’équivalent de 60% du total des médicaments enregistré en Algérie.

    La croissance du secteur du médicament s’explique par les facilitations accordées par l’Etat comme l’octroi des  assiettes foncières pour la réalisation d’usines de production.  Grâce à cette politique, affirme le ministre de la santé, l’industrie du médicament a réussi à couvrir 53% des besoins nationaux en termes de valeur.

    Rania Derouiche

  • Business barometer d’OBG:  les prévisions de croissance continentale sont solides

    Business barometer d’OBG: les prévisions de croissance continentale sont solides

    L’édition de lancement du Business Barometer: Africa CEO Survey, sondage auprès des PDG d’Afrique réalisée par Oxford Business Group (OBG) indique des niveaux de confiance élevés parmi les hauts dirigeants d’entreprise, soutenus par une reprise progressive des prix des matières premières et un secteur tertiaire performant.

    Un accord signé en mars par plus de 40 dirigeants africains pour créer le cadre de référence d’un marché unique de biens et services africains, connu sous le nom de Zone de libre-échange continentale (ZLEC), devrait donner un nouvel élan aux entreprises, même si sa mise en œuvre présentera des défis et que ses retombées mettront un certain temps à se concrétiser.

    Ce nouveau projet d’OBG, le sondage permet au cabinet de recherche et de conseil de renommée mondiale d’ajouter à son portefeuille croissant de Business Barometer une première étude continentale.

    Dans le cadre de son sondage à travers l’Afrique, OBG a rencontré en face à face environ 1000 cadres supérieurs de neuf pays à qui une série de questions a été posée. À partir de ces résultats, OBG a été en mesure d’évaluer et d’analyser la confiance des investisseurs régionaux, tout en notant les différentes perceptions sur le continent.

    Le plus grand nombre de réponses sont parvenues du Maroc, suivi de la Côte d’Ivoire, de l’Égypte, du Nigéria, du Ghana et du Kenya, la portion la plus faible ayant été recueillie en Tanzanie, en Tunisie et en Algérie. Les résultats sont maintenant disponibles sur le blog des rédacteurs d’OBG: https://oxfordbusinessgroup.com/quelle-efficacit%C3%A9-aura-la-zone-de-libre-%C3%A9change-continentale-de-l%E2%80%99afrique

    Près des trois quarts des cadres interrogés (74%) ont déclaré à OBG que leur entreprise était susceptible ou très susceptible de faire un important investissement au cours des 12 prochains mois.

    Une portion encore plus élevée des répondants (84%) voit positivement ou très positivement les conditions commerciales locales, faisant ainsi écho aux prévisions de l’ONU qui évalue à 3,5% la croissance en 2018. Certains cadres interviewés étaient encore plus optimistes par rapport à leur propre marché. Environ 19% des répondants ont déclaré à OBG qu’ils pensaient que la croissance du PIB allait osciller entre 4% et 5%, alors que 18% ont estimé que la croissance de l’économie pourrait atteindre 6%.

    Interrogés sur l’événement externe qui pourrait le plus influencer la croissance à court et moyen terme, la plupart des chefs d’entreprise (34%) ont mentionné une hausse des prix du pétrole, tandis que 31% ont indiqué la recrudescence de l’instabilité dans les pays voisins.

    OBG a également interrogé les PDG concernant les compétences les plus recherchées dans les milieux de travail – un sujet d’actualité en Afrique avec la croissance de la jeune population et l’évolution de l’économie. Près du tiers des répondants (32%) a indiqué que le leadership était la compétence la plus recherchée, loin devant la R&D et le génie qui ont recueilli chacun 16% des parts.

    Commentant les résultats sur son blog, Souhir Mzali, directeur éditorial pour l’Afrique à OBG, affirme que l’accord de la ZLEC signifie l’engagement des 44 signataires à établir un marché unique qui permettrait la libre circulation des personnes et des investissements accrus sur le continent. Toutefois, des questions se posent quant à savoir si l’Afrique est prête pour un tel accord alors que la décision du Nigéria de s’en exclure ne peut pas être ignorée

    « Les avis quant au succès de la ZLEC divergent entre ceux qui considèrent qu’il s’agit d’une mesure déterminante pour favoriser l’intégration économique régionale et ceux qui estiment que les marchés africains ne sont pas préparés à une concurrence accrue », note-t-elle.

    Souhir Mzali ajoute que l’Afrique avait besoin d’aborder des questions fondamentales dont ses lacunes en matière d’infrastructures, l’état de ses réseaux de transport, la bureaucratie et la corruption, pour améliorer significativement le commerce intrarégional. Elle reconnait à la fois que le continent a connu une croissance économique importante depuis le début du siècle, en dépit de ces obstacles.

    « Au fur et à mesure que les classes moyennes et aisées du continent continuent de croitre, les services sont appelés à se développer davantage. Les dépenses des ménages devraient augmenter dans plusieurs secteurs, en particulier dans les TIC, les transports, l’éducation et le logement, écrit-elle. À plus long terme, la création d’emplois pour la population de jeunes toujours croissante sera la clé de la prospérité sociale et économique. »

    L’analyse détaillée des résultats de l’enquête d’OBG par Souhir Mzali se retrouve sur le blog de l’éditeur d’OBG, sous la rubrique « Next Frontier ». Les quatre rédacteurs en chef régionaux d’OBG utilisent la plateforme pour partager leurs analyses des événements les plus récents se déroulant dans les secteurs des 30+ marchés à forte croissance couverts par l’entreprise.

    Le Business Barometer: sondage auprès des PDG d’Afrique est l’un de nombreux outils de recherche offerts par OBG. Les résultats complets de l’enquête sur l’Afrique seront disponibles en ligne et sur papier. Des études similaires sont également en cours dans les autres marchés où OBG est présent.

    A propos de OBG Business Barometer

    Le Business Barometer d’OBG est basé sur les données des entreprises dont le revenu correspond notamment aux paramètres suivants:

    • 16% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés au Maroc
    • 14% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés en Côte d’Ivoire
    • 13% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés en Égypte
    • 11% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés au Nigéria
    • 11% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés au Ghana
    • 10% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés au Kenya
    • 9% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés en Tanzanie
    • 9% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés en Tunisie
    • 8% des dirigeants d’entreprise interrogés étaient basés en Algérie

    A propos d’Oxford Business Group

    OBG est un cabinet d’intelligence économique et de conseil présent dans plus de trente pays à travers le monde, au Moyen Orient, en Afrique, en Asie et en Amérique. En s’appuyant sur des recherches de terrain, OBG fournit de l’information économique sur de nombreux marchés à forte croissance et compte parmi les leaders dans ce domaine. En plus de ses bureaux à Londres, Berlin, Dubaï et Istanbul, le groupe dispose d’équipes dans tous les pays où il opère.

    OBG développe une variété importante d’analyses reprenant l’ensemble des aspects de l’économie de ces pays, notamment les récents développements politico-économiques, le secteur financier, le tourisme, l’énergie, les transports, l’immobilier, les technologies de l’information et de la communication, l’industrie, l’éducation, la santé ainsi que l’agriculture. Le contenu d’OBG est mis à disposition de ses abonnés par le biais de diverses plateformes : Actualités et Tribunes économiques, OBG Business Barometer – CEO Survey, Tables rondes et conférences, Global Platform – entretiens vidéos exclusifs, les publications annuelles The Report, ainsi que son département Conseil.