Catégorie : Tourisme

  • Artisanat: l’Algérie à la 12eme édition du Global village (Dubaï)

    Artisanat: l’Algérie à la 12eme édition du Global village (Dubaï)

    Une centaine d’artisans algériens tous métiers confondus prendra part à la 21e édition de la manifestation Global village qui se déroulera sur 6 mois. De novembre 2016 à avril 2017.

    Le but de la  participation à cet événement planétaire  est, selon le communiqué du ministère délégué chargé de l’Artisanat,  de faire connaitre la destination Algérie à travers des artisans venus des quatre coins du pays. Il s’agira également de promouvoir l’artisanat algérien pour sa commercialisation à l’étranger.

    Selon cette même source, la participation algérienne qui  « s’inscrit dans le cadre de la politique nationale visant la diversification de l’économie nationale hors hydrocarbures » sera entièrement financée par des entreprises algériennes privées qui travaillent pour la promotion des exportations hors hydrocarbures.

    S.A.

  • Plaisance maritime: Le secteur ouvert à l’investissement privé

    Plaisance maritime: Le secteur ouvert à l’investissement privé

    Le ministère des transports a décidé d’ouvrir les activités de plaisance maritime au privé qui pourra investir dans le transport maritime urbain, les balades en mer, la création de bateaux restaurant amarrés à quai ou itinérants…

    C’est Mohamed Ibn Boushaki, directeur général de la Marine marchande et des ports auprès du ministère des Transports et Travaux publics qui a révélé cette information sur les ondes de la chaîne 3 de la Radio nationale.

    L’invité de la rédaction de la trois reconnait le manque de marinas pour accueillir les activités maritimes de plaisance qui accusent un retard énorme. Il ajoute que dans l’attente de création de ces structures, les ports de pêche pourront, pour un temps, s’y substituer.

    Par ailleurs, il a indiqué qu’après les dessertes maritimes de transport de voyageurs reliant dans les deux sens, Alger à El Djamila, puis à Bejaïa, il est prévu d’étendre cette dernière ligne jusqu’au port de Djendjen et inaugurer une troisième reliant, cette fois, la capitale à Tipaza et Cherchell.

    Il fait également état de la création d’une ligne entre le port d’Oran et celui d’Ain El Turk

  • Tourisme: Facilitations de la procédure d’obtention du visa touristique

    Tourisme: Facilitations de la procédure d’obtention du visa touristique

    « Ces facilités et mesures incitatives se résument notamment en l’organisation du transport et des espaces d’accueil et tout ce qui a trait à l’obtention du visa afin de promouvoir la destination touristique Algérie et relancer le secteur en tant que ressource hors hydrocarbures » a déclaré le ministre de l’Aménagement du Territoire, du Tourisme et de l’Artisanat lors de la visite qu’il a effectué hier dans la capitale.

    Amar Ghoul a indiqué à propos de la promotion de la destination Algérie que son département et celui de Ramtane Lamamra  travaillent en étroite collaboration pour dégager une stratégie visant à faire connaitre, à travers les ambassades, le pays et ses potentialités  touristiques.

    Le Sud et le tourisme thermal, religieux et culturel restent un gisement jusque là très peu exploités pour de multiples raisons, notamment le manque des capacités d’accueil, la qualité des services et prestations, la difficulté  de se mouvoir.

    Autant de points noirs pris en charge par le gouvernement , a affirmé le ministre qui indique que toute une batterie de nouvelles  mesures « incitatives» visant à drainer les touristes des pays de l’Europe de l’Est, du Golfe d’Amérique du sud, de la Chine et du Japon.

    R.A.

     

    (suite…)

  • Teixeira Duarte construira la pénétrante du port de Skikda

    Teixeira Duarte construira la pénétrante du port de Skikda

    Il a déjà décroché un marché dans le même segment.

    [dropcap]L[/dropcap]a pénétrante autoroutière reliant le port de Skikda à l’autoroute Est-Ouest, qui s’étend sur 31 kilomètres, sera réalisée par le conglomérat portugais Teixeira qui a remporté le contrat de construction pour un montant de 218 millions d’euros.
    Le conglomérat, à travers sa filiale Engenharia Construccoes, spécialisée dans le BTP, se trouve à la tête d’un consortium regroupant les entreprises algériennes Sero Est Batna et Nardjess Travaux Publics.

    Dans un communiqué publié par la société de construction, il est précisé que le tronçon en question, constitué de deux axes comptant trois voies chacun, doit obligatoirement être achevé dans un délai de 24 mois.
    Selon les termes de la concession accordée par l’agence nationale des autoroutes, 31,2 % du montant sera versé en euros et le reste en dinars algériens.

    Dans un premier temps, la société de BTP portugaise recevra 168 millions du montant global. Le reste lui sera remis à la réception de l’ouvrage.

    Pour rappel, le conglomérat portugais est présent dans 16 pays dont l’Algérie, l’Angola, l’Afrique du Sud, le Maroc, le Cap-Vert, le Mozambique, la Namibie et Sao-Tomé.
    Il intervient dans plusieurs secteurs, à savoir le BTP, la logistique, la cimenterie et l’automobile.
    Basé dans la région de Lisbonne au Portugal, le groupe comptait 13 261 employés en 2014, et compte un chiffre d’affaires de 1,68 million.

    Il faut savoir aussi que le chantier de la pénétrante autoroutière reliant le port de Skikda à l’autoroute Est-Ouest, n’est pas le premier marché remporté par Teixeira Duarte qui, en avril dernier avait décroché un contrat d’un montant de 204 millions d’euros pour construire la liaison autoroutière entre le port de Ténès et l’autoroute Est-Ouest.

  • Tizi-Ouzou : Un forum de formation

    Concilier l’offre et la demande en matière d’emploi.

    [dropcap]L[/dropcap]e forum sur la formation, l’entreprise et l’emploi organisé récemment à la maison de la culture de Tizi-Ouzou a permis à une quarantaine d’opérateurs locaux dans différents secteurs, à savoir le bâtiment, l’industrie, l’agriculture, la pêche, le tourisme et l’artisanat, de se rencontrer pendant deux jours durant lesquels des échanges ont été faits.

    Organisé à l’initiative de la direction locale de l’enseignement et de la formation professionnels, cette rencontre avait pour objectif essentiel de permettre des partenariats entre les structures de formation, les entreprises de production et autres agences de l’emploi.

    «afin de réussir l’insertion professionnelle des jeunes, tant dans le secteur économique ou dans une activité indépendante», explique le directeur local de l’enseignement et de la formation professionnels.
    Et d’ajouter: « C’est surtout une opportunité offerte aux chômeurs pour se rapprocher des employeurs et quêter un emploi.»

    Le directeur de la Chambre de commerce et d’industrie présent à cette rencontre a versé dans le même sens pour dire que « c’est le cadre idoine pour consacrer la cohésion entre les ressources humaines du secteur et les opérateurs économiques.

    Cette rencontre nous a permis de faire un état des lieux du marché local du travail et actualiser la nomenclature du secteur pour la mettre au diapason des besoins exprimés par les employeurs privés et publics ».

    Pour rappel, la wilaya connaît un déficit en main-d’oeuvre qualifiée dans les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l’hydraulique, de l’agriculture et de l’artisanat.

  • Entre pénurie de ciment et hygiène industrielle..

    Pour les professionnels du BTP, c’est pratiquement la quadrature du cercle:
    Comment honorer un copieux carnet de commandes publiques de logements avec une pénurie dramatique de certains types de matériaux de construction, dont le ciment.
    Et, pour aller directement et nommer les choses par leur nom, il faut dire que la pénurie de ciment, sinon le manque récurrent de ce produit sur le marché, perturbe autant les commandes publiques en termes de projets à réaliser dans les secteurs du BTPH qu’une bonne partie de l’activité économique nationale.

    Au point que les professionnels sont montés au créneau pour non pas dénoncer une situation inquiétante, mais proposer des solutions qui paraissent, à leurs yeux, idoines pour mieux gérer le manque de l’offre sur le marché national.

    Quelques chiffres: la vingtaine de cimenteries, publiques et privées, ne produisent que quelques 18 millions de tonnes/an, alors que les besoins incompressibles en ciment sont évaluées à un peu plus de 21 millions de t/an, soit un déficit de plus de trois millions de tonnes par an.
    L’Etat, pour compenser ce déficit, a recours aux importations qui se sont chiffrées au 1er trimestre 2013 à  68,05 millions de dollars contre 36,13 millions de dollars à la même période en 2012, soit une hausse de 88,3%.
    Globalement, l’Algérie a importé durant cette période 795 608 t contre 394 345 t au 1er trimestre 2012.

    C’est dire que la pénurie de ciment, si elle impacte directement le secteur du BTPH (les projets hydrauliques, on le sait, sont également boulimiques en ciment), n’en affecte pas moins les autres secteurs économiques et plus particulièrement l’industrie. Et, dans cet univers, il y a également l’industrie agroalimentaire, une filière en pleine croissance, dopée par une hausse record de la consommation des ménages.
    Une consommation, du reste, soutenue par une revalorisation des salaires, les nouveaux emplois créés dans le BTPH d’ailleurs à la faveur de l’importante commande publique.

    Mais l’industrie de l’agroalimentaire, tout comme les autres secteurs, a son talon d’Achille, celui du respect de l’hygiène industrielle, un secteur qui évolue à l’ombre d’une industrie parallèle, celle des produits chimiques, des adjuvants, des colorants et de l’épaississante et autre gélatine à base chimique et animale.

    Autant de produits qui font tourner l’industrie de l’agroalimentaire pour qu’un pot de Yaourt dure plus d’une semaine, ou qu’une boite d’Ananas nous arrive de la lointaine Thaïlande toute fraîche et bonne à consommer.
    Pour autant, dans cette chaîne entre l’aliment et l’industrie, des maillons risquent, parfois, de disparaître.
    D’où l’importance de l’hygiène industrielle pour la santé des consommateurs.

    Par Ali Sassi

  • Golden Spike Company se lance  dans le tourisme spatial

    Golden Spike Company se lance dans le tourisme spatial

    Vols commerciaux d’exploration lunaire.

    D’anciens hauts responsables de l’agence spatiale américaine, la fameuse Nasa, ont annoncé la création de la société Golden Spike Company qui vise à être la première à « offrir de façon régulière des expéditions sur la surface de la lune », « d’ici à la fin de la décennie ».

    Un vol aller-retour pour deux passagers avec une promenade sur la lune coûtera la bagatelle de 1,5 milliard de dollars, soit 1,15 milliard d’euros.

    Golden Spike mise pour sa part sur l’existence de lanceurs et l’émergence de vaisseaux spatiaux de transport de personnes dans le secteur privé qui réduiront considérablement les coûts des vols commerciaux d’exploration lunaire.

    Les prix proposés sont du même ordre que les budgets déjà consacrés par des pays à des missions robotiques scientifiques lunaires.

    La société espère faire entre 15 et 20 lancements au total.

    Elle compte parmi ses conseillers des personnalités politiques dont l’ancien président de la Chambre des représentants Newt Gingrich, et Bill Richardson, l’ancien ambassadeur américain à l’ONU et ex-secrétaire à l’Energie de l’ancien président Bill Clinton.

  • La Tunisie  veut ouvrir son ciel

    La Tunisie veut ouvrir son ciel

    Démarrage imminent des négociations avec l’UE

    Des négociations avec l’Union européenne ont débuté en octobre dernier pour une ouverture totale du ciel tunisien, qui prendrait, selon le ministre du Tourisme, Elyes Fakhfakh, au moins 4 ans.

    La Tunisie commencerait avec Tozeur et Tabarka, ensuite Djerba et Enfidha, et enfin Monastir et Tunis.

    Le ministre souligne, par ailleurs, que l’Open Sky « est inutile pour le tourisme, sans un produit adapté, sans une communication ciblée et sans une connexion numérique digne de ce nom.

    Il nous faut mettre à profit cette période de négociations pour rattraper notre retard dans ces domaines».

    De son côté, le président- directeur général de la compagnie nationale Tunisair indique que l’ouverture totale du ciel tunisien ne peut se faire sans un redressement de la situation de la compagnie.

    En effet, celle-ci a enregistré une chute de 14% du nombre de voyageurs et 4,8% des recettes d’exploitation.

    Dans un entretien accordé au site Mille et Une Tunisie.com, le président-directeur général a déclaré: «L’Open Sky qui avantage les compagnies européennes serait une catastrophe pour Tunisair.

    Prenons l’exemple du Maroc, l’ouverture du ciel marocain aux compagnies européennes a tout simplement tué la Royal Air Maroc.»

    Or en Tunisie, il faut avant tout, dans le domaine du transport aérien, procéder à une mise à niveau de la Tunisair.»

    Une mise à niveau de la compagnie est donc au menu .

    Parmi les défis à relever ,selon les responsables de la compagnie, figurent l’amélioration de la qualité des prestations, une meilleure compétitivité des tarifs, la fidélisation des clients et la captation de nouveaux.

    La compagnie a acquis début juillet son troisième A 320 et envisage de mettre en place des vols plus longs et notamment en direction de l’Afrique.

  • PME du BTPH et la fiscalité

    PME du BTPH et la fiscalité

    L’AGEA suggère que le taux de la TAP soit ramené de 2% à 1%.

    Premier pourvoyeur d’emplois en Algérie, le secteur du bâtiment rencontre d’énormes contraintes qui l’empêchent d’avancer et de prospérer.

    Et la fiscalité est l’une des principales embuches.

    Le constat est fait par l ’Association générale des entrepreneurs algériens AGEA L’Association a fait savoir par la voix de son président, qu’elle a transmis aux pouvoirs publics des propositions visant à alléger la fiscalité pour les PME du bâtiment notamment une réduction de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP) afin de leur permettre d’améliorer leur compétitivité

    « le taux de la TAP soit ramené de 2% à 1% pour améliorer la situation des entreprises de BTPH qui peinent à s’adapter au contexte économique national  »

    dira Mouloud Kheloufi en marge d’une réunion du bureau national de l’AGEA tenue début juillet .