Catégorie : Centre

  • Médéa: operation d’assainissement du foncier industriel

    Médéa: operation d’assainissement du foncier industriel

    Une procédure de déchéance de droit de concession  de foncier industriel a été engagée récemment dans la wilaya de Médéa à l’encontre  de plusieurs bénéficiaires qui n’ont pas entamé leurs projets, après l’expiration  de la durée légale de trois années, a-t-on appris du directeur de l’industrie  et des mines.

    Cette procédure intervient, suite à la décision prise, en février dernier  par le chef de l’exécutif, lors d’une inspection de différentes zones industrielles  et d’activités de la région, de déchoir de leur droit de concession les investisseurs  qui ont failli à leurs engagements, a indiqué à l’APS, Lotfi Rezzoug.

    Cinq investisseurs sont touchés actuellement par cette mesure, a souligné  ce responsable, précisant qu’une procédure d’annulation du contrat de concession,  délivré dans la cadre Calpiref, a été engagée auprès des tribunaux qui devraient  se prononcer prochainement sur le sujet.

    Une procédure similaire est en cours et concernerait, cette fois,  dix-huit autres investisseurs qui se trouvent dans la même situation, a-t-il  encore ajouté, expliquant que ces dispositions réglementaires ont été prises,  après un constat de carence relevé par la commission de suivi.

    Les lots de terrains récupérés seront mis à la disposition des investisseurs,  après étude et examen des projets proposés à la commission en charge de la validation  et l’agrément de ce type d’investissement, a fait savoir Lotfi Rezzoug, indiquant  que l’opération d’épuration du dossier d’attribution de lots terrain, à vocation  industrielle, va se poursuivre pour cibler l’ensemble des zones industrielles  et d’activités de la région.

    Pour garantir une meilleure gestion de ce foncier industriel, très convoité  par les particuliers, un délai de six mois est accordé au bénéficiaire pour  finaliser les procédures de lancement du projet et entamer, aussitôt, la phase de concrétisation de l’investissement projeté.

    L’investisseur disposera, au terme de cette nouvelle mesure, d’une durée de trois années pour rentrer en phase d’exploitation. Passé ce délai, il se  verra retirer son acte de concession et remplacer automatiquement par un autre  demandeur, selon ce responsable.

  • Tizi Ouzou: un  salon régional de l’agriculture du 5 au 7 mai

    Tizi Ouzou: un salon régional de l’agriculture du 5 au 7 mai

    Tizi Ouzou accueillera du 5 au 7 mai un salon régional de l’agriculture, rapporte l’APS qui cite les organisateurs de ce rendez-vous, à savoir Association nationale  pour la promotion rurale (ANPR) en collaboration avec la direction de wilaya des services agricoles (DSA).

    Près de quarante exposants  issus des wilayas avoisinantes, entre agriculteurs et investisseurs, son attendus au centre scientifique de loisirs (CSL),  lieu de la manifestation. Ils seront regroupés autour d’une exposition de machines, matériel et produits agricoles. Au programme figurent également des conférence-débats sur le thème de la promotion de l’activité agricole. a-t-on appris de même source.

    L’organisation de ce salon vise à «encourager et à promouvoir l’investissement dans le secteur agricole et ce, dans le cadre de la politique nationale portant diversification et renforcement de la production nationale en vue de réduire la facture des importations », indique Abdelghani Benali, président du bureau de wilaya de Tizi-Ouzou de l’ANPR.

  • Le premier catamaran algérien est en cours de construction à Azeffoun

    Le premier catamaran algérien est en cours de construction à Azeffoun

    Le premier catamaran algérien est en cours de construction au chantier naval du port d’Azeffoun, à une soixantaine de kilomètres au nord de Tizi-Ouzou, a annoncé,jeudi, le directeur local de la pêche, des ressources halieutiques et de l’aquaculture (DPRHA), Belaid Abdelhafidh.

    Ce type de bateau à deux coques spécialisé dans l’aquaculture, sera réalisé en fibre de verre. Il sera d’une longueur de 14 mètres et d’une largeur de 6,30 mètres, et doté d’une puissance de 335 CV et d’une grue d’une capacité de levage de 4 tonnes, a-t-on appris de même source.

    La production nationale de catamarans permettra de réduire le prix d’achat de ce type d’embarcations qui sont acquis de pays européens dont l’Italie, l’Espagne et la France, a observé M. Belaid.

    « Les catamarans qui seront fabriqués au chantier de construction et réparation navale, SAKOMAS, d’Azeffoun coûteront moins de 25 millions de dinars, contre 75 millions de dinars pour ceux importés, soit une réduction de deux tiers de la facture », a-t-il précisé.

    En mars dernier le chantier naval SAKOMAS d’Azeffoun avait procédé à la mise à l’eau du plus grand bateau de pêche en fibre de verre construit en Algérie.

    Il s’agit d’un sardinier d’une longueur de 18,90 mètres. La construction de ces embarcations cadre avec la nouvelle politique du secteur de la pêche et des ressources halieutique, orientée vers l’encouragement de l’investissement dans l’activité aquacole en vue de doubler la production halieutique nationale, à horizon 2020, à indiqué le DPRHA.

    Actuellement, cette production nationale est de l’ordre de 100 000 tonnes de poisson/an au moment où la demande exprimée est de 180 000 tonnes/ans.

    Le programme Aquapêche 2020, tracé par le ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, prévoit de porter la production aquacole à 200 000 tonnes/an, par la production de 100 000 tonnes supplémentaires de produits halieutiques issus de l’élevage, a rappelé ce même responsable.(Aps

  • Le futur Grand port du centre (Tipaza) et  celui de Djendjen (Jijel) seront reliés a  l’autoroute est-ouest et la Transsaharienne

    Le futur Grand port du centre (Tipaza) et celui de Djendjen (Jijel) seront reliés a l’autoroute est-ouest et la Transsaharienne

    Le futur Grand port du centre (Tipaza) et  celui de Djendjen (Jijel) seront reliés a  l’autoroute est-ouest et la Transsaharienne, pour développer l économie algérienne et renforcer ses échanges commerciaux avec les pays voisins, a affirmé le ministre des Travaux publics, Abdelkader Ouali. Intervenant lors des travaux de la 64ème session du Comité de liaison de la route transsaharienne (CLRT), tenue mardi à Alger.

     Mais avec la jonction prévue entre les ports algériens et la Transsaharienne, les délais de transport entre l’Algérie et le Mali passeront de 7 à 10 jours contre 60 jours actuellement avec des frais de transport ne dépassant pas les 5% de la valeur des marchandises contre 40% actuellement

     Concernant la réalisation de la transsaharienne, qui s’étendra sur une distance de 9 500 kilomètres et reliant six (6) pays africains (Algérie, Tunisie, Mali, Niger, Tchad et Nigeria), elle connaît un état d’avancement variable. Pour la partie qui concerne l’Algérie, elle est réalisée à 90% avec 2 400 kms réalisés. Selon M. Ouali, de 1999 jusqu’à ce jour, l’Algérie a dégagé une enveloppe de 3 milliards de dollars pour le projet de la Transsaharienne, y compris pour assurer son entretien. Il a également fait savoir que le pays avait lancé des travaux de dédoublement sur cette route sur une distance de 846 kms entre Blida et Ghardaïa, dont 162 kms ont déjà été livrés alors que 57 kms devraient l’être à la fin de la semaine en cours. A la fin de l’année 2016, les travaux de dédoublement atteindront les 70%, a-t-il avancé. A moyen terme, l’objectif est de faire de la Transsaharienne une sorte d’autoroute nord-sud au moins à 50%, a prédit le ministre qui a affirmé que le développement de cette infrastructure routière aurait pour effet d’encourager le développement de zones industrielles et des ports secs dans le sud et de favoriser l’investissement dans les domaines agricole, touristique et industriel. Par ailleurs, il a indiqué que les travaux de réalisation de la route reliant la région de Silt (Tamanrasset) à Timiaouine (Adrar) sur une distance de 200 kms avaient été lancés. Ce qui permettra d’achever la partie algérienne de la Transsaharienne en 2018. Lors de son intervention à cette rencontre, le secrétaire général du CLRT, Mohamed Ayad, a estimé que le projet de la Transsaharienne connaissait un état d’avancement appréciable, notamment en Algérie, en Tunisie et au Nigeria.  Au cours de cette session du CLRT, il a été signalé que la Tunisie avait réalisé à 100% sa partie du projet, alors que le Niger va bientôt achever la réalisation des 250 kms le reliant à l’Algérie. De son côté, le Mali est en cours de réalisation de 250 kms, tandis que 400 kms restent à réaliser au Tchad. Quant au Nigeria, il a réalisé et bitumé quelque 1 500 kms.

    R. N. 

  • Justice : Le port sec de Béjaia appartenant au fils d’un général à la retraite déclaré illicite

    Justice : Le port sec de Béjaia appartenant au fils d’un général à la retraite déclaré illicite

    La justice vient de trancher dans l’affaire du port sec de Béjaia qui appartiendrait au fils d’un général à la retraite, en le déclarant illicite.

    Selon le député du Front des Forces Socialistes (FFS), Chafaa Bouaiche, cité par le site d’information ALGERIE1, le verdict de l’affaire opposant la mairie de Bouhamza au fils du général de corps d’armée Ahmed Boustila, ex directeur de la gendarmerie nationale, l’infrastruture portuaire a été érigée d’une manière illicite. et la prochaine étape ne serait que sa démolition conformément à la réglementation en vigueur.

    Le député du FFS a été, pour rappel, à l’origine de l’éclatement de cette affaire qualifiée à Béjaia de scandale.

  • Oliveraie de Médéa : La filière oléicole a de l’avenir.

    Oliveraie de Médéa : La filière oléicole a de l’avenir.

    Malgré la jeunesse de son oliveraie, La filière oléicole a de l’avenir à Médéa.

    [dropcap]D[/dropcap]epuis l’entrée en production des nouvelles oliveraies inscrites dans le nouveau plan de relance de la filière, initié depuis l’année 2010, les oléiculteurs de la région nord-est de la wilaya de Médéa ne s’inquiètent plus de l’avenir de leur filière. Mieux encore, ils l’envisagent avec sérénité. S’il est vrai qu’ils ne sont pas encore en mesure de concurrencer d’autres régions productives, ils se préparent déjà à avoir une production plus importante dans les prochaines années.

    Une production en dents de scie enregistrée ces cinq dernières années, en raison du vieillissement des oliveraies et leur exploitation traditionnelle.
    Cette situation n’est pas pour décourager les oléiculteurs de la région qui, plus que la quantité du produit, misent plus sur le créneau qualité.
    Un créneau qui est jugé comme le moyen idéal pour combattre les facteurs défavorisant et surtout un choix stratégique opposé à la rude concurrence des grandes régions productives comme Mascara, Relizane, Tizi Ouzou, Bouira et Béjaia.

    « Comparée à d’autres régions productives qui disposent d’un énorme potentiel, d’un grand savoir-faire dans le domaine et, surtout, d’une importante infrastructure de stockage et de transformation qui fait défaut à Médéa, notre wilaya est encore jeune », explique Rabah Ghaffar, le président du conseil interprofessionnel de l’oléiculture.
    En effet, la production d’olives dans la wilaya n’a réellement commencé qu’en 2000.

    Ce qui se faisait avant cette date dans ce domaine était insignifiant surtout que les oliveraies remontaient toutes à l’époque coloniale et rentraient dans le cadre d’exploitations familiales.
    La production suffisait à peine à faire vivre les quelques oléiculteurs qui s’y adonnaient.
    Aussi, avec une superficie ne dépassant pas les 5000 hectares, s’étendant sur une dizaine de localités, la filière oléicole ne connaît sa première mutation que depuis l’année 2009 et ce, grâce à des projets à initiatives locales, destinés essentiellement au renouvellement des anciennes oliveraies mais, aussi et surtout, à l’encouragement de l’extension de ce type de culture à travers les localités où cette production est enregistrée.

    Trois années plus tard, avec le lancement d’un programme de plantations d’oliviers sur une superficie de 1500 hectares, les résultats se font immédiatement sentir et « un bond significatif » est enregistré.

    « L’extension de la superficie oléicole devrait avoir des répercussions positives sur la production locale », affirme le président du conseil interprofessionnel de l’oléiculture qui s’attend à ce que la production actuelle d’huile d’olive double à partir de l’horizon 2020 avec des prévisions de production oscillant entre 25 et 30 litres par quintal, au lieu de 15 à 20 litres enregistrée ces cinq dernières années.

    Le conseil interprofessionnel de l’oléiculture, s’il s’est fixé pour objectif une augmentation significative des capacités de production, vise surtout à produire une huile de qualité « extra vierge », avec une faible teneur en acides et, donc, à même de séduire les consommateurs aussi bien nationaux qu’étrangers.
    Pour arriver à ce résultat, un travail est mené par le conseil interprofessionnel auprès des producteurs de la région de Tablat et ses environs afin de les faire tous adhérer à cette démarche.

    Car, si les moyens sont mis pour développer ce type de culture, il faudrait aussi que les opérateurs de cette filière prennent vraiment conscience de toute la nécessité qu’il y a d’investir dans ce créneau au lieu de continuer dans la lancée des pratiques traditionnelles et des modes de gestion valables pour de petites exploitations familiales.

    L’avenir appartient à ceux qui investissent dans ce créneau afin de lui imprimer sa vraie vitesse de croisière.
    Celle qui en fera une région productive à même de concurrencer les autres de par la qualité de son produit.

    Par   Yasmine Meddah

  • Bouira : Excellent rendement de céréales

    Bouira : Excellent rendement de céréales

    «Nos services tablent sur une production d’un million 700 quintaux de céréales, dont un million de quintaux de blé dur.»
    Cette déclaration du directeur des services agricoles de la wilaya de Bouira augure d’une excellente production de céréales pour cette campagne.

    [dropcap]E[/dropcap]n effet, quelques jours seulement après le début de la campagne moisson-battage, une quantité de 160 000 quintaux de blé dur avait déjà été livrés aux coopératives de céréales et de légumes secs.

    D’après les chiffres prévisionnels fournis par le même responsable, une quantité de plus de 290 000 quintaux de blé tendre et plus de 309 000 quintaux d’orge et 25 100 quintaux d’avoine est attendue cette année.

    Pour réussir cette campagne, les moyens nécessaires ont été mobilisés par les services agricoles de la wilaya. En effet, 2553 tracteurs, 276 moissonneusesbatteuses, 1713 remorques et 1383 citernes ont été mis à la disposition des agriculteurs.

    La wilaya de Bouira, dont la superficie agricole utile est de quelque 189 960 hectares, compte 11 points de collecte, autrement dit des coopératives de collecte dont la capacité totale atteint 978 000 quintaux.
    Des efforts sont sans cesse fournis pour améliorer le rendement en céréales, toutes espèces confondues.

    Dans cette même optique, l’on apprend que 619 dossiers de crédit R’fig destiné pour aider et encourager les agriculteurs de la wilaya à travailler davantage pour augmenter la production céréalière ont été validés par les services agricoles.

  • Tizi-Ouzou : Un forum de formation

    Concilier l’offre et la demande en matière d’emploi.

    [dropcap]L[/dropcap]e forum sur la formation, l’entreprise et l’emploi organisé récemment à la maison de la culture de Tizi-Ouzou a permis à une quarantaine d’opérateurs locaux dans différents secteurs, à savoir le bâtiment, l’industrie, l’agriculture, la pêche, le tourisme et l’artisanat, de se rencontrer pendant deux jours durant lesquels des échanges ont été faits.

    Organisé à l’initiative de la direction locale de l’enseignement et de la formation professionnels, cette rencontre avait pour objectif essentiel de permettre des partenariats entre les structures de formation, les entreprises de production et autres agences de l’emploi.

    «afin de réussir l’insertion professionnelle des jeunes, tant dans le secteur économique ou dans une activité indépendante», explique le directeur local de l’enseignement et de la formation professionnels.
    Et d’ajouter: « C’est surtout une opportunité offerte aux chômeurs pour se rapprocher des employeurs et quêter un emploi.»

    Le directeur de la Chambre de commerce et d’industrie présent à cette rencontre a versé dans le même sens pour dire que « c’est le cadre idoine pour consacrer la cohésion entre les ressources humaines du secteur et les opérateurs économiques.

    Cette rencontre nous a permis de faire un état des lieux du marché local du travail et actualiser la nomenclature du secteur pour la mettre au diapason des besoins exprimés par les employeurs privés et publics ».

    Pour rappel, la wilaya connaît un déficit en main-d’oeuvre qualifiée dans les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l’hydraulique, de l’agriculture et de l’artisanat.

  • Boumerdes : De l’eau en continu.


    Le transfert d’eau à partir du barrage de taksebt.

    La dernière tranche de du projet de transfert d’eau à partir du barrage de Taksebt sera opérationnelle dés ce mois de juin. Destinée pour renforcer l’AEP de plus de 250 000 habitants des communes du sud ouest de la wilaya de Boumerdes.

    Lancé au titre du présent quinquennat 2010-2014, ce projet englobe la réalisation de 34 kilomètres de conduites d’eau, une station de pompage de et cinq réservoirs dont la capacité varie entre 2000 et 5000 m3 d’eau. Son coût de réalisation est estimé à 450 millions de dinars.

    La première tranche de ce projet fut lancée en 2007 avec pour objectif de couvrir les besoins de 35% de la population de Boumerdes en eau potable, à l’horizon de l’année 2030.
    Réparti en trois tranches, le projet est doté d’une enveloppe financière de 6,5 milliards de dinars.

    Ces trois tranches s’étendent sur 180 kilomètres de conduites et englobe 33 réservoirs d’eau dont la capacité globale est de 70 000 mètres cubes et 14 stations de pompage.

    La première tranche de ce transfert, livrée en 2008 a permis de renforcer l’AEP d’un bassin de plus de 330 000 habitants répartis sur 13 communes.

    La seconde tranche, livrée en 2010 a permis aux 200 000 habitants de sept communes et des villages de Bordj Ménaîl et Cap Djenet, de s’alimenter en eau potable.

    Dans la même optique, la station de dessalement d’eau de mer dont l’entrée en service remonte à l’année 2012, permettra à quelques 145 000 habitants de la wilaya d’avoir de l’eau en continu.

    Pour raccorder cette station au réseau AEP, trois conduites principales seront réalisées.

  • Tiziri Motor Algérie : Au batimatec avec les produits Hyundai.

    Tiziri Motor Algérie, l’un des représentants de Hyundai Heavy Industries, division des travaux publics du constructeur sud-coréen, n’a pas raté le 17e Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics «Batimatec 2014 pour marquer sa présence et présenter tous ses produits BTP.

    En effet, toute la gamme destinée aux travaux publics de Hyundai Heavy Industries, distribuée par Tiziri Motor Algérie, a été mise en avant à la SAFEX, notamment les chariots élévateurs de différents tonnages, des pelles hydrauliques sur pneus, des pelles hydrauliques à chenilles, des chargeurs et des mini-chargeurs ainsi que des retro-chargeurs sont présentés aux professionnels des travaux publics.

    Créé en 2003, le groupe Tiziri Motor Algérie est un opérateur économique algérien qui se distingue par la diversification de ces segments d’activités, en l’occurrence : concessionnaire automobile, promotion immobilière, importation de la pièce de rechange, importation de la céramique et dérivé, le transport et logistique et depuis 2012, représentant de Hyundai Heavy Industries (Pôle Construction Equipement).