Catégorie : L’entreprise du jour

  • Etude d’Ericsson Algérie : Les utilisateurs de smartphones prêts à basculer vers la 5G

    Etude d’Ericsson Algérie : Les utilisateurs de smartphones prêts à basculer vers la 5G

    Dans sa nouvelle édition Ericsson Day, le 15 décembre 2020, tenue exclusivement en ligne cette année en raison de la pandémie du nouveau Coronavirus, Ericsson Algérie a dévoilé les résultats d’une étude sur la perception de la 5G par les utilisateurs de smartphones et de réseau mobile en Algérie. L’entreprise suédoise est formelle: les utilisateurs algériens de smartphones sont prêts à prendre le train de la 5G. Ils sont prêts à basculer quitte à changer d’opérateur si le leur traîne à s’adapter au changement.

    C’était donc à l’occasion de la tenue de cette quatrième édition d’Ericsson Day que les résultats de l’étude d’Ericsson Algérie, réalisée également uniquement en ligne, via des mails et des contacts téléphoniques, que tout le contenu de cette étude a été révélé au public (connecté en ligne) et débattue par des experts et des spécialistes du domaine.

    Les résultats de cette étude d’Ericsson Algérie montrent un intérêt vif pour le réseau mobile ultra-haut débit afin de permettre d’assurer de meilleurs services internet et rendre plus tangible et aussi accessible ce qui est appelé la connectivité intelligente. Le besoin est réel et pressant.

    Dans sa présentation, Ahmed Reda Berrah, architecte solution Ericsson, a précisé que cette étude est une actualisation de celle de 2018. Il en ressort principalement une progression continue de l’utilisation de l’internet mobile en Algérie : 85% des personnes sondées déclarent se connecter sur le réseau 4G mobile contre 77% en 2018 et 25% en 2016.

    Le rapport actualisé indique que la majorité des utilisateurs de smartphones en Algérie sont au fait de la 5G, 57% des personnes sondées connaissent le concept, 22% en ont une bonne connaissance et peuvent l’expliquer à d’autres.

    12% des personnes sondées pour les besoins de cette étude d’Ericsson Algérie affirment avoir une connaissance parfaite en la matière.

    Autre fait révélé par l’enquête, l’augmentation en flèche des utilisations de la vidéo suite au recours massif des travailleurs algériens, à l’instar de ceux des autres pays à travers le monde, au télétravail en raison des mesures de confinement qui ont suivi l’explosion de la pandémie de la Covid-19. De leur expérience, les utilisateurs réclament de meilleures prestations, soit une connexion internet ininterrompue et surtout de très haut débit.

    Des réponses des internautes aux questions du sondage d’Ericsson, il est aussi clair que la 5G intéresse tous les secteurs d’activité ; des banques à l’agriculture, en passant par les commerces, les transports et les besoins des foyers en connexion de qualité aux appareils intelligents.

    Prenant conscience de cette réalité, l’entreprise des télécommunications n’attend pas le moment opportun pour agir, en offrant ses services à ses clients. Forte d’une expérience de plusieurs années, elle travaille par anticipation et sur le long terme. D’ores et déjà, elle fait la promotion de ses produits déjà commercialisés dans une partie du Globe et montre son intérêt pour le marché algérien. Les résultats de cette étude sont destinés en premier aux fournisseurs des services en Algérie. Fournisseurs d’équipements, de systèmes, de solutions digitales et autres.

    «Ericsson en Algérie évolue dans un contexte où la numérisation de l’économie devient un impératif.  Notre objectif, en tant que partenaire fiable et de confiance est de matérialiser cette perspective par des solutions digitales dynamiques et conformes aux exigences des opérateurs.

    Il s’agira pour nous de relever le défi d’accroitre l’apport de l’économie numérique à l’économie nationale» a déclaré Yacine Zerrouki, le directeur général d’Ericsson Algérie, lors de cette quatrième édition d’Ericsson Day live.

    De son côté, le Chef de Mission, chargé d’affaires de l’ambassade de Suède en Algérie, Anders Wollter, a affirmé : «L’Algérie est un partenaire historique important pour la Suède en Afrique du Nord.

    Nos relations d’amitié et de coopération n’ont de cesse se consolider dans des domaines d’intérêt mutuel, notamment dans celui des TIC, puissant levier de croissance économique, d’innovation et de co-création pour des solutions durables pour le futur». 

    Samia Hanifi

  • ENTMV: Acquisition d’un bateau neuf pour le transport des voyageurs

    ENTMV: Acquisition d’un bateau neuf pour le transport des voyageurs

    L’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs ( ENTMV ) va bientôt acquérir un nouveau bateau pour  le  transport maritime international des voyageurs.

    Cette nouvelle acquisition est le fruit des négociations engagées entre l’ENTMV et une société chinoise spécialisée dans la construction navale, en l’occurrence le consortium Guangzhou Shipyard International et China Shipbuilding Trading Company.

    Le bateau qui devait être mis en service cette année est finalement en phase de finitions et pourrait entrer en exploitation d’ici 2021.

    Selon les termes des négociations enclenchées en 2017 entre les deux parties, ce navire recèle une capacité de transport de 1 800 voyageurs et de 600 véhicules pour un montant de 175 millions de dollars.

    Le contrat signé en septembre 2017 stipulait que le délai de réalisation de ce bateau était de 26 mois pour remplacer le ferry Tariq Ibn Ziyad, le plus vieux navire d’Algérie, qui sera, désormais, affecté aux lignes intérieures après 25 ans de service.

    Mais, pour le moment, ce navire est toujours en cours de  construction en Chine et accuse un léger retard par rapport à ce qui avait été convenu dans le contrat.

    D’ailleurs, une équipe d’experts de l’ENTMV est en Chine pour superviser  les  dernières retouches, notamment les commodités adaptées aux voyageurs algériens, comme les couchettes.

    A travers cette nouvelle acquisition, l’ENTMV compte lancer un plan d’élargissement de sa flotte à l’international.

    Il faut savoir que le plus vieux navire de l’ENTMV Tariq Ibn Ziyad, construit en 1995 par le chantier espagnol Union Naval à Levante recèle la plus grande capacité avec 500 places pour véhicules.

    Les deux autres navires, à savoir le Tassili II et El Djazair II ont été acquis respectivement en 2004 et 2005 des chantiers Izar de Séville.

    Chacun de ces deux navires a une capacité d’environ 1 300 passagers et 300 véhicules.

    Il faut noter que l’ENTMV offre des liaisons entre l’Algérie et trois pays de la rive Nord méditerranéenne.  Ainsi, en France, elle relie Marseille à Oran, Alger, Bejaïa Skikda et Annaba, alors qu’en Espagne, la compagnie touche Oran, Mostaganem et Alger depuis Alicante ainsi que Mostaganem et depuis Barcelone.

    En Italie, elle relie Gênes à Skikda, alors que la liaison entre Valence et Mostaganem, lancée en mars 2016, n’a pas été renouvelée.

    Pour rappel, l’ENTMV avait annoncé en 2016 son intention rajeunir et de renforcer sa flotte pour doubler ses capacités de transport.

    Suite à quoi, des appels d’offres internationaux ont été lancés fin 2016 pour la construction et la livraison du ferry neuf pour un délai de trente mois une fois le marché attribué.

    Yanis Oumakhlouf

  • El Oued: Sonatrach réalise 10 forages d’eau au profit des agriculteurs d’ El Bâadj

    El Oued: Sonatrach réalise 10 forages d’eau au profit des agriculteurs d’ El Bâadj

    La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, a pris en charge la réalisation de 10 forages d’eau au profit des agriculteurs de la région El Bâadj, dans la wilaya d’El Oued, tout près de l’endroit où sont survenues, début septembre dernier des fuites de pétrole au niveau de deux pipelines.

    Les dix forages ont été dotés de stations de pompage modernes, fonctionnant à l’énergie solaire, toujours à l’initiative de la compagnie pétrolière. C’est ce qu’a annoncé le wali d’El Oued, Abdelkader Rakaa, à l’ouverture des travaux de la deuxième session ordinaire de l’APW d’El Oued.

    Sonatrach s’est également chargée de l’équipement des établissements scolaires de la région El Bâadj, dans la wilaya d’El Oued, en matériel informatique, ainsi que de chauffe-eaux fonctionnant également à l’énergie solaire, a révélé le chef de l’exécutif de wilaya.

    Une action de solidarité qui n’est pas la première du genre pour la compagnie nationale, décidée, en tant qu’entreprise citoyenne, de considérer désormais le travail de proximité comme un volet parmi les plus importants de sa politique de développement et d’investissement.

    L’on se rappelle que dès l’annonce des fuites sur les deux pipelines, les agriculteurs de la région ont été les premiers à exprimer leur désarroi et leurs inquiétudes. Ils ont fait part de leurs craintes aux représentants de l’exécutif mais aussi à des responsables de Sonatrach qui se sont déplacés sur les lieux le lendemain de l’incident, à leur tête le P-dg de la compagnie, Toufik Hakkar.

    Ce dernier a assuré de la mobilisation de tous les moyens humains et matériels nécessaires. Des équipes ont travaillé d’arrache-pied pour une maîtrise réelle de cette situation. Depuis, les eaux suspectes d’être atteintes ont été dépolluées, comme promis par les responsables de la compagnie nationale. Cela a été suivi d’un accompagnement de ces agriculteurs à travers notamment la réalisation de nouveaux forages.

    Retour sur l’incident d’El Bâadj, dans la wilaya d’El Oued

    Pour revenir à l’incident lui-même qui a fait craindre une catastrophe écologique, la compagnie nationale a réagi le lendemain, soit le 04 septembre dernier, par la publication d’un communiqué officiel indiquant que les fuites ont été enregistrées au niveau de deux points : la première à la sortie de la station de pompage SP2 à Djamaa, dans la commune d’El Oued, point 190 + 200 (PK) et la deuxième au point PK 263 dans la région d’Al-Baaj, dans la wilaya déléguée d’El M’gheir.

    «Toutes les mesures nécessaires ont été prises pour contrôler la situation, assurer la sécurité des individus et des installations, tout en tenant compte de la préservation de l’environnement», a assuré le Groupe, dans ce communiqué.

    Pour les besoins de l’opération de maintenance, les équipes de Sonatrach ont dû arrêter le pompage de pétrole à partir du Bassin rouge de Hassi Messaoud vers la raffinerie de Skikda. Deux jours après, la compagnie a annoncé la fin des travaux de maintenance et la reprise du pompage de pétrole.

    «La reprise du pompage du pétrole brut à partir du Bassin rouge (Hassi Messaoud) vers la raffinerie de Skikda s’est déroulée avec succès aux environs de 8h30, à la fin de l’opération de maintenance de la partie endommagée et la remise en service des quatre stations de pompage» est-il indiqué dans le nouveau communiqué, précédé par d’autres communiqués sur l’évolution de la situation. La compagnie pétrolière s’est engagée à «poursuivre les efforts pour réparer les dégâts induits par la fuite et assainir les lieux pollués et ce à travers la mobilisation de tous les moyens humains et matériels».

    S. H.

  • Avec l’inauguration d’une nouvelle agence, le CPA étend son réseau

    Avec l’inauguration d’une nouvelle agence, le CPA étend son réseau

    Le Crédit populaire algérien (CPA) poursuit sa politique de modernisation et d’expansion, même en période de crise sanitaire. Son P-dg, Mohamed Dahmani, était hier à Tiaret où il a procédé à l’inauguration de l’agence 428, la deuxième du genre dans la wilaya. La nouvelle agence offre plusieurs produits y compris ceux de la finance islamique.

    La banque publique ambitionne d’atteindre un nombre de 160 agences d’ici à la fin de l’année. Le nombre actuel est de 153, soit 7 agences en plus à mettre au service de ses nombreux clients à travers le pays. Voilà qui vient donc rassurer sur la prise en charge des demandes des particuliers et des entreprises mais aussi des besoins de développement économique du pays, de façon générale.

    Dans des déclarations à la presse, en marge de l’inauguration de cette deuxième agence dans la wilaya de Tiaret, Mohamed Dahmani a affirmé que l’augmentation en cours du nombre des agences CPA à travers le pays s’inscrit dans le cadre de la concrétisation du «plan de déploiement et de modernisation du réseau bancaire» et de l’implication de la banque dans la politique économique du pays.

    A travers cette action, le CPA ambitionne de «contribuer de manière effective à l’investissement et au développement local». A tenu à préciser le P-dg du CPA.

    Pour ce qui est des produits et leur diversification, M. Dahmani a réitéré l’engagement de la banque à «assurer des produits qui évoluent en fonction de la demande du marché, dont le financement islamique». Actuellement, ce sont cinq agences du CPA dont justement celle inaugurée hier qui assurent les produits de la finance islamique.

    Parlant de la finance islamique, il est à rappeler que le CPA fait partie des premières banques à se lancer dans ces produits, après la CNEP et la BNA, offrant aux clients la possibilité de postuler pour un crédit sans intérêt pour l’acquisition d’un véhicule, un logement ou tout autre bien, là où il se trouvent.

    Le 25 octobre dernier, le CPA a entamé la commercialisation de neuf produits de la finance islamique dans une première agence de son réseau bancaire à Alger, en l’occurrence l’agence de Val d’Hydra (174). C’est M. Mohamed Dahmani, le P-DG de la banque qui a procédé à l’inauguration du guichet dédié à ces produits. 

    Le P-dg a assuré que les neuf produits «répondent à une réelle demande de nos concitoyens, tout en contribuant à améliorer l’inclusion financière». Aussi, a-t-il tenu à préciser : «cette gamme de produits et services sont conformes aux préceptes de la Charia islamique après avoir été certifiés par le Comité Charia’a de la banque. Le CPA a également obtenu les certificats de conformité du Haut Conseil Islamique (HCA) ainsi que l’agrément de la Banque d’Algérie».

    Pour revenir à l’évènement d’hier à Tiaret, le premier responsable de la banque publique a souligné que la nouvelle agence offre aussi de nouveaux produits. Il citera le service de la «fonctionnalité sans contact» ou à distance, de même que le financement destiné aux innovateurs avec l’offre «Sahel Mahel» et «Sahel Nachati». Des services destinés précisément aux petites et moyennes entreprises (PME) avec lesquelles le CPA travaille beaucoup. Selon le P-DG de la banque, le nombre des PME financées par le CPA est d’environ 190 000.

    Nommé à la tête du CPA en novembre 2019, Mohamed Dahmani travaille de façon à «bâtir une banque moderne de premier rang, qui garantira à ses clients une expérience et un savoir-faire avérés, alliant qualité de service et offre bancaire diversifiée et compétitive».

    S.H.

  • Best Global Brands 2020: Samsung dans le top 5

    Best Global Brands 2020: Samsung dans le top 5

    Samsung a annoncé aujourd’hui qu’elle a atteint la cinquième place du classement des meilleures marques mondiales (Best Global Brands) de 2020 établi par Interbrand, un cabinet-conseil en évaluation de marques d’envergure mondiale, affichant ainsi la plus grande valeur de marque jamais atteinte, soit 62,3 milliards de dollars. 

    En dépit des défis commerciaux causés par le COVID-19, Samsung a vu sa valeur de marque augmenter de 2 % cette année, passant de 61,1 milliards de dollars en 2019 à 62,3 milliards de dollars en 2020. Une performance qui a valu à Samsung de se hisser dans le top cinq mondial en trois ans après avoir atteint la sixième place sur la liste des meilleures marques mondiales en 2017.

    La valeur de la marque Samsung a constamment augmenté depuis la création de la liste en 2000, où elle était classée 43e. Depuis le moment où Samsung a atteint le top dix avec une neuvième place en 2012, la marque a continué à gravir systématiquement les échelons, atteignant la sixième place en 2017 et la cinquième place en 2020. Cette montée en puissance a été soutenue par l’introduction continue de produits innovants et la mise en œuvre de vastes activités de marketing dans le monde entier.

    La réponse rapide au COVID-19, les activités de RSE, l’innovation dans les produits liés au style de vie et les investissements continus dans les futurs moteurs de croissance stimulent la valeur de la marque, qui se hisse à la 5éme place des Best Global Brands.

    Selon Interbrand qui établi les Best Global Brands , les facteurs suivants ont été déterminants pour la croissance de Samsung :

    • réponse rapide au COVID-19 via des activités de RSE (responsabilité sociale des entreprises) et une campagne intégrée, le tout à l’échelle mondiale ;
    • activités à l’échelle de l’entreprise orientées sur le développement durable ;

    • lancement continu de produits innovants, notamment le Galaxy Fold, le téléviseur d’extérieur The Terrace et le réfrigérateur BESPOKE ;

    • des investissements systématiques dans le développement de technologies avancées, telles que l’intelligence artificielle (AI), la 5G et l’internet des objets (IoT).

    En réponse au COVID-19, Samsung a consenti de multiples dons dans différents pays en fonction de besoins spécifiques. En outre, la marque a lancé une campagne mondiale, très réussie, autour du message ‘Get through this together’. Composée de photos et de témoignages d’utilisateurs de Samsung visant à remonter le moral des femmes et des hommes du monde entier, cette campagne a eu de nombreux échos positifs. Les campagnes COVID-19 ont été lancées en combinaison avec les campagnes RSE en cours et divers programmes éducatifs, tels que Solve for Tomorrow, Smart School et Innovation Campus.

    Les efforts de Samsung en faveur de la durabilité dans toute l’entreprise ont également contribué à l’augmentation de la valeur de la marque. Citons par exemple l’emballage écologique des téléviseurs Samsung et les étuis pour smartphones fabriqués à partir de matériaux recyclés.

    Ce sont principalement les efforts d’innovation déployés en permanence, et ce en dépit des défis posés par le COVID-19, qui ont valu à l’entreprise la cinquième place.

    En matière de communications mobiles, Samsung a renforcé sa position de leader sur le marché des smartphones 5G. Pour la génération Z, la marque a dévoilé la gamme Galaxy A et a déployé des activités de marketing telles que la campagne Awesome. Le caractère innovant de Samsung est démontré par l’introduction de nouvelles catégories de produits telles que le Galaxy Z Flip. Dans le domaine des activités de réseau, Samsung a établi sa position de leader en 5G en pénétrant de nouveaux marchés et en développant des partenariats avec des entreprises sur des marchés clés tels que les États-Unis et le Japon.

    « En 2000, nous nous sommes classés 43e avec une valeur de marque de 5,2 milliards de dollars. Cette année, nous entrons dans le top cinq avec une valeur de marque de 62,3 milliards de dollars, ce qui est une grande réussite », a indiqué said YH Lee, Directeur Marketing Samsung Electronics. « Nous n’aurions pas pu atteindre cet objectif sans le soutien de nos clients dans le monde entier. Bien sûr, nous continuons à innover afin d’améliorer davantage notre statut mondial »

    A propos de Interband (Best Global Brands 2020)

    Interbrand évalue la valeur de la marque des entreprises sur la base d’une analyse complète de facteurs multiples, notamment les performances financières, l’influence de la marque sur les achats et la compétitivité de la marque.

  • Abdelghani Benbetka, P-dg ACS: «L’exportation est un des objectifs stratégiques pour le redressement de Tonic Industrie»

    Abdelghani Benbetka, P-dg ACS: «L’exportation est un des objectifs stratégiques pour le redressement de Tonic Industrie»

    Pour Abdelghani Benbetka, P-dg ACS , l’exportation  est un des objectifs stratégiques pour le redressement du Groupe public Tonic Industrie, qui pour rappel a vécu une crise interne aigue caractérisée par la récurrence de longs mouvements de grèves qui ont engendré de lourdes pertes à l’entreprise.

    Entreprise qui n’a pas pu, en raison des débrayages de plusieurs semaines des 2.400 travailleurs de groupe, honorer ses contrats à l’exportation, entraînant en plus d’une perte des devises, la dévalorisation de l’image de marque du Groupe public, qui pour rappel compte 11 unités de production.

    Parmi les mesures phares préconisées par le plan de redressement mis sur pied par le conseil d’administration de Tonic Industrie, que préside Idris Yalaoui , figure la relance des exportations.

    Lancées à la fin 2019, et bien que freinées par la crise sanitaire et les mesures de confinements prises par les pouvoirs publics pour y faire face, les opérations d’exportations vers la Tunisie se sont enchaînées.

    Les cinq expéditions ont totalisé trois millions d’unités d’alvéoles. Une sixième opération est prévue pour la semaine prochaine. En raison de la fermeture des frontières  les livraisons se font au poste frontalier de Bouchabka. L’ouverture des frontières devraient permettre l’accélération de la cadence et l’augmentation du volume destiné à l’exportation.    

    Ce 06 septembre, à partir du site « Chaiba » de Tonic Industrie, c’est 270 tonnes de déchets de carton kraft, destinées à l’Inde qui ont été scellées par les douanes.

    Une opération qui s’est déroulée en présence de Abdelghani Benbetka, Président directeur général, du Holding Groupe Algerian Chemical Specialities ACS, dont dépend le Groupe Tonic Industrie.

    « Cette entreprise a le potentiel matériel, et le potentiel humain pour honorer ses contrats et pour occuper une place de choix sur les marchés mondial et africain. L’excédent destiné à l’exportation est générateur de valeur ajoutée pour l’entreprise, puisqu’il est générateur de devises. Il peut être également générateur d’emploi. Si nous augmentons  notre part de récupération de déchets nous allons permettre la création d’emploi.» Nous dira Abdelghani Benbetka, qui aura auparavant rappelé que l’Algérie dispose d’un gisement de déchet papier renouvelable d’un million de tonnes par an.

    Tonic Industrie ne dispose que d’une part de marché minime de 10 à 15%.  Part que le président directeur général d’ACS dit vouloir augmenter à travers le plan de restructuration de cette entreprise qui a longtemps souffert de problèmes internes dont la répercussion sur le chiffre d’affaires a été catastrophique.

    Abdelghani Benbetka:« La phase de danger est dépassée »

    « La phase de danger est dépassée, grâce à la fédération des efforts de tous, ministère de tutelle, administration, travailleurs, et partenaire social réunis.» Dira encore Abdelghani Benbetka, qui rappelle que Tonic Industrie qui avait enregistré un déficit financier de près de 10 milliards de dinars, a réalisé un chiffre d’affaires de 70 millions de dinars durant le mois d’août écoulé, avec un objectif d’atteindre, pour le mois de septembre un chiffre d’affaires de 100 millions de dinars.

    « Aujourd’hui la vision du holding ACS est axée essentiellement sur  la vision tracée par les pouvoirs publics, à savoir augmenter le taux d’intégration économique,  diversifier les produits tout en répondant aux attentes des consommateurs et exporter l’excédent.» Précise le P-dg d’ACS.

    En plus des déchets il y a une variété de produits fabriqué par Tonic Industrie qui a sa place sur les marchés extérieurs.

    «En plus des alvéoles, les bobines ouate, nous pouvons exporter  les gobelets, les sachets à viennoiserie, caisse carton. En ce moment ce qui se vend de manière régulière reste le déchet de carton kraft recyclable, car il y a toujours un excédent par rapport à ce que Tonic consomme. C’est dire que nous pouvons diversifier les produits à l’exportation.» Nous fait remarquer Abdelghani Benbetka, qui indique que des pourparlers avec un client marocain sont en cours pour l’exportation de l’alvéole vers ce pays voisin.

    Pour Abdelghani Benbetka, P-dg d’ACS la stratégie à long et court termes mise en place pour la relance de l’entreprise commence à donner des résultats.

    R.A

  • Agreenvest, une plateforme pour le financement des projets agricoles

    Agreenvest, une plateforme pour le financement des projets agricoles

    Booster l’agriculture en Algérie, est l’objectif qui a motivé un groupe d’étudiants de l’école nationale polytechnique, tous élèves ingénieurs,  pour créer la plateforme Agreenvest .

    Cette plateforme propose un financement participatif pour les agriculteurs afin qu’ils développent leur projet d’une manière satisfaisante.

    Selon le chargé des relations extérieures d’Agreenvest, Taibi Badreddine, l’idée de créer cette plateforme n’est pas née du jour au lendemain: « elle est le résultat d’une observation réfléchie du monde agricole en Algérie, un monde  caractérisé par le manque de ressources financières, même si les compétences existent et sont capables de grandes réalisations ».

    Créée il y a quelque mois seulement, Agreenvest est une junior entreprise crée dans le cadre du programme de partenariat Injaz El Djazair.

    Elle se veut, selon les déclarations de ses créateurs: « cette plateforme est spécialement dédiée aux investisseurs et agriculteurs. Elle propose un modèle de financement ayant recours à la finance participative. Pour ce faire, elle propose un service complémentaire aux autres différents modes de financements destinés au secteur agricole. »

    La mise en relation entre les investisseurs et les agriculteurs se fera à partir de la plateforme Agreenvest. Il est également possible d’y retrouver tous les projets validés avec une description détaillée de chaque projet.  L’accompagnement des parties impliquées dans cette opération, c’est-à-dire l’investisseur et l’agriculteur, se fera pour toutes les étapes du projet.

    Agreenvest, un réseau d’information

    En plus du financement, la plateforme met à la disposition des agriculteurs des informations pouvant les intéresser comme le réseau des fournisseurs d’équipements agricoles, la main d’œuvre disponible ainsi que le suivi nécessaire, avec pour but de libérer l’agriculteur des tâches secondaires afin qu’il se focalise sur le cœur de son métier. Des rapports périodiques sont présentés aux investisseurs pour les mettre au courant de l’avancement du projet.

    A propos d’Injaz el Djazair

    Pour rappel, Injaz el Djazair est une association à but non lucratif. Elle fait partie de l’organisation Injaz El Arab, qui s’intéresse aux jeunes dans les 15 pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du nord) à travers des programmes ayant pour but la promotion de l’entrepreneuriat.

    Elle est présente en Algérie depuis l’année 2010 sous l’égide du club CARE. Depuis cette date, Injaz El Djazair compte à son actif la prise en charge de plus de 600 étudiants à travers les grandes écoles et les universités Algériennes, comme celle d’Alger, Boumerdes, Oran, M’sila et enfin Bejaia.

    K.M.B

  • Ooredoo Algérie réalise un  chiffre d’affaires de 38 MDA au 1er semestre 2020

    Ooredoo Algérie réalise un chiffre d’affaires de 38 MDA au 1er semestre 2020

    Durant le 1er semestre 2020, Ooredoo a continué ses efforts d’investissement en Algérie, en droite ligne de sa stratégie de démocratisation de l’Internet mobile à très haut débit et cela dans un contexte exceptionnel lié à l’impact du COVID19.

    Dès l’apparition de la pandémie, et en tant qu’entreprise citoyenne et responsable, Ooredoo a multiplié les initiatives de solidarité afin de contribuer aux efforts de lutte contre la COVID, ceci notamment avec l’aide et le soutien de ses partenaires tels que le Ministère de la Santé et de la Réforme Hospitalière, le Croissant Rouge Algérien ou les Scouts Musulmans d’Algérie.

    En dépit de ces circonstances exceptionnelles liées au coronavirus, et durant les six premiers mois de l’année 2020, Ooredoo Algérie a continué dans ses efforts d’engagement, avec 6,5 milliard de dinars algériens d’investissements destinés essentiellement au renforcement et la modernisation de son réseau de couverture.

    Aussi, durant la même période, Ooredoo Algérie a lancé sa nouvelle offre « Dima Ooredoo » permettant aux clients de vivre une expérience digitale unique, notamment via l’introduction de ANAZIK et ANAFLIX, des applications innovantes 100% Algériennes.

    Le bilan d’Ooredoo Algérie par les chiffres

    Par les chiffres, les revenus de Ooredoo Algérie ont atteint 38 milliards de dinars durant le 1er semestre 2020 ( 41,1 milliards de dinars au 1er semestre 2019).  

    Le résultat avant intérêts, impôts (taxes), dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations (EBITDA) a quant à lui atteint 12,6 milliards de dinars (15 milliards de dinars algériens au 1er semestre 2019).

    Le parc clients, se stabilise à 12,9 millions d’abonnés à fin juin 2020. Au sein du Groupe, Ooredoo Algérie représente 11 % du nombre d’abonnés et 9 % du montant des investissements.

    Ainsi, en dépit de la conjoncture exceptionnelle actuelle, Ooredoo poursuit ainsi ses investissements afin de renforcer, moderniser et optimiser son réseau de couverture, tout en continuant à offrir des offres et solutions innovantes à ses abonnés.  

  • La cimenterie Oggaz maintient sa certification ISO 14001/2015

    La cimenterie Oggaz maintient sa certification ISO 14001/2015

    A l’issue d’un audit externe réalisé par l’organisme TUV Rheinald Algérie, la cimenterie Oggaz, située dans la wilaya de Mascara, a réussi en ce mois de juillet 2020, le maintien de la certification environnementale ISO 14001 version 2015 annonce un communiqué de presse publié par Lafarge Holcim.

    Pour rappel, la cimenterie Oggaz avait obtenue cette certification en mai 2019.

     « Le maintien de cette certification ISO 14001 témoigne de l’engagement continu du Management environnemental de notre cimenterie LCO (ndlr.cimenterie Oggaz), nos collaborateurs et nos sous-traitants pour une usine propre répondant aux normes environnementales les plus rigoureuses et, souligne le principe d’amélioration continue de notre performance environnementale par la maîtrise des impacts liés à l’activité de notre entreprise » est t-il expliqué dans le communiqué.

    Grâce à cette certification environnementale de la cimenterie Oggaz, le Groupe Lafarge Holcim a réalisé des performances remarquables en matière de protection et préservation de l’environnement. 

    Pour l’année 2019, le Groupe a pu réduire les émissions de CO2 de 23,6%, par tonne de ciment produit; la co-incinération de 48 millions de tonnes de déchets, confortant ainsi la solution de co-processing, crée par le Groupe, comme étant l’une des plus importantes de par le monde; la réduction dans l’utilisation de l’eau fraîche à raison de 13,3%, par tonne de ciment produit et enfin faire bénéficier plus de 5,9 millions de personnes des investissements communautaires.

    Ces résultats viennent conforter ceux enregistrés en 2018 et qui ont permis de réduire de 25% les émissions de CO2 par tonne de ciment produit, la co-incinération de 50 millions de tonnes de déchets et la diminution de l’ordre de 19% de la quantité d’eau fraîche utilisée par tonne de ciment produit.

    La cimenterie Oggaz, située dans la région de Mascara à l’ouest du pays, dispose d’une capacité de production évaluée à 3,8 millions de tonnes par an. Cette production se partage entre 3,2 millions de tonnes / an pour le ciment gris et 0,6 millions de tonnes/an pour ce qui est du ciment blanc.

    La cimenterie Oggaz est la première cimenterie en Algérie à obtenir la certification environnementale ISO 14001/2015 et dispose d’une installation dédiée au traitement des déchets industriels.

    Pour rappel, Lafarge Holcim Algérie est un groupe spécialisé dans la fabrication des matériaux de construction à savoir les agrégats,  ciments, mortiers, granulats, bétons, plâtres, sacs, sans oublier les solutions spécifiques pour répondre aux besoins des clients, que ce soit pour la construction de logements ou d’infrastructures plus complexes.

    Le groupe dispose de deux cimenteries, l’une à M’sila et l’autre à Oggaz.

    Une autre cimenterie fait également partie du groupe. Il s’agit de celle de Biskra, réalisée en partenariat avec le Groupe Souakri, disposant d’une capacité totale de production de l’ordre de 11,5 millions de tonnes/an. 19 centrales à travers le pays produisent 1 million de tonnes de /an de béton prêt à l’emploi.

    Lafarge Holcim  Algérie a pu créer  4500 emplois. Elle est très engagée dans la dynamique du développement économique, social et environnemental en Algérie.

    Lafarge Holim, dont le siège se trouve en Suisse est présent dans plus de 80 pays. Il emploie environ 80.000 collaborateurs à travers le monde et veille à proposer des solutions et des produits répondant au défi de l’urbanisation et la préservation de l’environnement.

    R.N

  • L’Anvredet et Sonatrach signent un accord de partenariat

    L’Anvredet et Sonatrach signent un accord de partenariat

    Afin d’établir des bases pour une coopération productive entre l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique ( Anvredet ) et le groupe pétrolier Sonatrach, un accord –cadre vient d’être signé entre les deux parties.

    L’Anvredet était représentée par sa Directrice générale, Dr Demmouche Mounsi Nedjoua et la Sonatrach par Benamara Mustapha, Directeur central recherche et développement par intérim, selon ce qui est annoncé dans un communiqué de presse.

    « L’accord-cadre  a pour objectif d’établir les bases d’une coopération entre l’Anvredet et la Sontrach et de mettre en évidence les conditions dans lesquelles les partenaires seront amenés à coopérer dans les domaines d’intérêts communs. » lit –on dans le communiqué.

    Contenu de l’accord entre l’Anvredet et CRD Sonatrach

    L’accord signé au siège du centre de recherche et du développement-CRD Sonatrach à Boumerdes, comprend des axes de coopération portant sur l’échange d’expertise entre les opérationnels de recherche de Sonatrach et  ceux de l’Anvredet.

    Il comprend aussi la prise en charge du volet études technico-économiques et l’intégration des experts de Sonatrach dans les comités d’évaluation de l’Anvredet pour tous les projets en relation avec le domaine de compétences du groupe pétrolier.

    Il porte également sur l’accompagnement  des projets matures de Sonatrach pour tout ce qui concerne la propriété intellectuelle comme la rédaction de brevet, l’étude de brevetabilité, recherche d’antériorité et enfin la protection nationale et internationale.

    Il est aussi question d’œuvrer en commun pour la réalisation des études technico-économiques et environnementales en priorisant les projets ayant recours au traitement de données par l’intelligence artificielle et la robotique.

    Selon ce qui est précisé dans le communiqué de presse, le rôle de l’Anvredet dans ce cadre se concrétise par l’accompagnement des projets inscrits par le groupe pétrolier Sonatrach pour la promotion de l’entreprenariat.

    Elle est aussi chargée de faire des propositions portant sur la formation et l’innovation, tout comme elle assure la veille pour les travaux de  recherche réalisés dans les centres de recherches en rapport avec la stratégie de Sonatrach.

    Pour sa part, Sonatrach se doit d’apporter à l’Anvredet l’appui pour tout ce qui touche au domaine de la certification ou d’attestation de conformité ainsi que la réglementation pour le lancement de nouveaux projets dans le domaine des hydrocarbures.

    Elle est aussi chargée pour être le partenaire socio-économique de l’incubateur d’Ouargla ainsi que d’autres incubateurs dont l’activité est liée au secteur de l’énergie.

    Ainsi, elle contribue à l’accompagnement efficace de porteurs de projets accompagnés par l’Anvredet,  pour la réalisation de prototypes.

    Cet accord –cadre s’inscrit dans le cadre de la stratégie adoptée par l’Anvredet ayant pour objectif de dynamiser les mécanismes de valorisation des résultats de la recherche et du développement et, d’arriver par la même occasion à multiplier les possibilités  de transfert de technologies vers le monde socio-économique.

    Afin de tirer le meilleur de cet accord de partenariat, un comité mixte constitué de représentants de Sonatrach et de l’Anvredetsera installé prochainement.

    Il aura pour mission, comme l’expliquent les rédacteurs du communiqué de presse, d’identifier, orienter et impulser le développement des actions envisagées par les deux parties signataires de l’accord.

    Pour rappel, l’Anvredet dont la mission principale est de valoriser les résultats de la recherche, qu’elle soit issue de l’université ou des différents  centres de recherches, quelle que soit leur spécialité, est une sorte de passerelle entre les besoins exprimés par l’économie nationale et le potentiel représenté par la recherche scientifique.

    Elle veille également à identifier les résultats de la recherche, les valorise et leur assure un accompagnement et l’appui nécessaire à leur concrétisation en projets porteurs.

    Elle est aussi un espace de rencontre permettant aux demandeurs et offreurs de technologie d’avoir des contacts fructueux.

    Le suivi des projets se fait à travers 03 principaux axes qui sont le transfert technologique, l’incubation et enfin la création de Startups.

    K.M.B.