Catégorie : Automobile

  • Omar Rebrab: «Cevital aura son agrément pour reprendre Hyundai en Algérie»

    Omar Rebrab: «Cevital aura son agrément pour reprendre Hyundai en Algérie»

    Le P-DG du pôle Automobile, relevant du groupe Cevital, Omar Rebrab, a affirmé que le groupe va reprendre graduellement la marque de voitures coréenne Hyundai en Algérie.

    En effet, Omar Rebrab a indiqué que Hyundai Motor Algérie (HMA) se verra octroyer un agrément par le ministère de l’Industrie et des Mines au courant de l’année 2020 pour la commercialisation des voitures de marque Hyundai, sans préciser les formes négociées avec l’Etat.

    En attendant, la filiale du groupe Cevital va reprendre ses activités dans le service après-vente et la pièce de rechange.

    En ce sens, Omar Rebrab a révélé que «cette reprise intervient après que la justice eut rétabli le groupe dans ses droits et prononcé des indemnisations».

    Selon le patron de HMA, la filiale de Cevital dispose d’un magasin de plus de 8 000 mètres carrés qui emmagasine 32 000 références pour tous types de véhicules.

    Aussi, il révélera que la marque dispose de 3 milliards de dinars en pièces de rechange en stock, l’équivalent d’une prose en charge pour tous les modèles sur une période de 10 ans.

    En outre, Omar Rebrab a indiqué avoir mis en place une équipe dédiée pour le service après-vente et la pièce de rechange, avec en amont un service dédié aux dernières technologies pour le suivi et la traçabilité des références et des clients.

    Ainsi, une feuille de route a été établie pour relancer les activités à Oued Smar, avec un plan de redéploiement qui va toucher les succursales et les agents implantés à l’échelle nationale.

    Par ailleurs, explique Omar Rebrab, «il est certains qu’une partie du client particulier est restée chez nous et l’autre partie est partie chez Tahkout, car c’est lui le représentants officiel. Mais, les choses vont reprendre dans les jours à venir».

    Abordant la vente des véhicules en Algérie, le patron de HMA s’est dit révolté. «C’est inconcevable que les prix soient aussi élevés. J’espère que les prix vont chuter car on a pris en otage le consommateur. On a créé la pénurie et le monopole pour vendre au prix fort», déplore-t-il encore.

    Yanis Oumakhlouf

  • SAREL Industries, partenaire de Renault Algérie Production exporte ses produits

    SAREL Industries, partenaire de Renault Algérie Production exporte ses produits

    En date du 13 janvier 2020, un premier lot de pièces plastiques produites par SAREL Industries partenaire du groupe Renault pour la fabrication de plusieurs pièces de composants auto, est exporté vers les fournisseurs  du Groupe Renault, annonce un communiqué de Renault Algérie Production.

    Cette exportation s’inscrit dans une opération prévue par le Groupe Renault et son partenaire Algérien SAREL, pour l’exportation de plus de 06 références de pièces plastiques produites par ce dernier, dès ce mois de janvier précise cette même source.

    Pour rappel, SAREL partenaire Algérien du Groupe Renault devient, dès l’année 2014, parmi les entreprises locales devant fournir l’usine Renault production, sise à Oued Tlelat, pour la fabrication de 32 pièces, entre autres, des baguettes pour portières.

    SAREL, créé en 1969  est à l’origine spécialisée dans la radio communication professionnelle. Elle s’oriente dans les années 1980 vers la plasturgie technique, puis se met à fabriquer des batteries pour équipements de radiocommunication. Elle a été choisie par la SNVI pour fournir des composants auto pour Renault Algérie. Elle assure les premières livraisons en 2017.

    L’entreprise SAREL fait tout pour assurer aux ouvriers une bonne maîtrise dans la fabrication des composants autos. Certifiée ISO 9001-version 2008, elle réussit l’examen Asses spécial automobile et s’engage dans l’ISO/TS.

    Pour rappel, l’usine de Renault Algérie est inaugurée vers la fin 2014. Dès le début, elle s’est engagée dans l’installation d’un tissu de sous-traitants locaux, avec pour premier objectif le développement d’un réseau de fournisseurs locaux et ensuite exporter les pièces produites en Algérie vers d’autres sites du groupe, comme le précise le communiqué de Renault Algérie

    Elle est le résultat d’un partenariat entre le Groupe Renault et la SNVI. Depuis sa création, elle a lancé 03  modèles de véhicules. Elle a participé à la création de  prés de 1300 emplois directs.

    Lors de la 28ème Foire de la production Algérienne, Renault Algérie Production avait mis en évidence, l’intégration locale à travers  les efforts fournis par les sous-traitants locaux et a associé trois entreprises locales à savoir, MATUR, SITEL et SAREL.  Ainsi, les visiteurs ont pu prendre connaissance du travail que fournissent ces sous-traitants.

    K.M.B

  • Industrie automobile: Les japonais veulent investir en Algérie

    Industrie automobile: Les japonais veulent investir en Algérie

    S’achemine-t-on vers une véritable industrie automobile ? Après l’importation déguisée de véhicules, à travers les kits CKD/SKD, l’heure est à la mise en place d’usines où seront produites toutes sortes de voitures.

    En plus de l’obligation faites aux opérateurs de se lancer dans le processus de fabrication, des pays connus pour leur professionnalisme dans le domaine se disent intéressés par des projets d’industrie automobile en Algérie.

    C’est du moins ce qui ressort des déclarations de l’ambassadeur nippon à Alger, lors de son entretien avec le président de la commission des affaires étrangères, de la coopération et de la communauté établie à l’étranger à l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdelkader Abdellaoui.

    L’hôte de la chambre basse du parlement, Kazuya Ogawa, qui s’est entretenu sur les voies et moyens du développement de la coopération bilatérale dans tous les domaines, n’a pas caché l’intérêt de son pays à investir dans l’industrie automobile.

    A cette occasion, M. Abdellaoui a mis en avant « l’intérêt exprimé par l’Algérie en vue d’inciter les opérateurs japonais à investir dans différents domaines », précisant que l’Algérie « aspire à tirer profit des expériences des pays amis et partenaires afin de diversifier ses sources de revenus ».

    L’ambassadeur japonais a réitéré « l’attachement de son pays au soutien des efforts visant la promotion de la coopération bilatérale, l’exploitation des opportunités d’investissement en Algérie et la concrétisation des projets de partenariat dans divers domaines, notamment l’industrie automobile ».

    Il est clair que les japonais seront d’un apport considérable au secteur de l’industrie automobile, de par leur savoir-faire, de la qualité de leur produit et de leur sérieux et rigueur. Le passage du montage automobile à l’industrie automobile permettra la création d’un vaste réseau de sous-traitance.

    Ce qui générera des milliers de postes d’emplois. Toyota, Mitsubishi, Nissan…sont des marques très appréciées par les consommateurs algériens, qui préfèrent acquérir un véhicule neuf et de qualité, plutôt que d’acheter un véhicule d’occasion ou s’aventurer avec des marques dont la qualité laisse à désirer.

    Brahim Salah

  • Noureddine Seriak annonce l’avènement du label « BAIC BLADI »

    Noureddine Seriak annonce l’avènement du label « BAIC BLADI »

    Noureddine Seriak, Pdg de BAIC Industrie Internationale Algérie a réitéré aujourd’hui,  lors d’une conférence de presse qu’il a animé à la Safex, -l’entreprise prend part à la 28 Foire de la production Algérienne-  l’intention de BAIC Algérie d’aller vers l’exportation.

    Après avoir rappelé toutes les démarches entreprises pour donner à la marque la place qui est la sienne sur le marché national,  Noureddine Seriak a fait savoir que des pays comme la Mauritanie, la Tunisie, l’Espagne, l’Allemagne ou encore l’Italie semblent très intéressés par cette marque produite en Algérie et que des négociations sont en cours.

    Noureddine Seriak, a tenu à rappeler que l’entreprise qu’il dirige « n’a bénéficié d’aucun prêt bancaire, d’aucune exonération d’impôts ou de taxe. De même que l’usine est construite sur un terrain en session et non en concession »

    Mais l’annonce la plus importante de Noureddine Seriak, lors de la rencontre avec la presse, reste l’avènement du label « BAIC BLADI »B.B

    Pour Noureddine Seriak, Pdg de «avec Baic Bladi, nous marquons une étape importante dans l’histoire de l’industrie automobile en Algérie.»

    « Bladi répond aux exigences spécifiques du client algérien, en préservant la qualité et les normes internationales des véhicules Baic, ce géant mondiale de l’automobile auprès duquel nous avons prouvé que l’Algérie est bien capable de faire de l’industrie automobile, et pas que du simple montage».Tient à faire remarquer Noureddine Seriak.

    Lors de cette  28ème Foire de la production algérienne (FPA-2019) la nouvelle version 4X4 Off-Road du Pick-up Terralord, premier modèle badgé du nouveau label BB pour BAIC BLADI a été exposée.

    C’était aussi l’occasion d’exposer le BJ40 qui rejoint la gamme des véhicules BAIC assemblés au niveau de l’usine de Batna.

    Prochainement, des modèles seront fabriqués à l’usine de Batna portant des dénominations 100% algérienne.

    Ainsi, le BAIC Terralord assemblé à Batna est également proposé en version 4X2 à partir de 5 300.000 dinars (TTC).

    Quant BJ40, un vrai véhicule tout-terrain aux performances martiales, il est disponible à la commande à partir de 4 200 000 dinars (TTC) pour la version de base et à 5 600 000 dinars (TTC) pour la version Luxe, proposée en livraison immédiate.

    Aussi, Baic D20 et X25 sont également disponible à la commande avec des remises spéciale FPA-2019 allant jusqu’à 20 000 dinars. Du reste, Baic D20 est proposée à partir de 1 530 000 dinars (TTC), alors que la X25 est à partir de 1 930 000 dinars (TTC).

    Ces deux modèles sont proposés avec un délai de livraison allant de 15 à 30 jours selon les versions.

    Pour rappel, l’usine Baic de Batna est la première usine d’assemblage CKD de véhicules particuliers portant un label chinois en Algérie.

    Un investissement de l’entreprise Sariak Auto Handler en tant qu’actionnaire principal, et du groupe chinois BAIC, qui détient une participation minoritaire dans la joint-venture «Baic Industrie Internationale Algérie», à hauteur de 10%.

    L’usine BAIC Industrie Internationale Algérie a été conçue pour la réalisation de procès d’assemblage en CKD et a démarré ses activités d’assemblage avec un taux d’intégration de 26 %, atteint grâce aux partenariats avec des sous-traitants locaux, dont IRIS Pneus et une société locale spécialisée dans la fabrication des faisceaux de câblages automobile.

    Ce taux d’intégration a été obtenu aussi grâce au code d’identification du constructeur attribué par la SAE International, un organisme international basé aux États-Unis, ce code qui permet à Baic Algérie de graver son propre numéro de châssis, spécifique aux véhicules BAIC assemblés en Algérie.

    Les extensions prévues dans le plan de développement de l’usine, dont les travaux ont débuté et sont en phase d’achèvement, feront grimper le taux d’intégration à 34%.

    L’usine BAIC en Algérie s’étale sur une superficie totale de 3 hectares, dont un bâti de 8000 m2, qui accueille une partie de stock des pièces et une ligne de montage équipée d’une chaîne robotisée et des équipements semi-automatique.

    Aussi, elle accueille  la ligne des vérifications qui permet d’effectuer des tests de contrôle de conformité du véhicule, tel que la suspension, le système de freinage, le  système de correction de trajectoire automatique, et même de son étanchéité, et ce grâce à un banc de test dédié composé d’une cabine à jet hydraulique.

    Y.O

  • Peugeot Citroën Production Algérie: Les premiers véhicules en mars 2020

    Peugeot Citroën Production Algérie: Les premiers véhicules en mars 2020

    Les premiers véhicules de « Peugeot Citroën Production Algérie » seront assemblés dès le mois de mars prochain, selon le groupe PSA. Le lancement de la première phase industrielle est donc prévu pour le 1er semestre 2020, pour la future unité de production automobiles «Peugeot Citroën Production Algérie», dont les activités de chantier se déroulent à un rythme soutenu.

    Selon cette même source,  les travaux de l’unité, pour rappel lancés officiellement le 21 juillet dernier se déroulent conformément au planning prévisionnel et n’accusent donc pas de retard. Et ce, ajoute le groupe PSA, grâce  notamment aux efforts des équipes algériennes et des partenaires nationaux et internationaux.

    En effet, selon PSA, le bâtiment abritant les futures activités de montage des véhicules et de contrôle qualité de « Peugeot Citroën Production Algérie » est sorti de terre à la fin du mois d’octobre dernier et l’assemblage de la charpente de ce bâtiment est sur le point de s’achever.

    Par ailleurs, précise cette même source le recrutement des équipes de cette nouvelle entité  a commencé avec un effectif de 60 personnes, à ce jour, et devra passer à près de 400 personnes vers la fin de l’année 2020.

    En outre, cette nouvelle usine qui répondra aux meilleurs standards de l’industrie automobile, représente un investissement global à terme de 120 millions d’euros.

    Ainsi, plusieurs véhicules y seront assemblés permettant de répondre au mieux aux attentes des consommateurs algériens friands de la marque au lion.

    Pour rappel, le site de production de « Peugeot Citroën Production Algérie » est implanté dans la commune de Tafraoui,  dans la wilaya d’Oran, sur un terrain de 40 hectares, en plus des 80 hectares attenants dédiés à l’implantation des fournisseurs de proximité ( entreprises de sous-traitance) qui accompagneront le Groupe PSA par la fourniture de pièces pour l’usine de Tafraoui mais également à l’exportation pour les besoins d’autres usines du groupe PSA.

    Yanis Oumakhlouf

  • Skoda Octavia Acte IV: Tout sur le nouveau-né tchèque

    Skoda Octavia Acte IV: Tout sur le nouveau-né tchèque

    Les Tchèques l’ont fait. Avec autant de fierté que l’événement organisé à Prague a drainé un monde fou pour venir découvrir ce nouveau-né dans sa quatrième génération: Skoda Octavia Acte IV en berline et en break.

    En effet, c’est hier soir que la nouvelle et quatrième génération de Skoda Octavia a fait sa première apparition en avant-première mondiale, loin dessalons et des teasers fuités çà et là.

    C’est en République tchèque que la marque a préféré dévoiler toutes les informations sur cette quatrième génération de ce best-seller de Skoda Octavia.

    La belle et grande familiale s’est sensiblement modernisée. Radicalement. Elle affiche des traits plus marqués au niveau du capot et de la caisse, avec une nouvelle calandre, tout en abandonnant son étrange regard à quatre optiques au profit de projecteurs LED plus effilés que jamais.

    Skoda Octavia Acte IV gagne énormément en dynamisme, en élégance et en modernité pour se rapprocher de la nouvelle Superb.

    Côté gabarit, la Skoda Octavia Acte IV a gagné 2 centimètres par rapport au modèle précédent avec 4,69 m de long pour la berline comme pour le break Combi.

    La largeur est également en hausse (+1,5 centimètres à 1,83 mètre) tandis que l’empattement reste figé à 2,68 mètres. Cette petite extension bénéficie notamment aux passagers arrière qui profitent désormais d’un espace aux genoux de 78 millimètres.

    Quant au volume du coffre, on gagne 10 litres sur la berline (600 litres) et 30 litres sur le break (640 litres).

    A bord, la nouvelle Octavia a été complètement renouvelée. On retrouve ainsi un volant inédit à deux branches, une nouvelle instrumentation digitale de 10 pouces et un écran tactile central plus imposant pouvant également atteindre 10 pouces.

    La console centrale a été entièrement redessinée, tout comme les garnitures de portes, alors qu’un affichage tête haute sur le pare-brise et une climatisation tri-zone font leur apparition, ce qui est une grande première chez Skoda.

    C’est sous le capot aussi que la splendide Tchèque a gagné en reprenant les motorisations de la nouvelle Volkswagen Golf 8. Dès son lancement, elle sera proposée avec trois nouveaux moteurs diesel Evo, tous d’une cylindrée de 2 litres pour des puissances de 115, 150 et 200 Ch. L’offre essence se composera elle d’un trois cylindres 1 litre TSI de 110 Ch et d’un quatre cylindres 1.5 litre TSI de 150 Ch, avec boîte manuelle 6 vitesses dans les deux cas.

    Avec la boîte automatique DSG7, ces moteurs seront dotés de la technologie Mild-hybride ou hybridation légère, mais surtout, une première pour la marque, un moteur 2.0 litres TSI de 190 Ch (DSG7).

    L’Octavia 4 profitera enfin d’une mécanique hybride rechargeable essence de 204 Ch  et d’un 1.5 litre TSI G-TEC de 130 Ch fonctionnant au gaz naturel.

    Aussi, Skoda annonce des aides à la conduite, comme l’assistant de prévention des collisions, et le système d’avertissement de sortie, trois options de châssis différentes pour affronter les routes difficiles et plusieurs solutions Simply Clever qui facilitent la vie au quotidien, comme le pack sommeil, poche de rangement multifonction sous le couvre-coffre…etc.

    Du reste, il faudra s’attendre, dès 2020, à ce que la nouvelle Skoda Octavia soit proposée sur le marché en finitions Active, Ambition et Style, ajouté à deux autres versions souhaitées, à savoir Scout et la sportive RS.

    De notre envoyé spécial à Prague : Rabah Nadri

  • La nouvelle Peugeot 208 en Algérie dès mars 2020

    La nouvelle Peugeot 208 en Algérie dès mars 2020

    Testée le 07 novembre, au Maroc, plus exactement à Al-Djadida, située dans la capitale économique du royaume chérifien, Casablanca, la nouvelle Peugeot 208 sera commercialisée en Algérie au premier trimestre de l’année 2020, c’est le mois de mars de la même année, date à la quelle l’usine Peugeot Citroën Production Algérie (PCPA), basée à Tafraoui (Oran), compte démarrer sur les chapeaux de roues.

    Modèle phare de la marque au lion, voir modèle d’attaque agressif, la nouvelle Peugeot 208 a, effectivement été soumise aux test-drive dynamiques au profit de la presse spécialisée algérienne.

    Ce modèle tant prisé en Algérie décline une fort personnalité qui se révèle au premier regard. Sa silhouette basse, au capot long et aux courbes sensuelles dévoile son esprit de sportive séductrice confère une conduite originale, en totale rupture avec l’ancien modèle, désormais en fin de vie.

    Avec ses couleurs de carrosserie vives et originales, la nouvelle 208 se fait vraiment remarquer. Son caractère affirmé est souligné par un toit Black Diamondi, des passages de roues et lécheurs de vitres noir Brillanti et des jantes diamantées avec Insertsi.

    La nouvelle Peugeot 208 ne passe pas inaperçu avec ses couleurs d’attaque. Au contraire, elle attire l’attention de loin, notamment grâce à sa face avant.

    caractéristiques de nouvelle Peugeot 208

    En ce sens, la nouvelle Peugeot 208 est dotée de projecteurs Full Led à 3 griffes et DRL à Led, en sus des feux Full Led arrière, un becquet arrière, un toit panoramique, un garnissage avec surpiqûres et un poste de conduite Nextgen Technology et Peugeot I-cockpit 3-D configurable, ajouté au grand écran tactile 10 pouces HDI et les 7 touches piano Toggles Switches-i avec la personnalisation de l’ambiance intérieure grâce à l’éclairage Polyambiant de 8 couleurs pour encore plus de modernité.

    Aussi, la nouvelle 208 bénéficie de la nouvelle plateforme CMPI/ECMPI modulaire et multi-énergies qui offrent un choix sans compromis entre les motorisations essence ou diesel.

    Sur la route, on a pu profiter de l’optimisation des prestations de tenue de route et de maniabilité, du confort acoustique et thermique ainsi que l’allègement qui contribuent à limiter les émissions de CO2.

    L’efficacité et la souplesse de la nouvelle boîte de vitesses EAT8I à 8 rapports avec palettes au volant et commande électrique impulsionnelle, grâce à la technologie Quick Shift, rend la conduite plus agréable.

    La nouvelle lionne, c’est aussi l’allure sportive aux courbes sensuelles et une puissance 136 Ch pour une réactivité immédiate grâce au couple de 260 Nm.

    Aides à la conduite et à la manœuvre, la nouvelle voiture citadine dispose de nombreux assistants intelligents très sécurisants et des aides à la manœuvre pour seconder et faciliter le quotidien du conducteur.

    Du Toggle Fullscreen au Peugeot Drive Assist Plus en passant par Peugeot Drive Assist Plus, la reconnaissance des panneaux et la régulation de la vitesse et de la distance de sécurité, ajouté à Assist plus, Active Safety Brake, la nouvelle Peugeot 208 est synonyme d’un véhicule connecté conçu pour contribuer à la sécurité routière et qui permet de gagner du temps et d’optimiser le budget automobile, aussi bien sur la route que dans la gestion de son entretien.

    Quant aux tarifs et finitions qui seront introduites en Algérie, elles feront l’objet de prochaines négociations entre PCPA et la maison-mère qui compte mettre le cap sur ce modèle tant attendu en Algérie.

    Rabah Nadri, Casablanca (Maroc)

  • Montage automobile:Djamila Tamazirt rassure Renault Algérie

    Montage automobile:Djamila Tamazirt rassure Renault Algérie

    Le cas de l’entreprise de montage automobile Renault Algérie ne présente pas de problème particulier concernant les  modalités de quotas des kits CKD/SKD, selon la ministre de l’Industrie et des Mines, Djamila Tamazirt.

    «Renault ne présente pas de problème particulier, le dossier se présente de façon très conforme», a-t-elle fait savoir, rappelant que l’Etat est actionnaire à hauteur de 51% de cette entreprise et qu’une séance de travail avait récemment réuni les représentants du ministère et ceux de Renault Algérie au cours de laquelle a été évoqué le sujet du taux d’intégration nationale, notamment pour l’année 2020.

    Rappelant les nombreux avantages accordés par l’Etat en matière d’exonérations fiscales et de droits de douanes, DjamilaTamazirt, a affirmé que «ces avantages doivent se traduire par une plus grande intégration nationale, générant de la croissance et de la création d’emplois, ainsi   qu’un développement du tissu de sous-traitants locaux».

    Pour rappel, Renault Algérie avait récemment écarté la fermeture de son usine d’Oran, faisant savoir que ses stocks de kits CKD/SKD, destinés au montage automobile allaient s’épuiser à compter de novembre prochain.

    Auditionnée, ce matin, par la Commission des finances de l’Assemblée populaire nationale (APN), Djamila Tamazirt a mis l’accent sur la nécessité de mettre au point une stratégie nationale pour l’exportation des véhicules.

    Cette stratégie concerne également la relance des usines publiques fermées ou privatisées dans tous les secteurs, la révision du cahier de charges des usines de montage de véhicules qui «n’ont pas respecté les clauses convenues, notamment les prix et le taux d’intégration nationale».

    A ce titre, les députés ont critiqué la durée de trois ans, fixée pour l’importation des véhicules à essence uniquement, appelant, de ce fait, à porter cette durée à 5 ans pour inclure aussi les véhicules à moteur diesel, d’autant que ces derniers sont montés localement.

    Dans sa réponse, la ministre a indiqué que les véhicules diesel deviendraient plus polluants à l’environnement après des années d’utilisation, raison pour laquelle ils sont exclus de l’importation contrairement à ceux fabriqués localement, en état neuf, ajoutant que la durée de trois ans a été étudiée sous tous ses aspects, techniques ou financiers.

    S’agissant du cahier de charges destiné aux usines de montage, DjamilaTamazirt a affirmé que ses clauses étaient en cours de révision, indiquant que les usines ne respectant pas les clauses ne bénéficieraient pas du renouvellement des autorisations d’importation des kits d’assemblage.

    Rabah Nadri

  • Sous-traitance automobile: Des conventions signées avant fin 2019

    Sous-traitance automobile: Des conventions signées avant fin 2019

    Le secteur de la sous-traitance automobile, va être renforcé dès l’année prochaine. En effet des conventions seront signées avant la fin de l’année 2019 avec des équipementiers automobiles nationaux et internationaux pour fabriquer des pièces et des composants nécessaires pour les usines d’assemblage de véhicules en Algérie.

    C’est ce qu’a indiqué la ministre de l’Industrie et des Mines, Djamila Tamazirt, affirmant que les équipementiers de tous les opérateurs seront présentés d’ici la fin d’année en vue de signer des conventions de sous-traitance et de fabrication de pièces de rechange, permettant ainsi de remplir la condition du taux d’intégration nationale qui accuse jusque-là un grand retard.

    Ces conventions interviennent suite aux discussions menées avec les entreprises activant dans le domaine d’assemblage automobile en Algérie, en présence des ambassadeurs des pays des constructeurs.

    «Nous avons convenu lors de ces discussions de passer à la deuxième étape, en se penchant sur la question d’intégration nationale exigé dans les cahiers des charges des entreprises d’assemblage et qui était de 15%  à la troisième année et de 40% à la cinquième année», a expliqué Mme. Tamazirt qui a rassuré, par ailleurs, que «les opérateurs du secteur de l’assemblage des véhicules poursuivront leur activités normalement à partir de 2020 en respectant leurs engagements pris envers l’Etat algérien».

    Elle affirmera, en ce sens, que «les ambassadeurs et les opérateurs voulaient s’assurer que la dynamique de l’industrie automobile telle qu’elle a été projetée par l’Etat algérien n’a pas été compromis. Nous avons expliqué qu’il s’agit de mettre les dossiers en conformité avec les engagements. Les entreprises en production sont maintenus et les engagements seront respectés de part et d’autre».

    Ainsi, développe-t-elle, «toutes les entreprises vont reprendre leurs activités à partir de 2020 sur la base des engagements souscrits dans les cahiers des charges et dans la cadre réglementaire régissant ce secteur notamment le décret 334-17 du 28 novembre 2017  qui met l’accent sur la sous-traitance automobile pour atteindre les taux d’intégrations consacrés dans les cahiers de charges. (…) L’année 2019 est une année de réajustement par rapport aux comportements de certains industriels. Cette année nous avons remis les pendules à l’heure».

    Abordant le projet Peugeot, Mme. Tamazirt a également rassuré que son usine était toujours en construction et devrait être opérationnelle au 1er semestre 2020.

    La ministre a assuré également que son département ministériel continuait d’examiner toutes les demandes pour l’installation d’une usine d’assemblage de véhicules en Algérie, dans le cadre de la poursuite de la stratégie du secteur qui vise à produire 600 000 véhicules à l’horizon 2023.

    Interrogée sur les demandes rejetées par le ministère, Mme. Tamazirt a expliqué qu’il s’agit de cas de non-conformité au dispositif de loi, ou de dossiers incomplets.

    «La plupart des demandes rejetées n’ont pas remplis la condition d’associer un constructeur de renommée mondiale dans le capital pour assurer le transfert de technologies et d’assurer un taux d’intégration appréciable», a conclu la ministre.

    Salim Oukaci

  • La Clio 5 confirmée pour 2020 par Renault Algérie Production

    La Clio 5 confirmée pour 2020 par Renault Algérie Production

    Après la commercialisation, en 2017 de la Clio 4 par Renault Algérie Production (RAP) et qui avait été déclinée en plusieurs finitions et motorisations, le groupe Renault Algérie a confirmé la production, l’année prochaine, de la très attendue Clio 5.

    Selon une source proche de la marque au losange, la Clio 4, en fin de vie, avait ratissé large depuis qu’elle était assemblée à l’usine d’Oued Tlelat, à Oran.

    En cours d’homologation, la Clio 5 risque de cannibaliser tous les autres modèles au vu des ventes en hausse en Europe. la Clio 5 décline une excellente motorisation et des équipements de haute facture sans pour autant bousculer sa tarification.

    En plus de la Clio 5, un autre modèle, en cours de discussion, fera également son entrée dans le segment des Ludospaces. Selon nos sources, ces deux nouveautés interviennent après les assurances de la ministre de l’Industrie et des Mines, Djamila Tamazirt, qui avait reçu le patron de Renault Algérie, André Abboud.

    Mieux, après les récentes négociations avec le gouvernement, Renault Algérie a aussi confirmé le passage au cap du CKD et a obtenu le feu vert de l’Etat pour le montage de 75 000 véhicules en 2020.

    En ce sens, on apprend que les travaux d’extension de la chaîne de production ont été engagés à Oued Tlelat.

    En revanche, Renault Algérie n’a pas communiqué sur l’inexploitation de la totalité de la superficie accordée, c’est-à-dire l’assiette de 156 hectares, alors que l’usine de montage est limitée à seulement une assiette de 17 hectares après son désamiantage et les travaux de conformité réalisés en 2014.

    Du reste, on apprend que les employés de cette usine ont été rassurés par les responsables de Renault, notamment après les rumeurs faisant état d’un éventuel chômage technique.

    «Le constructeur a franchement décidé de transformer cette usine dès 2020 pour atteindre un taux intégration élevé, renforcer la main-d’œuvre et son tissu de sous-traitance», nous dit-on encore.

    En parallèle, durant la période creuse, Renault Algérie Production a décidé de consacrer des sessions de formation spécialisées pour les besoins de son développement en 2020, comme il procédera à une vague de recrutements pour réaliser ses objectifs.

    Yanis Oumakhlouf