Catégorie : Un Produit

  • SARL ELECTROMEL : 8000 lampes Lbc produites par jour

    SARL ELECTROMEL : 8000 lampes Lbc produites par jour

    La Sarl Electromel est une entreprise familiale, installée à quelques kilomètres à l’ouest de Bejaia, aux abords de la RN 12.

    Deux jeunes frères, diplômés universitaires signent les premiers actes en 2007, et mettent tout leur coeur pour créer une entreprise électrique, de surcroît produisant des lampes à basse consommation ou lampes fluo-compactes (Lbc). Ils profiteront largement des qualifications et de la grande expérience du père Saddek MERADI.

    Généralement, dans les entreprises familiales, les jeunes générations prennent en main un patrimoine de départ, comme une entreprise ou une exploitation en activité. Pour les MERADI, le patrimoine de départ se limite à une petite mise financière au début mais, atout déterminant, avec un capital qualification et expérience du père. Un gage de viabilité du projet. Et un pari sur l’avenir, sur un marché porteur.

    De l’emploi, mais surtout une activité de production industrielle locale, et la perspective de couvrir les besoins nationaux, avec pour corollaire une réduction de la facture des importations nationales.

    L’entreprise a réalisé de bonnes performances commerciales, notamment à l’export, malgré la concurrence des grandes marques européennes et du toc
    Importé de Chine.

    Lancée par un ancien cadre de l’ex-fleuron public Sonatite, Electromel a réussi le pari de mettre sur le marché la première lampe à 100% « made in Algeria ». Avec un taux appréciable d’intégration du produit à hauteur de 70%, les équipements, importés de Corée du sud, permettent une production moyenne de 8000 lampes/jour, avec un design et une qualité qui n’ont rien à envier aux produits importés d’Europe et d’Asie.

    Les modèles et les formes des lampes ont été dessinés par un designer-maison, que l’entreprise a pris soin d’enregistrer auprès de l’INAPI pour les protéger de la contrefaçon.

    Les lampes à basse consommation, qui permettent une économie d’énergie pouvant atteindre jusqu’à 80%, séduisent de plus en plus de ménages en Algérie et dans le monde.

    En trois années de commercialisation seulement, les lampes Electromel ont réussi à se frayer une part conséquente sur le marché national, et ont même réussi l’exploit de se placer en Tunisie où des opérations d’export ont été réalisées pour une période de test.

    Des demandes émanent encore de nos voisins tunisiens, et aussi de la Libye et du Sénégal. L’entreprise projette de renforcer ses capacités de production pour répondre à ces sollicitations.

    In la Lettre d’Algex   

  • Filière du prêt à porter : CH prépare son retour

    Filière du prêt à porter : CH prépare son retour

    Le groupe public de l’habillement Confection et Habillement CH veut se repositionner sur ce marché national submergé par les vêtements importés de Chine, de Syrie, de Turquie et d’ailleurs.

    Le groupe ambitionne de porter ses parts de marché de 2  % à 10% pour le grand public d’ici à 2015.

    CH devrait passer de 25 millions d’articles à 70 millions d’articles dans les cinq années à venir, ce qui permettra de créer d’autres postes d’emplois avec l’augmentation de l’activité du groupe, rapporte l’APS qui précise que CH a bénéficié d’ une aide financière de plus de 10 milliards de DA destinée à la relance de cette activité qui en plus de la concurrence féroce que connait ce secteur d’activité et les réseaux informels, est confronté au manque de la matière première

    « Et ce sont les contraintes qui pénalisent le développement de cette industrie à forte valeur ajoutée », a confié à l’APS le PDG de CH, Ahmed Benayad.

    Ce dernier souligne que :
    « La dépendance du groupe d’un secteur textile qui n’arrive pas à satisfaire la demande du marché en termes de qualité, de variété et d’adaptation aux tendances vestimentaire est l’une des difficultés sur lesquels bute la filière du prêt à porter et de la confection  » et de rappeler que faute d’une industrie nationale de fibres synthétiques ou naturelles, le recours à l’importation reste la seule issue au secteur du textile.

    Un secteur qui en dépit de toutes les aides consenties par l’Etat peinent à trouver ses marques
    « Le secteur public est également contraint de justifier tous ses achats par des documents attestant de la provenance des tissus, alors que certains grossistes imposent la facturation de ces achats à des coûts inférieurs aux coûts réels des transactions  » une situation que déplore Ahmed Benayad.

    Dans l’immédiat, l’objectif est affirme le PDG de CH est de maintenir les 3.000 postes d’emplois et d’en créer plus de 1.500 nouveaux à l’horizon 2015, Composé de 15 filiales, le groupe confection et habillement (CH) est représenté par 15 entreprises de production avec un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards de DA.

  • Acer veut confirmer sa place de leader en Algérie

    Acer veut confirmer sa place de leader en Algérie

    Avec le lancement de toute une gamme de nouveaux produits en même temps qu’aux Etats Unis et en Europe.

    Les responsables du géant des produits informatiques Acer, ont annoncé le mois dernier, à Alger, le lancement de toute une gamme de nouveaux produits, pour la première fois en Algérie en même temps que leur lancement aux Etats Unis et en Europe et ce, dans le cadre de la nouvelle stratégie initiée pour l’année en cours.
    Depuis sa création en 1976, Acer a atteint son objectif de repousser les barrières entre l’homme et la technologie. Justifiant d’ailleurs assez bien sa place en haut de la hiérarchie, cette ambitieuse entreprise se place fort logiquement au 2ème rang mondial sur le marché des notebooks. Aujourd’hui et avec plusieurs nouveaux produits à l’instar de l’Aspire Time line Ultra M3, l’Aspire S5 ou encore la tablette, «l’ICONIA TAB A510», c’est en toute légitimité et forte d’une bonne expérience, qu’elle veut encore une fois confirmer sa place privilégiée sur le marché algérien. Un marché «très prometteur», nous dira M Fethi Ghoul, Sales Manager chez Acer Computer Algeria.

    Des boutiques 100% Acer partout dans le pays

    Et c’est dans la perspective de soigner la présence de la firme que M Ghoul annoncera «l’ouverture très prochaine de plusieurs boutiques 100% Acer sur tout le territoire national et cela bien sûr avec la collaboration de tous ses fidèles partenaires non sans compter sur la précieuse collaboration d’un nouveau qui va rejoindre la chaine de distributeurs fidèles à la marque. Justement, Acer travaille dans le but de renforcer les liens entre la maison mère et ses distributeurs, notamment ABM et CompNet en les aidants à gagner de nouveaux marchés. Avec, pour devise et pour fidéliser justement leurs partenaires, des produits de qualité et toujours innovants, ainsi qu’un service après-vente optimal, avec notre partenaire Elmim», soulignera fort à propos M Ghoul, en rappelant que Acer a aussi, pour arguments convaincants, la «réduction des délais d’intervention qui sont, aujourd’hui, de 6 à 7 jours ouvrables au maximum». D’autant que, et à partir de cette année, les partenaires d’Acer devront bénéficier de formations aussi bien en Algérie qu’à l’étranger.

    Acer le numéro 1 en Algérie

    Toujours selon notre interlocuteur, le géant de l’outil informatique confirme d’année en année, sa place de leader dans le marché algérien. «Bien qu’il n’y ait pas de données très fiables, les ventes mensuelles et annuelles des produits Acer en Algérie, confirment que Acer était bien le numéro un du marché des laptop en Algérie pour l’année 2011. Nous enregistrons pratiquement une augmentation de 20% d’une année à une autre.» Il faut noter que la marque, notamment avec le modèle Aspire One, domine le marché des netbook en Algérie. Par ailleurs, le produit Acer qui reste le mieux vendu et sans concurrent en Algérie, demeure sans conteste l’Aspire 5733-15 pouces, alors que dans la catégorie net book, l’Aspire One D270 (10 pouces, 320 Go, processeur Atom et équipé de Windows 7) arrive également en tête.

    « Acer possède aujourd’hui 40% à 50% de parts de marché sur les netbooks à l’échelle mondiale et nous espérons cette année faire 40% de notre chiffre d’affaires sur le haut de gamme. Nos têtes d’affiches dans cette catégorie sont les ultrabooks Aspire S3 et M3.»
    dira encore M Ghoul qui annonce ainsi la couleur quant aux opérations futures et objectifs assignés dans la conquête du marché national.

  • MOURAD ABDI, DIRECTEUR GÉNÉRAL :  « Une formation de qualité, garantit une prestation de qualité »

    MOURAD ABDI, DIRECTEUR GÉNÉRAL : « Une formation de qualité, garantit une prestation de qualité »

    La  formation,  la  spécialisation,  le  service  après-vente,  le  savoir-faire,  les  spécificités  du nettoyage   dans certaines activités industrielles   et le  « classement  » des importateurs, sont autant de points que nous avons abordés dans ce bref entretien avec le directeur général de cette entreprise qui emploie plus d’une cinquantaine de personnes entre distribution, service après-vente et prestations.

    DZ Entreprises : Vous êtes passé de la prestation de services à la distribution, Pourquoi ce changement de cap ?

    MOURAD  ABDI : Ce n’est pas vraiment un changement de cap, c’est un deuxième axe que nous avons  ouvert,  par  la  force  des  choses.  Avec l’avènement des entreprises créées dans le cadre de l’emploi de jeunes nous ne pouvions pas nous  aligner  sur  les  devis,    nous  avions  donc pris  la  décision  de  faire  de  la  distribution  et de  fournir  en  matériel  ces  jeunes  entreprises, mais  pas  que,  puisque  nous  fournissons  aussi un  savoir-faire  en  leur  expliquant  comment utiliser l’équipement.

    DZ Entreprises : TOP-NET a donc abandonné la prestation de service ?

    MOURAD  ABDI : En  2000,  nous  avons  commencé  à  lever  le pied  de  la  prestation,  mais  les  choses  se  sont très vite inversées. Dès 2008, nous avons été destinataires de demandes spécifiques des entreprises de l’agro-alimentaire et de l’industrie pharmaceutique qui ont compris que n’est pas professionnel  de  l’hygiène  et  de  la  propreté qui veut et que l’entretien de ce genre d’unité de  production  nécessite  un  savoir  faire  et  un service  pointu.  Critères  que  TOP-NET  remplie pleinement.

    DZ Entreprises : Vous avez évoqué, lors de notre visite du siège de l’entreprise, le principe de  « one-stop-shop », en quoi consiste –t-il ?

    MOURAD  ABDI : Le  principe  est  simple.  S’équiper  de  tout  ce dont  on  a  besoin  en  un  seul  endroit,  C’est donc des solutions globales pour tous les professionnels de nettoyages que nous offrons.

    DZ Entreprises : En feuilletant votre catalogue de produits, on remarque que vous avez également investi le secteur du lavage de véhicule. La demande est  importante ?

    MOURAD  ABDI : Comme  pour  tous  les  produits  importés  nous nous  fournissons  chez  les  meilleurs  sur  le marché  mondial.  Il  en  est  de  même  pour  les portiques  automatiques  de  lavage  de  véhicule lourd  et  léger.  Ce  n’est  donc  pas  par  hasard  si de  grosses  entreprises  ont  acquis  leur  matériel chez nous.

    DZ Entreprises : Comme ?

    MOURAD  ABDI :    TahkoutCévitalBattouche  et  l’Etusa  pour sa nouvelle flotte … Nous sommes également les  premiers  à  distribuer  le  matériel  pour  le nettoiement  urbain.  Nous  avons  vendu  une cinquantaine  entre  les  communes  d’Oran, Constantine  et  l’entreprise  Net-Com  sur  plusieurs appels d’offres.

    DZ Entreprises : On a tendance à dire que vos prix sont chers !

    MOURAD  ABDI :  Chers,  mais  pas  excessifs.  Tout  le  monde  me « conseille » de baisser les prix en me fournissant dans le marché asiatique. On préfère commercialiser des produits un peu chers, mais la qualité reste la qualité, et avec ça on reste compétitif.  Ce  n’est  pas    par  hasard  que  nous  travaillons  avec  le  secteur  public.  Souvent  nous sommes retenus parce que nous arrivons à répondre à des cahiers de charges  très stricts.

    DZ Entreprises : Vous distribuez  un matériel importé, n’y  a-t-il pas des fabriquants d’équipements en Algérie ?

    MOURAD  ABDI :  Il n’y pas un seul fabriquant d’équipement aspirateur  industriel  en  Algérie,  pour  ces  équipements il n’y a que l’importation. J’ouvre une parenthèse pour dire que nous sommes considérés  comme  importateurs  avec  tout  ce  que cela  suppose  comme  étiquettes.  Nous  commercialisons des biens d’équipements destinés à  des  établissements  agro-alimentaires,  pharmaceutiques et hospitaliers, des milieux où on ne badine pas avec l’hygiène parce qu’il y va de la santé, voire de la vie de nos concitoyens. On devrait arrêter de mettre tout le monde dans le même  sac  en  ouvrant  des  listes  vertes  et  rouges  par  exemple.  La  compétition  serait  de  se mettre sur la liste verte et non d’échapper à la liste rouge.

    DZ Entreprises :  Vous aviez  évoqué  avant le début de l’entretien  la question de la formation…

    MOURAD  ABDI :  En fait, il s’agit d’un projet en maturation, difficile à réaliser faute de foncier. L’idée est de créer  une  école  de  formation  d’hygiène  avec toutes  ses  spécialités.  Pour  travailler  dans  le milieu hospitalier, par exemple, il faut être formé  pour  l’utilisation  des  produits,  l’entretien des sols et le nettoyage spécifique de chacun des  espaces  d’un  établissement  hospitalier.  Il en  est  de  même  pour  l’industrie  agro-alimentaire, pharmaceutique et autre.

     

    Entretien réalisé par K .H

  • DTS ALGÉRIE : Le Savoir-faire de l’Entreprise s’exporte bien

    DTS ALGÉRIE : Le Savoir-faire de l’Entreprise s’exporte bien

    SPORTS & PUBLIC Works

    DTS Algérie, qui a acquis et assis sa position de leader dans le domaine sportif avec la réalisation de plus d’un millier de chantiers en Algérie, investit le domaine de la santé  en proposant des sols de santé de marque européenne connue.

    quand, il y a plus d’une décennie, cette entreprise de travaux publics a vu le jour, personne n’aurait parié sur sa pérennité. c’est que DTS Algérie avait choisi, en 1996, date de sa création, d’investir un créneau où la concurrence n’était pas toujours loyale. Et Mr Hicham el farra, que nous avons rencontré au siège de l’entreprise  à  hydra,  égrène  les  anecdotes  pour  raconter les premiers pas très difficiles de son entreprise.

    Le monde du football à ses règles, pas toujours fairplay, il faut le dire. Et quand il a décidé  de travailler dans les revêtements en gazon artificiel des stades, le patron de DTS Algérie  ignorait  qu’il  devait  mener  bataille pour  faire  admettre  «  l’idée  ».  il  a  fallu  du temps et de la patience pour expliquer aux « défenseurs du temple » quelques notions techniques sur l’installation et la qualité du gazon artificiel.

    En 2011, la parenthèse est fermée et le DG de DTS Algérie affirme, non sans une certaine satisfaction, que «l’entreprise est aujourd’hui leader affirmé en qualité en Algérie, grâce à l’effort très lourd que nous avons fait.  aucune  marge  d’erreur  n’est  permise, nous avons réalisé quelque 1230 chantiers en Algérie, pratiquement sans contentieux, c’est vous dire la précision avec laquelle nous travaillons.  nous  sommes  capables  de  réaliser des terrains aux normes FIFA et AIF ».

    Précurseur ? DTS Algérie, qui emploie quelques 300 salariés  dont  des  techniciens  spécialisés  formés  en  france  à  la  tarkett academy    –  17 d’entre  eux  sont  diplômés  pour  la  pose  des sols  -,  estime  l’être  «  quand,  il  y  a  15  ans, nous  avons  utilisé  du  gravier  pour  la  préparation  du  terrain  avant  la  pose  du  gazon, c’était  la  levée  de  boucliers. Aujourd’hui,  il est conseillé de le faire pour bien préparer le terrain….  »    ce  n’est  donc  pas  par  hasard, soutient-on à DTS Algérie, que de « grandes marques comme  tarkett  no1  européen,  Viacor allemagne,  producteur  de  résines  et  Porplastic Travaillent  avec  DTS Algérie  comme  distributeurs et installateurs de leurs produits  depuis 10 ans».

    DTS Algérie,  qui  a  acquis  et  assis  sa  position de leader dans le domaine sportif avec la réalisation  de  plus  d’un  millier  de  chantiers  en Algérie,  investit  le  domaine  de  la  santé    en proposant des sols de santé de marque européenne  connue.  Le  sujet  passionne  hichem el farra. « Le cahier des charges de la santé doit  être  très  technique  quand  il  s’agit  de  la pose ou revêtement de sol. on n’installe pas des sols compacto dans les blocs hospitaliers, il faut des sols antibactérien, anti dérapant …

    Les bureaux d’études  doivent être sensibles au  phono  statique,  bactériostatique,  il  en  est de  même  pour  les  directeurs  de  santé  et  les entreprises  qui  construisent  des  établissements  de  santé.»  Le  DG  de  DTS Algérie  considère que les cahiers  des charges doivent définir les  caractéristiques  techniques  de  revêtements de sols avant d’aborder avec nous une autre des ambitions de DTS Algérie.

    Notre bataille aujourd’hui  est  de  faire  dans  tout  ce  qui  est vert, sensibiliser les maîtres d’ouvrages, faire des  séminaires  et  formation  qualité  sur  les différentes  sortes  de  gazons.  un  autre  challenge pour DTS Algérie qui, après les revêtements de sols sportifs (70%) les sols industriels (30%), s’est  investit  dans  l’éclairage  d’infrastructures  sportives  et  pétrolières. avec  des  projets récemment conclus au maroc et en  gambie et  antérieurement en Jordanie, le savoir-faire de DTS Algérie s’exporte bien.

    Par Kamélia Hamadache