Catégorie : National

  • 6ème Forum de Bejaia : L’université et le monde productif

    Général Emballage Spa sponsorise l’évènement

    Une convention de sponsoring a été signée entre Général Emballage Spa, représenté par son P-DG, Ramdane Batouche , et l’université de Béjaïa, représentée par le recteur Djoudi Merabet.

    La convention signée en marge d’une conférence académique sur la « synergie université-entreprise » donnée par le Pr. Djoudi Merabet à l’intention du top-management de Général Emballage Spa, à Akbou, stipule, notamment, que Général Emballage fournira un concours de 500 000 DA pour l’organisation du 6e Forum de Béjaïa « l’université et le monde productif » et 10 lap-tops pour honorer les majors de promotion 2012 à travers une cérémonie qui sera organisée dans le prolongement du Forum de Béjaïa, qui se tiendra du 1er au 4 juillet 2012.

    D’autre part, une esquisse de convention globale a été dégagée entre les deux parties. Général Emballage s’engage d’ores et déjà à équiper une salle d’informatique (25 postes) au profit des étudiants tandis que l’université s’engage, de son côté, à coopérer avec Général Emballage pour mettre en place un mastère professionnel dédiée aux arts graphiques et à l’emballage.

  • Industries de transformation alimentaire

    Un institut de formation à Bouira

    Un institut national spécialisé dans les industries de transformation alimentaire ouvrira ses portes en octobre prochain dans la commune de Sour El-Ghozlane, dans la wilaya de Bouira.

    Réalisé dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux, tranche 2010, pour un montant de 424 millions de DA, cet institut, d’une capacité de 300 places pédagogiques dont 140 en internat, est considéré comme étant le deuxième du genre au niveau national.

    Cet établissement a été doté d’équipements de pointe adaptés aux besoins de formation de techniciens supérieurs en industries de transformation alimentaire.

    Par ailleurs la réalisation au chef-lieu de wilaya, d’un Centre de formation professionnelle d’une capacité de 1 000 places, dont 240 en internat est en cours de finalisation. Son coût est estimé à 398 millions de DA. Les travaux d’un autre institut spécialisé dans formation de techniciens supérieurs en construction et travaux public devraient être lancés début septembre , dans la commune de M’chedallah.

  • Le Centre d’Information Commerciale opérationnel avant fin 2012

    Le Centre d’Information Commerciale opérationnel avant fin 2012

    Le Centre d’information commerciale destiné aux exportateurs sera opérationnel avant la fin de l’année en cours, a annoncé à Oran, le Directeur
    de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur «Algex».

    Cette annonce a été faite en marge de la rencontre, organisée fin mai par la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO) et la Compagnie algérienne d’assurance et de garantie des exportations (Cagex).

    Ce rendez-vous a été, selon les organisateurs, une occasion pour les opérateurs économiques de la wilaya de connaître les différentes facilités offertes par les services des douanes et des impôts dans le domaine de la promotion des exportations hors hydrocarbures.

    Installé au niveau de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur et doté de tous les moyens nécessaires, le centre permettra à l’opérateur économique d’accéder aux différentes banques de données de l’Agence concernant les activités d’exportation hors hydrocarbures.

  • Mascara : 346 sociétés commerciales poursuivies en justice

    Pour non-dépôt de comptes sociaux

    Pour non dépôt des comptes sociaux de l’exercice 2011, la direction du Commerce de la wilaya de Mascara a transféré les dossiers de 346 sociétés commerciales à la justice.

    L’information a été donnée lors de la journée de sensibilisation sur les comptes sociaux, organisée par la Chambre de commerce de Mascara fin mai L’an dernier, sur les 656 sociétés commerciales concernées par la procédure, près de la moitié seulement a déposé ses comptes sociaux Les dossiers des sociétés retardatrices ont été orientés vers la direction du Commerce qui les a transférés à la justice, a indiqué à l’APS le responsable local du CNRC , soulignant que les réfractaires sont passibles de différentes sanctions dont des amendes variant entre 30 000 et 300 000 dinars.

    Sur 835 sociétés commerciales concernées seules 60 ont déposé leurs comptes sociaux. Pour rappel, le délai de dépôt légal obligatoire de ces comptes est fixé au 31 juillet prochain.

    Le directeur de la Chambre de commerce Beni Chougrane de Mascara, Bouziane Benkhelifa a fait remarquer que la rencontre organisée par sa structure est destinée à des opérateurs, aux notaires et huissiers de justice, afin de les sensibiliser sur l’importance de l’assainissement des pratiques commerciales. Sont concernés par cette mesure, les sociétés par actions (SPA), les entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée (EURL), les sociétés à responsabilités limitée (SARL), les sociétés en en nom collectif (SNC), les sociétés en commandite simple (SCS) ou par actions.

    L’opération de dépôt légal obligatoire des comptes sociaux de l’exercice 2011 touche également les banques et établissements financiers ainsi que les succursales de banques étrangères inscrites au registre de commerce à fin décembre 2011, selon le CNRC.

  • Laghouat – Création d’entreprises

    DIPMEPI de Laghouat : 190 PME créées durant le 1er trimestre de 2012 dans la wilaya

    Cent quatre-vingt-dix (190) petites et moyennes entreprises (PME) ont été créées durant le premier trimestre de l’année en cours dans la wilaya de Laghouat, rapporte l’APS qui cite les responsables de la Direction de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement (DIPMEPI).

    D’un capital d’investissement plafonné à un milliard de dinars accordé par l’Agence nationale de gestion des micros crédits (Angem), ces entreprises activent dans divers créneaux, dont le bâtiment et les travaux publics, le commerce, le transport, l’artisanat.

    La DIPMEPI de Laghouat relève un «large engouement » pour la création de PME auprès des jeunes, motivés par les facilités accordées pour le financement
    et l’octroi d’assiettes foncières par le biais des programmes d’aménagement et d’exploitation des zones d’activités au niveau de ses communes.

    Cette wilaya recense, avec la création de ces PME au premier trimestre 2 241 entités économiques actives bénéficiaires des mesures incitatives prévues par le secteur.

    La DIPMEPI a fait savoir que les secteurs du bâtiment et des travaux publics détiennent 1 352 entreprises, suivis par celui des transports et des services avec 298 PME, le commerce avec 269 entités, et le reste réparti entre l’hôtellerie, la restauration, l’industrie alimentaire et autres.

    Le secteur de l’industrie et de la PME de la wilaya de Laghouat a été renforcé par un centre de facilitation chargé de l’accompagnement et de l’orientation des porteurs de projets, ainsi que du projet de création d’une pépinière de PME devant être lancé prochainement.

  • Tigzirt : Un parc aquacole

    Il est le résultat d’un partenariat algéro-espagnol

    Le projet devrait être concrétisé d’ici le premier trimestre de l’année prochaine. Il devrait en fait entrer en exploitation dès juin 2013. Fruit d’un partenariat algéro-espagnol pour l’élevage de la daurade sur le littoral de Mizrana, dans la daïra de Tigzirt, le parc devrait une fois mis en exploitation produire près de 1700 tonnes de daurades par an.

    Pour ce faire il nécessitera l’installation en mer de 18 cages flottantes de grand calibre, d’une chambre froide et d’une structure légère dont tient-on à préciser à la direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya de Tizi Ouzou. Une région qui, pour rappel, compte 82 km de littoral et produirait une moyenne de 1 000 tonnes par an de poissons et crustacés.

    Le parc aquacole en maturation au niveau de la direction de la pêche, devrait générer une cinquantaine d’emploi permanents et plus d’une centaine d’emplois indirects.

  • Entrée en production de la ferme aquacole «Aquasol»

    Elle doit générer 240 emplois à Ain Temouchent

    Située à Sbiat, dans la commune de M’said, à 40 km du chef-lieu de la wilaya de Aïn Témouchent, la ferme aquacole Aquasol est entrée en production fin mai dernier. Cette ferme, qui s’étend sur une superficie de 3,5 hectares, produira également quatre millions d’alevins/an au niveau de son écloserie et 1 000 tonnes/an de maigres, loups de mer et dorade pour l’engraissement.

    La Sarl Aquasol a importé 400 alevins pour la production de maigres, dorades et loups de mer sur un programme de 650 alevins.

    Réalisé pour un coût de 740,7 millions DA, la ferme Aquasol, d’une capacité de production de 1 000 tonnes/an, constitue un investissement soutenu par le Fonds national de développement de la pêche et de l’aquaculture (FNDPA).

    Elle doit générer 240 postes d’emplois, dont 60 directs et 180 indirects, a-t-on affirmé. Les travaux de concrétisation de ce projet, agréé en 2004, ont été lancés en avril 2006 par la société à responsabilité limitée (sarl) Aquasol.

  • Djelfa : Creation d’entreprises

    Près de 130 entreprises créées au 1er trimestre 2012

    Quelque 127 petites et moyennes entreprises (PME), ont été créées à Djelfa au cours du premier trimestre 2012, engendrant 587 emplois, a appris l’APS de la direction locale de la PME et de la promotion de l’investissement.

    La plus grande part de ces entités économiques créées revient au secteur des travaux publics avec plus de 48 PME (253 emplois) suivi du secteur
    des services avec un total de 39 unités ayant engendré 165 postes d’emploi.

    Le commerce et l’agriculture sont les autres créneaux d’investissement de ces PME, implantées pour une grande partie dans les grandes agglomérations
    urbaines de la wilaya, avec une part de 17 entreprises qui ont permis la création de 125 emplois. Depuis 1999, date de mise en £oeuvre des différents dispositifs étatiques d’aide a l’emploi, pas moins de 5229 PME, ont été créées a travers la wilaya de Djelfa assurant prés de 16 641 emplois.

  • La maison «Tout O Miel» en pionnière

    La maison «Tout O Miel» en pionnière

    Une nouvelle génération de confiseurs algériens est née

    Créée en juillet 2011 et n’ayant donc pas encore bouclé sa première année, la petite entreprise familiale, que dirige Taleb Malek, a cela de particulier qu’elle semble avoir trouvé le moyen de s’imposer dans un environnement où le produit «made in ailleurs», très prisé pour divers motifs, s’écoule ou trouve plus facilement preneur que le produit local.
    En créant avec son épouse la maison «Tout O Miel» Taleb Malek à la signification toute symbolique, ambitionne de marquer sa présence en introduisant dans l’esprit de ses compatriotes le concept des « produits du terroir.»

    Et c’est presque naturellement que cet enfant de Béni-Douala s’est « investi» dans le miel naturel
    « Nous sommes apiculteurs depuis quatre générations. Jusque là on récoltait du miel destiné à la vente en l’état. Il y a plus de deux ans l’idée de faire des produits à base de miel à germé. Une idée que mon épouse et moi avons longtemps cogité avant de nous lancer dans l’aventure» nous confie notamment ce jeune entrepreneur que nous avons rencontré la fin du mois dernier dans son magasin sis à Hydra.

    Une sorte d’épicerie fine où toute une gamme de produits fabriqués à base de miel, soigneusement emballée, est proposée aux clients.
    Cela va des biscuits à la vinaigrette à l’huile d’olive et au miel naturel. Des produits que Taleb Malek nous présentera un à un, non sans une réelle fierté. D’autant que certains produits emballés et présentés dans de petits paniers en «halfa», des petites corbeilles en osiers ou des contenants en bois commandés à des artisans de sa région, aiguisent la curiosité et ne laissent pas indifférent. Fierté et envie de réussir mais impossible de parler avec notre interlocuteur de coût, de prix de revient, de matière première, de difficultés ou de facilités rencontrés durant la concrétisation d’une entreprise tenant la route. En passe de réussir.
    «Tout a un coût et rien n’est évident ou facile quand on se lance dans un tel projet. Encore moins quand on vise d’emblée la qualité en commercialisant un produit noble. Notre magasin est à Hydra à Alger, alors que notre laboratoire est à Tizi Ouzou. C’est un choix ! Et il a un prix » commente le co-fondateur de la maison «Tout O Miel» qui regrette que pour le contrôle de la qualité des miels qu’il utilise pour la fabrication de ses confiseries, confitures, gâteaux et autres friandises, il doit pour ce faire et à chaque fois prendre des échantillons en France.
    «Ultime recours après moult mésaventures avec l’institut de Baba Ali», s’explique-t-il, en argumentant que « les délais sont très longs, et dans notre profession, le moindre retard à un coût.»
    Taleb Malek, qui a apparemment plus d’un tour dans son sac et qui fait sienne la sainte maxime que « rien ne se perd…» en fabriquant des bougies à base de cire d’abeille, regrette également le fait qu’il n y pas de code spécifique pour les épiceries dites fines ou de produits du terroir.
    « A chaque fois que nous envisageons de commercialiser un nouveau produit, on doit ajouter un code au registre de commerce.. » Une démarche qui ne semble pas décourager le patron de la maison, qui reste convaincu que les différentes régions d’Algérie regorgent de produits locaux que l’on peut transformer ou utiliser comme matière première ou secondaire dans la confection de produits que l’on peut aisément « labelliser » avec une valeur ajoutée reposant sur la qualité, sans conservateurs , sans arômes artificiels , sans colorants .
    « Imaginez le nombre de postes d’emploi que l’on peut créer en favorisant la création de petites entreprises telle que la notre » Conclut Taleb Samir dont l’entreprise emploie une dizaine de personnes. Ce qui n’est pas rien même s’ils sont tous membres de sa famille.

    Par Kamélia Hamadèche
  • Le lancement de la 3G mis entre parenthèses

    Le lancement de la 3G mis entre parenthèses

    Moussa BenHamadi le conditionne par le règlement du dossier Djezzy

    le lancement de la 3Gg (troisième génération de téléphonie mobile), n’est plus à l’ordre du jour. Début avril, dans une déclaration à la Radio nationale, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication avait annoncé l’interruption du processus du lancement de la 3G. Mmoussa Benhamadi lie l’octroi de la licence aux opérateurs mobiles intéressés au règlement du dossier Djezzy.
    « Une fois le dossier OTA, qui, je le rappelle, est pris en charge par le ministre des Finances, réglé, nous reprendrons le processus du lancement de ce service », avait indiqué le ministre, tout en précisant que les préparatifs de l’élaboration du cahier des charges relatif au lancement de la 3G ont débuté en décembre dernier. Pour rappel, les opérateurs de téléphonie mobile avaient jusqu’au 31 mars 2012 pour déposer leur dossier auprès de l’Autorité de régulation de la poste et télécommunication (ARPT) pour l’octroi de la licence 3G. Préalablement fixé du 26 au 29 septembre 2011, les délais pour le dépôt des dossiers de candidature avait été prolongés au 2 octobre de la même année, puis au 31 mars 2012.