Catégorie : DZentreprise

  • Assurances: La branche Agricole en baisse de 10% au premier semestre 2021

    Assurances: La branche Agricole en baisse de 10% au premier semestre 2021

    La branche «Agricole » a clôturé le 1er semestre 2021 avec un chiffre d’affaires de 1,1 milliard de DA, soit une stagnation comparativement au 1er semestre 2020.

    Le marché national des assurances en Algérie, toutes branches confondues y compris agricole a enregistré un chiffre d’affaires de plus de 75 milliards de DA au 1 er semestre 2021, contre 71 milliards de DA à la même période de 2020, soit une hausse de 5,7% , a indiqué le Conseil national des assurances (CNA), dans son dernier rapport.   

    Le CNA précise que les sinistres déclarés du marché des assurances, ont affiché un montant de 32,1 milliards de DA durant le premier semestre 2021, en hausse de 12,9% par rapport à la même période de l’exercice précédent. Même tendance haussière observée au niveau du nombre de dossiers, soit une progression de 15%.

    Les indemnisations, quant à elles s’établissent à 29,4 milliards de DA, pour un total de 538 190 dossiers réglés, marquant une progression de 22,1 % en termes de montant et de 27,2% en nombre.

    En revanche, les sinistres à payer enregistrent une diminution de 6,1%. Ils passent de 92,8 milliards de DA, pour un nombre de dossier en stock de 1 383 011, au 30/06/2020, à 87,2 milliards de DA et 1 293 143 dossiers en instance, au 30/06/2021.


    La production des assurances de dommages, toutes branches confondues, a également  connu une croissance de 6,4%, par rapport à la même période de l’exercice précédent, générant un volume additionnel de primes de 3,9 milliards de DA, a détaillé la même source.

    Pour ce premier semestre de l’exercice 2021,  l’assurance « automobile » affiche une production d’un peu plus de 33 milliards de DA, en repli de 2,3% par rapport à la même période de l’exercice 2020. 

    La part de ladite branche demeure prépondérante, avec un taux de 51% du total du portefeuille des assurances de dommages, en baisse relativement à 2020 où elle avait atteint près de 56%.  Le nombre de contrats souscrits en « risques obligatoires » enregistre, également, une diminution de 10,5%, par rapport au 30/06/2020.

    Pour ce qui est de la branche « IRD », cette dernière a  progressé, au titre du premier semestre 2021, de 18,3%. Elle affiche une production de 27 milliards de DA, contre 22,7 milliards de DA, au 30/06/2020.

    Ainsi, le nombre de contrat souscrits au niveau de cette même branche enregistre, également, une augmentation de l’ordre de 3%.

    La branche «Agricole » a clôturé le 1er semestre 2021 avec un chiffre d’affaires de 1,1 milliard de DA, soit une stagnation comparativement au 1er semestre 2020.

    Le CNA note toutefois, que le nombre de contrat souscrits au niveau de ladite branche régresse de 9,9%, passant de 81 996 de contrats souscrits, au terme du S1-2020, à 73 905, au terme du S1-2021.
    Les primes émises au titre des sous-branches « multirisques engins et matériel agricole », « production végétale » et « autres dommages agricoles » sont en baisse de 4,1% ; 4,4% et 79,5%, respectivement.


    Différents facteurs ont causé les diminutions constatées, entre autres, la réduction des souscriptions des contrats d’assurance céréales, due au stress hydrique et à la sécheresse, ce qui a engendré le ralentissement du développement des cultures et accentué, par conséquent, la réticence de certains agriculteurs à contracter des polices d’assurance, a expliqué le CNA dans son rapport.

    En revanche, et en dépit de la vente du cheptel, voire même l’abandon du métier par certains éleveurs de bovin laitier, les primes émises collectées au titre de la sous-branche « production animale » augmentent de 3,5%, suite à la croissance des primes émises en « multirisques ovines » (+23,2%) et « multirisques avicoles » (+13,9%), résultat de la sensibilisation des éleveurs à protéger leurs cheptels.

    La branche transport atteint, au 30/06/2021, un chiffre d’affaires de 2,5 milliards de DA, soit une progression de 11,6%, comparativement au 30/06/2020 Au terme du 1er semestre 2021, le nombre de contrat souscrits au niveau de la dite branche a connu une hausse de 2,1%.

    De même pour la  branche « crédit » au terme du premier semestre 2021, qui a connu pour sa part, une croissance de 29,8% et enregistré une production d’un montant de 1,2 milliard de DA, contre 952,4 millions de DA à la même période de l’année précédente.  

    En sus, la sous-branche « crédit à l’exportation » connait une augmentation de 7,3 %, par rapport au premier semestre 2020. Le portefeuille de cette assurance connait la souscription de dix nouvelles affaires, précise la note conjoncturelle du CNA.

    N.B

  • ANGEM : Les bénéficiaires du dispositif devront contracter des assurances

    ANGEM : Les bénéficiaires du dispositif devront contracter des assurances

    Le directeur général de l’agence nationale de gestion de Micro-crédit (ANGEM), Abdel Fateh Djebnoune, a indiqué ce matin l’existence d’un accord  avec des compagnies d’assurances permettant de réviser certaines lois et rendre l’assurance obligatoire pour les bénéficiaires des crédits. 

    S’exprimant sur les ondes de la radio nationale, M. Djebnoune a expliqué que « jusqu’à présent, l’assurance reste  facultative, cet accord devrait permettre la révision des lois et l’assurance sera obligatoire, d’autant plus que «le nombre de bénéficiaires depuis la création de l’agence est estimé à plus de 950 000 bénéficiaires »,  a-t-il argumenté.

    L’invité de la chaine1, a par ailleurs rappelé  qu’une campagne de sensibilisation au profit des bénéficiaires des micro-crédit  a été lancée récemment par le Ministère de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition Féminine en collaboration avec les compagnies d’assurances, soulignant  l’importance de l’assurance pour se reconstruire en cas de catastrophes naturelles  ainsi que pour protéger  les entrepreneurs de la responsabilité civile en cas d’accident du travail.

    Le directeur général de l’ANGEM  a ajouté que les incendies qui ont touché certaines wilayas du pays,  les ont amenés à réfléchir sérieusement à la nécessité de mener des opérations de sensibilisation pour instaurer une culture d’assurance auprès notamment des bénéficiaires de l’agence.

    L’assurance préservera, dira-t-il : « les biens, les équipements et les outils de travail, et elle inclut aussi les incendies, les catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre, les inondations, les glissements de terrain et les tempêtes, et protège également contre le vol, les pertes de produits et les dommages aux équipements ».

    Pour conclure, M. Abdel Fateh Djebnoune, a fait savoir que «l’ANGEM a accordé entre 2005 et juin 2021, plus de 947000 prêts  bonifiés  ce qui a permis la création de plus d’un million emplois  directs et indirects », ajoutant que « la part des prêts bonifiés accordés aux  femmes représente 63,59 % ».

    Nacima Benarab

  • Complexe GL1K de Skikda : reprise de la production après un arrêt de 45 jours

    Complexe GL1K de Skikda : reprise de la production après un arrêt de 45 jours

    Après un arrêt de 45 jours, le complexe GL1K de Skikda reprend du service. Un communiqué de la compagnie pétrolière Sonatrach informe de la reprise de la liquéfaction de gaz naturel dans le complexe de liquéfaction de gaz naturel, vendredi 30 juillet.

    L’arrêt du complexe GL1K , suite à un incident technique survenu, le 11 juin dernier, a permis de procéder par anticipation à des travaux de maintenance prévus pour l’année 2022.

    Parallèlement aux travaux de réparation effectués au niveau des parties endommagées, le complexe GL1K a continué à assurer ses livraisons de GNL, dans les délais. «Les livraisons de GNL à nos clients ont continué normalement par la mise en service des modules de liquéfaction disponibles de nos Complexes d’Arzew le GL3Z, le GL1Z et le GL2Z et les engagements commerciaux de SONATRACH ont été totalement respectés» indique le groupe pétrolier dans son communiqué.

    Dans un précédent communiqué, datant du 19 juin dernier, Sonatrach a précisé que l’incident intervenu au complexe GL1K a été causé par «une panne subite» d’un mécanisme de contrôle d’une turbine à gaz. Assurant qu’il n’y a eu point d’autre dommage grâce au «fonctionnement des sécurités automatiques de la machine et de l’usine», la compagnie a rapporté que par mesure de sécurité, elle a procédé à «une inspection approfondie» afin d’effectuer les réparations nécessaires. Depuis, les équipes de Sonatrach, en coordination avec la société de maintenance et le fabriquant d’équipement, ont travaillé pour un retour à la normale, devenu effectif depuis vendredi dernier.

    Le 21 février 2020, un autre incident, de plus grande ampleur, est survenu au niveau d’une turbine. La remise en service de cette turbine a nécessité le remplacement de toutes les pièces endommagées. Les travaux de réparation ont duré plusieurs mois. La reprise de la production a eu lieu en juillet de la même année. Sonatrach a tenu à assurer que les volumes de production de GNL n’ont été impactés ni par le confinement ni par les travaux de réparations et d’autres de maintenance. Cela grâce aux «apports conjugués des complexes GL1Z, GL2Z et GL3Z».

    Samia Hanifi

  • Ahmed Zeghdar à l’écoute des responsables des groupes publics industriels

    Ahmed Zeghdar à l’écoute des responsables des groupes publics industriels

    Depuis son arrivée au gouvernement, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, s’est réuni plusieurs fois avec les cadres du secteur mais aussi avec les responsables de quatre groupes industriels parmi les plus importants du pays.

    La première rencontre a eu lieu, samedi 24 juillet 2021, avec le groupe Elec El-Djazair, avec ses deux importantes filiales ENIEM (entreprise nationale des industries électroménagères) et ENIE (entreprise nationale des industries électroniques, ainsi que la société industrielle algérienne des télécommunications (SITEL), suivie d’une autre, le même jour, avec le groupe GICA (Groupe industriel des ciments d’Algérie).

    Le lendemain, dimanche 25 juillet, le ministre s’est réuni avec les responsables de l’entreprise nationale de construction de matériels et équipements ferroviaires (Ferrovial). Le dernière rencontre, lundi 26 juillet, avec le groupe Industries locales Divindus.

    D’autres rencontres devront avoir lieu dans les jours à venir, avec l’objectif de voir de près la situation de ces groupes publics dont certaines filiales sont confrontées à de sérieuses difficultés financières, alors que d’autres réalisent des résultats satisfaisants, couvrant les besoins du marché national et faisant montre de volonté réelle d’avoir de bonnes parts de marché à l’extérieur.

    La première rencontre a eu lieu, samedi 24 juillet 2021, au siège du département ministériel. Y ont été conviés les responsables du groupe Elec El-Djazair, avec ses deux importantes filiales ENIEM (entreprise nationale des industries électroménagères) et ENIE (entreprise nationale des industries électroniques, ainsi que la société industrielle algérienne des télécommunications (SITEL).

    L’occasion pour Ahmed Zeghdar d’aborder la situation financière des trois entreprises, particulièrement l’ENIEM qui n’arrête pas de faire face à un problème récurrent d’approvisionnement en matière première faute de financement. A l’occasion, le représentant du gouvernement a souligné la nécessité de trouver des «solutions urgentes et réalistes» aux problèmes posés, en coordination avec les représentants des travailleurs.

    Une deuxième rencontre a eu lieu le même jour avec le groupe GICA. Ce dernier ne se plaignant pas de difficultés financières mais d’entraves à l’exportation. En 2020, le groupe GICA a exporté 600 millions de dollars grâce à une production de ciment qui a dépassé les 11 millions de tonnes et qui est appelée à augmenter encore à 17 millions de tonnes cette année.

    Partant, le groupe prévoit de passer facilement à un montant d’un milliard de dollars d’exportation en 2022 mais, apprend-on, malgré toutes les dispositions prises jusque-là pour faciliter les exportations, tous produits confondus, il semble qu’il y a encore de sérieux problèmes à régler.

    A l’occasion, Ahmed Zeghdar s’est engagé à prendre en charge les entraves à la commercialisation des produits du groupe à l’international, considérant que le marché du ciment en Algérie a atteint la saturation, surtout après le gel de plusieurs projets structurels en raison de la double situation financière et sanitaire du pays.

    Dimanche 25 juillet, Ahmed Zeghdar s’est réuni avec les responsables de l’entreprise nationale de construction de matériels et équipements ferroviaires (Ferrovial).

    Selon un communiqué rendu public par les services du département ministériel, le ministre a salué les résultats réalisés par l’entreprise, ainsi que son «modèle de gestion», en ce qui concerne notamment sa filiale CITAL spécialisée dans la maintenance des rames du tramway. Il a souligné la nécessité de «compter sur les compétences nationales» et d’aller vers des projets encore plus ambitieux, «avec des taux d’intégration élevés».

    Pour ce qui est de la rencontre de Ahmed Zeghdar, avec les dirigeants du groupe Divindus, un autre communiqué du département ministériel rapporte que la rencontre a porté sur la situation du groupe et de ses filiales à travers le pays, ses projets futurs, ainsi que l’état financier et le recouvrement des créances.

    Certaines filiales connaissent de grandes difficultés, ce qui a amené le ministre à souligner l’impératif de procéder à des réformes structurelles. Le groupe Divindus emploie près de 15 000 employés, dans ses 14 filiales à travers le pays, celles-ci activant dans les domaines de la construction, le préfabriqué, la menuiserie, la céramique et autres.

    La part de marché du groupe dans le préfabriqué est de 54%, elle est de 35% dans la production de la céramique, 43% pour ce qui est de l’éclairage public et 40% en ce qui concerne la collecte des déchets industriels et ceux ménagers.

    Samia Hanifi

  • Les lauréates des WIA Young Leaders connues

    Les lauréates des WIA Young Leaders connues

    L’initiative Women In Africa (WIA) a révélé aujourd’hui les membres de la première promotion du programme WIA Young Leaders. Élaboré en partenariat avec la Maison Dior, le leader mondial des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication Huawei et la banque d’affaires Lazard, le programme Young Leaders vise à accompagner et mettre en avant le potentiel de leadership des jeunes femmes africaines.

    Les lauréates du WIA Young Leaders sont :  Cynthia Adediran Aïssy, Directrice Générale de KeyOpsTech et de Fruitizz CI ,Meganne Lorraine Ceday Boho, Manager Relations Clients et Médias chez African Media Agency, Présidente de La Ligue Ivoirienne des Droits des Femmes, Dr. Nassifatou Koko Tittikpina, Responsable de la restructuration du Laboratoire National de Contrôle Qualité des Médicaments,  Néné Maïga, Directrice de cabinet du DG d’Orange Middle East and Africa et Nyama Marvel Gusona, Consultante Internationale pour l’autonomisation des jeunes à l’UNICEF.

    Ces lauréates composent la première promotion des WIA Young Leaders, identifiées parmi plus de 2000 candidatures et sélectionnées après des entretiens individuels avec un jury composé de 15 personnalités internationales.

    Ces 5 Young Leaders ont été sélectionnées pour leurs parcours impressionnants et prometteurs, pour leur capacité de leadership exemplaire, pour leur projet professionnel et de vie, et pour leur engagement en faveur de l’Afrique.

    Toutes partagent les mêmes valeurs et la vision d’une Afrique innovante et inclusive, où le monde des affaires est intimement lié à l’impact social.

    Ces lauréates qui composent la première promotion des WIA Young Leaders aspirent à devenir décisionnaires aux plus hauts niveaux d’entreprises et d’organisations publiques, avec l’humilité, l’empathie, et la résilience qui les caractérisent. Leur force de conviction, alliée à un goût pour le travail en équipe, font d’elles les prochaines grandes leaders du paysage panafricain.

    WIA et ses partenaires Dior, Huawei et Lazard s’engagent à accompagner les lauréates des WIA Young Leaders à atteindre leurs objectifs ambitieux. Un suivi personnalisé sera mis en place pour permettre d’identifier les besoins individuels des lauréates et de répondre avec précision à la montée en compétences dechacune d’entre elles.

    La partie présentielle du programme se déroulera à Paris. Au cours de leur séjour en France, les Young Leaders auront l’occasion de faire de nombreuses rencontres, essentielles au développement de leur réseau. Elles auront également l’opportunité exclusive d’être accueillies au sein des bureaux de Huawei et du tout nouveau siège de la banque d’affaires Lazard Paris. Un évènement virtuel sera enfin organisé au retour de ce voyage, afin de permettre à la toute première promotion Young Leaders de WIA de partager son expérience.

    Grâce à ce programme, les 5 Young Leaders auront la possibilité de développer leurs compétences, mais aussi d’être mises en réseau, de découvrir de nouvelles organisations, de rencontrer des personnalités phares des mondes des affaires, de la politique et des médias.

    A propos de WIA INITIATIVE

    Lancée en 2017, Women In Africa Initiative est la principale plateforme internationale consacrée au développement économique et au soutien des femmes africaines entrepreneuses et leaders. Ses différents programmes (WIA54, WIA Young leaders, WIA Code, WIA Mentoring) contribuent à la promotion d’une nouvelle génération de femmes africaines qui inventent un leadership inspirant pour changer positivement l’avenir du continent. Sa Fondation, WIA Philanthropy, a pour mission de soutenir, de mettre en lumière et en réseau les femmes africaines actrices de l’économie : femmes entrepreneuses, leaders, managers et étudiantes !

    A propos de DIOR

    Christian Dior est le couturier du rêve. Dès la fondation de sa Maison en 1946, consacrée par la révolution du New Look, son esprit visionnaire n’a eu de cesse de magnifier les femmes du monde entier.

     « Le tissu est le seul véhicule de nos rêves (…). La mode, en somme, est issue d’un rêve, et le rêve, c’est une évasion », écrivait-il. Au gré des saisons, cet héritage d’exception est réinventé par la passion et la modernité singulière des différents directeurs artistiques qui – de la haute couture aux parfums – font perdurer avec audace, la magie Dior, l’excellence de son savoir-faire et sa beauté du geste unique. Depuis l’arrivée de Maria Grazia Chiuri, en 2017, à la tête des collections féminines, la Maison s’engage plus que jamais au gré de dialogues créatifs et de programmes de mentoring prônant l’égalité des genres, la sororité et l’empowerment.

    A propos de HUAWEI

    Huawei est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures de technologies de l’information et de la communication (TIC) et d’appareils intelligents. Grâce à des solutions intégrées dans quatre domaines clés – réseaux de télécommunications, informatique, appareils intelligents et services en Cloud – nous nous engageons à apporter le numérique à chaque personne, chaque foyer et chaque organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. Le portefeuille de produits, de solutions et de services de bout en bout de Huawei est à la fois compétitif et sécurisé.

    Grâce à une collaboration ouverte avec des partenaires de l’écosystème, nous créons une valeur durable pour nos clients, en œuvrant à l’autonomisation des personnes, à l’enrichissement de la vie domestique et à l’inspiration de l’innovation dans des organisations de toutes formes et de toutes tailles.

    Chez Huawei, l’innovation est axée sur les besoins des clients. Nous investissons massivement dans la recherche fondamentale, en nous concentrant sur les percées technologiques qui font avancer le monde. Nous comptons 197 000 employés, et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions. Créé en 1987, Huawei est une société privée entièrement détenue par ses employés.

    Communiqué de presse

  • Crédits accordés aux entreprises: Les dispositions de bonification du taux d’intérêt prorogées au 30 juin 2021

    Crédits accordés aux entreprises: Les dispositions de bonification du taux d’intérêt prorogées au 30 juin 2021

    Les dispositions de bonification, à titre exceptionnel, par le Trésor public du taux d’intérêt des crédits accordés par les banques et établissements financiers aux entreprises et particuliers en difficulté, décidées suite à la propagation de la crise de la Covid-19, sont maintenues et courent jusqu’au 30 juin 2021.

    Pour rappel, une première prorogation de ces dispositions de bonification avait été décidée par les pouvoirs publics, les contractants de crédits avaient jusqu’au 31 mars 2021 pour s’acquitter de leur obligations, comme le précise le décret exécutif publié au journal officiel n°13 de l’année en cours.

    Cette nouvelle prorogation, motivée par les difficultés que rencontrent les entreprises lourdement impactées par la pandémie, fait elle aussi l’objet d’un projet de décret exécutif, fixant les modalités de maintien de ces dispositions. Décret examiné, lors d’une récente réunion du Gouvernement présidée par le Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Le nouveau texte a été présenté par le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane.

    Selon un communiqué des services du Premier ministère, le projet du nouveau décret «modifie et complète le décret exécutif N°20-239 du 31 août 2020 fixant les modalités de maintien, à titre exceptionnel, par le Trésor public de la bonification du taux d’intérêt des crédits accordés par les banques et établissements financiers en faveur des entreprises et particuliers en difficulté à cause de la pandémie du coronavirus».

    cette même source précise que «le projet de décret prévoit le maintien exceptionnel de cette bonification jusqu’au 30 juin 2021 en vue de venir en aide aux entreprises et aux particuliers ayant subi les conséquences de la pandémie de Covid-19, sachant que la disposition prise par le gouvernement avait pris effet depuis le 1er mars 2020».

    Dans son article premier, le décret exécutif N°20-239 du 31 août 2020, fixant les modalités de maintien de ces dispositions, précise que les crédits dont il est question sont ceux d’investissement, d’exploitation ainsi que ceux immobiliers qui ont fait l’objet de rééchelonnement ou de report de paiement des échéances en faveur des entreprises et particuliers en difficulté à cause de la pandémie.

    Ainsi le trésor public continue à prendre en charge la bonification des taux d’intérêt. Sont concernées par les nouvelles dispositions, «les échéances à partir du 1er mars 2020, y compris les échéances pour les crédits qui seront en dépassement de la durée contractuelle suite au rééchelonnement
    et /ou au report d’échéances» et les crédits «ayant déjà fait l’objet de rééchelonnement, et pour lesquels des échéances ne sont pas honorées à la date du 1er mars 2020 et postérieurement».

    Aussi, est-il précisé dans l’article 3 du même décret de l’année 2020, sont concernés par ces dispositions les crédits accordés par les banques et les établissements financiers aux entreprises pour le financement des projets d’investissement, ainsi que les promoteurs immobiliers participant à la réalisation des programmes publics de logements.

    Autres concernés par ces dispositions, les particuliers pour l’acquisition d’un logement collectif, la construction d’un logement rural ainsi que d’un logement individuel réalisé sous forme groupée dans des zones définies des wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux.

    Sont aussi cités les jeunes promoteurs, les bénéficiaires du micro-crédit, les chômeurs promoteurs âgés entre 30 à 50 ans, les agriculteurs, les éleveurs et petits exploitants.

    Le même texte de loi cite les bénéficiaires des crédits agricoles et agroalimentaires à court, moyen et long termes y compris ceux destinés au matériel agricole acquis dans le cadre de la formule leasing ainsi que les bénéficiaires des crédits de campagne, d’exploitation et d’investissement à consentir aux activités de la pêche et de l’aquaculture.

    L’article 4 du décret en question indique que les montants de la bonification du taux d’intérêt des crédits accordés par les banques et les établissements financiers sont imputés aux comptes d’affectation spéciale appropriés.

    Samia Hanifi

  • Grève à l’ONS: Le ministre de tutelle rassure les employés

    Grève à l’ONS: Le ministre de tutelle rassure les employés

    Le ministre de la Numérisation et des Statistiques, M. Hocine Cherhabil, rassure les employés de l’Office national des statistiques (ONS) de la prise en charge de leurs revendications, celle notamment qui porte sur les salaires.

    Dans un communiqué rendu public ce mardi 23 mars, le nouveau ministre, installé à son poste, lundi 22 février 2021, suite au dernier remaniement ministériel, a assuré de la bonne volonté de son département de considérer toutes «les revendications légitimes» des différentes sections syndicales et des travailleurs.

    La revendication salariale a poussé les travailleurs à observer plusieurs mouvements de protestation. Leur colère remonte précisément à l’annonce d’une information indiquant que l’Office sera mis sous la tutelle du ministre de la Numérisation et des Statistiques. La chose a été confirmée le jour de publication du décret exécutif conférant au ministre le pouvoir de tutelle. Le décret N°20-363 du 8 décembre 2021 a été publié au Journal officiel N°74. Selon les travailleurs, le problème réside dans le fait que cette mise sous tutelle a eu des conséquences négatives sur une partie de leurs acquis financiers.

    Dans le communiqué, le ministre assure être au courant ce problème à l’origine de l’indignation des travailleurs et que ses services ont saisi les hautes autorités de l’Etat pour trouver ensemble des solutions légales qui seront à même de satisfaire les doléances des concernés.

    Aussi, le département ministériel a initié dernièrement une série de rencontres avec les sections syndicales et les cadres de l’Office des statistiques dans le même objectif de trouver les solutions adéquates dans le cadre de la loi.

    Pour rappel, l’Office national des statistiques est désignée comme étant l’institution centrale des statistiques de l’Algérie. C’est un établissement public à caractère administratif chargé de la collecte, du traitement et de la diffusion de l’information statistique socio-économie. Il s’occupe, entre autres, du recensement de la population et de l’habitat, effectue des enquêtes sur la main d’œuvre, d’autres sur les entreprises industrielles…etc.

    Karima Mokrani

  • Hocine Cherhabil reçoit le vice-président de Huawei pour l’Afrique du Nord

    Hocine Cherhabil reçoit le vice-président de Huawei pour l’Afrique du Nord

    Le ministre de la Numérisation et des Statistiques, Hocine Cherhabil s’est entretenu ce lundi 22 mars,  au siège du ministère, avec  M. Li Jiguang, vice-président de Huawei pour l’Afrique du Nord, en présence de responsables de Huawei Algérie.
    Une rencontre durant laquelle des échanges de points de vue ont eu lieu , notamment sur le projet de transformation numérique algérien, a indiqué un communiqué du dit ministère.


    Ainsi, Hocine Cherhabil a affiché la forte volonté politique des autorités algériennes d’accélérer la transformation numérique, notamment en ce qui concerne la modernisation de l’administration et l’amélioration du service public en destination des citoyens et des institutions économiques, en ligne parallèle avec le programme politique du Président de la République.


    Hocine Cherhabil a également souligné l’importance d’échanger des expériences dans ce domaine avec l’une des plus importantes des entreprises internationales dans le domaine des technologies et de numérisation, rappelant tout ce qui a été accompli dans ce secteur en termes d’installations d’infrastructures technologiques, et aussi les autres richesses d’Algérie, en particulier celles liées aux compétences des jeunes, diplômée de l’Université algérienne, ainsi que des instituts spécialisés dans les technologies de l’information et de la communication.


    M. Li Jiguang, a exprimé pour sa part, lors de sa présentation sur les activités de Huawei dans le domaine de la numérisation, le souhait de son entreprise d’accompagner l’Algérie dans le projet de transformation numérique et de contribuer à l’incarnation de la stratégie nationale de numérisation.

    R.E

  • Des tarifs internet plus attractifs pour les start-up, selon Brahim Boumzar

    Des tarifs internet plus attractifs pour les start-up, selon Brahim Boumzar

    Les tarifs internet seront prochainement très accessibles aux entreprises économiques qui utilisent des débits de 20 et 100 Mo. Ils seront nettement plus attractifs, a assuré, dimanche 14 mars 2021, le ministre de la Poste et des Télécommunications, Brahim Boumzar. Les start-up aussi en seront bénéficiaires.

    «Il y a une offre en cours de validation au niveau du régulateur. Il va y avoir des tarifs plus attractifs pour les entreprises qui utilisent un débit de 20 mégas ou 100 mégas. Il y aura aussi une offre spéciale pour les start-up. On doit les encourager à passer à des paliers supérieurs» a affirme M. Boumzar, invité de la rédaction de la chaine 3 de la radio algérienne, reconnaissant l’excessivité des tarifs appliqués actuellement. A souligner, à ce propos, qu’une connexion professionnelle coûte l’équivalent de 300 000 DA par mois, ce qui représente environ 25% des charges fixes de l’entreprise.

    De même, rappelant que plus de deux millions de foyers ont vu leur débit internet passer de 2 Mo à 4 Mo, le ministre de la Poste et des Télécommunications a indiqué que les usagers des 8Mo vont aussi passer à 10 Mo sans incidence tarifaire.

    Commentant le lancement effectif de la certification électronique pour la branche gouvernementale et économique, ce dernier ayant lieu samedi 13 mars 2021, au Centre international des conférences (CIC) à Alger, en présence du Premier ministre, Abdelaziz Djerad et d’autres membres du gouvernement, ainsi que de représentants d’institutions publiques, M. Boumzar a déclaré qu’il s’agit là «d’un évènement majeur pour la nation. Cela va bouleverser les usages. C’est un acquis majeur pour la nation».

    Lors de cette cérémonie de lancement officiel de la certification électronique, le ministre de la Poste et des Télécommunications a déclaré que «la CACI a été pionnière dans l’utilisation des services de certification et de signature électroniques à la faveur de la délivrance à distance d’un certificat d’origine à un exportateur algérien, une opération auparavant effectuée au niveau central », ajoutant que ces services « fiables et sûrs, raccourcissent les distances et sont disponibles 24h/24».

    Sur un autre plan, Brahim Boumzar a mis l’accent sur la nécessité d’inciter les opérateurs à investir dans le secteur du Cloud : «On doit donner toutes les garanties nécessaires à nos opérateurs économiques. Il faudrait qu’il y ait un investissement de masse dans la partie hébergement. On a déjà reçu des opérateurs dans ce domaine et on veut les voir investir dans la partie hébergement. Il n’est pas normal que les gens continuent à héberger leurs données à l’étranger» a-t-il dit.

    Karima Mokrani

  • CNRC: Les femmes ne représentent que 08% du total des inscrits au RC

    CNRC: Les femmes ne représentent que 08% du total des inscrits au RC

    L’entrepreneuriat féminin en Algérie est loin d’atteindre un niveau appréciable. Il n’en demeure pas moins qu’une évolution significative est enregistrée au fil des ans. En effet, indiquent des chiffres obtenus en auprès du Centre national du registre du commerce (CNRC), arrêtés au 10 février 2021, les femmes inscrites sous le statut de personnes physiques étaient au nombre de 154 662 sur un total de 1 928 567, soit un taux de 08%.

    Les chiffres du CNRC précisent que celles inscrites sous le statut de personnes morales étaient au nombre de 13 894 sur un ensemble de 212 432, soit un taux de 6,5%. Le nombre total des femmes inscrites au registre du commerce était de 168 556. Fin février 2020, elles étaient au nombre de 160 908 dont 147 928 personnes physiques et 12 980 personnes morales.

    Ce qui présente une augmentation de 7648 en pleine crise sanitaire liée à la Covid-19. De fin février 2015 à fin février 2020, indique le rapport du CNRC le nombre de femmes inscrites au registre du commerce est passé de 136 204 à 160 908, soit une augmentation de 24 704 équivalant à une croissance de 18,1%.

    Les femmes, dans les wilayas du sud du pays, révèlent les mêmes chiffres du CNRC, se montrent de plus en plus décidées à se lancer dans l’entrepreneuriat. Si l’on effectue le classement selon les taux d’inscription, l’on constatera que c’est la wilaya de Béchar qui vient en tête en ce qui concerne les personnes physiques, avec un taux de 18,4%.

    Elle est suivie de la wilaya de Naâma (17,3%) et El Bayadh (17,0%). Alger arrive loin derrière Laghouat, Souk Ahras, Biskra, Tindouf et autres, avec un taux de seulement 05,9%.

    Il est vrai que le nombre le plus élevé de femmes commerçantes est enregistré à Alger (12 440), suivie d’Oran (9 414) mais en comparaison avec le total des inscrits, toutes les deux sont à la traine. Pour ces deux wilayas et d’autres encore considérées comme des pôles économiques, le mot parité n’a pas sa place. Pour ce qui est de la répartition par personnes morales, c’est la capitale qui prend les devants (9,0%) suivie de Constantine (8,1%) et Tipaza (7,9%).

    Pour les personnes physiques, la tranche d’âge qui domine est celle située entre 39 et 48 ans, avec un taux de 25,56%, suivie de la tranche 49-58 ans, avec un taux de 24,58%. La distribution du détail est l’activité dominante, avec un taux de 49,22%, suivie de celle des services avec un taux de 38,62%, précise cette même source du CNRC.

    Pour les personnes morales, c’est également la tranche d’âge 39-48 ans qui domine, avec un taux de 32,54%, suivie de celle située entre 49 et 58 ans, avec un taux de 24,73%. L’activité qui domine est celle des services avec un taux de 39,96%, suivie de la production des biens (26,16%). En troisième position arrive celle de l’importation avec un taux de 14,45%. Quant à l’export, elle ne représente que 1,14%. Elle est encore plus faible chez les femmes, personnes physiques : 0,02%, soit un nombre total de 32 femmes.

    Karima Mokrani