Catégorie : BTPH

  • l’Algérie exporte du ciment blanc vers l’Afrique du Sud

    l’Algérie exporte du ciment blanc vers l’Afrique du Sud

    LafargeHolcim Algérie effectue sa première opération d’exportation de ciment blanc vers l’Afrique du Sud

    partir du port d’Oran à destination de Cape Town en Afrique du Sud.

    Cette nouvelle opération de 10.000 Tonnes de Ciment Blanc Super White souligne l’accélération de notre programme d’exportation.

    Le ciment extra-blanc produit dans notre cimenterie à Oggaz de qualité «extrafin» est l’un des tous meilleurs ciments dans sa catégorie sur le marché international.

    Cette nouvelle opération s’inscrit dans l’ambition pays d’exporter 10 Millions de tonnes de ciments & clinkers à l’horizon 2021.

    Toutes nos unités de production sont mobilisées dans cette trajectoire confirmant ainsi notre engagement sans faille à contribuer au développement économique, social et environnemental du pays et à la diversification des revenus extérieurs hors hydrocarbures.

    Cette opération bénéficie du support commercial et logistique de LafargeHolcim Trading, une structure leader sur son marché, dédiée au commerce international, qui détient plus de 50% des échanges de clinker & ciment autour de la méditerranée et de l’Afrique et réalisé avec le soutien des autorités portuaires d’Oran.

    À propos de LafargeHolcim Algérie

    LafargeHolcim Algérie est l’entreprise leader sur le marché des matériaux de construction.

    Nous sommes présents sur toute la chaine de valeur des matériaux de construction : Agrégats, Ciments, Mortiers, Granulats, Bétons, Plâtres, Sacs, Logistique et Distribution. Nous possédons deux cimenteries (M’Sila et Oggaz) et la cimenterie Cilas à Biskra en partenariat avec le Groupe Souakri pour une capacité totale de production de 11.5 Mt/an. L’activité Béton Prêt à l’Emploi opère 19 centrales à travers le pays pour une capacité de 1 mit/an.

    LafargeHolcim Algérie emploie 4500 collaborateurs et est fortement engagée dans le développement économique, social et environnemental en Algérie.

    À propos de LafargeHolcim

    LafargeHolcim est le leader mondial des matériaux et solutions de construction au service des maçons, constructeurs, architectes et ingénieurs du monde entier. Le Groupe compte 4 segments d’activités – ciment, granulats, béton prêt-à-l ’emploi, solutions & produits – et participe à des constructions aussi variées que des logements abordables, des petits projets locaux ou des projets d’infrastructures complexes d’un point de vue technique et architectural. Face aux enjeux de l’urbanisation et à son impact croissant sur la planète et ses habitants, le Groupe développe des produits et solutions de construction innovants, marqués par un fort engagement en matière de développement durable. LafargeHolcim occupe une place de leader dans toutes les régions du monde, emploie environ 80 000 collaborateurs dans plus de 80 pays et dispose d’une présence géographique équilibrée entre les marchés en développement et matures.

     

  • Nouvelle opération d’exportation pour Cilas Biskra

    Nouvelle opération d’exportation pour Cilas Biskra

    Cilas Biskra réalise avec succès une nouvelle opération d’exportation de 38.000 tonnes [Clinker] ce jeudi 14 Février 2019, à partir du port d’Annaba, en direction de l’Afrique de l’Ouest.

    Au travers de ses opérations continues à l’exportation, Cilas souligne son engagement sans faille à contribuer à la diversification des revenus hors hydrocarbures.

    Elles confirment également la qualité du clinker et du ciment algérien qui commence à prendre toute sa place sur le marché international.

    Pour ces opérations, CILAS bénéficie de tout le support commercial & logistique de LafargeHolcim Trading, une structure dédiée au commerce international qui détient plus de 50% des échanges de clinker et ciment en méditerranée et en Afrique de l’Ouest.

    Cette stratégie s’inscrit dans un plan ambitieux afin de contribuer à assurer les débouchés commerciaux de l’importante production nationale, avec un objectif d’exporter 2 millions de tonnes de ciments et clinkers et d’une ambition pays représentant plus de 10 millions de tonnes à l’horizon 2021.

    A propos de CILAS

    CILAS est un partenariat privé entre le Groupe Souakri 51% et le Groupe leader mondial des matériaux de construction LafargeHolcim avec 49%.

    Avec une capacité de 2,7 millions de tonnes par an, la cimenterie CILAS Biskra est une usine de classe mondiale, dotée des dernières technologie de production et destinée principalement à alimenter le marché du sud algérien.

    Le Groupe Souakri est un groupe algérien présent dans les activités des matériaux de constructions, l’agriculture, logistique, pharmacie, véhicules industriels et en partenariat avec le Groupe LafargeHolcim dans l’usine CMA Meftah spécialisée dans la production de mortiers et des ciments colle.

    A propos de LafargeHolcim Algérie

    LafargeHolcim Algérie est l’entreprise leader sur le marché des matériaux de construction.

    Nous sommes présents sur toute la chaine de valeur des matériaux de construction : Agrégats, Ciments, Mortiers, Granulats, Bétons, Plâtres, Sacs, Logistique et Distribution. Nous possédons deux cimenteries [M’Sila et Oggaz] et la cimenterie Cilas à Biskra en partenariat avec le Groupe Souakri pour une capacité totale de production de 11.5 Mt/an. L’activité Béton Prêt à l’Emploi opère 19 centrales à travers le pays pour une capacité de 1 mit/an.

    LafargeHolcim Algérie emploie 4500 collaborateurs et est fortement engagée dans le développement économique, social et environnemental en Algérie.

  • SIFFP : Une première édition réussie

    SIFFP : Une première édition réussie

    «Le SIFFP a enregistré  près de  2800 visiteurs durant les 4 jours de  l’exposition. Pour notre baptême de feu, nous pensons avoir  dépassé notre objectif  initial, à savoir, atteindre  les 2000 visiteurs, à raison de 500 par jour.» A déclaré  à dzentreprise.net,  Abdennour Noui-Méhidi, directeur de FFP Events, organisateur du 1er Salon international des Façades, Fenêtres et Portes (SIFFP), qui s’est tenu du 24 au 27 octobre, au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif-Rahal (Alger).

    Pour Abdennour Noui-Méhidi « les 3 supposées contraintes  de départ ont été surpassées avec succès. Il s’agissait du lieu de l’exposition, le CIC, étant  éloigné et pas facilement accessible ; la spécialisation et le fait que ce soit la première édition.» Le SIFFP a été lancé, selon ses organisateurs, dans le but de promouvoir la menuiserie étrangère moderne, automatique et économique. D’où le slogan du Salon « La menuiserie industrielle au service de l’économie d’énergie.»

    Le SIFFP a été  un cadre incitatif à l’échange d’expériences, entre professionnels nationaux, d’une part, et, entre professionnels nationaux et étrangers, d’autre part.

    Les Allemands en conquérants 

    C’est dans le but d’amorcer des possibilités de partenariat national/étranger que sur les 29 exposants, 9 étaient étrangers, représentant l’Allemagne, la Turquie, l’Espagne, l’Italie et la Tunisie. La forte présence allemande, dans ce cadre, est à relever. Klaes, Roto et Aluplast ont été les entreprises ambassadrices de ce pays. La quincaillerie et la menuiserie allemandes (notamment le profilé) ont été bien mises en relief, bien sur, avec un gros plan sur la haute technologie, celles dédiée à l’affaiblissement phonique et acoustique. Les ambitions de conquérir davantage l’Afrique sont un secret de polichinelle. D’autant que l’Afrique demeure le seul Continent , selon Samy Chtouki, Directeur commercial pour l’Afrique d’Aluplast, ou cette multinationale ne dispose  pas d’une unité de production du profilé.

    Nette évolution de la production algérienne

    Par ailleurs, les exposants nationaux ont pris un certain élan dans la recherche & développement, et la constante évolution, notamment en investissant dans nouveaux procédés promouvant l’efficacité énergétique et l’économie d’énergie.

    On peut citer : Takacer de Koléa, l’un des sponsors du Salon, et qui partage son stand avec ses principaux fournisseurs, Aluplast pour le profilé et Roto pour la quincaillerie. Il y aussi  Nawafid du groupe Chiali de Sidi Bel Abbes, la Sarl Dima Froid de Batna, Spa Profiles Aluminum du Maghreb d’Ain Defla, Rena Touabet et la Sarl 2ASYS de Sétif, la Sarl Eco Fermetures de Béjaia, Eurl Ecowin Eurl Glass Numide d’El Oued, la Sarl Kuzey El Djazair.

    Le SIFFP a également été un espace pour la prise de contact entre entreprises qui forment le triptyque façades, fenêtres et portes, qui se complètent en fournissant les unes aux autres les composantes ou les intrants qui manquent à leurs chaines de montage, d’assemblages et de production.

    Programme des conférences du SIFFP

    Une série de conférences a été programmée  sur deux jours. Il a été question de : « La valeur ajoutée d’une machine de qualité au développement de l’entreprise » ,abordée par  Sezar Celtic, chargé de l’export (Turquie) ; « La maîtrise de l’énergie et de l’efficacité énergétique dans le bâtiment », animée par  Tahar Moussaoui, chef de département Bâtiment à l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (APRUE) ; « Groupe des sociétés Hasnaoui : un modèle d’intégration et de promotion de la production nationale », de  Samir Douar, directeur marketing ; « L’apport du verre de haute qualité à l’économie de l’énergie et à l’isolation acoustique du batiment’ »,  abordé par Sabrina Ziriat, directrice générale d’AGC.

    Cet événement a été  une occasion pour le Fonds de garantie des crédits au PME (FGAR) et l’Agence national  de développement de l’investissement (ANDI) de se rapprocher de leurs potentiels clients. Il a été révélé par les exposants de ces 2 organismes, un afflux de porteurs de projets qui ont souhaité solliciter leurs services respectifs.

    Pour rappel le SIFFP a été inauguré par Mourad Arif, directeur d’appui à la PME au ministère de l’Industrie et des Mines.

    Zohir Zaid

  • Lafarge-Holcim Algérie: 7ème opération d’exportation de ciment

    Lafarge-Holcim Algérie: 7ème opération d’exportation de ciment

    Le groupe Lafarge-Holcim Algérie a effectué, mercredi soir, sa septième opération d’exportation de ciment vers des pays de l’Afrique de l’Ouest.

    «L’opération d’exportation constitue la septième opération depuis décembre 2017. Elle porte sur 17 000 Tonnes de ciment gris en vrac, exportés depuis le port de Djendjen».Précise le communiqué du groupe.

    Selon cette  même source, c’est la cimenterie de Lafarge-Holcim Msila qui était chargée de réaliser cette nouvelle opération annoncée en grande pompe par les responsables de cette entreprise qui ambitionnent d’aller, bientôt, vers la huitième opération.

    «Cette nouvelle opération s’inscrit pleinement dans l’objectif d’exporter 2 millions de tonnes de ciments en 2020 dans le cadre d’une ambition pays de 5 millions de tonnes par an». Précise  Lafarge-Holcim Algérie,  qui ajoute que «l’acheminement du ciment à partir de la cimenterie Cilas de Biskra se fera plus facilement avec le récent raccordement  de la cimenterie de Biskra sur une partie de la ligne ferroviaire principale venant de Biskra, qui permettra dans un proche avenir de convoyer la production vers le nord du pays, notamment vers le port de Djendjen».

    Lafarge-Holcim Algérie a rappelé qu’elle avait réalisé sa première opération d’exportation le 12 décembre 2017.

    Cette opération avait concerné un volume global de 16 000 tonnes de ciment gris en vrac à partir du port d’Arzew (wilaya d’Oran) vers la Gambie.

    Ce produit de haute qualité a été fabriqué dans la cimenterie de la société située à Oggaz, dans la wilaya de Mascara.

    Selon Lafarge-Holcim Algérie, «la groupe a enchainé les opérations d’exportation, dont la dernière avait été effectuée au début du mois en cours et qui portait sur 8 000 tonnes de ciments gris.»

    Lamara Benarab

  • Etanchal, fabricant algérien de produits d’étanchéité

    Etanchal, fabricant algérien de produits d’étanchéité

    7 millions de m2 de produits d’étanchéité, bitumes et membranes sont fabriqués annuellement par Etanchal, dont la réputation en matière d’étanchéité classique au bitume n’est plus à faire. L’entreprise utilise également un procédé moderne qui consiste à modifier le bitume par des adjuvants thermoplastiques ou élastomériques sélectionnés. A-t-on appris auprès d’un commercial lors du dernier Batimatec qui s’est déroulé du 22 au 26 avril à la Safex.
    Un évènement auquel participe régulièrement cette entreprise, filiale du Groupe METIDJI. Pour rappel, Etanchal est la première entreprise créée par Hocine Mansour Metidji, fondateur du Groupe.
    « Créée en 1986, les activités de l’entreprise ont démarré en 1987, depuis nous travaillons pour le développement de l’étanchéité, devenue désormais une nécessité environnementale globale. Qu’il s’agisse d’habitations, de canalisations, de tunnels, de barrages, de ponts, de parkings de voiture, etc. Etanchal propose aujourd’hui un éventail de solutions efficaces et durables » relève-t-on dans un prospectus mis à la disposition des visiteurs sur ce stand qui ne désemplit pas.
    « Nos produits montrent une remarquable étanchéité à chaque fois que l’on désire imperméabiliser, pour une raison ou pour une autre, une structure donnée comme les fondations des bâtiments, les réservoirs d’eau, les canaux et les viaducs, les barrages, les tunnels et les ponts, les parkings de voitures, ils assurent ainsi une prévention de taille contre les dégâts pouvant être engendrés par les eaux » précise cette même source.
    « Les produits sont adaptés au climat du pays qui connait de larges variations de températures, leurs applications est très aisée et facile et ils ont fait preuve d’une longévité importante. » Explique le commercial à un visiteur intéressé par un produit dénommé ETALGUM 180P, qui est «une gamme variée de membranes à base de bitume distillé modifié avec des polymères élastomériques sélectionnés, armé d’un non-tissé de polyester, de qualité supérieure et qui confère à la membrane souplesse et flexibilité. C’est une couverture d’étanchéité idéale si elle est, de surcroît, surfacée avec des granulés d’ardoise. »
    La gamme de produits Etanchal se décline en deux grandes catégories : les feuilles d’étanchéité classiques et les membranes modernes qui bénéficient des acquisitions scientifiques récentes. Divers enduits viennent compléter ces deux grandes catégories. Nous citerons à titre d’exemple l’EAC : c’est un bitume oxydé 85/25, conditionné en sac et qui désigne un enduit dont l’application se fait à chaud.
    Plus d’information sur www.etanchal.com
    R.N

  • LafargeHolcim Algérie : 4ème opération d’exportation de ciment

    LafargeHolcim Algérie : 4ème opération d’exportation de ciment

    LafargeHolcim Algérie a  effectuée hier à partir du port d’Arzew et à destination  de l’Afrique de l’Ouest sa 4ème opération d’exportation de ciment.« Au travers de ces opérations continues à l’exportation, LafargeHolcim Algérie souligne son engagement sans faille à contribuer à la diversification des revenus hors hydrocarbures. Elles confirment également la qualité du ciment Algérien qui commence à prendre toute sa place dans un marché extrêmement compétitif. »Précise le communiqué de LafargeHolcim Algérie qui a donné cette information.

    Ainsi le cimentier «  accélère sa stratégie commerciale à l’exportation, lancée en décembre 2017, avec une nouvelle opération d’exportation de 8.500 Tonnes de ciment gris à destination de l’Afrique de l’Ouest. Au travers de ces opérations continues à l’exportation » note cette même source qui  souligne «  son engagement sans faille à contribuer à la diversification des revenus hors hydrocarbures. Elles confirment également la qualité du ciment Algérien qui commence à prendre toute sa place dans un marché extrêmement compétitif.»Cette stratégie s’inscrit dans un plan ambitieux ayant pour objectif d’exporter 2 millions de tonnes de ciments et clinkers pour une ambition pays avoisinant les 5 millions de tonnes en 2020.

    A propos de LafargeHolcim Algérie

    Membre du Groupe LafargeHolcim,  Lafarge Algérie est présente à travers l’ensemble de la chaîne de valeur des matériaux de construction« Agrégats, Ciments, Mortiers, Granulats, Bétons, Plâtres, Sacs, Logistique et Distribution ». Lafarge Algérie possède 2 cimenteries à M’Sila et Oggaz, et en partenariat avec le Groupe Souakri Cilas Biskra pour une capacité totale annuelle de 11.5 mT/an. Lafarge Algérie gère en partenariat avec le GICA la cimenterie SCMI Meftah 1.5 MT/an. L’activité Béton Prêt à l’Emploi opère 30 centres de production. Lafarge Algérie a lancé la première enseigne de supermarché des matériaux de construction BATISTORE, permettant un accès groupé des matériaux et matériel pour la construction. Lafarge Algérie emploie 5500 collaborateurs (incluant les sous-traitants permanents) et est fortement engagée dans le développement économique, social et environnemental en Algérie.

     

  • Bientôt une usine pour ciment écologique à Bellara-Jijel

    Bientôt une usine pour ciment écologique à Bellara-Jijel

    Du ciment écologique, c’est-à-dire contenant un taux infime de CO2, sera produit en Algérie  avec la construction d’une usine  en partenariat avec des entreprise  émiratis et  indiennes, dont l’installation est prévue dans la zone  industrielle de Bellara dans la wilaya de Jijel.  L’information a été donnée à l’APS par le responsable local de l’environnement  qui précise que cette future usine aura un potentiel de production de 02 millions de ciments. Cette quantité est destinée à la fois au marché national et à l’exportation.

    Cette cimenterie, première de son genre en Algérie, sera installée sur une superficie de 20hectares, et dispose d’un délai de réalisation de 18 mois. Elle produira du « ciment vert », c’est-à-dire un ciment qui ne sera pas nuisible à l’environnement. Le principe de fonctionnement de cette usine, comme il est expliqué par le directeur de l’environnement, est de recycler et valoriser les déchets de la centrale électrique et du complexe sidérurgique de Bellara.

    Le partenaire indien qui  possède déjà des cimenteries produisant du  « ciment vert », situées dans des agglomérations urbaines,  dans plusieurs régions du monde, maîtrise cette technologie  de la valorisation des déchets, ne manquera pas de transmettre ce savoir à la partie Algérienne.  C’est dire aussi que cette usine n’est pas traditionnelle et qu’elle sera réalisée selon des critères technologiques  qui ont cours dans les pays développées et  répondra à toutes les exigences touchant au respect de l’environnement.

    Avec la mise en marche de cette usine, la région d’El Milia dans la wilaya de Jijel, bénéficiera de 143 postes d’emplois directs. Cela portera également  au nombre de trois  les unités industrielles  implantées  sur le site de Bellara qui, devient ainsi un important pôle de l’industrie aussi bien à l’échelle locale qu’à l’échelle nationale, compte tenu de l’intérêt que présentent ces projets.

    Yasmine Meddah

  • Rachid Bayasli Pdg du groupe Gitra :«Créer un partenariat gagnant-gagnant entres les filiales»

    Rachid Bayasli Pdg du groupe Gitra :«Créer un partenariat gagnant-gagnant entres les filiales»

    Les deux grandes spécialités du groupe GITRA sont les routes et les ouvrages d’Art. Composé de 21 filiales le groupe de création récente, juin 2016,  aspire à uniformiser et harmoniser  les outils de gestions, tels que les procédures et systèmes  d’information. Comme il aspire à créer par divers mécanismes une synergie et un partenariat gagnant –gagnant entre les filiales. Dans l’entretien qui suit, Rachid Bayasli, Président Directeur Général du groupe Gitra, revient sur la création du groupe qu’il dirige, ses activités, les mesures d’assainissement financier et de consolidation, et donne quelques chiffres clés témoins de l’évolution du groupe qui comptait à fin 2016 près de 16000 employés.

    Pouvez-vous nous faire une brève présentation du groupe Gitra ?

    Le Groupe d’infrastructures des travaux routiers et ouvrages d’Art (Gitra) est une entreprise publique économique (EPE) et une société par actions (SPA), sous la supervision du ministère des Travaux publics et des Transports, crée en juin 2016. Il  est composé de 21 filiales,dont 19 de travaux routiers et 2 d’ouvrages d’Art : l’Entreprise nationale des grands ouvrages d’Art (ENGOA) et la Sociétés des études et de réalisation d’ouvrages d’Art (SERO Est). Nous sommes implantés sur tout le territoire national,  notre mission principale est la gestion stratégique du groupe, pour son développement sur le marché, le développement de la compétence humaine, la ressource humaine étant un élément très important dans le développement de toute entreprise, nous visons aussi la diversification des  produits du groupe et, bien entendu nous assurons la coordination  entre les entreprises du groupe pour créer une certaine synergie entre les filiales.

    Comment ?

    Je rappelle  que depuis 2016, Gitra a élaboré un programme d’actions qui s’est articulé autour de l’achèvement des Assemblées générales des filiales, la tenue des Assemblées générales extraordinaires (AGEX) de transfert de propriété, la tenue des Assemblées générales ordinaires (AGO) de l’ex SGP Sintra au titre de l’exercice 2015 avec consolidation de toutes les entreprises . A la faveur de ces mesures, Gitra a pu réussir une croissance établie à 8.867 millions de dinars, ce qui représente une hausse par rapport à l’exercice 2015, où elle a été estimée à 8.316 millions de dinars. Quant à la production, le chiffre d’affaires et la valeur ajoutée de l’exercice 2016,  ont été maintenus au même niveau que l’année précédente. Toutes les  assemblées générales des filiales ont été faites en 2016, nous préparons  également celle du groupe.

    Qu’est- ce qu’il en ressort ?

    Nos filiales ont été classées par catégorie en fonction de leurs chiffres d’affaires,   grandes, moyennes et  petites entreprises. Une entreprise se distingue, c’est l’ENGOA  avec un chiffre d’affaires qui représente les 25% du chiffre d’affaires du groupe qui, lui-même, fait un chiffres d’affaires de 50 milliards de dinars en 2016, dont 13 milliards de dinars  générés par l’ENGOA. Pour rappel, toutes nos entreprises ont  bénéficié  de soutien  dans le cadre des mesures d’assainissement, comme des crédits bancaires à taux bonifié,  à des degrés différents,  ce qui leur a permis de faire des investissements pour  moderniser leurs outils de production.  C’est une opération clôturée et maintenant nous entrons dans la phase remboursement et, ce n’est pas évident pour certaines filiales qui n’ont pas la capacité de rembourser.

    En raison de la conjoncture économique ?

    La conjoncture économique y est pour quelque chose, des investissements ont été faits et certaines entreprises n’ont  pas encore la capacité de rembourser.  C’est un des problèmes qui se posent à nous aujourd’hui vu que le plan de charge n’est pas celui escompté .Le plan de charge a enregistré une diminution et la tendance à la diminution continuera certainement pour les exercices à venir du fait de la faiblesse des investissements publics dans le secteur des travaux publics et des transports. Mais il reste que nous œuvrons  à travers tout un programme d’action  pour développer et renforcer les capacités du groupe.

    Comment se décline ce programme ?

    Pour l’instant nous travaillons surtout l’harmonisation des outils de gestion, Nous voulons  mieux connaitre nos entreprises, recenser leurs faiblesses et leurs forces, leur points forts. Pour cela,  des audits  internes et externes ont été lancés. Nous sommes en train de préparer un plan stratégique de développement. La première étape concerne  le diagnostic stratégique pour cerner l’entreprise à tous points de vue notamment sa situation financière, sa rentabilité économique, ses insuffisances. En somme, nous faisons l’inventaire de l’existant tout en classant les entreprises en fonction de leur santé financière.  Résultat : nous avons des entreprises équilibrées et des entreprises fragiles et nous avons même des entreprises déstructurées pour  lesquelles il va falloir trouver des solutions rapides pour, soit les aider à sortir du rouge, soit les absorber par une autre entreprise. Nous devons ensuite faire des choix stratégiques  pour un déploiement stratégique.

    Quelles solutions avez-vous  préconisées pour développer ces filiales ?

    Justement nous y travaillons. La 2ème étape de notre plan est de trouver des solutions. Pour ce faire, nous travaillons  avec le bureau d’études et d’engineering et d’expertise financière qui dépend du Ministère des finances (CIEF). C’est ce que  l’on appelle la gestion de portefeuilles. Nous avons aussi toute latitude de reconfigurer le groupe  avec des opérations de fusion-absorption et la création de nouvelles filiales, l’essentiel est de développer le groupe. S’agissant de la gestion opérationnelle, nous ne la faisons pas directement .Elle est dédiée exclusivement aux entreprises parce qu’elles ont leur propre organe de gestion, mais cela ne nous empêche pas de faire de l’audit et du contrôle de gestion et de  développer  des systèmes de gestion performants pour uniformiser les procédures et inculquer une certaine manière de faire, pour, par exemple faciliter le contrôle et la consolidation.

    Comment ?

    En recourant à certains systèmes, logiciels et par la formation. Nous sommes en train d’élaborer un guide qui recense toutes les procédures de gestion. Il y a des spécificités pour certaines entreprises, nous en tenons compte dans l’élaboration de ce manuel. Les grandes lignes sont les mêmes, mais les détails vont être différents d’une entreprise à une autre. Une fois validé, il est transmis à tous les Conseil d’Administration.

    Vous avez évoqué la synergie entre les filiales, pouvez-vous  nous en dire plus ?

    Il faut savoir qu’au  travers de ces filiales, Gitra peut procéder à des opérations financières et des mouvements des capitaux, gérer du portefeuille d’actions et des participations, et exercer le management stratégique en définissant la planification stratégique et le périmètre d’activités ou les domaines d’activités stratégiques (DAS). L’élan pris est aussi dû à la réalisation de nombreux projets dont Gitra, en partenariat avec l’Agence des Autoroutes (ADA), l’Agence nationale d’études  et de suivi de la réalisation des infrastructures ferroviaires (Anesrif) et la wilaya d’Alger, a su mettre en valeur les efforts conjugués de sa compétence humaine et la rigueur de son savoir-faire.

     Par exemple ?

    Parmi ces projets, on peut citer la pénétrante sud RN1 Chiffa-Berrouaghia mais aussi les pénétrantes d’Oran, Tizi-Ouzou, Batna, Skikda, Guelma et Relizane. Il y a eu aussi les projets de sécurisation des frontières sud, avec les wilayas de Tamanrasset, Illizi, Ouargla et Adrar. Dans la wilaya d’Alger, Gitra a à son actif, les liaisons radial-Oued Ouchaiah et l’axé à Grande Mosquée-rue Tripoli. Dans le domaine ferroviaire, le groupe compte dans son répertoire, l’évitement de Biskra,  l’axé par ligne ferroviaire  à l’aéroport d’Alger mais aussi d’autres investissements à Hassi Messaoud, Tougourt, Sétif, El Bayadh, Mecheria, Tissemsilt.

    Vous avez évoqué lors de notre prise de contact la mise à niveau de l’entreprise, quelle est votre démarche pour ce faire ?

    Elle passe par la mise à niveau du management des entreprises pour la mettre à un niveau international, si l’on tient à faire de l’export nous nous devons de nous outiller pour cela. Nous visons le positionnement du groupe  dans son environnement concurrentiel, notamment en termes de demande et d’offres pour construire de nouvelles conditions de succès, développer de nouveaux marchés ,notamment à l’international et de nouveaux produits.  Le défi reste le développement des ressources humaines .Aujourd’hui le plan de formation est harmonisé. avant chaque entreprise faisait son  propre plan de formation,  puis nous avons constaté que le plan ne répondait pas aux besoins. Actuellement,  nous sommes en train de recenser tous les besoins pour décider de la formation adéquate qu’il faut dispenser aussi bien en ce qui concerne le Management, la qualité, les techniques les métiers. Nous nous occupons de ce volet pour libérer les filiales qui doivent s’occuper de leur activité principales.

    Entretien réalisé par S.A.

    Interview parue dans la Revue SITP 2017 (Salon International des Travaux Publics)

  • GICA réalise un troisième record consécutif de production

    GICA réalise un troisième record consécutif de production

     Le Groupe Industriel des Ciments d’Algérie (GICA) confirme et consolide sa position de leader national de l’industrie du ciment, en atteignant une production  record de 13 950 660 tonnes en 2017 contre 12 604 045 tonnes en 2016, soit une hausse de 11%.

    Avec ce troisième record consécutif, la production du Groupe GICA, qui détient douze cimenteries, a dépassé ses prévisions qui tablaient sur une production de 13 176 110 tonnes de ciment en 2017.

    Cette remarquable progression a été enregistrée à la faveur de l’entrée en service, le premier trimestre 2017, de la deuxième ligne de production de la cimenterie de Ain El Kebira (Sétif).

    Cette nouvelle ligne a produit 1 507 186 tonnes de ciment supplémentaires, pour porter sa production, à elle seule, à plus de 2,9 millions de tonnes de ciment. Elle devrait atteindre, à plein régime, une production annuelle de 3 millions de tonnes.

    Le Groupe GICA, qui voit grand, ambitionne de produire 20 millions de tonnes de ciment à l’horizon 2020, avec la réception de ses nouveaux projets de réalisation de deux cimenteries à Béchar et Oum El Bouaghi et l’extension des capacités de production des cimenteries de Chlef et de Zahana.

    Par ailleurs et conformément aux orientations des pouvoirs publics, le Groupe est en quête de marchés extérieurs pour exporter son ciment, après avoir largement contribué à satisfaire le marché national en ce matériau stratégique.

    Une nouvelle plateforme numérique pour fidéliser les  clients

    Le Groupe (GICA), organise ce  lundi 8 janvier 2018, à partir de 9h00 à la cimenterie de Ain El Kebira (Sétif), une rencontre avec les clients pour leur présenter le nouveau portail Client GICA.

    Première du genre dans le secteur ciment en Algérie, cette base de données est lancée dans le cadre du projet « Charte Client », initié par le Groupe GICA en partenariat avec le Centre de Recherche en Economie Appliquée pour le Développement (CREAD).

    Elle permettra désormais aux clients de consulter le planning des expéditions de ciment, les quantités livrées, les factures, mais aussi de formuler des réclamations et des propositions dans le but d’améliorer la relation du Groupe et de ses filiales avec sa clientèle.

    Le Portail Client GICA vient aussi répondre aux attentes suivantes :

    • Instauration d’un processus de communication évolutif et multicanal allant au-delà des e-mails, téléphones et correspondances écrites, avec les clients et les partenaires de GICA ;
    • Orienter la stratégie du groupe GICA en fonction des besoins de ses clients par des interactions se faisant via le PORTAIL et permettant de relier les informations issues du web aux processus opérationnels et décisionnels ;
    • Centraliser l’information pour le client sur une plateforme unique, flexible et sécurisée ;
    • Accroître la connaissance client afin de mieux satisfaire ses besoins;
    • Ouvrir les perspectives de modernisation et digitalisation des services du Groupe GICA et de ses filiales.

    Cette plateforme est opérationnelle pour les clients des deux cimenteries pilotes du projet « Charte Client », à savoir Ain El Kebira et Chlef, et sera généralisée très prochainement aux autres filiales de GICA.

    A rappeler qu’à travers le projet « Charte Client », le Groupe GICA place le client au cœur de sa stratégie d’amélioration continue de ses prestations commerciales et affirme sa volonté de répondre à ses attentes les plus exigeantes.

    Communiqué GICA

  • BTPH: les INTERMAT INNOVATION AWARDS seront remis le 18 janvier à Paris

    BTPH: les INTERMAT INNOVATION AWARDS seront remis le 18 janvier à Paris

    Le 18 janvier 2018 à Paris  seront dévoilés les noms des entreprises  activant dans le secteur de la construction et des structures ayant concouru au INTERMAT INNOVATION AWARDS, et qui auront réussi à apporter des innovations permettant à la fois d’améliorer la performance des équipements et la sécurité des utilisateurs. Optimiser la productivité tout en respectant l’environnement est le double défi auquel ces entreprises doivent impérativement répondre. Le concours  a porté sur trois catégories en lien avec les quatre pôles d’expertise du Salon à savoir, Terrassement et démolition ; Route, Industries des matériaux et fondations ; Bâtiment et  filière du béton ; Levage, manutention et transport.

    La sélection des entreprises s’est faite  à  travers cinq critères qui prennent en compte l’économie que présente le projet dans la réduction des investissements et la simplification de la maintenance, la conception technique et les technologies utilisées qui permettront d’améliorer la productivité, la facilité dans le fonctionnement, la facilité de l’emploi, ce qui permet l’amélioration des conditions de travail et enfin le respect de l’environnement en privilégiant l’économie circulaire.

    Le jury est composé de professionnels  européens issus de plusieurs pays comme la Belgique, l’Espagne, les Pays –Bas, la France et la Norvège, appartenant au secteur de la recherche et de l’industrie de la construction. Il est  présidé par Bruno Cavagné, président de la Fédération Nationale  des Travaux Publiques, France. Douze prix  exclusifs ont été mis en jeu. Il s’agit entre autres des prix « Equipements et matériels » et « Composants et accessoires » des 04 pôles d’activités du Salon. Quatre autres prix seront décernés pour « La  transition numérique », « La transition énergétique », « World of concrete Europe » et le prix « Start-up ».

    INTERMAT 2018

    Toutes  Les entreprises internationales  ayant pris part au concours INTERMAT INNOVATION AWARDS, seront présentes au  Salon International de la construction et des structures INTERMAT. Véritable point de rencontre de tous les acteurs du secteur, le salon INTERMAT est de l’avis des organisateurs, l’endroit idéal pour découvrir toutes les solutions innovantes en matière d’équipements, techniques ainsi que les services  et produits du secteur de la construction et des infrastructures.  « Intermat réaffirme l’importance de la recherche et du développement et soutient les innovations qui contribuent au succès du marché dans le secteur de la construction et des infrastructures. L’édition 2018 se veut être révélatrice des nouvelles technologies qui émergent et participent, à relever le défi du développement des territoires. » Soutient  Isabelle Alfano, directrice du Salon.  Quatre pôles d’expertise permettront aux visiteurs, dont la plupart appartiennent au secteur, de découvrir des matériels pour la démolition, l’environnement et le recyclage, des accessoires et composants et pièces pour le terrassement , matériels et engins de terrassement et génie civil  et enfin les nouvelles technologies pour le terrassement et la démolition. Le Salon qui se tiendra du 23 au 18 avril prochain à Paris, compte 1500 exposants dont 70% venant de 40 pays et 50% représentant les plus grandes entreprises mondiales de constructions.

    Trois  thèmes y seront abordés

    Trois grands thèmes seront abordés lors de cet événement  à savoir, la démolition et et le recyclage, pour lesquels un village sera dédié ainsi qu’une plateforme pour les conférences dont les sujets traiteront  entre autres , de démolition, du dépoussiérage,de la gestion des déchets et du recyclage et la valorisation. Thèmes qui seront également abordés  en tables rondes. Le Village Smart Road sera dédié à la route, l’industrie des matériaux  et fondations. Dans cet , seront présentées les solutions de l’avenir pour une route intelligente. Des conférences touchant aux sujets des capteurs, des détecteurs, des nouvelles technologies pour les infrastructures routières, systèmes et services de transport intelligent permettront de mieux connaître les sujets porteurs du marché. Le Village Start-up sera quant à lui, dédié aux solutions innovantes se rapportant à la numérisation de la filière de la construction.  Durant les 06 jours du salon, un espace permettra d’encourager  le Networking.  Des pitch sessions de 02 minutes permettront aux start-up de trouver un parrain.

    Pour rappel,  au mois de juillet dernier, INTERMAT a adhéré à l’association Connexion 21, qui compte 28 membres et dont  la démarche « consiste à sensibiliser et mobiliser le grand public, comme les décideurs, de l’intérêt d’investir dans les réseaux de transports, d’eau, d’énergie, de communication, d’assainissement et de valorisation, en démontrant comment ces aménagements impactent positivement et concrètement le quotidien des citoyens et leur avenir.»

    S.A.

    A propos des organisateurs

    S.E. INTERMAT réunit les organisations professionnelles des constructeurs et importateurs :

    • CISMA, le syndicat des équipements pour la Construction, les Infrastructures, la Sidérurgie et la Manutention
    • SEIMAT, le syndicat des Entreprises Internationales de Matériels de Travaux Publics, Mines et Carrières, Bâtiment et Levage
    • Comexposium, leader européen de l’organisation d’événements.

    Le groupe COMEXPOSIUM, l’un des leaders mondiaux de l’organisation d’événements, est impliqué dans plus de 170 manifestations BtoC et BtoB, couvrant 11 secteurs d’activité aussi variés que l’agroalimentaire, l’agriculture, la mode, le digital, la sécurité, la construction, le high-tech, l’optique et les transports. COMEXPOSIUM accueille 45 000 exposants et plus de 3 millions de visiteurs dans 26 pays à travers le monde entier.

    COMEXPOSIUM se développe mondialement avec une présence dans une trentaine de pays : Algérie, Allemagne, Argentine, Australie, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Espagne, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Corée, Monaco, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Philippines, Qatar, Russie, Singapour, Thaïlande, Turquie, Émirats arabes unis, Royaume-Uni, États-Unis.