Catégorie : Africa business

  • Chambre africaine de l’énergie: Un programme de bourse en 2020

    Chambre africaine de l’énergie: Un programme de bourse en 2020

    La Chambre africaine de l’énergie lance un premier programme  de bourse en 2020. Cette bourse est destinée aux jeunes professionnels de l’énergie et se destine à leur fournir les outils qu’il leur faut pour en faire les futurs leaders de l’industrie. L’information est donnée par le site d’information

    Les inscriptions à cette bourse sont ouvertes jusqu’à la fin d’octobre 2019, tandis que le programme commence dès le mois de janvier 2020, pour une durée d’une année.

    Ainsi, des jeunes professionnels  du Continent africain mais aussi de l’Amérique du nord et du sud, de l’Asie et du Moyen-Orient, passeront une année dans les locaux de la Chambre africaine de l’énergie à Johannesburg.

    Durant l’année 2020, ils auront l’opportunité d’appliquer des compétences analytiques à des défis en relation avec le secteur de l’énergie. Ils pourront également choisir de se spécialiser dans le développement du contenu pétrolier et gazier.

    Ce programme sera dispensé par des conseillers de la chambre africaine de l’énergie, spécialisés dans  le secteur pétrolier et gazier. Durant cette formation, ils se familiariseront avec la réalisation de projets de recherche intimement liés aux problèmes concrets rencontrés dans le domaine pétrolier et gazier africain.

    « Notre gamme de partenaires issus d’organismes gouvernementaux, de sociétés pétrolières nationales et internationales, de sociétés de service pétroliers, de banques d’investissements  et d’investisseurs institutionnels, constitue le réseau et l’écosystème idéal pour un jeune professionnel puisse se développer et grandir en tant que leader » explique le président de la Chambre africaine de l’énergie.

    Selon le président de la Chambre africaine de l’énergie, l’objectif recherché par ce programme est de former une prochaine  génération de dirigeants de l’énergie, en donnant à tous les jeunes qui désirent y participer les moyens qui permettront de mieux développer le secteur énergétique africain.

    Le programme de 2020 sera axé sur les principaux aspects de la chaîne de valeur suivants : segments amont et aval et contenu local. Les candidats intéressés doivent envoyer leur CV au plus vite à mickael@energychamber.org et souligner la contribution qu’ils souhaitent apporter aux travaux de la Chambre africaine de l’énergie

    R.D

  • Tunis: La BAD présente les opportunités d’affaires pour l’Afrique du Nord

    Tunis: La BAD présente les opportunités d’affaires pour l’Afrique du Nord

    La Banque africaine de développement a organisé, les 03 et 04 octobre à Tunis, un séminaire d’opportunités d’affaires dédié à l’Afrique du Nord.

    Après Johannesburg et Nairobi, cette présentation à Tunis, la capitale tunisienne avait pour objectif de renforcer le dialogue entre la Banque et le secteur privé, tout en identifiant de nouvelles opportunités d’investissement et de financement.

    Le séminaire de Tunis a accueilli près de 200 participants issus de 23 pays, représentant des entreprises de l’industrie, du génie civil, des travaux publics et du conseil.

    Lassaad Lachaal, conseiller spécial du Président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a prononcé l’allocution d’ouverture au nom du directeur général de la Banque pour l’Afrique du Nord, Mohamed El Azizi.

    Il a notamment mis en évidence la finalité de ce séminaire « né de cette ambition de transformer le formidable potentiel du continent en croissance et en emplois. Et concrètement en de meilleures conditions de vie pour les populations africaines. »

    Valérie Dabady, cheffe de la Division de la mobilisation des ressources et des partenariats à la Banque a tenu à souligner « l’importance du secteur privé qui, grâce à des transferts d’expertise et de savoir-faire structurants, est capital pour accompagner une mise en œuvre optimale des opérations de la Banque afin de contribuer à la transformation économique du continent. »

    Les participants ont exprimé de fortes attentes au cours du séminaire : « cette rencontre a été une opportunité d’améliorer notre connaissance des priorités et opérations de la Banque africaine de développement.

    Les présentations et interventions nous ont offert une lecture approfondie des procédures de passation de marchés et des règles environnementales et sociales », a reconnu un participant.

    « Cela nous assurera une égalité des chances face aux opportunités d’affaires qui laissent apparaître de nouvelles perspectives de développement au bénéfice de notre continent », a-t-il ajouté.

    À l’issue des présentations, des rencontres bilatérales ont également eu lieu entre les différents acteurs du secteur privé et les équipes techniques de la Banque.

    Ces échanges augurent de futures collaborations qui soutiendront les opérations de l’institution.

    Le partenariat entre la Banque africaine de développement et les pays d’Afrique du Nord dure depuis près d’un demi-siècle, mobilisant un engagement financier total de l’institution de quelque 23,7 milliards de dollars.

    Ces financements couvrent différents secteurs comme l’énergie, l’eau, les transports, l’agriculture et le développement social.

    Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).

  • La Sonatrach et la Sonelgaz prennent part à l’Africa Oil & Power

    La Sonatrach et la Sonelgaz prennent part à l’Africa Oil & Power

    Les compagnies pétrolières et électriques nationales de la Guinée équatoriale, de l’Algérie, du Soudan du Sud, du Sénégal, de l’Afrique du Sud, du Lesotho et de la Guinée se réuniront lors du congrès et exposition 2019 d’Africa Oil & Power (AOP).

    Les principales organisations énergétiques d’Afrique du Sud, au nombre desquelles le groupement d’entreprises CEF, Sasol, le bureau des producteurs d’énergie indépendants, et le département des Ressources minérales et de l’Énergie ont rejoint la liste des participants à l’Africa Oil & Power.

    L’Africa Oil & Power 2019

    L’Africa Oil & Power 2019 sera organisé autour du thème « MakeEnergyWork » et se tiendra au CTICC1, au Cap, en Afrique du Sud, du 9 au 11 octobre.

    Du 9 au 11 octobre, le département des Ressources minérales et de l’Énergie d’Afrique du Sud ainsi que le groupe CEF et ses filiales rejoindront les décideurs nationaux de l’énergie africaine dans le cadre du quatrième congrès et exposition d’Africa Oil & Power (AOP), qui se tiendra au CTICC1, au Cap, en Afrique du Sud.
    Gravitant autour du thème « MakeEnergyWork », cette conférence AOP de trois jours offrira un cadre propice à des discussions stratégiques sur la manière par laquelle et les raisons pour lesquelles le secteur énergétique doit être au cœur des stratégies de croissance de l’Afrique.

    Ce faisant, Africa Oil & Power invitera les capitaines d’industrie à discuter de sujets cruciaux, tels que le secteur des énergies renouvelables en Afrique, l’avenir de l’exploration et de la production, le rôle du gaz naturel dans le bouquet énergétique du continent, l’importance de développer et d’améliorer les ressources locales dans le secteur de l’énergie, et le rôle moteur des compagnies pétrolières nationales dans le développement.

    L’AOP 2019 accueillera d’importantes délégations ministérielles en provenance de quatre coins du continent : Sénégal, Guinée équatoriale, Soudan du Sud, Algérie, Lesotho, Guinée, Gambie et Afrique du Sud. Chaque délégation nationale sera menée par son ministre du pétrole et par les dirigeants de ses compagnies pétrolières nationales.

    Au nombre des compagnies pétrolières et électriques nationales participant et intervenant à l’AOP 2019 figurent :

    • Pour la Guinée équatoriale, GEPetrol, représenté par son directeur général Antonio Oburu, aux côtés de S.E. Gabriel Mbaga Obiang Lima, ministre des Mines et Hydrocarbures.
    • Pour le Soudan du Sud, Nilepet, aux côtés de S.E. Awow Daniel Chuang, ministre du Pétrole.
    • Pour la république de Guinée, ONAP, représenté par son directeur général Famourou Kourouma, aux côtés de S.E. Abdoulaye Magassouba, ministre des Mines et de la Géologie.
    • Pour l’Algérie, NOC Sonatrach et la compagnie nationale de gaz et d’électricité Sonelgaz, cette dernière étant représentée par son PDG Chaher Boulakhras.
    • Pour le Sénégal, Cos-Petrogaz et Petrosen, respectivement représentés par le secrétaire permanent Ousmane N’diaye et par le directeur exécutif Mamadou Faye. La délégation sénégalaise sera menée par le président de la République.
    • Pour l’Afrique du Sud, le groupe CEF, représenté par le PDG par intérim Kholly Zono, aux côtés de S.E. Gwede Mantashe, ministre des Ressources minérales et de l’Énergie.

    La conférence AOP 2019 est organisée en partenariat avec le département des Ressources minérales et de l’Énergie d’Afrique du Sud, la chambre de commerce et d’industrie d’Afrique du Sud, l’alliance sud-africaine pour le pétrole et le gaz, et la chambre de commerce et d’industrie de Durban.

    Distribué par APO Group pour Africa Oil & Power Conference.

  • Amélioration des échanges commerciaux de l’’Algérie avec les pays d’Afrique

    Amélioration des échanges commerciaux de l’’Algérie avec les pays d’Afrique

    Selon la direction générale des Douanes (DGD), les échanges commerciaux de l’’Algérie avec les pays d’Afrique ont connu une amélioration de 7,43%, pour atteindre 2,02 milliards de dollars, durant les sept mois 2019, contre près de 1,88 milliards de dollars à la même période de 2018.

    De ces échanges commerciaux, il ressort que les pays africains, dont les pays de l’Union du Maghreb arabe (UMA), ont acheté des produits algériens pour un montant de 1,24 milliards de dollars, contre 1,16 milliards de dollars en 2018.

    L’Algérie a importé de cette région pour une valeur de 777,60 millions de dollars contre 718,32 777,60 millions de dollars durant la même période de 2018.

    Les principaux partenaires du pays durant cette période sont l’Egypte, la Tunisie et le Maroc. Les échanges commerciaux entre l’Algérie et la région d’Océanie sont en évolution de +19,76%, passant de 522,99 millions de dollars en 2018 à 626,33 millions de dollars en 2019.

    En effet, l’Algérie a exporté vers l’Océanie pour un montant de 311,09 millions de dollars durant les sept premiers mois de 2019, contre 182,99 millions  de dollars durant la période de comparaison, en hausse de 70%.

    L’Algérie a importé de cette région pour 315,24 millions de dollars, contre 339,99 millions de dollars. L’Australie et la Nouvelle Zélande sont les principaux partenaires de la région d’Océanie de l’Algérie.

    Le total général des échanges commerciaux globaux de l’Algérie avec les différentes zones géographiques durant les sept premiers mois de 2019 a atteint  47,697 milliards de dollars, contre 50,405 milliards de dollars, à la même période en 2018, en baisse de -5,37%.

    Globalement, les cinq principaux clients de l’Algérie, durant les sept premiers mois de 2019, sont la France, l’Italie, l’Espagne, les Etats-Unis et la Turquie.

    Les principaux fournisseurs de l’Algérie sont la Chine, la France, l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie.

    Durant les sept premiers mois de 2019, les exportations de l’Algérie ont totalisé 21,64 milliards de dollars, soit une baisse de 8,6%, alors que les importations ont atteint 26,05 milliards de dollars, enregistrant, eux aussi, une baisse de -2,52%.

    Rabah Nadri

  • Sénégal: la BAD approuve plus de 22 millions d’euros à la BNDE

    Sénégal: la BAD approuve plus de 22 millions d’euros à la BNDE

    Au Sénégal, les PME représentent environ 80% du tissu des entreprises, et contribuent à hauteur de 30% à la formation du PIB et emploient près de 60% de la population active.

    Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement  a approuvé, mardi 24 septembre à Abidjan, une ligne de crédit de 22,5 millions d’euros, dont 15 millions de ressources de la Banque et 7,5 millions de ressources de Africa Growing Together Fund (AGTF: Fonds de cofinancement Banque africaine de développement et Banque Populaire de Chine), pour soutenir la Banque nationale pour le développement économique (BNDE) du Sénégal.

    La BNDE a démarré ses activités en fin Janvier 2014 pour faciliter l’accès au financement des PME-PMI, et apporter des réponses globales à leurs besoins financiers.

    La BNDE est une institution viable, qui affichait déjà en 2018, un résultat net de 3,3 millions d’euros.

    La ligne de crédit (LDC) sollicitée a notamment pour objectif de financer une dizaine de petites et moyennes entreprises (PME) dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de l’aviculture et de l’agro-industrie.

    La BNDE a besoin de ressources longues pour financer les activités liées à l’agriculture, à travers la mise en place de financements destinés à la transformation et à l’industrialisation dans le cadre de la chaîne de valeur agricole.


    L’appui de la BAD viendra également soutenir la BNDE dans le renforcement des capacités de ses agents de crédit du secteur agricole, la gestion des risques, la gestion de projets, les systèmes de gestion environnementale et sociale ainsi que la gestion des résultats en matière de développement.

    Le financement accordé au Sénégal

    Ce financement accordé au Sénégal a pour objectif, de créer plus de 1 000 emplois directs en zones rurales, essentiellement pour des jeunes. Il participera également à promouvoir l’autonomie des femmes.

    Dans cette optique, la LDC contribuera à déverrouiller l’accès aux financements pour les populations les plus vulnérables, favorisant ainsi la création de richesses et d’emplois locaux, indispensables pour faire reculer la pauvreté et l’exode des populations rurales.

    Ce projet, en complément de l’intervention de la BAD et des autres bailleurs dans la chaîne de valeur agricole au Sénégal, devrait contribuer à réduire les importations de denrées alimentaires et participer à l’atteinte des objectifs de développement du plan Sénégal émergent.

    La BNDE est un partenaire privilégié du financement des programmes sociaux au Sénégal. Elle gère, pour le compte de l’Etat et des bailleurs de fonds, des programmes sociaux visant notamment à financer des initiatives/projets de jeunes, de femmes et des couches sociales les plus défavorisées.

    La BNDE met en œuvre des programmes de financement inclusif avec une enveloppe globale de 4 milliards de FCFA dans des secteurs à forte intensité de main d’œuvre.

    La Banque africaine de développement et le Sénégal ont une longue histoire de coopération, remontant à 1972.

    Depuis cette époque, la Banque a financé 66 projets nationaux dans plusieurs secteurs avec un investissement total d’environ 532 milliards de Francs CFA.

    Les projets d’infrastructure représentent 39,4 pour cent de l’investissement de la Banque dans ce pays, contre 21,3 pour cent dans le secteur social et 18,7 pour cent dans les projets ruraux. Dans le secteur privé, la Banque a financé quelque quatre opérations pour un montant de 248 millions de dollars.

    Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).
    A propos de la BNDE :
    La Banque nationale de développement économique (BNDE) a démarré ses activités en janvier 2014. Elle a pour objet le financement des PME. En cinq ans, elle a fait passer son total bilan de 30 milliards, à plus de 175 milliards CFA. En 2018, la BNDE a mis en place un réseau d’agency banking et acquis un guichet mobile pour renforcer sa proximité avec la population et en partenariat avec la Délégation de l’entreprenariat rapide.

    La BNDE est le partenaire privilégié de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes (ANPEJ) qui met à sa disposition le Fonds de financement pour l’entreprenariat jeunes.

    SOURCE
    African Development Bank Group (AfDB)

  • Regus: Les entrepreneurs « nomades » s’affranchissent d’un bureau fixe

    Regus: Les entrepreneurs « nomades » s’affranchissent d’un bureau fixe

    Les entrepreneurs « nomades » s’affranchissent désormais d’un bureau fixe et développent leur activités hors des frontières grace au coworking et au smartphone, dévoile une étude de IWG (International Workplace Group), maison mère de Regus.

    Nietzsche, le philosophe, avait déjà anticipé les vertus du nomadisme dans Le Crépuscule des idoles : « Seules les pensées qu’on a en marchant valent quelque chose ».

    Faire du monde un terrain d’opportunités pour développer son activité est une des réalités présentées dans l’étude « Global Workspace Survey » publiée récemment en 2109 par IWG (International Workplace Group), leader mondial des espaces de travail flexibles et maison mère des marques Regus, Spaces, HQ, Signature et N18.

    50% des entrepreneurs dans le monde travaillent la moitié de la semaine en dehors de leur bureau 

    La mobilité des entrepreneurs entre la France et l’Afrique illustre cette tendance selon Tarek Abou-Zeinab, Country Manager de Regus en Afrique : « Nos clients dans nos centres d’affaires ne sont plus cantonnés à un port d’attache. Ils utilisent notre réseau pour avoir ponctuellement un bureau un peu partout sur le continent. A Paris, Dakar ou Casablanca, ils ont un point de chute pour rencontrer leur partenaires. Ils réservent un bureau privé pour quelques heures via notre application ou viennent directement dans nos espaces de coworking ».

    Quand le « Road trip » se transforme en « Office trip »

    Certains entrepreneurs, qui se qualifient de « digital nomad », ont mis en place une boîte à outils pour assurer une parfaite continuité de leur business quelque soit leur lieu de travail. C’est le cas de Farid Arab, fondateur de Pure Player, qui organise des événements sur le continent africain, notamment pour l’Organisation internationale de la Francophonie.

    Le chef d’entreprise qui visite « au moins 4 pays par mois » affirme ne plus avoir de « bureau fixe ». Il dit utiliser « la carte bancaire de la néo-banque Revolut pour éviter tous les frais à l’étranger » et  les espaces de travail flexibles Regus et Spaces pour « avoir un bureau facilement » et une « connexion irréprochable ». Il déclare : « Lorsque j’arrive dans un pays que je ne connais pas, j’opte directement pour le coworking. Cela me permet de rencontrer de nouvelles personnes rapidement ».

    Aziz Founti, fondateur de Cooptalent, société de recrutement de développeurs pour les marchés français et marocain affirme :« Quand on me demande où sont mes locaux, je dis un peu partout. J’ai un bureau privé à Regus Villeneuve d’Ascq, j’utilise aussi des bureaux privés de Spaces La Défense quand je suis à Paris. Lors de mes multiples déplacements à Casablanca, mon bureau est alors au centre Zenith de Sidi Maarouf.»

    Infa Ibrahim Alassane, Président d’Alstech it Group, intégrateur de solutions informatiques et télécom, basé à La Garenne-Colombes en Région Parisienne, souhaite s’implanter prochainement en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Je compte utiliser « le réseau Regus présent dans ces pays pour préparer mon implantation. Pour ce faire, je vais faire appel à leur espaces de coworking et demander des contacts aux équipes sur place ».

    Ainsi, Regus a crée un maillage puissant de centres d’affaires dans 21 pays d’Afrique qui facilite le déplacement et la bonne marche des affaires des entrepreneurs. La mobilité entre les centres d’affaires devrait être renforcée prochainement avec la mise en place de la Zone de libre-échange continentale africaine.

    La marque historique du groupe IWG propose différents espaces de travail flexibles à la carte (bureaux privatifs, espace de coworking, salles de réunion, business lounge) pour tout type d’entreprise : de la start-up au groupe mondial, en mettant l’accent sur l’accessibilité du site et la qualité des bâtiments.

    Une large gamme de services « clef-en-main » y sont disponibles : secrétariat téléphonique, gestion du courrier, salles de réunion, domiciliation et un accès ultra-performant à l’internet haut débit.

    A propos de Regus :

    Créée en 1989 avec pour principal objectif d’aider les entreprises à choisir le mode de travail le plus adapté pour leurs équipes, la société Regus est l’un des acteurs historiques du secteur des espaces de travail flexibles.

    Comptant à présent plus de 3 600 centres Regus, ce réseau mondial d’espaces de travail inspirants, permet aux entreprises modernes de travailler où, quand et comme elles le souhaitent, de façon toujours plus flexible.

    Regus offre aux entreprises la possibilité de se développer sans risque ni engagement, et attire un réseau diversifié de 2,5 millions de personnes (des entrepreneurs aux PME en passant par de grandes multinationales).

    Regus est une filiale opérationnelle du groupe IWG qui rassemble plusieurs grands opérateurs d’espaces de travail. Parmi les autres marques appartenant au portefeuille IWG figurent Spaces, HQ, No18, Stop & Work et Signature by Regus.

    Communiqué de Presse  Regus

  • Investissement en Afrique: Risk-Reward Index 2019 dévoile les tendances

    Investissement en Afrique: Risk-Reward Index 2019 dévoile les tendances

    La quatrième édition de l’Africa Risk-Reward Index de Control Risks, un cabinet de conseil international spécialisé dans la gestion des risques, et Oxford Economics, une société de conseil mondiale indépendante, a été publiée ce jour.

    Le rapport Africa Risk-Reward Index offre une vue d’ensemble et actualisée du paysage très dynamique de l’investissement en Afrique.

    L’Africa Risk-Reward Index suit l’évolution du paysage de l’investissement sur les principaux marchés africains, et l’édition de cette année souligne plusieurs tendances importantes et intrigantes qui ont un effet sur la stratégie d’investissement à travers le continent.

    l’Africa Risk-Reward Index reconnaît que les élections sur les marchés africains peuvent souvent alimenter les tensions et soulever des préoccupations en matière d’investissement.

    Cependant, cette étude montre également comment les élections servent de plus en plus à stabiliser le paysage politique changeant de l’Afrique.

    Il est crucial d’identifier comment les élections peuvent mettre fin à une incertitude prolongée, conférer une légitimité et donner aux dirigeants africains existants ou nouveaux les mandats nécessaires pour faire avancer les programmes de réforme ou de contre-réforme.

    « Ne vous laissez pas emporter par des promesses de réforme enthousiastes en supposant que des hommes forts et réformateurs peuvent se frayer un chemin sans aucune contrainte,» prévient Barnaby Fletcher, directeur associé chez Control Risks. « La véritable leçon politique de ces dernières années est qu’il ne faut pas sous-estimer la force des efforts de contre-réforme lancés par les structures politiques existantes, ni leur complexité», explique-t-il.

    L’investissement en Afrique a traditionnellement été dominé par ses grandes économies, mais l’émergence tant attendue de blocs commerciaux intercontinentaux modifie l’équilibre des pouvoirs. L’Africa Risk-Reward Index évalue les risques de l’investissement en Afrique.

    l’Africa Risk-Reward Index explore l’énorme importance potentielle de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), introduite fin mai, tout en soulevant certaines préoccupations quant à sa mise en œuvre.

    L’Africa Risk-Reward Index analyse également les progrès significatifs réalisés par les blocs régionaux, tels que le renforcement de la Communauté est-Afraine (CAE).

    «L’Africa Risk-Reward Index 2019 montre une légère augmentation des scores pour certaines des plus grandes économies du continent, y compris le Nigeria, l’Angola et l’Egypte, alors que la reprise économique chez ces géants gagne du terrain.

    Cependant, c’est en Afrique de l’Est que le potentiel de rentabilité reste le plus élevé, l’expansion des services et le développement des infrastructures stimulant la demande et améliorant l’environnement des affaires », déclare Jacques Nel, économiste en chef pour l’Afrique australe et orientale chez Oxford Economics.

    Le rapport exhaustif aborde également les interprétations erronées communes concernant les influences extérieures affectant les économies africaines.

    L’Afrique n’est plus un champ de bataille équilibré pour les joueurs américains et chinois comme on le pense généralement.

    Les échanges commerciaux entre les États-Unis et l’Afrique s’élèvent actuellement à 39 milliards de dollars

    Les échanges commerciaux entre les États-Unis et l’Afrique s’élèvent actuellement à 39 milliards de dollars, tandis que ceux entre la Chine et l’Afrique représentent plus de 200 milliards de dollars et que ceux entre l’UE et l’Afrique dépassent désormais les 300 milliards de dollars, selon les données révélées dans le rapport. La recherche note également un regain d’intérêt pour l’Afrique de la part d’acteurs géopolitiques plus petits, tels que la Russie, les États du Golfe, la Turquie et l’Inde.

    « Le récit classique de la rivalité américano-chinoise en Afrique a toujours eu l’air d’une simplification excessive, mais il est certainement désuet aujourd’hui.

    L’engagement de la Chine avec l’Afrique est en train de changer fondamentalement, les États-Unis rattrapent leur retard et une foule d’autres pays cherchent à étendre leur influence dans un paysage de plus en plus multipolaire », explique Barnaby Fletcher, directeur associé chez Control Risks.

    « Les objectifs géopolitiques sont soutenus par un afflux de financement du développement, créant à la fois des opportunités et de la concurrence pour les acteurs du secteur privé. »

    L’Afrique reste une destination d’investissement attrayante avec sa population jeune et de plus en plus urbaine, sa richesse en ressources naturelles et sa capacité avérée à faire le grand saut technologique dans des domaines comme les télécommunications ou la finance.

    La concurrence croissante pour l’investissement à travers le continent contribue à promouvoir les réformes, ce qui, à son tour, encourage l’investissement. En Afrique, la diversification est de plus en plus synonyme de succès et les économies ne peuvent plus se contenter de détenir la plus grande partie des ressources minérales.

    « La dépendance à l’égard des exportations de matières premières est une grave faiblesse pour une économie, surtout en période de guerre commerciale qui menace de faire baisser encore davantage la demande chinoise de produits de base et la demande mondiale de pétrole et de gaz. C’est pour cette raison que les gouvernements se font concurrence pour attirer les capitaux d’investissement et les entreprises afin de développer leurs secteurs manufacturiers et des services, pour fournir des biens et des services aux millions d’Africains qui s’installent dans les villes du continent », déclare François Conradie, directeur de la recherche en Afrique chez Oxford Economics.

    Pour les investisseurs moins expérimentés en Afrique, l’indice offre un aperçu comparatif des opportunités et des risques du marché à travers le continent – offrant des informations vitales pour les stratégies de pénétration de marché.

    Pour les investisseurs en Afrique les plus expérimentés, l’indice fournit une perspective fondée à plus long terme des tendances clés qui façonnent le paysage de l’investissement dans les principales économies africaines.

    L’Africa Risk-Reward Index va au-delà des nouvelles et du battage médiatique entourant le sujet pour fournir un point de vue éclairé sur l’investissement en Afrique.

    L‘Africa Risk Reward Index

    L’indice rend compte de la performance de chaque pays par rapport à ses pairs africains en comparant certains des marchés les plus importants et émergents du continent.  La position de chaque pays est déterminée par son score de risque et de performance, incorporant la pondération du PIB.

    À propos de Control Risks

    Control Risks est un cabinet de conseil international spécialisé dans la gestion des risques qui aide à créer des organisations sûres, conformes et résilientes.

    Nous croyons qu’il est essentiel de prendre des risques pour réussir, c’est pourquoi nous vous fournissons les renseignements et connaissances dont vous avez besoin pour saisir les opportunités et grandir.

    Et nous nous assurons que vous êtes prêts à faire face aux problèmes et aux crises. De la salle du conseil aux endroits les plus éloigné, nous avons développé une capacité inégalée à mettre de l’ordre dans le chaos et à rassurer face à l’inquiétude.

    À propos d’Oxford Economics

    Oxford Economics est l’une des plus importantes sociétés de conseil indépendantes au monde, fournissant des rapports, des prévisions et des outils analytiques sur plus de 200 pays, 250 secteurs industriels et 7 000 villes et régions.

    Ses modèles économiques et sectoriels mondiaux et ses outils d’analyse de premier ordre lui confèrent une capacité inégalée à prévoir les tendances des marchés extérieurs et à évaluer leur impact économique, social et commercial.

    Basée à Oxford, avec des centres régionaux à Londres, New York et Singapour et des bureaux dans le monde entier, la société emploie plus de 400 personnes, dont plus de 250 économistes et analystes. Oxford Economics est un conseiller clé pour les décideurs dans les entreprises, les services financiers et les gouvernements.

    Control Risks et Oxford Economics

    Control Risks et Oxford Economics se sont associés pour fournir un service innovant de prévision des risques politiques et économiques qui donne une vision holistique des risques dans un monde complexe, en rapide évolution et globalisé.

    Control Risks et Oxford Economics combinent une vaste expertise géopolitique, opérationnelle et sécuritaire avec des prévisions et des modèles économiques rigoureux sur 200 pays et 100 industries. Ensemble, nous offrons une gamme complète de services-conseils qui permettent à votre organisation de naviguer dans le monde du risque politique et économique.

  • Pétrole: le Pipeline Niger-Benin est une belle opportunité pour le Niger

    Pétrole: le Pipeline Niger-Benin est une belle opportunité pour le Niger

    Le 15 septembre, l’État du Niger a signé la Convention de Transport relative à la construction et l’exploitation du futur oléoduc reliant le bassin de l’Agadem au Niger au port de Sèmè au Bénin.

    L’accord a été signé avec la CNODC, la branche de développement à l’étranger de la China National Petroleum Corporation.(CNPC)

    Deux jours plus tard, le président Mahamadou Issoufou posait la première pierre du projet à Koulélé. Et c’est une grosse affaire pour le Niger et pour l’Afrique.

    Non seulement le pipeline d’exportation Niger-Benin de la CNPC est le plus important investissement transfrontalier que la major chinoise a fait dans un oléoduc, mais le projet est également essentiel pour que le Niger multiplie par cinq sa production de pétrole brut au cours des prochaines années, passant de 20 000 à 100 000 barils par jour (b/j).

    Une vidéo publiée par la présidence nigérienne a estimé que la production pourrait même atteindre 200 000 b/j.

    Cet accord fait suite à la signature de l’accord de construction et d’exploitation du pipeline Niger-Benin avec la CNPC en août dernier et à l’approbation du Contrat de partage de la production de la zone 3 d’exploitation exclusive d’Agadem en juin 2018.

    Le pipeline de 1 893,9 km, dont 70% s’étendra au Niger, coûtera 4,5 milliards de dollars (2 400 milliards de Francs CFA) et devrait exporter son premier pétrole brut d’Agadem à la côte atlantique en 2021.

    Le projet créera environ 5 000 emplois et comprendra sept centrales électriques, 1 557 km de lignes à haute tension et un nouvel aéroport à Koulélé.

    « En donnant au pétrole du Niger un accès aux marchés d’exportation, l’oléoduc va permettre de débloquer des milliards de dollars d’investissements dans les découvertes faites dans le pays au cours des dernières années et de transformer le pays en une plaque tournante pétrolière régionale.

    Cela signifie des emplois et un contenu local pour la population du Niger », a déclaré NJ Ayuk, président de la Chambre africaine de l’énergie et PDG du Centurion Law Group. « Cela va être un accord transformationnel. Nous sommes heureux que le Niger puisse profiter grandement de l’augmentation de la contribution de l’industrie pétrolière à son économie.Certains ont échoué et d’autres ont très bien réussi en ce qui concerne l’histoire du pétrole en Afrique. Nous devons reconnaître le bon sens du président Mahamadou Issoufou, qui a tempéré les attentes et suscité l’enthousiasme et encouragé tout le monde à progresser de manière raisonnable et à mettre le pétrole au service du Niger », a ajouté M. Ayuk.

    Dans le seul bassin de l’Agadem, la CNPC a fait plus de 100 découvertes sur 137 puits d’exploration au cours des dernières années, qui ont toutes maintenant de grandes chances d’être exploitées.

    La construction de l’oléoduc s’accompagnera aussi du forage de 430 puits et de la construction d’un centre de traitement à Koulélé et d’une station de déshydratation à Dibella.

    Enfin, le pipeline représente également une grande aubaine pour les autres opérateurs du Niger. Savannah Petroleum, par exemple, qui a cartographié 146 prospects d’exploration non forés sur ses propres licences et a fait cinq découvertes au cours des dernières années, aura le droit d’accéder à cette infrastructure tierce.

    « Du point de vue de Savannah, cela offre à notre société un potentiel de marché supplémentaire important, parallèlement à la raffinerie existante de Zinder, pour nos découvertes existantes et futures au Niger », a déclaré Andrew Knott, PDG de Savannah Petroleum dans un communiqué.

    Le secteur de l’énergie au Niger a connu un boom ces dernières années. Son secteur pétrolier a vu les découvertes se multiplier, incluant celles de la Sonatrach à Kafra, tandis que les infrastructures électriques se développent.

    Selon un document officiel publié au début de 2019, le Niger ambitionne de faire passer la contribution du pétrole à son PIB de 4% en 2017 à 24% en 2025, les recettes tirées par l’État du pétrole passant de 19% à 45% et les recettes d’exportation de 16% à 68%.

    Avec une croissance projetée de 6,5% cette année d’après le FMI, le Niger figure parmi les 15 économies les plus dynamiques du monde.

    Pour un pays enclavé dont le PIB est inférieur à 10 milliards de dollars, un pipeline de cette ampleur ne représente pas seulement le pilier d’une croissance économique future, mais une opportunité profonde et réelle de transformer la vie de plus de 22 millions de citoyens.

    Distribué par APO Group pour African Energy Chamber.

  • ZLECA: Présentation de la stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale 2019-2025

    ZLECA: Présentation de la stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale 2019-2025

    Le ministre de l’Économie, de la planification et de l’administration du territoire, également gouverneur de la Banque africaine de développement pour le Cameroun, Alamine Ousmane Mey, a ouvert,  lundi 16 septembre à Yaoundé, au Cameroun, l’atelier de restitution du Document de stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale, pour la période 2019-2025 (DSIR-AC).

    L’atelier de restitution a réuni les ministres gouverneurs du Tchad et de la République centrafricaine : Issa Doubragne, ministre tchadien de l’Économie et de la planification du développement, Félix Moloua, ministre centrafricain de l’Économie, du plan et de la coopération, ainsi que Daniel Ona Ondo, président de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), Ahmad Allam-Mi, secrétaire général de la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEEAC), et Daniel Molongandzeyidirecteur général de l’intégration au ministère du Plan, de la statistique et de l’intégration régionale de la République du Congo.

    « C’est avec beaucoup d’espoir, d’intérêt et d’attention que nos pays et nos communautés accueillent le nouveau Document de stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale, pour la période 2019-2025, dans le but d’accélérer l’intégration en Afrique centrale », a déclaré Alamine Ousmane Mey, saluant la publication du nouveau DSIR-AC 2019-2025.

    « Au niveau continental, les objectifs et piliers du DSIR-AC sont en adéquation avec ceux de l’Union africaine en matière d’intégration. Au niveau régional, il prend en compte la vision stratégique à l’horizon 2025 de la CEEAC et le programme économique régional 2017-2021 de la CEMAC » a ajouté le ministre.

    Dans son allocution d’ouverture, le directeur général de la région Afrique centrale à la Banque africaine de développement, Ousmane Doré, a indiqué que le nouveau DSIR-AC 2019-2025 avait été élaboré dans un contexte de changements institutionnels majeurs à la Banque, notamment le rapprochement avancé des régions à travers une décentralisation désormais effective.

    « Cette stratégie d’appui à l’intégration régionale tient compte du contexte socio-économique actuel de la région, de ses défis et faiblesses, mais aussi, de ses forces et opportunités. Il propose de tirer parti des avantages comparatifs de la région, notamment de ses abondantes ressources forestières et minières, de ses diverses zones écologiques et sa situation géographique stratégique » a souligné Ousmane Doré.

    « Une intégration régionale effective en Afrique centrale permettra, en outre, de stimuler l’essor des marchés nationaux, d’accroître les flux commerciaux et d’investissement, d’atténuer les carences institutionnelles et d’infrastructures, et d’impulser une transformation structurelle en vue d’un développement plus équitable et durable, qui contribuera à réduire les facteurs de fragilité » a-t-il poursuivi.

    « Ce nouveau document d’assistance régionale de la Banque pour l’Afrique centrale a été conçu en étroite concertation avec la CEMAC, la CEEAC, les gouvernements de la région, le secteur privé et les partenaires au développement. Doté d’un programme indicatif de près de 30 opérations régionales pour un montant global de 4,4 milliards de dollars américains, sa mise en œuvre nécessitera un partenariat renforcé » a précisé Solomane Kone, responsable-pays de la Banque au Cameroun.

    Le Document de stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale pour la période 2019-2025 couvre sept pays : Cameroun, Congo, Centrafrique, Gabon, Guinée équatoriale, République démocratique du Congo et Tchad. Il répond aux priorités des communautés économiques régionales et de leurs pays membres.

    Les échanges tenus lors d’une table ronde organisée pour la circonstance ont mis en exergue la nécessité, pour les différentes parties prenantes, de s’approprier le contenu du Document adopté le 28 mars 2019 par les Conseils d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement, pour une opérationnalisation et une accélération de l’agenda de l’intégration régionale en Afrique centrale, en particulier celui de la mise en œuvre effective de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).

    Distribué par APO Group pour African Development Bank Group (AfDB).

    À propos du Groupe de la Banque africaine de développement :
    Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution de financement du développement en Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Présente sur le terrain dans 37 pays africains et dotée d’un bureau extérieur au Japon, la BAD contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres régionaux.

  • Salesian Institute nouveau partenaire de Africa Oil & Power 

    Salesian Institute nouveau partenaire de Africa Oil & Power 

    La conférence Africa Oil & Power a le plaisir d’annoncer que le Salesian Institute devient son nouveau partenaire communautaire.

    Le Salesian Institute se consacre à améliorer la vie des enfants vulnérables et des jeunes à risque en Afrique du Sud.

    Avec son événement-phare au Cap, la conférence Africa Oil & Power est déterminée à soutenir les organisations caritatives qui exercent un impact à la fois local et dans l’ensemble de l’Afrique ; La conférence-exposition Africa Oil & Power se tiendra au CTICC 1 du 9 au 11 octobre 2019. Les inscriptions sont désormais ouvertes.

    La conférence Africa Oil & Power (AOP) est fière d’annoncer que le Salesian Institute est désormais son nouveau partenaire communautaire pour la conférence-exposition phare d’AOP qui se tiendra au CTICC 1 du 9 au 11 octobre 2019.

    Le Salesian Institute se consacre à améliorer la vie des enfants vulnérables et des jeunes à risque en Afrique du Sud. Depuis plus d’un siècle, il offre des services d’éducation, de logement et de soutien affectif aux jeunes à risque en combinant éducation de base, formation professionnelle, aptitudes sociales et services de proximité.

    « C’est un grand honneur pour nous de travailler avec le Salesian Institute, car sa mission s’inscrit parfaitement dans le cadre de notre thème #MakeEnergyWork pour la conférence Africa Oil & Power de cette année, » a déclaré Guillaume Doane, PDG de Africa Oil and Power. « Pour nous, #MakeEnergyWork signifie bâtir une industrie énergétique exerçant un impact positif sur tous les secteurs de la société, y compris les programmes professionnels qui ciblent les communautés défavorisées. Nous attendons avec impatience l’ouverture d’un espace de dialogue entre le Salesian Institute et les acteurs du secteur énergétique. »

    Le Salesian Institute a lancé avec succès plusieurs initiatives au fil des ans, notamment le Learn to Live School of Skills, un programme conçu spécialement pour les enfants et les jeunes vulnérables à risque. Il dispense une éducation de base et une formation professionnelle aux jeunes à risque qui sont incapables de s’intégrer dans le système scolaire ordinaire.

    Le programme Training and Recruitment Centre (PTRC-ZA) Mechatronics Technician de Porsche, est mis en œuvre conjointement par le Salesian Institute Youth Projects et l’importateur Porsche local, LSM Distributors (Pty) Ltd. Ce programme permet aux stagiaires de réaliser des diagnostics, de réparer et d’entretenir les véhicules du Groupe Volkswagen, qui comprend Porsche, Audi, Volkswagen, Bentley et Lamborghini.

    Les personnes participant à la cérémonie d’ouverture de la conférence AOP pourront assister à la prestation de la chorale du Salesian Institute, Learn to Live.

    La conférence AOP accueillera 1 200 délégués sur une durée de trois jours, et plus de 20 ministres et dignitaires prendront la parole sur la scène principale. La conférence AOP 2019 #MakeEnergyWork sera l’occasion d’expliquer comment le pétrole, le gaz et l’électricité peuvent générer de plus grandes opportunités pour les peuples des nations africaines et favoriser une croissance économique durable.