L’Ambassade de France en Algérie tient à apporter certaines précisions suite à l’article publié le 8 septembre dernier par le site électronique DIAet relatif au financement par l’Institut français d’Algérie du festival Rencontres cinématographiques de Béjaïa (RCB).
Cette manifestation n’est en aucun cas «totalement contrôlée» par l’Institut français d’Algérie comme l’avance à tort le site DIA.
Le Service de coopération et d’action culturelle de l’Ambassade de France ne contribue que très partiellement aufinancement de cette manifestation puisque sa contribution représente un sixième du budget total. Ce financement se réalise exclusivement en dinars algériens et ne comprend pas de billets d’avion contrairement à ce qui a été avancé par DIA.
L’Ambassade de France tient en outre à souligner qu’elle ne participe nullement aux choix de la programmation des Rencontres cinématographiques de Béjaïa qui est indépendante. La seule contribution au programme apportée par le service de coopération et d’action culturelle est l’organisation d’une formation sur la réalisation documentaire, sous la forme d’une masterclass donnée par 2 documentaristes français invités.
Enfin, l’Ambassade de France en Algérie tient à préciser la position de Monsieur Abdenour Houchiche, qui est chargé de mission cinéma au service de coopération et d’action culturelle. M. Houchiche est certes l’un des fondateurs des Rencontres cinématographiques de Béjaïa mais il ne faisait pas partie cette année du comité d’organisation du festival. Il s’est rendu au festival en tant qu’observateur afin d’y représenter l’Institut français d’Algérie, compte tenu de l’importance artistique et culturelle de cette manifestation.
L’Ambassade de France en Algérie regrette de ne pas avoir été sollicitée afin d’apporter les éclairages utiles en amont de la publication de cet article
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