L’Algérie, un marché potentiel pour les investisseurs britanniques

Le PDG de HSBC Algérie, Rachid Sekak, l’a affirmé à Londres

Présentant l’expérience de HSBC en Algérie dans le cadre de la rencontre sur les opportunités d’affaires dans l’Afrique du Nord, Rachid Sekak, PDG de HSBC Algérie, a indiqué que l’Algérie représente un marché potentiel pour les investisseurs britanniques. Des capacités très peu connues au Royaume, alors que l’expérience de la banque qu’il dirige en Algérie est des plus positives.

« Notre expérience en Algérie est positive et nous permet de regarder l’avenir avec beaucoup d’optimisme », a-t-il soutenu devant un parterre d’hommes d’affaires et d’experts invités par la Middle East Association (MEA).

L’Algérie possède de loin, le potentiel le « plus important » en Afrique du Nord et jouit d’une remarquable santé financière, a affirmé M. Sekak qui a mis en avant le programme d’investissements prévu dans le cadre du plan quinquennal, le degré d’ouverture dans le secteur des finances, et le besoin exprimé pour diversifier l’économie. Le représentant de HSBC, rapporte l’APS, a précisé que « tout ceci crée des opportunités d’affaires pour les investisseurs britanniques ».

L’investissement en Algérie est toujours porteur sur le long terme, et s’agissant de notre compagnie, si c’était à refaire nous le referons sans hésitation vu le chemin parcouru par la banque depuis son investissement de 150 millions de dollars en 2008.

Pour rappel, le Conseil de la monnaie et du crédit a, en mai 2007, autorisé l’installation par HSBC France d’une succursale de banque dénommée HSBC Algérie avec une dotation en capital de 2 500 000 000 dinars. En juin 2008, le gouverneur de la Banque d’Algérie a agréé la succursale de banque HSBC Algérie. Depuis, la banque a ouvert deux agences à Alger, l’ouverture d’une troisième agence à Oran est à l’ordre du jour.

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