Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, s’est réuni, ce dimanche, avec les représentants d’autres organismes du secteur. Des instances d’accompagnement des filières industrielles, entre autres, le Centre technique des industries agroalimentaires (CTIAA), le Centre technique des industries mécaniques et transformatrices des métaux (CTIME), et le Conseil national de concertation pour le développement de la petite et moyenne entreprise (CNCD-PME).
L’objectif étant, comme c’est le cas des rencontres précédentes avec les autres acteurs du secteur, est de voir de près les difficultés auxquelles sont confrontées ces centres dont le rôle est primordial dans l’accompagnent des PME, et de façon générale, les institutions publiques et privées, dans la promotion de la production nationale.
Selon un communiqué rendu public, le département Zeghdar s’est engagé à soutenir ces organismes dans leurs programmes, en s’appuyant sur les compétences et l’expertise nationales, ces centres ayant toujours été un trait d’union entre l’université et les institutions industrielles.
La semaine dernière, de lundi à mercredi, indique un autre communiqué du même département ministériel, le représentant du gouvernement a tenu une série de rencontres avec les responsables des institutions composant l’infrastructure de la qualité.
Il s’agit de l’Institut national de la propriété industrielle (INAPI), l’Office national de métrologie légale (ONML), l’Institut algérien de normalisation (IANOR), l’Organisme algérien d’accréditation (ALGERAC) ainsi que la directrice de l’Institut national de la productivité et du développement industriel (INPED). A l’occasion, le ministre a donné les mêmes orientations qui consistent à renforcer le travail de ces instances de façon à encourager la production nationale, en s’appuyant sur les mêmes socles qui sont l’expertise et les compétences nationales.
Lors d’une récente réunion du gouvernement, Ahmed Zeghdar a présenté une série de propositions pour une relance effective de l’économie nationale. Il a évoqué cinq axes stratégiques : préservation de l’outil de production, développement de l’intégration locale, identification des activités à soutenir, inclusion de l’économie industrielle privée et amélioration de la gouvernance des entreprises économiques nationales.
Samia Hanifi
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