Catégorie : Santé

  • Pénurie et de médicaments : Les assurances du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique

    Pénurie et de médicaments : Les assurances du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique

    Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique est revenu ce dimanche à la charge concernant le problème de pénurie de certains médicaments, affirmant que ses services travaillent d’arrache-pied pour assurer approvisionnement continue en médicaments et dispositifs médicaux, en réaction aux signalements enregistrés récemment.

    «Dans le cadre de la veille sur la disponibilité continue des produits pharmaceutiques, le Ministère de l’Industrie et de la Production Pharmaceutique informe ses partenaires que les services compétents du ministère continuent d’œuvrer sans relâche, malgré les tentatives de perturbation, pour garantir l’approvisionnement continue en médicaments et dispositifs médicaux de ville et ceux à usage hospitalier », lit-on dans le communiqué transmis à la presse, précisant que «l’Observatoire national de veille sur la disponibilité des produits pharmaceutiques a continué d’exercer ses activités à travers des réunions de coordination restreintes, de correspondances ou par voie électronique officielle, en raison de litiges au sein de certaines corporations membres, et reprendra ses travaux, en présentielle, cette semaine».

    Le département ministériel dirigé par Ali Aoun explique dans le même communiqué que «tous les signalements parvenus par voie officielle ou par courrier électronique à l’adresse mail observatoire@miph.gov.dz ont été traités, en collaboration avec les membres partenaires qui nous ont saisi », citant le règlement du problème lié à la pénurie constatée dans l’approvisionnement des cabinet dentaire en anesthésies dentaires, «en coordination avec les parties concernées».

    Le ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique a appelé «ses partenaires au sens de la responsabilité dans l’exercice de leur missions et déclarations publiques et d’adhérer à une démarche constructive visant l’intérêt ultime du patient et la préservation de la santé publique, comme l’a toujours prôné le ministère de l’industrie et de la production pharmaceutique ».

    L. M.

  • SIMEM : la 25e édition s’ouvre aujourd’hui à Oran

    SIMEM : la 25e édition s’ouvre aujourd’hui à Oran

    La 25e édition du Salon International de la Santé (SIMEM) se déroulera au Centre des Conventions d’Oran (CCO), à partir de ce  3 mai jusqu’au 6 mai prochains. Outre la présence de 185 firmes algériennes venues de 19 wilayas du pays, le SIMEM enregistrera la participation de 203 exposants originaires de l’Europe (34,8% dont l’Allemagne et l’Italie avec 49 firmes et la France avec 59 firmes), d’Asie (28,9% dont 17,4 pour la seule Chine), et 6,5% de participants d’Afrique et des Amériques.

    Lors d’un point de presse animé par Yasmine Chaouche, la directrice d’Eventia, l’agence organisatrice du Salon, nous avons appris que l’édition annuelle, placée sous le thème globale «Avancées technologiques et amélioration des soins de santé», verra la participation de 620 firmes de 38 pays, couvrant l’imagerie médicale, les laboratoires d’analyse, les dispositifs médicaux ainsi que le mobilier hospitalier ou encore les consommables, la numérisation et la formation médicale. Sur le plan national, c’est la wilaya d’Alger qui sera présente en force avec 75 exposants.

    Par ailleurs, et selon la même source d’informations, les Journées scientifiques de cette 25e édition, animées par des experts nationaux et étrangers, comporteront 44 communications scientifiques, 20 ateliers de formation et 4 symposiums. Elles permettront d’aborder et de débattre des progrès réalisés et des recherches en cours dans pas moins de 25 spécialités.  

    Nouveauté de cette 25e édition du SIMEM, au sein de l’espace «Talk&Show», ouvert aux visiteurs, se succèderont panels d’experts, présentation de produits ou de sociétés, projection de vidéos et démonstrations diverses dans le cadre d’une animation scientifique, commerciale et ludique.

    S.O     

  • 1er Salon Health Care Expo International : les nouveautés du matériel médical

    1er Salon Health Care Expo International : les nouveautés du matériel médical

    Organisée par la société ZK Event, la première  édition du Salon «Health Care Expo International», s’est tenue, du 17 au 19 novembre 2022, à l’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger (ESHRA). S’étendant sur une superficie de 2150 m2.

    Pour sa première sortie, «Health Care Expo International» a rassemblé 65 exposants dont une cinquantaine sont des importateurs d’équipement médical, représentant plus de 200 firmes. Les autres participants sont des producteurs locaux, auxquels il faudrait ajouter les startups, à leur tête eSiha qui est la première plateforme numérique dans ce domaine de la santé. Sans omettre la présence des sociétés savantes, chacune dans sa spécialité.

    Professionnels de la santé, étudiants en médecine et autres citoyens étaient nombreux à s’y rendre, durant les trois jours de l’organisation de cette manifestation. Il est clair que les échanges entre les exposants et les visiteurs ont tourné autour des opportunités de partenariat, achat et vente d’équipements, découverte de nouveaux produits et nouvelles offres mais il y a aussi le volet scientifique auquel le gérant de SK Event accorde une grande importance.

    Mohamed Ziad, c’est de lui qu’il s’agit, insiste sur le fait que le «Health Care Expo International» est un mix entre l’activité commerciale et le volet scientifique : «certains viennent pour des échanges commerciaux mais d’autres pour «se former, s’informer, découvrir de nouveaux professeurs». Raison pour laquelle, ce premier Salon «Health Care Expo International» s’est employé à organiser également 35 conférences, ainsi que 15 ateliers et 5 symposiums traitant de thèmes scientifiques variés qui sont d’actualité.

    Le gérant de SK Event n’est pas à sa première expérience dans l’évènementiel : «J’ai déjà fait cela durant neuf ans mais pour le compte d’une autre société. J’étais chef de projet. Là, je travaille pour ma première société». Fort de son expérience passée, et encouragé par la grande affluence à ce premier Salon «Health Care Expo International», le fondateur de SK Event compte poursuivre dans la même activité, relancer de nouvelles éditions les prochaines années et initier d’autres salons mais seulement dans le domaine médical.

    Pour Mme Fadila Belguesmia, manager de l’entreprise Saga, le «Health Care Expo International» est une occasion de faire découvrir aux professionnels et aux gérants des établissements de santé publics et privé, ses solutions papier pour l’imagerie médicale. De notre interlocutrice, nous apprenons que «cette impression remplace le film d’avant. Déjà que ce dernier est toxique et les planches coûtent cher… Nous avons des solutions japonaises en termes d’équipement, avec des passerelles développées par des ingénieurs algériens. Nous avons réduit les coûts de ces clichés d’imagerie médicale».

    De même, Chahinaz, la jeune représentante de la startup eSeha, affirme que la présence au salon de son équipe a pour but d’intéresser de nouveaux clients. A l’occasion, avons-nous appris, eSeha vient de lancer la même plateforme en Tunisie et au Maroc. Des projets sont en cours pour son lancement dans d’autres pays.

    Quant à Mme Ouahiba Chabouni, représentante d’Oxymed qui est une entreprise spécialisée dans la fabrication et l’installation des équipements pour fluides médicaux, ainsi que la production de la gaine tête de lit et différents accessoires médicaux, l’organisation d’un salon spécialisé dans les équipements médicaux est une excellente chose : «Ces derniers temps, et ça remonte à bien avant la pandémie de la Covid-19, il y a de moins en moins de salons. Ça a beaucoup diminué. Nous ne pouvons donc que répondre présent à la manifestation d’aujourd’hui».

    Karima Mokrani

  • AstraZeneca et ses partenaires lancent l’initiative « Accelerating Change Together for Cancer Care in Africa »

    AstraZeneca et ses partenaires lancent l’initiative « Accelerating Change Together for Cancer Care in Africa »

    AstraZeneca a lancé ce 9 novembre 2022, avec ses partenaires, une initiative qui a pour but de transformer les effets du cancer sur les patients atteints en Algérie.

    Le programme ‘Accelerating Change Together; Cancer Care in Africa’ (ACT;CCA) offre une plateforme aux partenaires pour co-créer les solutions nécessaires pour combler les lacunes dans le parcours de soin des patients, à partir du diagnostic jusqu’au traitement, et au-delà.

    Durant l’évènement, des experts cliniques, des spécialistes dans le secteur des soins de santé, des défenseurs des droits des patients et des représentants du secteur privé, ont discuté l’aménagement du cancer en Algérie, et ont réitéré leur engagement à faciliter un accès équitable aux soins contre le cancer pour tous les Algériens.

    Le cancer est la cause principale de décès en Algérie, avec 61,000 nouveau cas prévus en 2025. Avec une incidence de 11,1 nouveaux cas pour 100 000 hommes, le cancer de la prostate est l’un des cancers les plus répandus chez les hommes, ce qui incite à agir pour les encourager à poursuivre un dépistage et un traitement précoces.[1]

    «Permettre un accès équitable aux traitements contre le cancer est essentiel pour adresser la propagation croissante de cette maladie en Algérie et dans toute la région africaine. Notre ambition est de collaborer avec des partenaires locaux pour encourager les investissements à long terme qui rapprochent les patients des prestataires de soins et améliorent les effets du cancer sur les personnes atteintes. Nous invitons à une action conjointe pour surmonter les obstacles qui dissuadent les patients de se faire diagnostiquer et traiter, et, avec le temps, éliminer le cancer comme cause principale de décès», a déclaré Rami Scandar, président sur la région Proche-Orient et Maghreb, AstraZeneca.

    Le programme ACT;CCA en Algérie, qui est exécuté sous la directive régionale de ACT;CCA, se concentre sur la lutte contre le cancer de la prostate à travers le renforcement des capacités du secteur, l’encouragement du dépistage et du diagnostic précoces, et l’autonomisation des patients. Le programme soutiendra également les associations de patients en mettant à leur disposition des caravanes de diagnostic ambulantes qui vont circuler dans les communautés difficiles à atteindre dans les régions du sud du pays.

    Le chapitre régional de l’initiative mondiale Accelerating Change Together (ACT) for Cancer Care, est une initiative dirigée par AstraZeneca pour révolutionner la façon dont le cancer est diagnostiqué et traité afin d’améliorer les résultats des soins du cancer parmi les patients.

    Au cours des trois prochaines années, ACT;CCA visera à couvrir le dépistage et le diagnostic d’un million de personnes atteintes de tous les types de cancer et à former plus de 10 000 professionnels dans 100 centres d’oncologie à travers l’Afrique.

    Ce comité est responsable d’orienter l’intervention politique, de partager les expériences, au-delà des frontières et placer les patients atteints de cancer au centre de tous ces efforts. Les membres se réuniront régulièrement pour faire avancer les projets et les initiatives de lutte contre le cancer.

    Dr Kamel Ait El Hadj, président de l’Association Algérienne d’Urologie, a souligné l’importance de la collaboration pour améliorer les résultats des soins du cancer pour les patients. «Cette collaboration crée non seulement un pont entre les praticiens privés et les spécialistes de la santé publique, mais fournit également un programme structuré autour de la détection, du diagnostic et du traitement du cancer. ACT;CCA nous donne également la possibilité de lutter contre le cancer en Algérie en mettant en œuvre de solides programmes de soutien et de sensibilisation, transformant ainsi les résultats des soins du cancer pour les patients».

    Professeur Asma Kerboua, Chef de Service, Unité Homme, Oncologie Médicale, au Centre Pierre et Marie Curie a accentué l’importance d’un diagnostic précoce. «La détection précoce est essentielle dans la lutte contre le cancer de la prostate. En mettant les tests d’antigène prostatique à la disposition a tout le monde à travers le pays et en particulier dans les régions lointaines, nous pouvons améliorer nos programmes de soins contre le cancer et combler les lacunes dans le parcours de soins des patients atteints de cancer. Nous sommes impatients de travailler ensemble pour sensibiliser, former et encourager le dépistage parmi tous les résidents algériens».

    On estime que 2,1 millions de nouveaux cas de cancer et 1,4 million de décès sont prévus chaque année, d’ici 2040, à travers le continent.[1] Les cancers du sein et de la prostate sont parmi les trois types de cancer les plus répandus.[2]

    Les partenaires d’ACT;CCA en Algérie incluent SAFRO (La Société Algérienne de Formation et de Recherche en Oncologie), SAOM (La Société Algérienne d’Oncologie Médicale), AAU (l’Association Algérienne des Urologues), et Association Algériennes El-Amel.

    [1] Frontiers in Public Health. Mapping Cancer in Africa: A Comprehensive and Comparable Characterization of 34 Cancer Types Using Estimates From GLOBOCAN 2020. Available at https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fpubh.2022.839835/full.

    Last accessed October 2022. [1] https://cdn.who.int/media/docs/default-source/ncds/ncd-surveillance/cancer-profiles-2020/afro-cancer-profile-2020.pdf?sfvrsn=6ffb4be4_3


  • Imlab 2022 : présentation des dernières innovations en imagerie médicale

    Imlab 2022 : présentation des dernières innovations en imagerie médicale

    Le premier Salon en Algérie, spécialisé dans les progrès de laboratoire et d’imagerie médicale (Imlab) ouvre grandes ses portes aux professionnels du domaine, au Palais des expositions, Pins maritimes à Alger.

    L’inauguration officielle de l’Imlab a eu lieu ce mercredi 26 octobre. L’évènement est parrainé par le ministère de l’Industrie pharmaceutique, réitérant son encouragement des initiatives allant dans le sens du développement de toutes les industries de la santé.

    Jusqu’au 29 octobre prochain, des exposants représentant des produits et des services algériens mais aussi des firmes internationales sont sur les lieux pour la présentation des nouveaux équipements de laboratoire et d’imagerie médicale, ainsi que les progrès dans les industries du diagnostic.

    Quelques 43% des produits et services exposés à l’Imlab sont algériens, 30% sont  de pays asiatiques (Chine, Corée du Sud, Japon, Inde et Taïwan), 24% sont d’origine européenne (Allemagne, Italie, France, Belgique…), et seulement 3% provenant des USA.

    Des conférences thématiques sont au programme, entre autres, l’intervention sur l’imagerie médicale, rôle de l’imagerie dans la radiothérapie, les tests de diagnostic rapide pour les infections virales, les urgences en échographie, l’apport de la biologie moléculaire dans le diagnostic des pathologies humaines, progrès en microbiologie et d’autres encore.

    Egalement au menu, des ateliers en hématologie, en échographie, contrôle qualité du groupage…etc.

    C’est un rendez-vous de grande importance à plus d’un titre car il permet de réunir les spécialistes dans un même espace pour un échange fructueux sur les nouveautés et les innovations dans les deux industries de laboratoire et d’imagerie médicale.

    L’occasion de découvrir de nouveaux équipements pour une utilisation proche dans les différents établissements de santé, publics et privé, et rassurer par la même les patients sur une meilleure prise en charge médicale.

    A ne pas manquer de considérer les nombreuses opportunités de création d’entreprises et d’emplois qu’offre ce créneau : compétences techniques pour les installations et la maintenance, opérateurs d’imagerie et des laborantins et différents corps de métiers sont appelés à apporter leur part de contribution à la réussite de ce domaine multiple.

    Satisfaits de la présence des producteurs nationaux à cette première édition du Salon Imlab, les organisateurs de ce salon et du prestigieux Simem affirment leur conviction que des équipements de laboratoires et des produits d’imagerie médicale, de haute performance, ne tarderont pas à être produits en Algérie par des algériens eux-mêmes.

    Sonia Miloud.

  • Importation des produits pharmaceutiques pour 2022 : Dépôt des dossiers avant le 17 octobre

    Importation des produits pharmaceutiques pour 2022 : Dépôt des dossiers avant le 17 octobre

    Dans une note adressée aux opérateurs , le ministère de l’Industrie pharmaceutique a informé que le début de l’opération de dépôt des programmes prévisionnels d’importations des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux au titre de l’année 2022 se fera à partir du 17 août jusqu’au 17 octobre 2021.

    « Il est porté à la connaissance des opérateurs pharmaceutiques que le dépôt des programmes prévisionnels d’importations des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, au titre de l’année 2022, se fera à partir du 17 août jusqu’au 17 octobre 2021 », est-il indiqué dans cette note publiée sur la page Facebook officielle du ministère.

    La même source informe que les programmes prévisionnels d’importations des produits et des dispositifs médicaux doivent être déposés en ligne sur la plateforme mise en place à cet effet par les services du ministère de l’industrie pharmaceutique. 

    Ainsi, le ministère a invité les pharmaciens directeurs techniques ou leurs représentants de déposer les originaux des documents de dossiers de demande des programmes d’importation et des dispositifs médicaux auprès des services de la Direction des activités pharmaceutiques et de la régulation.

    « Ces programmes doivent être élaborés selon les canevas préétablis par les services du ministère conformément aux dispositions de l’arrêté du 14 février 2021 fixant le cahier des conditions techniques à l’importation des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux à usage de la médecine humaine publié en date du 2 mars 2021 », détaille la note.

    N.B

  • Une décision interministérielle alerte sur la consommation excessive de 20 médicaments

    Une décision interministérielle alerte sur la consommation excessive de 20 médicaments

    Une décision ministérielle conjointe publiée dans le dernier numéro du Journal officiel 61, du 11 Aout courant a approuvé l’interdiction de la consommation excessive de plus de 20 médicaments, dont certains sont mal consommés par certains citoyens et qui sont vendus en pharmacie sans ordonnance.

    Cette décision a fixé une liste des médicaments et de substances ayant des propriétés classées comme substances psychotropes dont il a été prouvé médicalement qu’elles sont dangereuses pour leur surconsommation, leur addiction et leur mésusage.


    Cette liste de médicaments concerne la « Buprénorphine » (solution en seringue 0,3 gramme/ml) et « Tramadol » sous forme de chlorhydrate exprimé avec « Tramadol » comprimés de 50 mg, suppositoire de 100 mg, comprimés enrobés à libération prolongée de 100 mg, ainsi que qu’une solution pour injection intraveineuse/ perfusion intraveineuse de 50 mg/1 ml. En plus du « Paracétamol » chlorhydrate de Tramadol, qu’il s’agisse de comprimés enrobés, de comprimés sécables ou de comprimés (325. 300 mg/37,5 mg).

    La liste des médicaments recensés comprend également le Clonazépam, sous forme de comprimés, de quadruples comprimés sécables (2 mg et solution de sirop à 2,5 mg/ml).  Et de comprimés de « Prégabaline » à 25 mg, 50 mg, 75 mg, 100 mg, 150 mg, 300 mg. Et « Trihexyphénidyle » sous forme gélules et comprimés de 2 mg et 5 mg.

    Ainsi que « Clorazépate dipotassique », sous forme lyophilisée injectable de 20 mg/2 mg et de 50 mg/2,5 ml.   En plus de « Midazolam » pour injection et solution rectale de 1 mg /1ml et  de 5 mg/ 5 ml et 10 mg comprimés pelliculés. Et enfin « Zolpidem », sous forme de comprimés de 10 mg.

    Cette décision précise que les dispositions s’appliquent à toutes les spécialités pharmaceutiques enregistrées qui sont conformes aux dénominations internationales communes et aux formes et quantités contenues dans cette liste conformément à la décision rendue pour le délit officiel, qui a indiqué la possibilité de compléter ou de modifier cette liste chaque fois que nécessaire dans les mêmes formes.

    Pour rappel, cette décision a été signée par le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, et le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Lotfi Ben Bahmed, le 11 août 2021.

    Nacima Benarab

  • Biopharm importe des concentrateurs d’oxygène 10 litres

    Biopharm importe des concentrateurs d’oxygène 10 litres

    Le groupe pharmaceutique Biopharm va importer 2000 concentrateurs d’oxygène de 10 litres. 500 concentrateurs seront disponibles dans les heures à venir et le reste de la livraison sera finalisée à échéance d’une dizaine de jours.

    Dans un communiqué rendu public, ce dimanche 1er août, Biopharm précise que c’est une sollicitation du ministère de l’Industrie pharmaceutique : « Dans un contexte marqué par la persistance de la pandémie Covid-19 et pour faire face à la recrudescence des contaminations, Biopharm a été sollicité par le ministère de l’Industrie pharmaceutique pour importer, pour la première fois, des concentrateurs d’oxygène de 10 litres destinés à un traitement ambulatoire».

    Les nouveaux équipements seront disponibles dans les pharmacies à raison de 115 000 DA l’unité. Le groupe pharmaceutique assure qu’il ne procèdera à aucun prélèvement de marge commerciale et seule une marge couvrant les frais du pharmacien a été fixée : «Eu égard au caractère humanitaire de l’opération, Biopharm ne prélèvera aucune marge commerciale sur ces équipements qui seront distribués à des prix homologués sur l’ensemble du territoire national, à travers le réseau des pharmacies d’officine.

    Une marge couvrant uniquement les charges du pharmacien a été fixée, en coordination avec le SNAPO (Syndicat national des pharmaciens d’officine). Pour cette première opération, le prix de vente aux particuliers est ainsi fixée à 115 000 DA».

    K. M.

  • Merck renforce son engagement auprès des experts en fertilité

    Merck renforce son engagement auprès des experts en fertilité

    Merck, acteur majeur dans le domaine des sciences et des technologies, a organisé la 1ère édition du « Fertility Day » sous un format exclusivement virtuel.

    Plus de 100 experts algériens en fertilité, entre gynécologues, biologistes et spécialistes en Procréation Médicalement Assistée, se sont connectés à cet événement autour du thème « Prise en charge des troubles de la fertilité entre nouveautés et challenges ».

    A travers ce format digital, Merck s’est donnée pour ambition de connecter les experts en fertilité du pays afin de permettre au plus grand nombre de spécialistes de s’imprégner des actualités dans la Procréation Médicalement Assistée et d’interagir avec les conférenciers.

    « En tant que pionnier dans le domaine de la fertilité depuis plus de 60 ans, Merck consolide son engagement auprès des professionnels de la santé pour garantir le meilleur accompagnement possible des patients. Le « Fertility Day » s’inscrit dans le cadre de notre engagement pour la formation médicale continue qui constitue l’un des piliers stratégiques de notre activité » a déclaré le Dr. Moncef Meklati, Directeur Général de Merck pour l’Afrique du Nord.

    Cet événement interactif a constitué une véritable opportunité d’échange scientifique entre des conférenciers d’envergure mondiale et les spécialistes de la fertilité en Algérie et a été une occasion pour croiser les points de vue, renforcer les compétences et mettre en place de nouvelles pratiques.

    « On estime que 20% des couples qui consultent en gynécologie, viennent pour des troubles de la fertilité. Ces données soulignent l’importance des rencontres scientifiques tel que « Fertlity Day » qui est une occasion parfaite d’échanger avec la communauté scientifique et d’offrir aux médecins algériens les outils nécessaires pour une meilleure prise en charge des troubles de la fertilité dans notre pays. » a affirmé Dr Amina Oumeziane, gynécologue, directrice de centre de Procréation Médicalement Assistée à Alger et fondatrice de la Société Algérienne de la Médecine de la Reproduction (SAMERE).

    A propos de Merck

    Merck, acteur majeur dans le domaine des sciences et technologies, exerce ses activités dans les domaines de la santé, des sciences de la Vie et des matériaux de haute performance. Environ 58 000 collaborateurs œuvrent chaque jour pour améliorer la vie et le quotidien de millions de personnes dans le monde.

    Du développement de technologies en matière d’édition du génome à la découverte de moyens uniques de traiter les pathologies les plus complexes, en passant par le déploiement de dispositifs connectés -l’entreprise est partout. En 2020, Merck a réalisé un chiffre d’affaires de 17,5 milliards d’euros dans 66 pays.

    La curiosité et l’entreprenariat responsable sont au cœur des avancées technologiques et scientifiques de Merck. C’est ainsi que Merck s’est développé depuis sa création en 1668.

    La famille fondatrice reste l’actionnaire majoritaire de la société mère allemande, cotée en bourse. Merck détient les droits mondiaux sur le nom et la marque de Merck. Les seules exceptions sont les États-Unis et le Canada, où la société opère comme EMD Serono, EMD Millipore et EMD Electronics.

  • Le Simem réunit à nouveau les professionnels de la santé au CC Oran

    Le Simem réunit à nouveau les professionnels de la santé au CC Oran

    Inauguré hier, en fin d’après-midi, par le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, le Salon international du mobilier hospitalier et de l’équipement médical (SIMEM), a entamé, ce jeudi 08 avril,  sa deuxième journée avec une belle affluence,  au grand bonheur des exposants qui reprennent le contact direct avec leurs clients ou des clients potentiels. Le tout dans un strict respect du protocole sanitaire mis en place par le Centre des Conventions d’Oran, où se déroule le Simem 2021.

    Les visiteurs que nous avons approchés, ou qui se sont arrêtés à notre stand-Dzentreprise étant partenaire média de ce salon- avouent retrouver avec beaucoup de bonheur cette manifestation professionnelle à laquelle ils ont été habitués. « Il y a une différence entre recevoir une offre de services, une fiche technique et même un délégué médical pour vanter tel ou tel outil et le découvrir directement  le toucher, l’essayer, tout en posant toutes les questions qui s’imposent… » Fait remarquer un médecin venu de Tlemcen.

    Un avis que partage ce chirurgien d’une clinique privée, venu prospecter des instruments pour l’otologie et autres attelles, que propose un exposant dans le stand qui nous fait face.

    « Il est agréable de se retrouver, après une année incertaine marquée la pandémie, ses conséquences et ses impacts sur la santé physique et psychologique, sur l’économie, l’emploi et les entreprises ». Confie ce producteur de collecteurs de déchets d’activités de soins à risque infectieux, basé à Khemis Miliana.

    Pour cet autre représentant d’une firme étrangère, un fidèle du Simem, le fait que la Salon ai pu se tenir est déjà une « belle » chose. «  Nous craignons de voir cette édition annulée, comme ce fut le cas l’an dernier pour les raisons que vous connaissiez, seul regret c’est que les responsables étrangers de la firme que je représente ne puissent pas être là. »

    Pour rappel, le Simem, qui se tient j’jusqu’au samedi 10 avril en est à sa 23 édition, il regroupe près d’une centaine d’exposants qui représentent 382 firmes de 38 pays.

    Lieu de partage par excellence, le Simem c’est aussi des conférences données par des médecins et des professeurs, de découvertes de nouveautés en matière d’imagerie médicale, d’équipements  et produits de la laboratoires, d’innovations.

    L’après-midi-de demain vendredi  09 avril  et la matinée du Samedi 10 avril, dernier jour du Salon, seront dispensées des formations, en atelier, en échographie générale et pédiatrique. Formation dispensée par une école de formation médicale continue présente à ce Salon.

    La nouveauté pour cette édition,  le Simem est un salon hybride, en plus de se dérouler en présentiel, il se tient également en version virtuelle, la plate-forme développé par la start-up e Tabib, permet d’interagir à distance avec les exposants.

    S.A