Catégorie : Est

  • Cci Saf-Saf Skikda-Cciaf : Les contrats de travail en débat ce jeudi

    Cci Saf-Saf Skikda-Cciaf : Les contrats de travail en débat ce jeudi

    La Chambre de commerce et d’industrie (Cci) Saf-Saf Skikda et la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française (Cciaf) de la région d’Annaba organisent une Journée nationale sur «Les contrats de travail et les clauses atypiques », animée par l’expert consultant en gestion du personnel, Abdelhak Zaim, jeudi 22 février à Skikda.

    Fidèle à ses missions promotionnelle, informative et de vulgarisation, notamment dans le domaine économique, la Cci Saf-Saf Skikda se joint cette fois-ci à la Cciaf, pour informer les opérateurs économiques, publics et privés, conviés, sur les modalités d’établissement des contrats de travail selon la réglementation en vigueur. L’objectif étant, comme expliqué par Mourad Lemchemaa, directeur Cci Saf-Saf Skikda, est de protéger les employeurs des poursuites qu’ils peuvent subir, que ce soit de l’Inspection du travail ou de la Justice, et des situations litigieuses induites d’une mauvaise rédaction d’un contrat de travail.

    Zoheir Zaid

  • Skikda/Azzaba : le secteur privé recrute

    Skikda/Azzaba : le secteur privé recrute

    Dans la commune de Azzaba, wilaya de Skikda, le secteur économique privé national a eu la part du lion en matière d’offres d’emplois, 1000 offres contre 635 pour le secteur public et 212 pour le secteur privé étranger. Quant aux placements, ils sont de l’ordre de 1803 placements dans le cadre du dispositif classique, soit 90% de l’offre formulée, ce qui est en hausse par rapport à l’exercice 2016.

    C’est ce qui ressort du bilan des activités 2017 de l’Agence locale de main d’œuvre (Alem) de Azzaba, une des grandes daïras de Skikda, distante du chef-lieu de wilaya de près de 44 kms.

    Ceci, toutefois, demeure minime par rapport aux demandes d’emploi de 2017, certes en hausse, estimées à 10943 (7868 émanant de garçons et 2075 de filles) contre 10083 en 2016. La part en demande est issue notamment de 1424 sortants de la formation professionnelle dont 1027 formulées par des garçons et de 3525 diplômes de l’université dont de 1491 garçons.

    Le bassin de l’emploi dans cette circonscription est représenté par 250 entreprises, dont 217 privées nationales, 30 publiques et 3 privées étrangères. La hausse indiquée en matière de placements a été principalement due au recrutement par la Société nationale de Génie civile et Bâtiment (Gcb), détentrice de marché de réalisation de stations multiservices sur l’Autoroute Est-Ouest, ainsi que celui réalisé par Trans Canal et du Groupe Chiali, auxquels ont été confiés des projets d’hydraulique. Le bilan fait ressortir également que l’emploi saisonnier assuré par les industries de transformation de tomate, notamment Amor Benamor, Izdihar et Boulekraine, implantées dans la région de Ben Azzouz, a réduit les propensions au chômage dans la région.Ceci en ce qui concerne l’apport du privé national.

    Quant au privé étranger, c’est CMC Di Ravenna l’italienne qui a contribué à la création d’emplois.

    Le secteur public, quant à lui, demeure un piètre pourvoyeur d’emplois. La raison serait due au fait que ses entreprises sont versées dans les services. Nous  citons dans ce cadre, Algérie Poste, Algérie Télécom,  Mobilis, les Banques et les Assurances. En revanche, 2 sociétés se distinguent, il s’agit de la Société des ciments de Hadjar-Soud (Schs) et l’Entreprise nationale des emballages métalliques (Epe/Emb), productives et recruteuses selon les besoins. Par secteur d’activité, c’est le BTPH qui se taille la part du lion avec 36% des placements, suivis des services avec 28% et l’industrie avec 25%. Comme de coutume, l’agroalimentaire demeure le parent pauvre en matière de pourvoi de postes d’emplois, avec  11% du taux global.

    En matière d’insertion permanente, 116 bénéficiaires d’emplois ont été titularisés, dont 64% sont des diplômés universitaires et 36% issus des centres de formation professionnelle.

    A titre d’information également, l’Alem de Azzaba couvre 8 communes, dont 5 dépendent de la Daira de Azzaba, à savoir Azzaba, Sebt, Ain Charchar, Djendel-Mohammed Saadi et Laghdir. Quant aux 3 autres sont sous la coupe administrative de la Daira de Ben Azzouz. Il s’agit de Ben Azzouz, Bekkouche Lakhdar et La Marsa.
    Zoheir Zaid

  • Skikda : Journée d’information sur les produits monétiques de la BDL

    Skikda : Journée d’information sur les produits monétiques de la BDL

    115 contrats d’installation de terminaux de paiement électroniques (TPE) seront conclus, ce 31 janvier et demain 1 février , entre pôle commercial de la Banque de développement local (BDL)  de Skikda et divers partenaires, entre particuliers et organismes publics et privés.

    L’information a été communiquée lors de la Journée d’information sur les produits monétiques de la BDL, que cette dernière a organisé  en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie (Cci) Saf-Saf Skikda, ce 31 janvier  à la Maison de la Culture Mohammed-Serradj de Skikda. « 29 contrats ont été signés aujourd’hui au niveau de la compétence territoriale de l’Agence BDL Skikda, alors que 54 à Azzaba et 32 à El-Harrouch, le seront demain 1er février. » A indiqué Fahim Chaoui, Coordinateur régional Annaba de la BDL. Le premier contrat signé s’est fait en live, par Hocine Bouzeraa, commerçant basé à Skikda.

    Ce nombre vient s’ajouter aux 400 TPE en voie de livraison au profit de la wilaya de Skikda, ce qui renforcera la BDL dans sa place de leader à l’échelle nationale en matière de couverture en TPE.

    Par ailleurs, selon toujours notre source, 192 terminaux de paiement électronique (TPE) ont déjà été installés sur le territoire de la wilaya de Skikda, depuis novembre 2016. Ils sont répartis de la manière suivante : 96 au niveau des daïras et communes relevant de l’Agence de Skikda (dont 8 au niveau de la Casnos), 76 et 20 respectivement au niveau de celles d’Azzaba et d’El Harrouch.

    Plus de 4000 TPE à l’échelle nationale

    Pour sa part, Nawel Taleb, directrice centrale à la direction du développement des paiements électroniques (DDPE) au niveau de la BDL, a souligné que Skikda est l’une des haltes de la caravane de sensibilisation sur l’usage des TPE ayant ciblé Ghardaia, Oran, Constantine et se poursuivra à Mostaganem et autres wilayas du pays.

    La directrice centrale a rappelé que « la BDL a introduit l’utilisation de cette technologie bien avant qu’elle soit officiellement institutionnalisée par la loi de Finances 2018 », avant de préciser  que « 186 agents commerciaux ont été mobilisés par la BDL pour l’installation de plus de 4000 TPE à travers le territoire national.».

    En direction des différents représentants des organismes patronaux présents dans la salle, notamment le Forum des chefs d’entreprises (Fce), la Confédération algérienne du Patronat (Cap), l’Union des pharmaciens de Skikda (UPS), Nawel Taleb a assuré que la livraison de l’équipement TPE  et de son papier se fera gratuitement.  Nabil Sami, le Directeur régional Skikda, a affirmé que « la maintenance dans le cadre du service après-vente (SAV) est dévolue à des agents technico-commerciaux, qui interviendront  chacun dans son domaine de compétence.»

    Zoheir Zaid

  • Cilas Biskra  entrera en production de ciment dès août prochain

    Cilas Biskra entrera en production de ciment dès août prochain

    Annoncée pour fin 2015, la nouvelle usine de ciment Cilas de Biskra  d’une capacité de production de 2.7 millions de tonnes /an, devrait entrer en production dès le mois d’aout prochain.

    Cette unité de production de ciment dont les travaux ont été réalisés  par le chinois Sinoma,  est le fruit d’une joint-venture (49/51) entre le cimentier français Lafarge et le groupe industriel algérien Souakri. Les contrats ont été signés  en 2013.

    Cilas Biskra devrait créer quelques 640 emplois directs et 1200 emplois indirects.

    Dans cette perspective et pour faire face au manque de la main d’œuvre qualifiée qui souvent fait défaut, une convention de partenariat a  été signée entre la direction de la formation professionnelle, la direction de l’emploi et Cilas pour la formation de jeunes des communes proches de l’usine dans toutes les spécialités relatives à l’industrie du ciment.

    Pour rappel, le concept  de cette usine compacte est, selon ses propriétaires  basé sur les technologies les plus innovantes -broyage séparé, silo à 5 compartiments- ce qui devrait engendrer  une diminution de «  20% de la consommation de gaz et de 35% de consommation électrique grâce à l’utilisation de broyeurs verticaux. L’utilisation des filtres à manches pour la réduction des émissions de poussière, et le recyclage des eaux usées » sont voulus  pour réduire l’impact sur l’environnement.

    Le montant  l’investissement est de 35 milliards de dinars, dont 24 par prêt bancaire. Pour rappel 8 banques privées ont participé au financement.

    S.A.

  • Ouverture d’un hôpital vétérinaire à Batna

    Ouverture d’un hôpital vétérinaire à Batna

    Un hôpital vétérinaire, premier du genre à l’échelle nationale,  équipé de tous les moyens nécessaires de consultation, d’analyse et de chirurgie médicale a été inauguré mercredi à l’Institut des sciences vétérinaires et agronomiques de l’université Batna1.

    Cette infrastructure devra prendre en charge, à titre gracieux, les animaux des particuliers et des éleveurs « avec la possibilité d’admission pour les cas critiques », a indiqué le directeur de cet Institut, le Dr Mohamed Melizi.

    Financé par l’université, cet hôpital comprend trois services, de consultation préliminaire, de radiologie et de chirurgie en plus « de laboratoires d’analyses sanguines, microbiologiques et de champignon », a-t-on précisé de même source.

    Cette structure est également dotée de quatre (04) salles composées de (box de divers volumes) pour les animaux, a-t-on encore précisé de même source.

    Les citoyens et les éleveurs en possession d’animaux malades ont été invités à se rapprocher de cette structure, ajoute-t-on de même source.

    Ce nouvel hôpital vétérinaire permettra également ‘‘un meilleur encadrement des étudiants vétérinaire et contribuera ainsi à la consolidation et le perfectionnement de leurs formations pratiques et de terrain’’, a considéré M. Melizi.

    L’Institut des sciences vétérinaires et agronomiques de Batna avait été doté en 2015, conformément à une convention signée avec l’université Arizona (Etats-Unis), d’un laboratoire d’étude des cycles d’évolution d’arbres (recherches forestières), unique du genre en Algérie et en Afrique du nord, a-t-on rappelé.

    Un dossier pour la reconversion de cet Institut, inauguré en 1980, en une Ecole nationale des sciences vétérinaires et agronomiques, à partir de la prochaine rentrée universitaire a été déposé auprès des services concernés du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a annoncé le Dr Melizi.

  • Les entrepreneurs du secteur du bâtiment protestent à Tébessa

    Les entrepreneurs du secteur du bâtiment protestent à Tébessa

    Plus d’une centaine d’entrepreneurs du secteur du bâtiment étaient au rendez vous devant le siège de la Direction Générale de l’OPGI de Tébessa pour protester contre le retard de régularisation de leurs situations financières, notamment celles relatives aux travaux supplémentaires visés par avenant. Ils pointent du doigt la direction de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Tébessa, qui est derrière, non seulement la lenteur de déblocage des ces situations financières qui datent de plusieurs mois, mais aussi par des agissements de son directeur selon le journal El Watan.

    «J’ai déposé ma situation des travaux supplémentaires depuis septembre 2015 auprès du service concerné à l’OPGI, jusqu’à présent elle n’est pas régularisée. J’ai essayé de voir le directeur mais en vain», s’est indigné Bachir H., un entrepreneur. Ces protestataires, qui ne semblent pas décolérer, ont organisé un sit-in durant plusieurs heures devant le siège de la direction de l’OPGI, brandissant à son entrée une banderole portant les inscriptions : «Non à la bureaucratie», ou encore «Nous demandons l’intervention du wali avant que la situation ne dégénère».

    Cette action se voulait également une occasion pour la majorité de ses partenaires de soulever certaines difficultés ayant trait à la réévaluation et la révision des prix, surtout avec la hausse des prix qu’ont connue le ciment et d’autres matériaux de construction. Pour sa part, le président de la Confédération générale du patronat de Tébessa du secteur du BTPH, Bayaza Salah, a fait savoir que cette action  intervient après que toutes les portes ont été fermées devant ces entrepreneurs. Il a ajouté qu’un tel blocage ne faisait que compliquer les tâches de l’entreprise. Nous avons tenté de contacter le directeur de l’institution pour plus de détails, mais en vain. Une rencontre devait avoir lieu dans l’après-midi d’hier avec la direction de l’OPGI et les représentants de ces opérateurs économiques pour trouver un consensus.

     

  • Constantine : Industrie mécanique et pharmaceutique.

    [dropcap]L[/dropcap]ongtemps considérée comme leader national dans l’industrie mécanique, Constantine ne compte pas rester en si bon chemin et se prépare à devenir aussi «un grand pôle pharmaceutique», qui permettra à l’Algérie «de substituer le médicament national au produit d’importation», affirme le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, lors de la visite qu’il a effectuée dans cette wilaya.

    Plusieurs visites à des unités industrielles pharmaceutiques et mécaniques prouvent que Constantine mérite pleinement sa réputation de «coeur battant de l’industrie mécanique».

    En effet, avec des prévisions de fabrication, à l’horizon 2018, de quelque 8000 tracteurs de marque Massey Fergusson, en plus du projet de fabrication de 25 000 moteurs de marque Deutz ainsi que les perspectives de développement engagé par l’entreprise nationale German pour la fabrication de chariotsélévateurs et de moyens de manutention et, qui prévoit aussi de se lancer dans la sous-traitance d’ici l’année 2019, il faut reconnaître que l’industrie mécanique se porte bien à Constantine.

  • «Après Alger, nous allons nous installer, en 2013, à Oran et Constantine  »

    «Après Alger, nous allons nous installer, en 2013, à Oran et Constantine  »

    M. Djoudi Choukri, PDG de Mauboussin Algérie.

    DZEntreprise : Vous venez d’ouvrir la première boutique de luxe de marque Mauboussin en Algérie, comment cette affaire a-t-elle été négociée avec la maison de cette joaillerie de luxe ?

    M. Djoudi Choukri : L’idée de faire venir la marque Mauboussin en Algérie répond d’abord à un désir quelque peu subjectif ; celui en relation avec mes loisirs et mes attachements aux marques et aux objets de luxe, dont la joaillerie Mauboussin.
    Je me disais donc pourquoi ne pas rendre cette marque accessible aux Algériennes et aux Algériens, d’autant qu’elle a pu casser les tabous de la joaillerie de luxe depuis la décision de sa démocratisation.
    Le fait que Mauboussin m’accorde l’exclusivité du marché algérien, il est clair qu’il ne peut y avoir qu’un sentiment à la fois de responsabilité et de fierté ; celui de représenter l’image de la marque en Algérie.
    Il faut dire ensuite que les produits de la marque, notamment les produits entrée de gamme et accessoires (montres, lunettes, parfums, stylos…), sont très accessibles aux consommateurs algériens. En un mot, nous avons voulu leur donner du luxe à des prix très accessibles.

    DZEntreprise : Y a-t-il eu étude du marché avant que cette marque soit proposée aux Algériens ? Et quelle était la tendance depuis l’ouverture de votre première boutique à Alger ?

    M. Djoudi Choukri : Effectivement, il y a eu une étude de marché qui a été faite. Laquelle étude a démontré que les tendances ont évolué chez les Algériennes et les Algériens tant l’exigence s’est imposée comme référence.
    C’est ainsi que nous avons réfléchi à offrir la panoplie de produits Mauboussin à la femme et à l’homme algériens. D’ailleurs, nous avons 85% des produits exposés au niveau de notre première boutique de Sidi Yahia (Alger), qui est pour précision de 160 m2.
    La valeur ajoutée est incontestable ; œuvres parfaitement raffinées, accessibles, soigneusement conçues. Vous avez ensuite le meilleur rapport qualité/prix.
    Mauboussin est spécialisé surtout dans les bagues de fiançailles.
    Depuis l’ouverture de la boutique, la tendance vire surtout vers la satisfaction tant sur le prix que sur la gamme proposée. Ce sont des prix établis pour le marché mondial.
    C’est-à-dire que nous avons des pays uniformes.
    Nous avons été calqués en quelque sorte sur ce qui est appliqué sur le marché mondial.

    DZEntreprise : Comment le développent de la marque en Algérie a-t-il été négocié avec la maison mère ?

    M. Djoudi Choukri : Nous avons effectué nos premières démarches avec le directeur commercial Jean-Luc Montet.
    Nous lui avons présenté un business plan à moyen et à long termes sur le développement de la marque Mauboussin en Algérie. Je pensais qu’il était primordial pour nous d’ouvrir les premiers en Algérie.
    J’ai eu la chance ensuite de rencontrer le président de Mauboussin, Alain Nemarq en l’occurrence, à qui j’ai exposé ma vision sur le moyen et le long terme.
    C’est ainsi que nous avons réalisé notre première boutique en Algérie, une année après la signature du contrat avec la maison Mauboussin, soit en septembre 2011.
    Nous avons été dans le détail prêt dans l’agencement de la boutique. Avant qu’il soit artiste de joaillerie, Mauboussin est surtout un créateur d’émotions.
    C’est pourquoi nous avons voulu que l’agencement de la boutique soit à son image.

    DZEntreprise : Vous venez de dire qu’un plan business et/ou un plan de développement a été présenté aux responsables français de la marque, peut-on en savoir plus ?

    M. Djoudi Choukri : Effectivement, nous avons tracé un plan de développement en Algérie à moyen et à long termes, dont la première phase consiste à ouvrir deux autres magasins en 2013 à Oran et à Constantine.
    Globalement, nous comptons ouvrir à court terme cinq ou six boutiques sur les axes principaux des grandes villes.
    Nous n’excluons pas de ce plan de développement l’autre options d’attribuer des franchises à des bijoutiers désireux représenter notre marque.
    En d’autres termes, nous qui avons la master franchise auprès de la maison Mauboussin, nous devons respecter scrupuleusement la charte Mauboussin qui comprend les conditions de vente de cette marque.
    Nous allons imposer la même charte et les mêmes conditions de travail aux bijoutiers voulant se lancer avec nous dans cette expérience.

    DZEntreprise : Le marché de luxe en Algérie est réputé très limité et très embryonnaire, quel est votre avis ?

    M. Djoudi Choukri : Je pense personnellement qu’il s’agit d’un marché très prometteur.
    Notre objectif est de représenter le mieux la marque Mauboussin et de donner le meilleur service au consommateur algérien avec, comme valeur- ajoutée, un meilleur rapport qualité/prix.

    Propos recueillis par Lynda Touati

  • Constantine : construction de matériels de travaux publics

    Naissance d’une unité Algero-Allemande « Somatel Liebherr  »

    La société algérienne Somatel, filiale de l’Entreprise nationale des matériels des travaux publics (ENMTP) et la société allemande «LIEBHERR
    EMTEC  » spécialisée dans la fabrication d’engins de construction, de machines-outils et d’équipements aéronautiques ont crée une société industrielle commune dénommée « Somatel Liebherr  ».

    « La nouvelle société a été créée dans le cadre de la décision des pouvoirs publics de moderniser, de mettre à niveau et de développer la filière industrielle des matériels des travaux publics.
    Et conformément au protocole d’accord signé entre les deux parties en mars 2011 relatif à la réalisation d’un partenariat industriel et commercial » précise à travers un communiqué de presse l’ENMTP, qui pour rappel relève de la SGP-Equipements industriels et agricoles (Equipag).

    «Somatel Liebherr» produira en première phase sous le label (Liebherr) au niveau du site industriel de Ain Smara (Constantine) un type de pelle sur pneus, deux types de pelle sur chenilles, deux types de chargeurs et deux types de bouteurs, ajoute la même source.

  • Constantine : Production céréalière record

    La wilaya occupe la première place.

    La compagne moisson-battage de la wilaya de Constantine a enregistré cette année un record dans la production céréalière qui a atteint 1.5 million de quintaux engrangé.

    Ces estimations sont livrées à l’APS par le directeur des services agricole DSA Salah Azizi.

    Grace à ce résultat la wilaya de Constantine se positionnera en première place à l’échelle nationale.

    Pour Salah Azizi cette moisson exemplaire s’explique d’une part par les conditions climatiques favorables et la disponibilité des semences et engrais nécessaires, ce qui a, selon lui facilité le travail des producteurs locaux.

    D’autre part l’investissement financier à travers entre autres le crédit R’fig et la baisse des taxes ont selon le DSA contribué à cette réussite.
    Afin de garantir une bonne moisson et collecte des rencontres ont été organisé avant la compagne entre les agriculteurs, représentants de la chambre d’agriculture et l’union de la wilaya pour mettre au point les moyens nécessaire à ces opérations.

    On note aussi l’ouverture de nouveau point de collecte dans la commune d’Ibn Badis équipée de moyens utiles pour augmenter les capacités de stockage.