Catégorie : L’entreprise du jour

  • Finances et assurances : Les écoliers sensibilisés à l’épargne

    Finances et assurances : Les écoliers sensibilisés à l’épargne

    Encourager l’épargne et inculquer la culture de l’assurance chez les enfants. C’est à cet exercice que se sont donnés l’Association des banques et des établissements financiers (ABEF) et l’Union algérienne des assurances et de la réassurance (UAR), lors d’une rencontre organisée au siège de la Bourse d’Alger, dans la cadre de la célébration de la Journée arabe de l’inclusion financière.

    Une trentaine d’élèves, sélectionnés parmi les meilleurs collégiens de l’Académie d’Alger, ont été sensibilisés par les responsables de ces deux organisations qui ont mis l’accent sur l’importance d’éduquer à la culture financière cette génération de demain en leurs expliquant l’importance de l’épargne et des assurances.

    «Ces écoliers sont appelés à devenir demain des cadres de l’Etat, des usagers ou des responsables du secteur financier. C’est pourquoi nous les avons invités ici pour leur expliquer l’importance de l’épargne, de l’assurance et de l’investissement», a expliqué à la presse le directeur général de la Bourse d’Alger, Yazid Belmouhoub, en marge de cette rencontre, affirmant que cette initiative sera élargie à d’autres établissements scolaires et à d’autres wilayas du pays.

    Il a exprimé à ce propos son souhait de voir  l’éducation financière  incluse dans les manuels et les programmes scolaires pour informer et intéresser les générations futures à un secteur en pleine mutation en Algérie, notamment avec l’introduction des nouvelles technologies qui participent à son développement.

    «Nous savons que le digital est en train de progresser dans notre pays, alors nous essayons de les préparer à l’usage des moyens de paiement électronique, etc. », a-t-il encore expliqué, rappelant l’existence d’un comité d’éducation financière auquel participe l’ABEF et la Bourse d’Alger sensibiliser davantage d’élèves.

    Pour sa part, le président de l’UAR et non pas moins PDG de la Société algérienne des assurances (SAA), Youcef Benmicia, a expliqué également que cette initiative s’adresse aux futurs cadres et utilisateurs des différents services financiers.

    « L’éducation financière est un levier d’inclusion financière pour notre pays et nos citoyens qui en bénéficient tous et de manière équitable de services financiers disponibles », a-t-il noté.

    Une action symbolique du Crédit populaire algérien (CPA) sera offerte à chacun des élèves, ainsi qu’un compte épargne de 10 000 dinars, outre une assurance scolaire et une autre d’habitation que l’UAR offre aussi gratuitement à cette occasion.

    Lyès M.

  • Schneider Electric : Madina Gaye Dieng nommée présidente du Cluster Afrique Francophone et Îles

    Schneider Electric : Madina Gaye Dieng nommée présidente du Cluster Afrique Francophone et Îles

    Dans le but de renforcer sa présence sur le marché régional, Schneider Electric a annoncé ce lundi à Alger la nomination de Mme Diaretou Madina Gaye Dieng au poste de présidente du Cluster Afrique Francophone et Îles.

    Dans ses nouvelles fonctions, la nouvelle responsable régionale de la firme internationale aura à diriger «les activités du groupe sur plus d’une soixantaine de pays qui comprennent le Maghreb, l’Afrique de l’Ouest et centrale ainsi que les Îles», a annoncé Schneider Electric dans un communiqué rendu public à cet effet.

    A travers sa mission de diriger «les activités du groupe sur plus d’une soixantaine de pays dont l’Algérie, un marché de premier plan dans la stratégie de Schneider Electric pour la région», Diaretou Madina Gaye Dieng aura à manager la stratégie de la firme sur cette zone géographique qui englobe une large partie du continent africain pour «les marchés finaux que sont les infrastructures, l’industrie, les data centers et les bâtiments», ce qui fait qu’elle aura donc «la responsabilité de déployer les solutions du groupe qui façonnent la durabilité, l’électricité 4.0 et l’automatisation de nouvelle génération», précise la même source.

    Avec cette nouvelle nomination, le leader mondial de la transformation numérique de la gestion de l’énergie et des automatismes vient de choisir pour la région qui englobe l’Afrique francophone et les Îles une «professionnelle rigoureuse et leader inspirante, (possédant) une riche expérience sur les marchés des technologies de l’information et de la communication, (avec) un parcours professionnel de plus de 20 années qui l’a vue occuper des rôles stratégiques et de direction dans le secteur des télécommunications», souligne Schneider Electric.

    A l’issue de la cérémonie de sa nomination, Diaretou Madina Gaye Dieng a exprimé son enthousiasme et sa satisfaction de «rejoindre Schneider Electric dans cette région, à un moment crucial où les nations et les entreprises du monde entier recherchent des partenaires fiables pour leur parcours de numérisation, de durabilité et de décarbonation» et d’aller vers la création d’ «un impact qui mène à un avenir plus prospère et durable».

    Implanté dans près de 120 pays à travers le monde, et fournissant des solutions d’efficacité intégrées qui associent gestion de l’énergie, automatismes et logiciels, Schneider Electric est leader mondial de la gestion électrique, moyenne tension, basse tension et énergie sécurisée, et des systèmes d’automatismes.

    Rabah Nadri

  • Holcim El-Djazaïr : Des exportations record de 3,4 millions de tonnes en 2023

    Holcim El-Djazaïr : Des exportations record de 3,4 millions de tonnes en 2023

    Après les performances réalisées une année auparavant, le groupe Holcim El-Djazaïr, spécialisé dans la production de ciment et ces dérivés, vient d’enregistrer un nouveau record durant l’année 2023, en parvenant à exporter 3,4 millions de tonnes, ce qui représente donc une croissance de 7% par rapport aux performances déjà atteintes en 2022, lorsque le groupe a exporté pour un volume de 3,2 millions de tonnes.

    Ce sont donc 200 000 tonnes de plus que le groupe a expédié vers les marchés internationaux durant l’année précédente, ce qui a généré une croissance du chiffre d’affaires de 17% en l’espace d’une année.

    C’est ce que vient d’annoncer le groupe Holcim El-Djazaïr dans un communiqué rendu public ce dimanche et dans lequel il est précisé que le volume exporté durant l’exercice 2023 représente « 30% de l’ensemble des exportations de l’Algérie » en ciments et clinkers.

    Dans le contexte actuel, que le groupe estime come étant « particulier », Holcim El-Djazaïr réitère son choix d’« d’orienter ses exportations davantage vers les produits finis et de réduire la proportion de produits semi-finis », ce qui a fait que, durant l’année précédente, 40% des exportations du groupe ont été composés du ciment, ce qui représente une croissance de 300% par rapport aux volumes enregistrés durant l’année d’avant, 2022, ajoute le communiqué de l’entreprise, tout en tablant sur une nouvelle hausse des volumes exportés en produits finis durant l’année en cours « pour atteindre plus de 60% » d’ici la fin 2024.

    Cependant, pour atteindre ce niveau de performances, le groupe Holcim El-Djazaïr a misé sur le renforcement de ses investissements pour améliorer ses capacités, dont « l’acquisition d’un chargeur de navires en 2023, représentant un investissement de 3,5 millions d’euros (plus de 3,8 millions de dollars), le déploiement d’ « une nouvelle flotte de camions performants », tandis que le groupe « a entrepris la construction de nouveaux silos de ciment dédiés à l’exportation dans son usine à Mascara », est-il précisé dans le même communiqué, énumérant aussi d’autres investissements, comme la réalisation de « halls de stockage de ciment blanc pour traiter des navires de plus grande taille via les ports d’Oran, Mostaganem et Arzew ».

    L’Algérie en mesure d’exporter plus de 10 millions de tonnes

    Soulignant le rôle de la nouvelle politique mise en œuvre par le gouvernement en matière de diversification économique, en estimant que le résultat atteint durant l’année 2023 «a été rendu possible grâce aux différentes mesures de promotion d’exportation hors hydrocarbures définies par les pouvoirs publics », et tenant compte des potentialités dont jouit le marché national dans le domaine des ciments, le groupe Holcim El-Djazaïr estime que «l’Algérie a la capacité d’exporter plus de 10 millions de tonnes par an ». Dans le même sillage, le groupe réitère son adhésion à la « feuille de route » tracée par les pouvoirs publics « afin de contribuer au développement économique et social du pays », ce qui se manifeste, ajoute l’entreprise, « à la fois par la satisfaction des besoins du marché local grâce à des produits et solutions de construction innovants et durables, ainsi que par la diversification des revenus extérieurs hors du secteur des hydrocarbures, grâce à l’exportation de produits finis ».

    Toutefois, en matière d’exportations, le challenge est atteignable si, ajoute le groupe dans son communiqué, « des mesures adaptées sont mises en place notamment dans le domaine logistique, telles que la priorité de traitement des navires dédiés à l’exportation, l’extension des structures de stockage de ciment dans les ports, ainsi que la promotion du transport ferroviaire, permettant de réduire les émissions de CO2 et minimisant les risques d’accidents ».

    Outre ces mesures requises sur le marché national, Holcim El-Djazaïr ne perd pas de vue non plus les nouveaux défis qu’entraineront dans les années à venir les mutations qui s’opèrent sur le marché international, notamment avec l’entrée en vigueur de mesures successives en lien avec la protection de l’environnement et la dépollution des activités économiques.

    A cet égard, le leader de la filière des ciments estime que le maintien de ces niveaux d’exportations « dépend de la maîtrise de l’empreinte carbone », ce qui est un défi « particulièrement crucial en Europe, où une taxe sera instaurée à partir de 2026 pour toutes les importations de produits à forte empreinte carbone ».

    R. N.

  • Travaux publics : Signature de sept conventions

    Travaux publics : Signature de sept conventions

    Au moins sept conventions ont été signées ce samedi, à l’occasion de la journée d’étude consacrée au secteur du ferroviaire organisée par l’ANESRIF en marge de la 19e édition du Salon international des travaux publics (SITP) qui a eu lieu du 14 au 18 novembre au Palais des Pins maritimes (SAFEX) d’Alger.

    Ces conventions concernent les domaines de la formation, de la recherche et développement technologique, ainsi que les startups, appelées à jouer un rôle clé dans le développement de l’industrie du ferroviaire dans notre pays, dont les responsables ont souligné l’importance de la coopération avec les acteurs des autres secteurs économique et universitaire.

    Dans le domaine de la formation des cadres et des stagiaires, le Groupe d’étude d’infrastructures, de contrôle et d’assistance (GEICA), a signé deux conventions avec le centre technique de construction métallurgique, filiale du Groupe des industries métallurgiques et sidérurgiques (IMETAL), et le groupe China Railway Construction Corporation (CRCC), alors que l’Agence nationale d’études et de suivi de la réalisation des investissements ferroviaires (ANESRIF) a signé une convention-cadre avec la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

    Ces conventions visent à encourager la recherche scientifique et les activités de développement technologique dans le domaine d’étude des infrastructures de base et de l’industrie mécanique.

    Le Groupe d’infrastructure de travaux maritimes (GITRAMA) a signé pour sa part une convention portant protocole de coopération avec l’Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB-Alger), dans l’optique de développer des partenariats techniques et scientifiques dans divers domaines.

    «Cette convention vise à améliorer la relation entre le monde économique et le monde de la recherche scientifique», explique à DZ Entreprise le directeur général de GITRAMA, Mahdi Kadèche, en marge de la cérémonie de signature.

    «Cela permettra éventuellement la création de startups pour permettre aux étudiants de s’inscrire dans ce nouvel esprit d’entreprenariat et, pourquoi pas, devenir de futurs partenaires du groupe GITRAMA», a-t-il ajouté.

    L’Organisme national de contrôle technique des travaux publics (CTTP) a signé lui aussi une convention avec l’Organisme national de contrôle technique de la construction hydraulique (CTH) afin d’encourager le partenariat et renforcer les capacités des deux organismes.

    Quant au Groupe d’infrastructure des travaux routiers et ouvrages d’arts (GITRA), il a signé une convention avec l’Ecole nationale supérieure des sciences géodésiques et techniques spatiales (ENSGTS) dans le but de soutenir la coopération dans le domaine des études, de la recherche, de l’encadrement et de la recherche scientifique, ainsi qu’un accord-cadre avec la startup « Moubassir » dans le but de digitaliser le système de gestion des projets du complexe.  

    Sophia Rais

  • Roni Tohme confirmé au poste de Directeur général de Ooredoo Algérie

    Roni Tohme confirmé au poste de Directeur général de Ooredoo Algérie

    Le Groupe Ooredoo Q.P.S.C. (QSE : ORDS)a annoncé la nomination de M. Roni Tohme comme nouveau Directeur général de Ooredoo Algérie à compter du 1er Août 2023 et ce après avoir assuré avec brio la période d’intérim de la compagnie.

    Avec plus de 21 ans d’expérience dans les télécommunications et les finances, M. Roni avait, auparavant, occupé le poste de Directeur Exécutif des Finances à Ooredoo Algérie, contribuant activement à façonner un département financier agile et performant et à apporter une contribution significative dans la transformation de l’entreprise. Il a également réussi à mettre en place des programmes d’optimisation des coûts qui ont considérablement amélioré la rentabilité de Ooredoo Algérie. 

    Roni Tohme a été nommé en février 2023 au poste de Directeur général par intérim de Ooredoo Algérie et ce, en remplacement de M. Bassam Yousef Al Ibrahim, ex Directeur général de la même compagnie.

    Avant d’intégrer le groupe Ooredoo, Roni a occupé plusieurs postes de responsabilité de grande envergure en Afrique et en Asie dont Areeba, Africell, MTN, Airtel et Axiata Group, lui permettant de gagner une large expérience dans la fusion et l’acquisition, la gestion des Tower Company et les stratégies de transformation d’entreprise.

    Roni est titulaire d’une licence en finances et administration des affaires de l’Université Américaine de Beyrouth et d’un Master en finances et gestion des affaires de l’université de Walden aux Etats Unis d’Amérique.

    Ooredoo est fière d’adresser, au nom de tous les membres du conseil d’administration, ses chaleureuses félicitations à M.  Roni Tohme pour son nouveau poste, lui souhaitant beaucoup de succès, de réussite dans ses nouvelles missions et de mener Ooredoo Algérie à des niveaux supérieurs d’excellence.

    A propos de Ooredoo

    Ooredoo est une entreprise mondiale de télécommunications opérant au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Asie du Sud-Est. L’entreprise fournit ses services à ses clients particuliers et entreprises dans 10 pays, Ooredoo est une entreprise leader dans la fourniture d’une expérience unique d’utilisation des données via un large contenu et des services avancés via ses réseaux fixes et mobiles avancés

    Au 31 décembre 2022, les revenus de la société s’élevaient à 23 milliards de QAR et les actions Ooredoo sont côtées à la Bourse du Qatar et à la Bourse d’Abu Dhabi.

    C.P

  • Efficacité énergétique : Protocole d’entente entre Sonatrach et le groupe brésilien WEG SA

    Efficacité énergétique : Protocole d’entente entre Sonatrach et le groupe brésilien WEG SA

    Après le continent africain, le bassin méditerranéen et l’Europe, le groupe Sonatrach étend son réseau de partenariat au continent sud américain pour, cette fois ci, ouvrir de nouvelles voies d’acquisition d’expertises et d’expériences dans le domaine de la maîtrise technologique devant permettre la modernisation des installations du leader national des hydrocarbures.

    Ce mercredi selon un communiqué de la compagnie nationale, le vice-président chargé de l’activité Exploration et Production au sein du groupe public, Mohamed Slimani, et le P-DG du groupe brésilien WEG SA, Harry Schmelzer Jr, ont procédé à la signature d’un protocole d’entente visant à renforcer leur coopération bilatérale, à travers une vision de partenariat gagnant-gagnant,

    Tel que l’a souligné le ministre de l’Energie et des mines, Mohamed Arkab, lors de la cérémonie de signature qui a eu lieu au siège de Sonatrach à Alger, ce nouveau partenariat se présente comme «une réalisation supplémentaire qui reflète l’excellence des relations de coopération et de partenariat entre l’Algérie et le Brésil, la création de la valeur partagée et la réalisation des objectifs nationaux pour le secteur de l’énergie et des mines dans les deux pays», avant d’exprimer sa conviction que «le partenariat avec un grand groupe technologique comme WEG, nous permettra de franchir un cap supplémentaire dans l’amélioration de l’efficacité énergétique et l’exploitation du grand potentiel de la digitalisation pour l’optimisation de nos performances ».

    Un des leaders mondiaux dans le domaine de la fabrication de moteurs électriques, ce nouvel accord de coopération avec le groupe brésilien est aussi l’expression de la volonté du groupe Sonatrach à mettre en œuvre ses engagements portant sur l’encouragement de l’intégration du produit local, à travers, comme l’explique le ministre de l’Energie et des mines, « la contribution au développement des capacités nationales en matière de maîtrise technologique dans les métiers de Sonatrach, à travers la collaboration avec les partenaires étrangers ».

    Une unité SEG SA en Algérie

    Pour sa part, le P-DG de WEG SA, Harry Schmelzer Jr, estime que la conclusion de ce protocole d’accord avec le groupe pétrolier algérien est l’expression de « l’engagement du groupe brésilien à transmettre et partager sa connaissance et son expérience ».

    Dans le cadre de la mise en œuvre de ce nouveau partenariat, selon le communiqué rendu public à l’issue de la cérémonie de signature, le groupe Sonatrach et son homologue brésilien s’attèleront à l’étude de l’opportunité et la viabilité économique de la réalisation en Algérie d’une unité de fabrication et de maintenance du groupe WEG SA.

    Un partenariat avec l’institut de formation de Sonatrach est également dans le contenu de ce protocole d’entente entre les deux sociétés dans le but d’octroyer un niveau avancé de formation et de certification, ainsi que l’organisation de rencontres, création d’espaces de partage de bonnes pratiques entre spécialistes pour échange d’expériences, suivant un processus de gestion et de capitalisation de connaissances, principalement en matière de veille technologique et de mise à jour des normes relatives aux équipements électriques, est-il encore précisé dans le même communiqué.

    Enfin, il est utile de rappeler que le groupe Sonatrach a déployé un vaste plan d’investissement de 40 milliards de dollars pour la période 2022-2026, dont une partie est consacrée au volet relatif à la modernisation de ses installations et la maîtrise des technologies nouvelles.

    M. Naïli

  • Formation : TotalEnergies Algérie et l’Université de Ouargla signent un accord de coopération

    Formation : TotalEnergies Algérie et l’Université de Ouargla signent un accord de coopération

    TotalEnergies Algérie annonce la signature d’un accord-cadre de coopération, d’une durée de trois ans, avec l’Université Kasdi Merbah de Ouargla.

    Ce partenariat s’inscrit dans le cadre du programme « TotalEnergies Professeurs Associés » qui a pour objectif de créer des passerelles entre le monde de l’énergie et l’université grâce à des cycles de conférences, cours ou semaines intégrées dans les domaines techniques et économiques, dispensés par des experts, salariés ou retraités de la Compagnie TotalEnergies.

    « Ce partenariat contribuera à l’insertion professionnelle et au renforcement de l’employabilité des jeunes étudiants de l’Université Kasdi Merbah de Ouargla qui envisagent une carrière professionnelle dans le secteur de l’énergie. Nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’expertise reconnue de TotalEnergies Professeurs Associés pour apporter une expérience de terrain et une vision globale du monde de l’entreprise »,a commenté Samir Oumer, Directeur général et Country Chair de TotalEnergies en Algérie.

    Les axes de coopération portent notamment sur :

    • L’organisation conjointe de conférences sur des thématiques techniques, économiques, scientifiques… ;
    • L’organisation conjointe de semaines certifiantes en format immersif qui s’intègrent dans le cursus de l’université avec un certificat à la clé ;
    • La mise en place d’un programme visant à faciliter l’insertion professionnelle des jeunes : journées métiers, forum des stages, simulation de sessions de recrutement ;
    • La participation à l’élaboration des programmes de nouvelles formations dans le domaine de l’Energie.

    TotalEnergies Algérie s’engage à contribuer au développement des futurs talents du secteur de l’énergie et à faciliter l’insertion professionnelles des étudiants au travers plusieurs programmes d’accompagnement et de formation dans le pays.

    A propos de TotalEnergies en Algérie

    La compagnie TotalEnergies est présente en Algérie depuis plusieurs décennies à travers ses différentes filiales Exploration & Production ainsi que Marketing & Services. Un modèle intégré qui permet d’assurer des synergies entre les différentes activités et proposer une offre complète basée sur l’innovation, la complémentarité et la création de valeur. La Compagnie est active dans l’exploration et la production de pétrole et de gaz au travers de ses participations dans les champs gaziers TFT, Timimoun ainsi que dans les champs à huile du bassin de Berkine (blocs 404a et 208).

    Dans l’aval, la commercialisation de lubrifiants et de bitumes est assurée par les deux filiales TotalEnergies Lubrifiants Algérie SPA et TotalEnergies Bitumes Algérie SPA. La compagnie affirme sa volonté d’accompagner le développement économique du pays en lançant de nouveaux programmes d’investissements importants mis en place au fil des ans. La réussite de TotalEnergies en Algérie résulte de l’expertise de ses collaborateurs avec l’appui du savoir-faire de l’ensemble de la Compagnie. Ainsi, TotalEnergies est un acteur historique de premier plan, contribuant au développement du pays en apportant son expertise et des solutions globales garantissant une totale satisfaction des clients et des partenaires.

    A propos de TotalEnergies Professeurs Associés

    TPA est une Association à but non lucratif œuvrant pour la promotion des relations entre le monde de l’Energie et les Universités ou les Grandes Ecoles grâce à des présentations techniques ou économiques par des Professeurs ou Experts dans le monde.

    Apropos de TotalEnergies

    C’est une compagnie multi-énergies mondiale de production et de fourniture d’énergies : pétrole et biocarburants, gaz naturel et gaz verts, renouvelables et électricité. Ses plus de 100 000 collaborateurs s’engagent pour une énergie toujours plus abordable, plus propre, plus fiable et accessible au plus grand nombre. Présente dans plus de 130 pays, elle inscrit le développement durable dans toutes ses dimensions au cœur de ses projets et opérations pour contribuer au bien-être des populations.

    C.P

  • Bilan de Djezzy au premier trimestre 2023 : des chiffres en progression

    Bilan de Djezzy au premier trimestre 2023 : des chiffres en progression

    Les revenus de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy ont progressé durant le premier trimestre de l’année 2023, ainsi que son portefeuille client et ses investissements, selon un communiqué parvenu à notre rédaction ce mercredi.

    «Au cours du 1er trimestre 2023, Djezzy a réalisé un chiffre d’affaires de 23,9 milliards de dinars, enregistrant une croissance de 4,7% par rapport à la même période en 2022», affirme l’opérateur, précisant qu’ «à la fin du premier trimestre, Djezzy comptabilisait 14,9 millions de clients en hausse annuelle de 3,7 % soit plus de 500 000 nouveaux clients par rapport à la même période en 2022».

    Pour le deuxième trimestre consécutif, Djezzy conforte ses chiffres «grâce à une stratégie commerciale et à une multiplication des partenariats stratégiques visant à l’élargissement de la base de clients entreprise contribuant à la mise en place d’un écosystème créateur de valeur ajoutée et de richesses », ajoute le même communiqué, expliquant que « chiffre d’affaires, base de clients, consommation de la data et investissements : Djezzy poursuit une dynamique d’une croissance durable tout en renforçant son modèle technologique basée sur l’innovation ».

    Sur le plan des investissements, l’opérateur téléphonique, dont la quasi-totalité des actions a été rachetée par le FNI (Fonds National d’Investissement), continue aussi sur «la même dynamique enclenchée au 4ème trimestre 2022 avec plus de 7,5 milliards de dinars, soit une augmentation de 98,2 % par rapport à la même période en 2022 ».

    Avec l’augmentation de la consommation data des Algériens, Djezzy a augmenté aussi ses investissements pour assurer une meilleure couverture. « Ces investissements ont permis d’étendre la couverture 4G dont le taux national s’est établi à 80,8%, évoluant ainsi de près de 7,8 points d’année en année, ainsi que d’améliorer la qualité de la connectivité, répondant ainsi aux besoins toujours grandissants des clients en termes de consommation data ».

    Selon le communiqué diffusé ce mercredi, «l’EBITDA s’est établie à 10,7 milliards de dinars au premier trimestre, en hausse de 8,3% par rapport au 1er trimestre de l’année 2022. La marge d’EBITDA de 44,8 % en hausse de 1,5 points continue de refléter, quant à elle, le bon management de la société ».

    Réaffirmant sa «dimension d’entreprise citoyenne», Djezzy a lancé pour la quatrième année consécutive «une campagne de solidarité en direction des personnes dans le besoin à l’occasion du mois du Ramadan en partenariat avec les Scouts Musulmans Algériens et le Croissant Rouge Algérien», conclut le communiqué.

    Lyès Menacer

  • Sonatrach : Signature du Contrat de fusion-absorption de SAFIR Spa par SARPI Spa

    Sonatrach : Signature du Contrat de fusion-absorption de SAFIR Spa par SARPI Spa

    Un contrat de fusion-absorption de la Société SAFIR Spa par la Société SARPI Spa, a été signé le 06 Avril 2023 et ce dans le cadre de la reconfiguration du portefeuille national de Sonatrach.

    Selon un communiqué du groupe Sonatrach rendu public aujourd’hui, la signature de ce contrat a eu lieu en présence du Directeur Corporate Affairs, des Présidents Directeurs généraux des Holdings et des filiales et des Cadres dirigeants des sociétés concernées.

    Cette opération de fusion vise essentiellement la mise en synergie des ressources humaines, financières, matérielles et managériales, par le regroupement des activités des deux sociétés (absorbante et absorbée); l’allocation et l’utilisation rationnelle et optimale des potentiels existants et la disposition d’une entreprise d’Engineering, Procurement et Construction (EPC), en regroupant les savoir-faire de SAFIR Spa et SARPI Spa, notamment dans le domaine de l’Engineering.

    Elle a également comme objectif l’assurance d’une meilleure prise en charge de la réalisation en EPC des projets du Groupe et la saisie de nouvelles opportunités d’affaires, en conséquence de la synergie résultant de cette opération de fusion.

    Lors de cette cérémonie, il a été précisé que cette opération de Fusion par Absorption n’aura aucun impact sur les acquis professionnels des employés de la Société Absorbée SAFIR Spa.

    A propos des sociétés SAFIR et SARPI

    SAFIR, Société d’ingénierie et de réalisation, est née en 1991 d’un partenariat mixte avec la Société française GDF.   En juillet 2012,  Sonatrach devient « unique actionnaire de la Société SAFIR et dont le contrôle est exercé à  travers son Holding de Services Parapétroliers [SPP].

    SAFIR est  spécialisée dans la conduite des projets industriels en mode E.P.C. [Engineering, Procurement  et Construction]. Les activités de SAFIR, couvrent  différents secteurs et  principalement, la liquéfaction de gaz naturel, le stockage de carburant, le raffinage des hydrocarbures, la production de gaz industriels, le transport d’hydrocarbures [pompage-compression], la pétrochimie, le dessalement d’eau de mer et la production d’hydrocarbures.

    Les statuts de la Société lui confèrent un champ d’action ouvert, tant en Algérie qu’en International.

    Concernant la Société Algérienne de Réalisation de Projets Industriels (SARPI spa), elle est née d’une joint-venture entre Sonatrach et ABB en 1992 pour la réalisation des grands projets industriels dans le secteur de l’énergie, elle est devenue en 2018 une filiale 100% Sonatrach.

    SARPI Spa est une Société dynamique, reconnue dans le marché de réalisation des projets industriels. Elle a réalisé une centaine de projets pour le compte de Sonatrach et les plus grandes firmes internationales activant en Algérie ; notamment les projets de construction des Infrastructures de production, de transport et de stockage pour l’industrie pétrolière, gazière et énergétique.

    Elle dispose de bases dans les sites des grands pôles d’hydrocarbure et d’une ressource humaine de qualité ayant acquis une certaine expertise le long de ses années d’activité au contact des grandes sociétés du secteur.

    C’est ainsi qu’elle s’attelle actuellement, grâce à cette expertise et ces moyens humains et logistiques, à développer les travaux d’engineering et d’études spécifiques et piloter des projets en EPC.

    Fatiha A.

  • La SAA renforce son réseau de partenaires en signant une convention avec l’UNOA

    La SAA renforce son réseau de partenaires en signant une convention avec l’UNOA

    La SAA (Société algérienne des assurances) renforce son réseau de partenaires en vue de consolider sa position sur le marché et diversifier ses produits. En l’espace de quelques jours seulement, deux conventions d’une grande importance viennent d’être signées en effet par le leader national des assurances, dont la dernière est celle de ce dimanche avec l’UNOA (Union nationale des ordres des avocats). La semaine d’avant, une autre convention a été avec Algérie Poste.

    Ainsi, selon le communiqué rendu public à l’issue de la cérémonie organisée à cet effet au siège de la compagnie d’assurance à Bab Ezzouar, à l’Est d’Alger, M. Youcef Benmicia, PDG de la SAA, et le Me Brahim Taïri, président de l’UNOA, ont procédé à la signature d’une convention qui liera les deux entités jusqu’à 2026. Laquelle convention qui «vient conforter la relation de confiance entre deux grandes institutions», comme il a été souligné dans le communiqué la société d’assurance.

    Cette convention avec l’UNOA est ainsi la seconde que la SAA vient de signer durant ce mois de mars avec une institution d’une grande envergure après celle signée la semaine dernière avec le leader national des services postaux, à savoir Algérie Poste.

    La SAA et Algérie Poste ont signé en effet le 19 mars dernier à Alger une convention-cadre et de partenariat dans la perspective de renforcer leur coopération en matière de développement de l’économie numérique, selon un communiqué rendu public à l’issue de la cérémonie de signature de ladite convention.

    Cette convention, signée respectivement par le PDG de la compagnie nations d’assurance, Youcef Benmicia et le DG Algérie Poste, Louaï Zaidi, « s’inscrit dans le cadre d’un plan d’action visant à développer l’économie numérique, moderniser le système financier, renforcer les moyens d’e-paiement et promouvoir les opérations de paiement à distance », est-il encore précisé dans le même communiqué.

    Pour rappel, afin de faciliter l’exécution de cette nouvelle convention de partenariat, la SAA et Algérie poste, pour qui cette initiative est d’une grande importance, car elle «favorise le développement du secteur numérique, considéré comme une priorité pour les pouvoirs publics», ont convenu de la mise en place d’ «un comité de travail conjoint pour le suivi et l’application des contrats qui en découleront, le but étant d’améliorer et de vulgariser les services offerts aux citoyens», est-il souligné.

    M. N.