Catégorie : National

  • Le dépôt des comptes sociaux prorogé de 2 mois

    Le dépôt des comptes sociaux prorogé de 2 mois

    Fixé au 30 septembre 2020, la date limite des dépôts des comptes sociaux a été prorogée de 2 mois sur décision du ministre du commerce.

    « Le ministère du Commerce porte à la connaissance de l’ensemble des opérateurs économiques concernés par le dépôt des comptes sociaux pour l’exercice 2019 que, sur décision du ministre du Commerce, Kamel Rezig, le délai de dépôt des comptes sociaux pour l’exercice 2019 est prorogé jusqu’au 30 novembre 2020. Annonce un communiqué du ministère.

    Ce report est,  pour rappel, le deuxième du genre décidé par le département Rezig. Initialement prévue pour le 31 juillet 2020, la date limite des dépôts des comptes auprès des différentes antennes du Centre national du registre de commerce ( CNRC ) a été prorogée au 30 septembre 2020 en raison de la pandémie du coronavirus qui sévit dans notre pays et dans le monde entier.      

    « Les sociétés dépositaires seront épargnées des sanctions édictées par la législation en vigueur, notamment l’inscription au fichier national des fraudeurs.» Précise le communiqué du ministère du commerce.

    Le dépôt des comptes sociaux peut se faire en ligne

    Notant enfin que les dépôts des comptes sociaux peuvent également se faire en ligne. Pour rappel, le Centre national du registre de commerce avait en aout dernier informé « les responsables des sociétés commerciales dotées de la personnalité morale (SPA, EURL, SARL, SNC, SCS, ou par action), de la possibilité de procéder au dépôt légal annuel de leurs comptes sociaux en ligne grâce à l’application électronique disponible sur le portail sidjilocom du CNRC.

    R.N

  • CNES: Cap sur la réforme structurelle de l’économie nationale

    CNES: Cap sur la réforme structurelle de l’économie nationale

    Le Conseil national économique et social (CNES), reprend sa mission de boite à idées de la conjoncture économique et sociale.

    Récemment investi de la mission d’intermédiaire entre les opérateurs économiques et le Gouvernement, le CNES qui renaît de ses cendres remettra, cette semaine, quatre rapports inhérents à la relance structurelle de l’économie nationale. Rapports en relation directe avec cette réforme dont l’objectif vise selon l’invité de la radio l’évitement d’un certain nombre de blocage de l’investissement.

    « Quatre rapports du CNES relatifs à l’état des lieux, aux objectifs et aux recommandations pour une transformation et une relance structurelle de l’économie, seront remis cette semaine au président de la République qui en a exclusivement saisi le Conseil, durant la période de confinement », a déclaré Redha Tir, président du CNES, sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale.

    Il s’agit des rapports traitant du système d’information statistique, au système coopératif dans le domaine agricole, à la transition énergétique « du point de vue comportementale » et enfin au « Doing business ».

    Ce dernier, traitant du climat des affaires en Algérie, recense l’ensemble des entraves rencontrées par les investisseurs. L’importance de ce volet a nécessité son transfert, du ministère de l’Industrie vers le CNES, sur la demande de ce dernier.

    Les rapports élaborés ont mobilisé plus de 250 cadres ministériels et environ 20 cadres algériens établis à l’étranger parmi les éminences nationales, au moyen de la visio-conférence.

    Tout en précisant que le CNES a été saisi à quatre reprises par le Premier ministre, l’hôte de la Radio a ajouté que ledit Conseil œuvre à l’atteinte des objectifs du Chef de l’Etat, dans le domaine économique et sur trois échéanciers, à très court terme (31 décembre 2020 ), à court terme (2021) et à moyenne échéance (2022).

     Le CNES qui travaille en étroite collaboration avec le gouvernement, qui vise une transformation structurelle de l’économie nationale, « œuvre dans le sens ou l’atteinte des objectif du programme présidentiel est considéré comme priorité, notamment par rapport à cette transformation structurelle, plus d’industrie, une politique industrielle basée sur la concurrence, rendre aux services publics marchands et non marchands tous leurs sens et sortir de cette crise multidimensionnelle accentuée par le déclin du prix du baril du pétrole et la pandémie.»   

    Contrairement aux années précédentes où il a été mis sous cloche, le CNES dispose de nouveaux outils de traitement de l’information économique et sociale.

    Son président évoque des « outils modernes pour une croissance économique qui n’épuise pas nos ressources naturelles ». Et de poursuivre à ce propos: « Nous sommes là pour protéger ces ressources (… ) les services permettent cette croissance modérée », avant de plaider pour « le recours à la ressource humaine nationale ».

    Redha Tir :« le CNES est dans l’anticipation, la surveillance des événements et des politiques publiques »

    Détaillant ses missions, Redha Tir estime que « le CNES est dans l’anticipation, la surveillance des événements et des politiques publiques », avant de préciser que 50 fiches thématiques relatives à ces dernières sont en cours d’élaboration.

    « C’est un tableau de bord que nous mettons à la disposition du président de la République et du Premier ministre, dans une optique moderne. Un intranet gouvernemental que nous leur ouvrons pour qu’il soit accessible et directement consulté », a-t-il encore explicité.

    Tout en mettant en avant les critères de « compétence et de représentativité » déterminant l’éligibilité des membres au CNES, son président a assuré que celui-ci « deviendra un organe prestigieux, une arme de participation forte et citoyenne de réflexion et d’intelligence stratégique ».

    De nouveaux textes régissant le CNES paraitront, courant de cette semaine, a indiqué Redha Tir, le président du Le Conseil national économique et social.

    Conseil qui s’attèlera à « ouvrir le champ au débat citoyen, à travers des thématiques organisées hebdomadairement dans les campus universitaires et ce, à compter du 15 septembre prochain ». A tenu à préciser sur les ondes de la radio, le président du CNES.  

    Brahim Salah

  • Transferts sociaux sur fonds de Covid 19: Une «rallonge» de 65, 31 MDA

    Transferts sociaux sur fonds de Covid 19: Une «rallonge» de 65, 31 MDA

    Pour faire face aux retombées de l’épidémie de Covid 19, le gouvernement a prévu une dotation supplémentaire de 65, 531 milliards de dinars, qui s’ajoute aux dotations budgétaires de l’Etat allouées aux transferts sociaux, avons-nous appris auprès d’une source au ministère des Finances.

    La dotation supplémentaire allouée au transferts sociaux sur fonds de Covid 19

    Cette dotation se décline comme suit : l’acquisition de moyens de protection par les ministères de la Santé, de l’intérieur, et des Affaires étrangères est estimée à respectivement : 12, 846 milliards de dinars, 0,14 milliard de dinars et 0,063 milliard de dinars.

    S’agissant du paiement d’indemnités exceptionnelles au profit des agents de l’Etat, le budget alloué est de l’ordre de 24, 394 milliards de dinars, répartis comme suit : le ministère de la Santé 16,5 milliards de dinars, ministère de l’Intérieur 7,755 milliards de dinars, et celui des Finances, 0,1395 milliards de dinars.

    S’ajoutent aussi l’allocation destinée aux familles impactées, estimée à 24,702 milliards de dinars, l’assistance au rapatriement des citoyens bloqués à l’étranger, 3, 317 milliards de dinars, le ministère de l’Intérieur (2 milliards de dinars) et le ministère des Affaires étrangères (0, 317  milliards de dinars).

    Au chapitre de la coopération internationale, le gouvernement algérien fait état de 0,271 milliard de dinars, répartis entre la participation volontaire au PNUD et au fond d’intervention de l’Union Africaine avec respectivement : 0,013 milliard de dinars et 0,258 milliards de dinars.

    Selon cette même source, l’Algérie a également bénéficié d’un don de 3 millions de dollars US (380 millions de dinars) octroyé par le Fond arabe de développent économique et social (FADES) au profit du ministère de la Santé.

    Outre les dotations budgétaires de l’Etat allouées aux transferts sociaux, d’autres mesures au profit des administrations ont été décidées.

    Il s’agit, notamment de l’autorisation des paiements à découvert des dépenses relatives à l’opération solidarité ramadhan 2020, le report de la date de production des états matrices au titre des budgets des institutions et administrations publiques, le report de la date de production des PV des travaux de réunions des conseils d’administration et d’orientation, jusqu’à la mise en place des budgets modificatifs  pour 2020, et le report de la date de production du rapport annuel d’activité des contrôleurs financiers au titre de l’exercice 2019, jusqu’au 4 juin 2020.  

    Brahim Salah            

  • Organisations patronales: Propositions pour la réforme  de l’économie

    Organisations patronales: Propositions pour la réforme de l’économie

    Dans un document commun, préparé en prévision de la tripartite, puis présenté lors de la « rencontre nationale sur le plan de relance pour une économie nouvelle », qui se déroule sur deux jours et inaugurée hier par le chef de l’Etat,  les organisations patronales ont recensé un certain nombre de mesures à même de contribuer à assainir le climat des affaires et l’environnement de l’entreprise nationale.

    Ainsi les organisations patronales, qui pour rappel ont travaillé de concert, à la demande des pouvoirs publics, pour l’élaboration d’un document sur les impacts du  Covid-19 sur l’entreprise et l’emploi, ont,  après avoir rappelé un contexte économique « lourdement » impacté par la baisse du prix du baril de pétrole et par les conséquences de la pandémie, estiment qu’il est « urgent » d’aller vers des réformes structurelles.

    Réforme qui doit définir « clairement » le nouveau modèle économique, tout en « précisant les missions de régulation et de contrôle de l’Etat » Un modèle économique qui encourage l’économie verte et le développement durable, l’économie numérique et le développement des start-up.

    Revoir les systèmes bancaire et fiscal

    Les organisations patronales qui suggèrent de répertorier et de s’appuyer sur les recommandations qui ont sanctionnées les journées et rencontres consacrées au développement économique, préconisent la réforme du système fiscal par « un élargissement de l’assiette fiscale et  une réduction des taux et sa numérisation»

    S’agissant du système bancaire et financier, les organisations patronales qui appellent à la poursuite de la réforme engagée pour « réaliser l’inclusion financière et la diversification des produits bancaires offerts aux investisseurs et épargnants », ont souhaité l’ouverture de nouvelles agences bancaires à travers le pays, et l’ouverture d’agences à l’étranger.

    Elles estiment aussi que la promotion des crédits à long terme et la dynamisation de la Bourse d’Alger, vont permettre de diversifier les possibilités de financement de l’investissement productif.  

    Autres propositions des organisations patronales, la révision des « différentes formes de subvention aux produits (transferts sociaux) pour inciter et attirer des investisseurs nationaux pour la production des produits subventionnés et réduire progressivement les subventions directes et indirectes sur les produits et services.»

    Les organisations patronales, l’économie informelle et gestion des ZI

    La lutte contre l’économie informelle doit être poursuivie avec « rigueur », estiment les rédacteurs du document final, paraphé par sept organisations patronales qui souhaitent la mise en œuvre « dispositifs incitatifs visant à l’intégrer dans le circuit formel. » Et la révision des missions du Conseil de la Concurrence en « prévoyant explicitement son auto saisine ».

    Revoir le mode d’organisation et de  fonctionnement des zones industrielles et d’activités, notamment en ce qui concerne les espaces communs, est une autre des propositions du patronat qui propose d’engager « une réflexion visant l’élaboration d’un dispositif législatif et/ou réglementaire pratique devant encadrer les modalités d’organisation, de fonctionnement et d’entretien notamment des espaces communs des zones industrielles qui précise clairement les droits et obligations des opérateurs implantés dans ces espaces d’activités.»

    « Cette opération sera menée sur la base d’une évaluation précise de la situation actuelle et des enseignements qui en seront tirés. L’objectif attendu est de parvenir à résorber les contraintes et d’amener les zones industrielles à jouer un rôle efficace dans l’accompagnement du développement de l’investissement.»

    Renforcer le système national d’informations économiques

    La bureaucratie, les lourdeurs administratives et procédurales, la difficulté d’accéder au foncier, sont pour les organisations patronales autant de contraintes à lever pour faciliter la création de PME-PMI. Pour ces dernières cela peut se faire « à travers un accès plus fluide aux mécanismes d’investissement et de production de biens et services du fait des nombreuses opportunités offertes par le marché national et international ainsi que par le dynamisme des porteurs de projets » estime le patronat qui plaide pour l’amélioration du climat des affaires par la facilitation de l’acte d’investir par notamment l’accès au foncier.

    Elles préconisent également la « numérisation des administrations et organismes en liaison avec l’économie et l’entreprise. » Et l’accès à l’information économique à travers le « renforcement du système national d’informations économiques et sociales accessible aux investisseurs et opérateurs économiques. »

    Révision du code du travail

    Les organisations patronales appellent aussi  à « adapter et enrichir les dispositions du code du travail en y intégrant des mesures apparues nécessaires à la lumière de la conjoncture qui prévaut actuellement à l’exemple de la procédure du télé- travail ». Tout comme elles souhaitent la réforme du système d’apprentissage et de la formation professionnelle à travers  « une réadaptation des filières existantes et/ou la création de nouvelles à partir des besoins induits par l’évolution de l’économie nationale et du marché du travail.»  

    Encadrer par des lois le PPP et l’investissement

    Le partenariat public-privé doit être selon les organisations patronales, encadré par une loi et les textes d’applications de sa mise en œuvre et des modalités de son suivi.  

    « Edicter une nouvelle loi relative à la promotion de l’investissement devant préciser l’éligibilité des projets aux avantages par nature d’activité et de l’espace territorial concerné. » est une autre des recommandations du document commun élaboré par l’Union nationale des entrepreneurs publics (UNEP), la Confédération algérienne du patronat (CAP), la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), Confédération algérienne du patronat citoyen (CAP’C) ex  FCE, l’Association générale des entrepreneurs algériens (AGEA) est le Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja( CEIMI).

    S.A

  • Les assises pour la relance économique s’ouvrent ce matin à Alger

    Les assises pour la relance économique s’ouvrent ce matin à Alger

    Les assises pour la relance économique s’ouvrent ce matin à Alger. Elles ont pour objectifs de dégager les grandes lignes d’une nouvelle économie nationale sous tendue par la diversification des sources de croissance.

    Un objectif parmi tant d’autres que se sont fixés les organisateurs de ces assises sur la relance économique baptisés « Rencontre nationale sur le plan de relance pour une économie nouvelle ».

    Seront présents à cette rencontre les membres du gouvernement  chargés du développement et de la relance économique, les opérateurs économiques, les banques et institutions financières sans oublier les partenaires sociaux comme les organisations syndicales des travailleurs et patronales.

    Ces derniers ont d’ailleurs, en prévision des assises, dans un document commun listés les principales entraves qui freinent la progression de l’entreprise algérienne et fait une série de propositions pour les lever.

    La tenue de ces assises sur la relance économique s’inscrit dans le cadre de la préparation du plan de relance économique. Un plan récemment examiné  par le Président de la république Abdelmadjid Tebboune, lors du conseil des ministres.

    Les assises  sur la relance économique sont organisées en plusieurs ateliers

    Les assises  sur la relance économique sont organisées en plusieurs ateliers  qui traiteront du  développement industriel et diversification à travers plusieurs secteurs à savoir les mines, les ressources énergétiques et les secteurs de soutien comme le transport et le commerce.

    D’autres sujets seront développés lors de ses assises comme le financement du développement et toutes les mesures qui permettront de faciliter l’investissement. La micro entreprise et les Start up ne seront pas en reste et bénéficient de tout l’intérêt des pouvoirs publics qui œuvrent pour leur assurer un grand  essor.

    A travers ces ateliers, les participants auront à réfléchir sur la manière idoine pour construire une économie  de l’avenir qui ne soit plus dépendante d’une seule ressource. Pour ce faire, il est impératif de trouver de nouvelles ressources plus durables et en se basant sur une économie de savoir et en travaillant pour concrétiser la transition énergétique.

    La baisse drastique du prix du baril de pétrole sur un marché mondial des plus défavorables, à cela s’ajoute l’impact de la crise sanitaire et toutes les dépenses qu’elle a engendrées pour limiter sa propagation, font qu’il est plus que jamais important de miser sur les nombreuses ressources dont notre pays dispose, afin de construire une économie solide. C’est l’essence même du plan de relance d’une économie nouvelle, que ses assises doivent dégager.

    Pour rappel, la réunion gouvernement –walis qui a eu lieu le 12 août 2020 au Palais de nations (club des pins), sous la présidence du Président de la république Abdelmadjid Tebboune,  en présence du premier ministre Abdelaziz Djerrad et des membres du gouvernement ainsi que des cadres centraux et locaux.

    La rencontre , la deuxième après celle de février 2020, a permis  de faire l’évaluation de la mise en œuvre du programme destiné au développement des zones d’ombres, le développement économique, la numérisation, les statistiques, sans oublier toutes les mesures déjà prises depuis le début de la pandémie pour lutter contre sa propagation.

    La lutte contre la Covid-19 est un sujet déjà abordé lors de la rencontre du gouvernement avec les partenaires socio-économiques.  Lors de cette rencontre, une commission pour prendre en charge l’impact de la pandémie du coronavirus sur l’économie nationale a été crée.

    « le dialogue avec les partenaires sociaux et les opérateurs économiques demeure une condition sine qua non pour la réussite du processus du redressement du pays face à cette crise,  sachant qu’en réalité cet objectif légitime na saurait être réalisé sans la conjugaison des efforts communs  des autorités publiques et des partenaires sociaux dans un climat empreint de confiance, d’entraide et de complémentarité dans le travail » avait déclaré Abdelaziz Djerrad, lors de cette rencontre.

    Cette commission, a pour mission principale d’évaluer toutes les incidences socio –économiques causées par le coronavirus. Et ce, dans le but de bien préparer l’après Covid, et préserver aussi bien les entreprises que les travailleurs. « Il ne s’agit pas, à travers cette évaluation, de rechercher l’opportunité de d’accéder aux ressources publiques sans contrepartie ou d’obtenir d’indus avantages, mais il est plutôt question d’une opération indispensable, à même d’assurer une meilleure répartition des ressources » a tenu à préciser le premier ministre.

    K.M.B

  • Le GAAN plaide pour le développement du numérique en Algérie

    Le GAAN, A transmis à la veille de la rencontre relative au plan national de relance socio-économique, qui doit se tenir les 18 et 19 août 2020, une plate forme de propositions.

    Le Groupement Algérien des Acteurs du Numérique (GAAN) a transmis à Monsieur le Premier Ministre, Abdelaziz Djerad, une plateforme de propositions pour apporter sa contribution à l’enrichissement du débat sur les enjeux majeurs du développement de l’économie nationale.

    Le GAAN s’inscrit en droite ligne des objectifs de la tripartite que sont « la consolidation du plan national de relance socio-économique, l’édification d’une nouvelle économie nationale sous-tendue par la diversification des sources de croissance, l’économie du savoir, la transition énergétique et la gestion rationnelle des richesses nationales ».

    A ce titre, afin de susciter et d’enrichir le débat entourant l’apport des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) dans le développement de l’économie nationale, le GAAN émet des recommandations qui peuvent être soumises à enrichissement par toutes les parties concernées.

    La contribution du GAAN comporte une série de propositions concrètes sur l’apport du digital dans l’essor de l’économie nationale, la construction d’un écosystème de digitalisation des différents secteurs d’activité, notamment la mise en place de plateformes numériques pour les services publics (E-gouvernance).

    Il y a lieu de rappeler que le GAAN, qui est un groupement d’entreprises algériennes activant dans le domaine du numérique, et croyant fermement en l’intelligence collective, réunit des acteurs majeurs du numérique algérien, ambitionne de s’impliquer davantage dans le débat relatif à l’apport de la digitalisation à la société d’une manière générale et à l’économie nationale en particulier.

    Communiqué de Presse

    Qu’est ce que le GAAN ?

    Lancé en janvier 2020 par un groupe d’entreprises algériennes œuvrant dans le domaine du numérique, et croyant fermement en l’intelligence collective, le GAAN (Groupement Algérien des Acteurs du Numérique) aspire à réunir un maximum d’acteurs du numérique algérien quelle que soit leur taille, statut juridique, niveau d’expertise, secteur de spécialisation ou positionnement géographique, autour de 4 objectifs majeurs : Fédérer, Grandir, Rayonner et Transformer.

    Notre pays a besoin de rattraper son retard technologique, tout en axant ses choix et orientations stratégiques, sur les problématiques locales, entravant l’éclosion du génie des jeunes algériens. Il appartient donc naturellement à ces mêmes acteurs, d’organiser cette remise à niveau, nécessaire à la mise en place d’un socle technologique solide et transversal, devant supporter une transformation de fond, pour l’évolution de l’ensemble des autres secteurs, qu’ils soient économiques ou sociétaux.

    Toute stratégie devant reposer sur des données terrain fiables, le GAAN se positionne en trait d’union entre les acteurs et les décideurs du numérique en étant le porte-voix des premiers et une fenêtre sur l’évolution de l’écosystème numérique algérien pour les seconds.

    Apolitique, le GAAN est une structure totalement indépendante des organes de l’état et ouverte à toute entité qu’elle soit physique ou morale pouvant contribuer à l’émergence d’une économie numérique forte.

    Objectifs du GAAN

    Être le porte-voix des adhérents vis-à-vis des parties prenantes externes au niveau national et international
    Fédérer les compétences et acteurs nationaux du Numérique.
    Mutualiser les ressources des entreprises adhérentes afin de développer les compétences techniques et managériales
    Accompagner et renforcer la croissance des entreprises adhérentes du GAAN
    Promouvoir les entreprises adhérentes aux niveaux régional, national et international
    Recueillir et diffuser des informations relatives au secteur au sein des adhérents
    Renforcer la promotion et l’application du droit à la protection des données personnelles

  • ECO TIMES, une nouvelle publication économique est née

    ECO TIMES, une nouvelle publication économique est née

    Depuis ce dimanche 09 aout 2020, une nouvelle publication hebdomadaire, spécialisée en économie, vient diversifier le paysage médiatique en Algérie.  ECO TIMES , puisque c’est de cette publication qu’il s’agit, est fondée par Lyazid Khaber et Salah Benreguia, deux journalistes ayant acquis une expérience, ciselée à travers des années de travail dans  plusieurs publications dédiées à ce secteur, entre autres, des magazines réalisés pour le compte d’institutions publiques et d’entreprises d’envergure.

    ECO TIMES est conçu pour être un espace permettant le débat et l’analyse  de différents sujets touchant à l’économie. Un débat qui fera la part belle aux experts venus d’horizons divers.  Spécialistes, décideurs et chefs d’entreprises, des universitaires et journalistes professionnels, pourront alors s’y exprimer pleinement et  animeront les pages de cette nouvelle publication.

    Les responsables d’ECO TIMES se font un devoir de respecter la vérité publiée, en ayant recours à des informations sûres et fiables, et en étant  dans la critique constructive.

    Celle se basant sur des arguments solides et permettant d’‘aller de l’avant. « En croyant  en le rôle que doit jouer la presse, nationale dans l’accompagnement des efforts de développement du pays, l’équipe d’ECO TIMES se fait un devoir  d’œuvrer pour  un journalisme  au service du pays et du citoyen.  Avec cette intime conviction que les médias assurent un service public en œuvrant dans l’intérêt général, nous nous sommes jurés de veiller à apporter notre modeste contribution pour asseoir un journalisme responsable, utile et respectueux des principes universels et des règles de déontologie » lit-on dans l’éditorial du numéro 00.

    ECO TIMES existe sous forme électronique

    Le nouveau venu existe en version électronique consultable à travers le site www.ecotimesdz.com. L’on y retrouve des informations économiques quotidiennes, aussi bien nationales qu’internationales.

    En s’alignant sur l’évolution technologique, la version électronique reprend le contenu de la version papier et, veille à présenter des contenus aussi riches que variés, dont la mise à jour est assurée tous les jours.

    Pour sa part, la version papier se présente sous format Tabloïd,  elle est imprimée sur du papier journal et sera présente dans les kiosques, chaque dimanche.

    R.N

  • Entreprises en difficultés: La DGI explique les nouvelles mesures

    Entreprises en difficultés: La DGI explique les nouvelles mesures

    Trois jours après le dernier Conseil des ministres, où le Chef de l’Etat a annoncé des mesures fiscales au bénéfice des petites entreprises artisans, la Direction générale des impôts (DGI) passe aux actes en expliquant la démarche aux contribuables.

    En effet, la DGI vient d’annoncer plusieurs mesures fiscales de soutien aux entreprises impactées financièrement par la crise sanitaire que vit le pays à l’instar du reste du monde.

    « Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures d’assouplissement décidées par les pouvoirs publics en soutien aux opérateurs économiques, impactés financièrement par la crise sanitaire actuelle, il a été arrêté, au plan fiscal, l’annulation des amendes, majorations et pénalités appliquées pour dépôt tardif des déclarations et paiement des droits, impôts et taxes y relatifs », précise un communiqué de la DGI publié sur son site web.

    Une mesure, précise la DGI, qui concerne les déclarations mensuelles relatives aux mois de février 2020 et suivants, les déclarations afférentes au premier et deuxième trimestres de cette année et les déclarations annuelles de résultats ou de revenus de l’exercice pour l’année 2019.

    Pour ce dernier point, pour rappel, la DGI avait prolongé d’une mois le délai de dépôt ( fin juillet 2020 au lieu de fin juin 2020)

    Par ailleurs, la Direction générale des impôts annule les pénalités de retard pour les rôles d’imposition dont la date de mise en recouvrement est intervenue à compter du 22 mars 2020.

    Pour bénéficier de cette mesure, les contribuables concernés sont invités à introduire une demande de remise gracieuse à adresser à la direction des impôts de rattachement, en précisant les pénalités objet de la demande, a expliqué la DGI.

    Autre catégorie ciblée par les nouvelles mesures prises en Conseil des ministres et mises en oeuvre par la DGI, c’est celle des contribuables se trouvant en situation de difficultés financières.

    Ces derniers  peuvent solliciter, auprès du receveur des impôts compétent, l’octroi d’un échéancier de paiement des impôts et taxes dus, et ce, en fonction de leurs capacités financières.

     A noter que lors  de la réunion du Conseil des ministres, tenue dimanche dernier, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune avait instruit le Premier ministre de prendre, avec un effet immédiat, plusieurs mesures dont, le gel du paiement des charges financières et des obligations fiscales et parafiscales dues par les opérateurs économiques pour la période correspondant à la période de confinement.

    « Aucune sanction ou paiement de pénalités ne sera exigé de ces opérateurs durant cette période », avait ordonné le Président de la République qui a fait savoir qu’il suivait de très près ce dossier.

    Pour rappel, les mesures de confinements prises par les pouvoirs publics pour réduire la propagation du coronavirus, ont sérieusement impacté les entreprises, l’emploi et l’économie nationale. Une commission de suivi de la pandémie à même été chargé de mesurer les impacts en question.

    Le secteur bancaire s’est également mis de la partie. Dans une correspondance adressée à l’Association des banques et établissements financiers (ABEF), le ministère des Finances exhorte les banques à procéder à une évaluation objective des préjudices subis et du manque à gagner des opérateurs économiques de leurs portefeuilles, particulièrement les PME ainsi que les petits métiers, du fait de la pandémie de Covid-19.

    Cette mesure s’inscrit dans le cadre d’une contribution à l’action des pouvoirs publics dans la lutte contre l’impact économique de la crise sanitaire.

    Le ministère des Finances a tenu à rappeler que le Conseil des ministres a mis l’accent sur la nécessité de faciliter l’action des opérateurs économiques et de les accompagner durant toute la période de confinement. Et de ce fait, «aucune mesure pénalisante ne devra leur être appliquée durant cette période», ordonne le ministère.

    Brahim Salah

  • Impact de la covid-19 sur l’économie nationale: Les mesures «urgentes» du chef de l’Etat

    Impact de la covid-19 sur l’économie nationale: Les mesures «urgentes» du chef de l’Etat

    L’impact de l’épidémie du Covid 19 sur la sphère économique et financière, a fait l’objet d’un large débat au cours du dernier Conseil des ministres. Débat clôturé par un certain nombre de mesures en direction des entreprises.

    Dans une conjoncture marquée par la baisse des revenus pétroliers, la fonte du chiffre d’affaires des entreprises, et la fermeture de dizaines d’entités économiques n’arrivant pas à supporter le poids de la crise, Abdelmadjid Tebboune, Président de la République a pris des mesures audacieuses pour « soulager » les opérateurs économiques et les petits métiers.

    Des mesures destinées, en premier chef,  à atténuer la pression de la pandémie du Covid-19 sur les entreprises, les PME/PMI, les professions libérales et les petits métiers.

    A noter que lors de la réunion, tenue la semaine dernière, regroupant opérateurs économiques et partenaires sociaux autour du Premier ministre, les premières conclusions ont convergé vers « une démarche méthodologique partagée et l’identification d’axes de travail regroupant une série de mesures destinées à préserver l’emploi et à promouvoir les activités des entreprises.»

    C’est conscient des incidences de la crise sanitaire sur la vie économique et sociale, que le chef de l’Etat a fait observer que « la sphère économique était dans l’attente de facilitations de l’action entrepreneuriale et d’accompagnement dans le dépassement des effets induits par la stagnation actuelle comme conséquence de la crise sanitaire. »

    Partant, il a instruit Il a instruit le Premier ministre de prendre des mesures urgentes en faveur des opérateurs « happés » par la crise sanitaire.  A commencer par le gel du paiement des charges financières et des obligations fiscales et parafiscales dues par les opérateurs économiques pour la période correspondant à la période de confinement.

    Par ailleurs, aucune sanction ou paiement de pénalités ne sera exigé de ces opérateurs durant cette période. Il est aussi question d’évaluer « rigoureusement » les préjudices subis et les manques à gagner enregistrés par les opérateurs économiques, en particulier en ce qui concerne les petites et moyennes entreprises et les petits métiers.

    Une évaluation qui doit s’effectuer « dans un cadre transparent et éviter les fausses déclarations.» Catégorie la plus vulnérable, celle des petits métiers (chauffeurs de taxis, coiffeurs…) a bénéficié d’un intérêt particulier de la part du Conseil des ministres.

    Il s’agit de l’allocation à cette dernière d’une aide financière d’une valeur de 30.000 Dinars, pendant une période de 3 mois, sur la base d’une évaluation rigoureuse de la situation de chaque corporation pendant les 4 derniers mois.

    Un décret exécutif devra être pris à ce sujet avant la fin du mois. Le Ministre des finances a été instruit de prendre une note destinée au secteur bancaire pour s’assurer de la mise en œuvre des mesures préventives de facilitation de financements déjà prises au niveau de la Banque centrale.

    Le ministre des finances a été aussi instruit de prendre une note destinée au secteur bancaire pour s’assurer de la mise en œuvre des mesures préventives de facilitation de financements déjà prises au niveau de la Banque centrale.

     S’agissant de l’assurance des personnels de la Santé, le président de la République a souligné, à ce sujet, que cette assurance, qui vient compléter la loi de protection des professionnels de la santé, est « le moins que l’Etat pouvait faire pour montrer la reconnaissance de toute la nation à un corps qui se trouve depuis le début de la pandémie du Covid-19 sur le devant de la bataille sanitaire nationale ».

    Le président de la République a tenu à préciser, à cette occasion, que la prise en charge financière de cette prime d’assurance spéciale « vient, bien à propos, couvrir les risques encourus par les personnels de la santé publique directement concernés par la prévention et la lutte contre la pandémie du Coronavirus ».

    Brahim Salah

  • Schneider Electric s’associe à Jumia pour le E-Commerce en Algérie

    Schneider Electric s’associe à Jumia pour le E-Commerce en Algérie

    Les produits de protection de l’alimentation électrique de la marque APC by Schneider Electric sont désormais disponibles en ligne sur la plateforme Jumia,  les consommateurs et les entreprises en Algérie peuvent être livrés dans un délai d’une semaine

    La gamme de solutions de protection de l’alimentation électrique de la marque APC by Schneider Electric est désormais disponible et en vente en ligne pour les particuliers et les entreprises en Algérie, à la suite d’un accord entre les distributeurs officiels de la marque APC by Schneider Electric et Jumia, la plus grande plateforme d’E-commerce en Afrique.

    Les clients de Jumia pourront acheter les produits APC by Schneider Electric en ligne et les recevoir dans un délai d’une semaine (7 jours). L’exécution des commandes sera assurée par les deux distributeurs nationaux de la marque APC by Schneider Electric, ABM et CDMI.

    « Nous souhaitons rendre l’expérience d’achat plus simple, plus sûre et plus pratique pour nos clients en Algérie, et ce partenariat avec Jumia permettra à nos clients dans le pays d’avoir accès aux produits APC by Schneider Electric en ligne et de les recevoir dans un délai d’une semaine. Jumia a une large présence en Algérie, et c’est une plateforme en ligne fiable pour les consommateurs et les organisations pour acheter leurs produits électroniques et informatiques », a déclaré Edgard Bou-Chahine, Directeur Général de Schneider Electric Algérie et Tunisie.

    Les produits APC by Schneider Electric sont conçus pour fournir des solutions de protection et de gestion de l’alimentation électrique, de la maison au centre de données en passant par les environnements industriels.

    La gamme d’onduleurs d’APC by Schneider Electric est conçue pour être utilisée à la maison et au bureau. Ces solutions peuvent être utilisées pour fournir une protection contre les court-circuit et les coupures de courant et peuvent être utilisées avec toute une gamme d’appareils électriques et informatiques y compris les ordinateurs, les télévisions et l’éclairage.

    « Nous sommes très heureux de notre partenariat avec Schneider Electric, l’un des leaders mondiaux du secteur de l’énergie, avec qui nous partageons la conviction que les solutions numériques créent une grande valeur ajoutée pour les consommateurs en leur permettant de gagner du temps et de l’argent. Ce partenariat stratégique est une étape clé pour le développement de Jumia en Algérie », déclare Tanguy Leriche, Directeur Général Jumia Algérie.

    A propos de Schneider Electric

    Chez Schneider Electric, nous croyons que l’accès à l’énergie et au digital est un droit fondamental. A chaque instant, nous donnons à chacun le pouvoir d’utiliser au mieux son énergie et ses ressources, partout dans le monde. Life is On. Nous développons des solutions numériques combinant énergie et automatismes, pour plus d’efficacité, au service d’un monde plus durable.

    Grâce à nos technologies uniques de gestion de l’énergie, d’automatismes en temps réel, de logiciels et de services, nous proposons des solutions intégrées pour l’habitat résidentiel, les bâtiments tertiaires, les data centers, les infrastructures et les industries. Cette vision partagée, ce désir permanent d’innover au service de notre mission, sont au cœur de nos valeurs et rassemblent notre communauté de par le monde.

    Pour plus d’informations, veuillez consulter le site : https://www.se.com/d

    A propos de Jumia

    Jumia est une plate-forme E-commerce de premier plan en Afrique. Elle est construite autour d’une place marché, Jumia Logistics, et JumiaPay. La place marché aide des millions de consommateurs et de vendeurs à se connecter et à effectuer des transactions.

    Jumia Logistics permet la livraison de millions de colis grâce à son réseau de partenaires locaux. JumiaPay facilite les paiements des transactions en ligne pour l’écosystème de Jumia. Avec plus d’un milliard de personnes et 500 millions d’internautes en Afrique, Jumia estime que le E-commerce facilite la vie des gens en les aidant à faire leurs achats et à payer des millions de produits aux meilleurs prix, où qu’ils vivent.

    Le E-commerce crée également de nouvelles possibilités de croissance pour les PME et des opportunités d’emploi pour une nouvelle génération.

    Pour plus d’informations sur Jumia, veuillez consulter le site https://group.jumia.com Suivez-nous sur Twitter Jumia_Group