Catégorie : Zapping

  • Les PME en bâtiment devraient s’organiser en groupement

    Les PME en bâtiment devraient s’organiser en groupement

    Le Ministre de l’Habitat Nouredine Moussa le suggère.

    A la fin du premier trimestre 2012, plus 35.000 petites et moyennes entreprises (PME) travaillaient dans le domaine du bâtiment à l’échelle nationale.
    Nouredine Moussa qui a donné cette information à Boumerdes en marge de la journée d’étude organisée par l’Association générale des entrepreneurs algériens AGEA, consacrée à la mise à niveau des entreprises, a rappelé qu’en 2009 on comptait quelques 30.000 entreprises contre 22.000 en 2005.

    Pour le Ministre de l’Habitat si la quantité y est la qualité ne suit pas forcément «  le nombre des entreprises nationales du bâtiment de haut niveau, classées dans les catégories 5 à 7 ne dépasse pas les 350 unités  » alors que 18.000 PME sont classées dans la catégorie 1 de « faible capacité  » avec moins de 9 employés chacune, tandis que le reste des PME est classé dans la catégorie 4, avec pas plus de 30 employés par entreprise.

    L’Etat a mobilisé, au profit du secteur du bâtiment, une enveloppe de 4700 milliards de DA, à la faveur du présent quinquennat, « pour développer
    leur compétition par la création notamment de groupements d’entreprises capables de relever les défis et être au diapason de l’importance des grands projets proposés sur le marché national».

    S’agissant de la mise à niveau, Nouredine Moussa a rappelé, qu’une enveloppe de près de 386 milliards de dinars est consacrée, depuis quelques années déjà à la mise à niveau de 20.000 PME activant dans différents domaines.

    « Sur ce nombre d’entreprises, dont près de la moitié active dans le secteur du bâtiment et de l’urbanisme, seules 2000 ont introduit des demandes auprès de l’Agence nationale de soutien et de mise a niveau des PME, relevant du ministère de l’Industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement, pour bénéficier de ce programme de mise à niveau financé par l’Etat  ».

    Après avoir rappelé le protocole d’entente, signé en 8 mai 2011, entre cette agence et AGEA pour la mise à niveau de plus d’un millier d’entreprises membres, le ministre a exhorté les PME concernées, à exploiter les opportunités incitatives mises à leur disposition par l’Etat.

    Par Sabrina Mouloud   

  • NEDJMA détient 30% de parts du marché de la téléphonie mobile

    NEDJMA détient 30% de parts du marché de la téléphonie mobile

    461 millions de dollars de revenus au premier semestre 2012

    Les revenus de WTA sont passés de 384 millions au premier semestre 2012 à 461 millions de dollars au deuxième semestre de la même année, soit une augmentation de 20% durant le premier semestre 2012.

    Le chiffre d’affaires mensuel moyen réalisé par utilisateur est passé, au second  trimestre 2012, à 9,3 dollars, soit une augmentation de 9% par rapport au chiffre de 8,5 dollars réalisé durant la même période de 2011.

    C’est, ce que fait ressortir le bilan Wataniya Telecom Algerie-Nedjma, publié sur le site Internet de sa maison mère le groupe Qatar Telecom (Qtel).

    Selon cette même, le bilan fait également ressortir que les revenus de Nedjma se sont établis à 241,1 millions de dollars au premier trimestre 2012, contre 219,7 millions de dollars au premier trimestre 2011, soit une augmentation de 10 %.

    Par semestre, les revenus de WTA-Nedjma sont passés de 384 millions de dollars au premier semestre 2011 à 461 millions de dollars à la même période de 2012, soit une hausse de 20 %.

    Le nombre d’abonnés de Nedjma est passé de 8,07 millions au premier trimestre 2011 à 8,51 millions au premier trimestre 2012, alors que les investissements ont augmenté de 51% passant de 87  ,5 millions de dollars au 1er semestre 2011 à 132,5 millions de dollars au 1er semestre 2012. Soit une hausse de 51 %.

  • Transfert illégal de capitaux

    Transfert illégal de capitaux

    Vers de nouveaux mécanismes de lutte

    Le transfert illégal de capitaux à pris une ampleur importante ces dernières années.
    L’Algérie a pris des mesures pour contrer ce phénomène et participe activement à mise en place d’un mécanisme de lutte à l’échelle africaine.

    L’Algérie applique une politique très strict en matière de transferts de capitaux vers l’étranger. La règlementation en vigueur impose aux opérateurs et aux particuliers de déclarer auprès du service fiscal territorialement compétent les fonds objet du transfert. Ce passage obligé par l’administration fiscale implique, nécessairement, une identification de l’origine de ces fonds.

    Cette politique restrictive a pour objectif de lutter conter la fuite de capitaux, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Ces dernières années, la justice a traité de nombreuses affaires de transferts de fonds vers l’étranger dans lesquelles sont impliqués des particuliers. En 2009, le tribunal criminel de la Cour d’Alger a traité un dossier impliquant une cinquantaine d’individus, principalement des hommes d’affaires, accusés d’avoir transféré illégalement près de 900 millions d’euros vers l’Espagne.

    Mais il semblerait que l’essentiel des opérations illicites soit le fait d’opérateurs économiques étrangers activant en Algérie.

    Plusieurs méthodes sont utilisées pour faire sortir d’importantes sommes d’argent. La première consiste à changer au marché parallèle des fonds en dinars à les remettre à des réseaux de passeurs.

    La technique de la surfacturation, moins risquée que la précédente, serait cependant plus usitée. L’entreprise étrangère, sous prétexte d’acquérir des équipements ou des matières premières, organisent des opérations d’achats auprès de sa maison-mère. Il suffit juste de procéder à des surfacturations pour permettre aux fonds d’être transférés à l’étranger.

    C’est précisément ce dont est accusé Sanofi Aventis. Le laboratoire pharmaceutique français aurait transféré plus de 120 millions d’euros à travers ce canal. Verdict de la Cour d’Alger: une année de prison avec sursis pour le directeur général et une amende de deux milliards de dinars pour la filiale algérienne. Des enquêtes ciblant d’autres laboratoires pharmaceutiques, des banques et des groupes industriels étrangers seraient actuellement
    en cours. Les mécanismes de lutte existent bien, mais ils resteront inefficaces en l’absence de coordination internationale.

    L’enjeu est tel que l’Union Africaine a récemment décidé de lancer une initiative d’envergure continentale pour juguler ce phénomène. Le projet, qui est actuellement en phase d’étude, prévoit de renforcer le contrôle des flux financiers en coopération avec les pays membres du G20 et les principales institutions internationales.

    L’Algérie participe activement à cette initiative. El Hadi Makboul, Directeur général du Centre national pour l’étude et l’analyse de la population et le développement (CENEAP), siège au sein du groupe d’action.

    Par Rabah Nadri   

  • À Propos de la filière agro-alimentaire

    À Propos de la filière agro-alimentaire

    «Elle contribue fortement à la création de la richesse et d’emplois»

    «Le secteur de l’Industrie a réalisé 1.205 milliards de DA d’investissements durant la période 2002-2010, soit 60% du montant global des investissements réalisés dont 57% par le secteur privé» a indiqué dans un entretien accordé à l’APS, à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement,Mr Mohamed Benmeradi soutient « que le secteur privé demeure un investisseur potentiel qui contribue fortement à la création de la richesse et d’emplois  et qui réalise des progrès significatifs en termes d’investissements ».

    Pour le ministre la concentration du secteur privé sur certaines filières comme l’artisanat et l’agroalimentaire s’explique par le fait que ces filières sont « très profitables, pas très capitalistiques, à faible niveau technologique et de main d’oeuvre  »

    L’investissement dans ces filières « ne requiert pas de ce fait la mobilisation de ressources financières importantes tout en ayant un retour rapide sur l’investissement  »

    Pour rappel, un tiers de la valeur ajoutée du secteur industriel (plus 197 milliards de DA) est généré par les industries agroalimentaires, qui emploient plus de 145.000 personnes, soit 40% de la population active industrielle exerçant dans plus de 24.000 entreprises.

    Par Sarah Chabi   

  • PME du BTPH et la fiscalité

    PME du BTPH et la fiscalité

    L’AGEA suggère que le taux de la TAP soit ramené de 2% à 1%.

    Premier pourvoyeur d’emplois en Algérie, le secteur du bâtiment rencontre d’énormes contraintes qui l’empêchent d’avancer et de prospérer.

    Et la fiscalité est l’une des principales embuches.

    Le constat est fait par l ’Association générale des entrepreneurs algériens AGEA L’Association a fait savoir par la voix de son président, qu’elle a transmis aux pouvoirs publics des propositions visant à alléger la fiscalité pour les PME du bâtiment notamment une réduction de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP) afin de leur permettre d’améliorer leur compétitivité

    « le taux de la TAP soit ramené de 2% à 1% pour améliorer la situation des entreprises de BTPH qui peinent à s’adapter au contexte économique national  »

    dira Mouloud Kheloufi en marge d’une réunion du bureau national de l’AGEA tenue début juillet .

  • GICA  : 15 nouvelles stations de Béton prêt à l’emploi

    GICA  : 15 nouvelles stations de Béton prêt à l’emploi

    « GICA est en cours de lancement d’avis d’appels d’offres et d’élaboration de cahiers des charges pour la réalisation de 15 stations de Béton prêt à l’emploi BPE, qui seront opérationnelles durant le premier semestre 2013  » , a déclaré à l’APS un responsable de GICA, sans donner de détails sur la capacité de production de ces stations.

    La filière du BPE est le nouveau créneau de GICA, qui a lancé des projets pour l’élargissement de son activité à la production de granulat, nécessaire pour la fabrication du BPE.

  • Un pôle de biotechnologie en algérie à l’horizon 2020

    Un pôle de biotechnologie en algérie à l’horizon 2020

    Entre défi, rêve et illusion

    L’Algérie ambitionne de disposer pour son pôle de biotechnologie du même standing que ceux de Boston, d’Ireland et Singapour à l’horizon 2020.
    Ce pôle, fruit du partenariat algéro-américain, sera implanté à Sidi-Abdellah (Alger) et dédié à la recherche scientifique et médicale ainsi qu’à la production de produits pharmaceutiques.

    Un mégaprojet en somme, devant couvrir la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA) en matière de fabrication et d’approvisionnement en médicaments
    notamment, s’il arrive à se concrétiser.
    Il faut relever au passage que les Etats-Unis d’Amérique ont mis une centaine d’années pour bâtir le pôle biotechnologique de Boston, appelé communément «le Davos de la biotechnologie», l’Ireland cinquante ans et Singapour trente ans. Celui de l’Algérie devrait être le 4e en la matière dans le monde.

    Toutefois, l’entreprise n’est pas de tout repos au vu de l’étude de faisabilité effectuée sur l’environnement socio-économique en Algérie par le bureau d’expertise international Deloitte, pour le compte des Américains.
    Au terme de cette étude, un rapport de 200 pages a été établi avec 88 recommandations que l’Algérie devrait prendre en compte pour prétendre bénéficier d’un pôle de biotechnologie.

    L’étude a fait ressortir que l’économie algérienne est fortement dépendante des hydrocarbures. Le taux de diplômés en Algérie dans les filières scientifique est de moins 1%, alors qu’il y a un accroissement dans les dépenses de santé et une faible participation du secteur privé.

    Les lois sur l’actionnariat des étrangers ou le principe de 49/51% est considéré comme un aspect ralentissant les investissements étrangers, malgré l’existence d’un grand potentiel en Algérie, note le même document.
    Le rapport recommande aussi de faciliter l’entrée de produits innovants en Algérie dans la mesure oû le futur pôle biotechnologique ne pourrait pas tout produire localement. Pour ce qui est du taux de croissance des essais cliniques, considéré comme une première échelle de valeurs au sein des pôles de biotechnologie, une étude comparative a fait ressortir qu’en 2011 Singapour a réalisé 686 essais cliniques, l’Irelande 457 et Boston 5 210 contre 28 en Algérie.

    L’étude a déploré aussi le faible taux de fabricants de médicaments en Algérie qui auraient pu intégrer le futur pôle biotechnologique. Cette expertise s’est également intéressée dans ses recommandations à la stabilité, la transparence et la prévisibilité réglementaires.

    Dans son rapport, ce bureau d’expertise a notamment insisté sur les ressources humaines et la valorisation des compétences en Algérie. Il est ainsi recommandé d’accroître le partenariat en Algérie entre l’industrie et l’université ainsi qu’avec des instituts internationaux, d’aller vers une réglementation assurant la libéralisation des prix, l’actionnariat et les droits de propriété intellectuelle, selon les standards internationaux.

    Autant de «conditions» que l’Algérie, où les moyens financiers ne manquent pas, doit satisfaire pour prétendre à un pôle de biotechnologie de la même envergure que les trois autres existant de par le monde. Le rêve est permis, mais le défi est difficile à relever tant le parcours est semé d’embûches.

    Par Aïssa Benmedia   

  • Baisse de 10,5% de la facture alimentaire de l’Algérie

    Baisse de 10,5% de la facture alimentaire de l’Algérie

    Les chiffres concernent les quatre premiers mois de 2012

    La facture alimentaire de l’Algérie a enregistré une importante baisse de 10,51 % durant les quatre premiers mois de 2012 par rapport à la même période de l’année dernière, a-t-on appris lundi auprès des Douanes algériennes.

    La facture des produits alimentaires, qui occupe la troisième position dans la structure des importations algériennes (19,1%), a diminué de 324 millions
    usd, passant de 3,08 milliards usd durant les quatre premiers mois de 2011 à 2,76 milliards usd, selon les chiffres du Centre national de l’informatique
    et des statistiques des Douanes (Cnis) obtenus par l’APS.

    Ce recul de la facture alimentaire est le résultat d’une baisse des différents produits importés, notamment le blé dont le montant est passé de 872,56 millions usd à 640,26 millions usd, soit une baisse de plus de 26,6%, note le Cnis.

    Les importations algériennes ont enregistré une baisse générale de 7,40%.

    Trois groupes de produits sur les sept qui constituent la structure ont enregistré des baisses : il s’agit des biens d’équipements industriels qui se sont établis à 4,35 mds usd (-25,83%), les biens d’équipements agricoles (98 millions usd, -42,01%), les biens alimentaires (près de 2,76 millions usd, -10,51%) et les demi-produits (3,38 mds usd, -3,72%), indique la même source.

  • Nouvelles zones industrielles : 42 plans cadastraux à la signature

    Nouvelles zones industrielles : 42 plans cadastraux à la signature

    Le Conseil national de l’investissement (CNI) a chargé l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière (Aniref) de la réalisation d’un programme d’aménagement de 42 zones industrielles de nouvelle génération réparties à travers le territoire national.

    L’Aniref, qui donne l’information par un communiqué, rappelle que la réalisation de ce programme vient en application des mesures arrêtées par le Conseil des ministres du 22 février 2011 consacré à la dynamisation de l’investissement qui avait décidé «la mise en place d’un concours budgétaire et d’un crédit à long terme à travers le Fonds national d’investissement pour la réalisation de 30 nouvelles zones industrielles totalisant près de 4 000 ha à travers le pays Cette même source indique que ce programme d’intérêt général vise à produire 9 572 ha de terrains industriels qui vont exercer une action salutaire sur la demande foncière et contribuer de manière significative, à terme, à diminuer la tension qui s’exerce sur le marché du foncier destiné à l’investissement.

    L’Aniref précise que la mise en oeuvre de cet important programme s’est traduite par le lancement de multiples actions initiées en étroite collaboration avec les services concernés du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement dans le cadre de la mise en oeuvre du processus d’aménagement de ces zones.

    Ces nouvelles zones industrielles sont localisées en grande partie le long des axes structurants à l’instar de l’autoroute Est-Ouest et de la future rocade des Hauts-Plateaux, mais également au Sud et cela en conformité avec le schéma national d’aménagement du territoire SNAT 2030.

    Ainsi au titre de la maîtrise foncière des assiettes de terrains, il a été procédé à l’élaboration des 42 procès-verbaux de choix des terrains, à la finalisation des 42 plans cadastraux, à la signature par le ministre de l’Industrie des arrêtés portant création de ces zones industrielles et à la formalisation par les commissions de wilayas concernées des dossiers de déclassement des terres agricoles.

    Pour rappel, l’Aniref a initié le développement d’un Système d’information géographique (SIG) pour gérer le processus de réalisation du programme.

    Par Rabah Nadri   

  • Énergies Renouvelables : La GTP se lance dans la fabrication de chauffe-eaux solaires

    Énergies Renouvelables : La GTP se lance dans la fabrication de chauffe-eaux solaires

    L’Entreprise nationale des grands travaux pétroliers (GTP), filiale du groupe Sonatrach, a présenté dernièrement à Alger son prototype de chauffe-eau solaire à grande capacité, confirmant ainsi son ambition de se lancer dans cette application liée au développement des énergies renouvelables.

    Le premier prototype de ce kit d’une capacité de 200 litres a été présenté lors d’une cérémonie tenue au siège de GTP à Reghaïa en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, et du PDG de Sonatrach, Abdelhamid Zerguine.

    Ce dispositif, le premier du genre totalement fabriqué en Algérie, fonctionne selon un système à thermosiphon, c’est-à-dire en deux circuits fermés afin d’empêcher le liquide caloporteur (de chauffage) d’entrer en contact avec l’eau sanitaire et la maintenir chaude même quand l’ensoleillement est limité.

    La température maximale de l’eau produite par cet appareil est de 90° C au bout de trois heures d’ensoleillement, a-t-on expliqué. Le coût de fabrication de l’appareil est de 135 000 dinars et pourrait être réduit à 112 300 DA avec une fabrication annuelle moyenne de 2 500 unités.

    Les kits produits par GTP seront destinés, dans un premier temps, à répondre aux besoins des structures industrielles, administratives et socioprofessionnelles des compagnies pétrolières opérant dans le sud, selon le PDG de cette entreprise, Mohamed Seghir Laouissi.

    le ministre a, par ailleurs, appelé à établir une alliance entre les chercheurs et les industriels afin de développer la fabrication locale d’équipements d’usage domestique et industriel comme les climatiseurs et les installations de dessalement d’eaux saumâtres fonctionnant en énergie solaire.

    Par Sarah Chabi