Catégorie : DZentreprise

  • Société El Khabar : la majorité des actions pour SPA Nessprod, propriété d’Issaad Rabrab

    Société El Khabar : la majorité des actions pour SPA Nessprod, propriété d’Issaad Rabrab

    C’est désormais la SPA Nessprod, propriété de l’homme d’affaires Issaad Rabrab, qui détient la majorité des actions détenues auparavant par  la société par actions  « El Khabar ». Le nouveau patron  d’El Khabar a du débourser plus de 4 milliards de dinars, soit exactement 4 060 797 500  dinars pour acquérir la quasi totalité des 2876 actions.

  • Collecte des ordures ménagères : Extra Net veut renforcer ses capacités managériales

    Collecte des ordures ménagères : Extra Net veut renforcer ses capacités managériales

    L’EPIC Extra Net, chargée de la collecte des ordures ménagères des 31 communes algéroises situées en extra muros, est à la recherche de bureaux d’étude spécialisés et de capacité d’expertises pour l’élaboration d’une organisation performante et moderne qui l’accompagnera dans le renforcement de  ses capacités managériales pour les missions de collecte et de transport des déchets ménagers et le nettoiement des communes relevant de la compétence d’Extra Net.

  • Le nouveau code de l’investissement devra aboutir avant fin juin

    Le nouveau code de l’investissement devra aboutir avant fin juin

    Le projet de code de l’investissement, dont le texte est en cours d’examen par l’Assemblée populaire nationale (APN), devra aboutir avant juin prochain, a indiqué, dimanche à Abu Dhabi, le ministre de l’Industrie et des mines, Abdessalam Bouchouareb.

    « Le gouvernement algérien a accéléré, durant ces deux dernières années, les réformes économiques pour booster l’économie, dont le nouveau code de l’investissement et de nouvelles mesures pour attirer les investissements, qui devront aboutir durant le premier semestre 2016 », a-t-il affirmé lors de l’ouverture du premier forum d’affaires algéro-émirati tenu dimanche à Abu Dhabi.

    Cette refonte du cadre juridique régissant l’investissement en Algérie s’inscrit, a rappelé M. Bouchouareb, dans le cadre de la politique du gouvernement à diversifier l’économie nationale dans une logique d’import-substitution.

    Le ministre avait présenté, début avril en cours, le projet de révision de la loi sur l’investissement devant la Commission des affaires économiques de l’APN, rappelle-t-on.

    En plus de ce projet, des textes devront être promulgués qui porteront sur les modalités d’application de certaines mesures ne pouvant être incluses dans ce code telles des dispositions des lois de finances ou des recommandations du Doing Business pour améliorer le climat des affaires, explique-t-on.

    A titre d’exemple, il s’agit d’introduire des dispositions facilitant le financement des PME, de stimuler leur compétitivité, de développer l’activité de la sous-traitance et d’adapter les politiques de la formation professionnelle.

    Annoncé depuis l’été 2014, le projet de code de l’investissement devra apporter plusieurs facilitations pour encourager l’industrie nationale en améliorant le climat des affaires.

    Il portera sur quatre volets essentiels: simplification des procédures, adéquation entre le système d’incitations et la politique économique, ajustement du cadre de régulation des Investissements directs étrangers (IDE) et révision du statut et des missions de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) laquelle devra jouer le rôle d’accompagnateur à l’investissement.

    L’actuelle loi sur l’investissement a été promulguée en 2001 et a été modifiée une douzaine de fois.

    APS

  • Batna: 27 millions de m3 stocké au barrage de Koudiat Medouar

    Batna: 27 millions de m3 stocké au barrage de Koudiat Medouar

     Le volume d’eau du barrage de Koudiat Medouar (Batna) a atteint ce mois d’avril, 27 millions de m3, enregistrant une « augmentation sensible », a indiqué le directeur des ressources en eau, Abdelkrim Chebri.

    Les récentes précipitations et les transferts quotidiens de 40.000 m3 provenant du barrage géant de Beni-Haroun (Mila) dans le cadre de « la ligne verte d’urgence », ont  contribué à l’augmentation du volume d’eau stocké qui est passé de 23 millions de m3 à 27 millions, a précisé le même responsable.

    Affirmant que l’abondance de la neige  sur les montagnes de la capitale des Aurès a considérablement changée la donne, cette saison, M. Chebri a indiqué que le volume d’eau  stocké permettra de « résorber une partie du déficit »

    enregistré dans la distribution d’eau potable au profit, notamment, au chef lieu de la wilaya, et dans les communes d’Arris, de Barika et d’Ain Touta.

    Le barrage de Koudiet Medouar, situé non loin de la commune de Timgad, d’une capacité globale de 74 millions m3, avait atteint ses plus bas niveaux depuis son inauguration en 2003, du fait de la sécheresse qui a frappé la wilaya de Batna durant les deux dernières années.

    Une situation qui avait nécessité l’engagement, par les pouvoirs publics, d’un projet portant sur une « ligne verte d’urgence » pour un transfert hydraulique à partir du barrage de Beni Haroun.

    L’achèvement des travaux de la  seconde tranche de ce projet permettra de résorber « définitivement » le déficit enregistré dans la wilaya de Batna en matière d’alimentation en eau potable, affirment les responsables du secteur de l’hydraulique.

  • Djazagro 2016 : pour la mise en valeur du produit algérien

    Djazagro 2016 : pour la mise en valeur du produit algérien

    Le 14ème  Salon international de l’agroalimentaire (Djazagro 2016) se tiendra du 18 au 21 avril 2016 au Palais des Expositions de la Safex,  à Alger. Cette édition 2016 réunira 700 exposants, d’une trentaine de pays, sur une superficie de plus de 18 000 m²

    Djazagro 2016 va contribuer à la promotion de la production algérienne à travers des nouveautés mettant en valeur le produit national, avait indiqué en novembre dernier, à Alger, le directeur de cette manifestation professionnelle, Christophe Painvin.

    Les organisateurs vont faire venir des groupes d’acheteurs du Maghreb et d’Afrique pour découvrir le produit algérien et tisser des relations commerciales avec les producteurs nationaux.

    « Nous allons payer la venue de groupes d’opérateurs du Bénin, du Sénégal de la Côte d’Ivoire et du Maghreb pour visiter le salon et découvrir le produit made in Bladi afin de permettre aux producteurs algériens d’exporter vers ces pays », avait affirmé ce responsable.

  • Akram Khelifati , artiste peintre céramiste: « J’ai toujours baigné dans le monde de l’art »

    Akram Khelifati , artiste peintre céramiste: « J’ai toujours baigné dans le monde de l’art »

    Par Khadidja Mohamed Bouziane

    Il a toujours  vécu entouré de tableaux et d’œuvres d’art. Entre  la galerie d’art de son père et l’atelier d’encadrement que possède sa mère, il a côtoyé  l’art sous toutes ses formes.  Les nombreux  dessins qu’il faisait alors pour décorer  sa chambre prouvent son penchant naturel pour la peinture. « Un jour, ma mère s’est amusée à encadrer l’un de mes dessins et l’a laissé dans son atelier. Ce dessin a attiré l’attention d’une cliente qui l’a beaucoup aimé. Cet intérêt pour mon dessin m’a encouragé à persévérer dans cette voie » se rappelle Akram Khelifati  qui, qui a pourtant choisi de faire des études dans le domaine des finances.

     

    Couleurs éclatantes, scintillement des fils  d’or, motifs s’inspirant de l’orient, Akram a fini par trouver  son propre style que ce soit pour peindre des tableaux ou décorer différents objets de céramique, bonbonnières, vases, lampadaires, boites.  Un style qui ne ressemble à aucun autre. «  Je ne m’identifie pas à une école précise. Au fil du temps et des innovations j’ai fini par me sentir à l’aise dans l’oriental moderne. J’utilise la technique mixte  en recourant à  différentes peintures et des collages de fils d’or » nous explique t-il. Le bleu éclatant reste la couleur dominante de ses tableaux même si cette tendance varie parfois selon les commandes et aussi selon ses propres inspirations. « Les couleurs de mes œuvres dépendent des commandes que je reçois, mais aussi des périodes que je traverse  et de mes inspirations ».  Son inspiration, Akram la puise dans ses voyages qui sont un vrai enrichissement pour les thèmes de ses œuvres mais aussi pour le choix des couleurs. Si l’art est un don pour Akram, il n’a pas étudié à l’école des beaux-arts et a préféré avoir un diplôme dans le commerce, il n’en demeure pas moins qu’il en a fait sa carrière professionnelle. « En 2009, quand j’ai décroché mon diplôme, j’ai travaillé en tant que comptable pendant trois mois. Cette période a été suffisante pour nous faire comprendre mon employeur et moi que je n’étais pas fait pour ce métier ». Après cette brève  expérience professionnelle, Akram reprend le chemin de la peinture, son premier penchant. Il ouvre alors sa galerie « terre des arts ».  Commence alors une période où l’artiste se met à la peinture sur verre d’abord puis l’abandonne pour la peinture sur toile et la céramique. C’est à travers ces tâtonnements qu’il a fini par trouver son propre style.  Depuis, il travaille sans car, avoir choisi une  carrière professionnelle artistique  ne signifie nullement  que c’est un travail de tout repos. « Je m’impose des horaires de bureau. Le matin, je commence vers 7heures 30, et le soir, il m’arrive de travailler au-delà de 20 heures surtout durant les périodes où je dois terminer des commandes ». Ces périodes se situent la plupart du temps dans les trois derniers mois de l’année à savoir, octobre, novembre, décembre. «  Durant cette période, je travaille avec les entreprises qui passent des commandes pour les cadeaux de fin d’année. Les particuliers aussi sont dans l’esprit d’acheter  et d’offrir des cadeaux. Résultat, je me retrouve à travailler plus que pendant toute l’année. Passée cette période, je passe mon temps dans mon atelier à innover et essayer de nouvelles techniques  ».  Les commandes nous précise l’artiste se font le plus souvent pour les pièces de céramique. « C’est un peu normal, une pièce de  céramique coûte moins cher qu’un tableau qui exige de la toile et des matériaux sans oublier l’encadrement. Et, c’est dans la céramique que les problèmes se posent le plus car la matière première, l’argile blanche est importée mais aussi les couleurs pour sa décoration. S’il y a une rupture de stock de la matière première, c’est l’arrêt de la fabrication ». Mais, il faut reconnaître que si la disponibilité de la matière première gêne l’artiste, elle est souvent temporaire. Ce qui le gêne le plus c’est l’absence de la main d’œuvre pour l’aider. «  Le problème se pose après la fabrication du biscuit par le potier.  Passée cette étape, il faut poncer l’objet, l’essuyer et l’enfourner pendant 10 heures dans un four chauffé à 1000 degrés. Après sa sortie du four, l’objet doit refroidir pendant 20 heures avant d’être décoré. Je voudrais trouver une ou deux personnes pour s’occuper de ces tâches que  j’accomplis  actuellement et qui m’empêchent de faire beaucoup de pièces car, c’est un travail prenant. Or, je n’arrive pas à trouver quelqu’un pour le faire ». En attendant de trouver une personne pour le seconder, Akram à faire ce travail mais aussi, à innover quand la cadence des commandes ralentit. « Cela me permet de proposer à chaque fois de nouveaux thèmes et une technique différente ». En plus des commandes faites par les entreprises, le salon de l’artisanat constitue généralement une bonne opportunité pour l’artiste qui affirme y  réaliser parfois  des ventes intéressantes. « De plus,  beaucoup de gens découvrent mes œuvres à travers ce salon. Certains achètent sur place, d’autres font des commandes ou passent me voir à la galerie. C’est de cette façon que les choses se passent. Le bouche à  oreille fonctionne assez bien aussi. Par exemple une personne qui apprécie mon travail envoie une autre personne de son entourage et ainsi de suite. C’est pour cette raison qu’il serait plus intéressant pour les artistes qu’il y ait au moins deux éditions du salon de l’artisanat » affirme Akram qui a été obligé, par manque de stationnement et donc de clients, de fermer sa propre galerie et,  dispose actuellement d’un espace dans la galerie d’art de son père.

     

  • Mostaganem: grande affluence sur la pomme de terre de saison

    Mostaganem: grande affluence sur la pomme de terre de saison

    Les exploitations agricoles dans les communes de Sirat et de Bouguirat (Mostaganem) connues pour leur production abondante de pomme de terre, connaissent ces derniers jours une « grande affluence » des commerçants de plusieurs régions du pays pour l’achat de la pomme de terre de saison, a-t-on appris mercredi du directeur des services agricoles.

    Les marchés de la wilaya ont commencé, au début avril, à accueillir les premières quantités de cette récolte. Mostaganem figure parmi les premières wilayas du pays dans la production de ce tubercule à large consommation, a indiqué Abdelkader Mouissi.

    Il a précisé que le prix du kilogramme dans les champs et les exploitations agricoles varie entre 35 et plus de 40 DA pour atterrir à 50 DA au consommateur. Quelque 200.000 quintaux de ce tubercule ont été récoltés à ce jour sur une superficie de 750 hectares, notamment dans les communes de Sirat, Bouguirat, Hassi Mameche, Ain Nouissy et Ain Tédelès.

    L’opération se poursuit jusqu’au mois de mai prochain, selon M. Mouissi qui a ajouté que la réception de ces premières quantités contribuera sans doute à la baisse des prix de la pomme de terre à moins de 40 DA.

    La direction des services agricoles (DSA) de la wilaya prévoit une production de 3 millions de quintaux de pomme de terre de saison cette année sur une superficie globale de 9.000 ha.

    Un rendement variant entre 250 et 300 qx à l’hectare est attendu et en cas du respect de l’agriculteur du parcours technique et de l’irrigation goutte à goutte, il pourra atteindre 600 qx/ha.

    Le directeur du secteur a signalé la plantation, par an, d’une superficie globale variant entre 13.000 et 15.000 ha de pomme de terre (primeur, de saison et d’arrière-saison), ajoutant que la production est en hausse permanente d’une année à une autre, à la faveur de l’extension de la superficie et la maitrise du parcours technique de cette filière.

    APS

  • Le Ministre de l’Industrie et des Mines reçoit une délégation du Groupe Sovac

    Le Ministre de l’Industrie et des Mines reçoit une délégation du Groupe Sovac

    Le ministre de l’Industrie et des Mines M Abdesselam Bouchouareb a reçu dans la matinée d’aujourd’hui, une délégation du groupe Sovac Algérie, à sa tête M.Mourad Oulmi, afin de s’enquérir de l’avancement des négociations au sein de la commission mixte chargée du suivi du projet de production des véhicules par le groupe SOVAC, en partenariat avec le Groupe Volkswagen. En perspective de la prochaine visite d’une nouvelle délégation du Groupe Volkswagen pour la finalisation du dossier, le ministre a d’abord confirmé le choix de la Wilaya de Relizane pour abriter ce projet de grande envergure. En vue de l’importance du projet et de l’engagement du Groupe Volkswagen à produire plusieurs modèles dès la première année, le Ministre s’est personnellement engagé à suivre l’avancement du projet jusqu’à la sortie de la première voiture Volkswagen Made In Algeria, durant le premier semestre de l’année 2017. M. Abdesselam Bouchouareb a également assuré la levée de toutes les contraintes administratives qui risquent de retarder l’avancement du projet. « Cette nouvelle rencontre nous permet de bien avancer. Nous sommes rassurés que les négociations évoluent vite et que nous allons atteindre l’objectif que nous nous sommes assignés, à savoir présenter la première voiture Volkswagen au prochain Salon de l’automobile d’Alger » a déclaré M. Oulmi, président Directeur Général du Groupe Sovac. Communiqué Sovac

  • Toyota Algérie : Franc succès des Toyota Material Handling.

    Ouvert au aux professionnels du secteur du bâtiment et des matériaux de construction, le «Batimatec 2014» aura été une aubaine pour Toyota Algérie qui avait mis en avant ses différents produits destinés au secteur des BTP.

    Avec Hino, Toyota Algérie a exposé les différentes déclinaisons du camion dans ses différents tonnages alors que les chariots élévateurs Toyota Material Handling, lancés depuis octobre dernier, rencontrent un franc succès, selon le représentant de la marque japonaise.

    Conçue pour les applications en extérieur, la gamme de chariots élévateurs proposée par Toyota Algérie est composée de deux modèles FGZN et FDZN Series avec capacité de levage de 2 à 3 tonnes.

    Quant aux produits Toyota proprement dit, le Hilux, roi des pick-up sur le marché des années, continue à faire les beaux jours de nombreux entrepreneurs grâce à ses grandes qualités de pick-up infatigable et la fiabilité japonaise.

  • Nouvelle GOLF VII

    Nouvelle GOLF VII

    Toujours recommencer sans jamais se répéter

    La nouvelle Golf est arrivée. Avec cette septième génération, Volkswagen continue de faire de la Golf un véhicule de référence en termes de confort et de fiabilité.

    On ne change pas une formule gagnante. La Golf VII est l’exemple parfait d’un processus de développement technique et technologique initié en 1974. Quarante ans plus tard, malgré des changements évidents, l’esprit Golf reste le même.

    La septième génération porte en elle l’ADN de ses ascendantes. Les designers de Volkswagen ont appliqué un principe cher au constructeur allemand : recommencer sans se répéter.

    Plus généreuse en termes de proportions que la version précédente, la Golf VII gagne également en dynamisme du fait de l’abaissement de la portée du pavillon. Il faut dire qu’elle a subi un régime drastique qui lui a fait perdre 100 kg comparativement à la Golf VI!

    Une prouesse que les ingénieurs ont réalisé en ôtant 60 kg sur les systèmes électriques, 40 kg sur les sous-groupes, moins 26 kg sur le châssis et 37 kg pour la superstructure.

    Il est évident que tout cela est le fruit de longues recherches sans avoir de répercussions négatives sur la sécurité, voire même sur les capacités du véhicule. Bien au contraire. La Golf VII a gagné en puissance, en agilité et même en efficacité énergétique.

    En effet, l’économie de carburant est estimée à 23% (4,9 l par 100 km en version essence et 3,8 l par 100 km en version diesel) comparativement à la sixième génération. Volkswagen semble avoir décidé de monter en gamme concernant tous les aspects liés à la vie à bord.

    Résolument plus confortable, cette nouvelle version dispose d’une multitude d’options. Certaines sont même disponibles dès le premier niveau de finition, à l’instar de l’écran tactile.

    Pour ce qui est de l’assistance à la conduite, Volkswagen a équipé certaines versions de sa Golf VII d’un système centralisé qui gère les paramètres variables.

    Installée sur l’Audi A3, ce système permet de choisir entre 4 modes : Confort, Normal, Sport, Eco ou Personnalisé.
    Une fois actionné, le puissant calculateur électronique se charge de réguler la conduite, la vitesse, la direction et l’amortissement.

    Sous le capot, la septième génération est équipée d’une motorisation essence 1.4 TSI ou d’une motorisation Diesel 2.0 TDI DSG.

    La Golf VII sera disponible en Algérie dès le début de l’année 2013. Pour les prix, il faudra encore patienter quelques semaines.