Au pavillon dédié entièrement aux startups et leurs activités, à la 53ème Foire internationale d’Alger (FIA 2022), une convention de partenariat a été signée, ce jeudi, entre l’accélérateur public «Algeria Venture» et Google for Startups.
La convention de partenariat entre l’accélérateur public «Algeria Venture» et Google for Startups a été signée par Sid Ali Zerrouki, le directeur général d’Algeria Venture, et le responsable de l’écosystème des développeurs de Google dans la région MENA, Salim Abid, en présence du ministre délégué chargé de l’Economie de la connaissance et des Startups, Yacine Oualid.
Ce partenariat est considéré de grande importance du fait qu’il met en relation l’accélérateur algérien avec un des plus grands accélérateurs de startups au monde. En effet, apprend-on, Google for Startups est une branche de Google qui exploite un accélérateur de startups mondial et d’autres programmes qui aident les startups à se développer.
Allant dans le détail, les deux nouveaux partenaires expliquent que cette relation avec Google for Startups permettra à Algeria Venture et les startups algériennes d’accéder à des informations et tirer parti des ressources. Il est question notamment de formation.
A ce propos, 120 startups seront formées chaque année au Design Thinking. 30 autres seront impliquées dans un programme d’accélérateur complet. Algeria Venture accédera également au réseau mondial de Google, aux informations d’un certain nombre de programmes de démarrage et aux meilleures pratiques.
Et une convention avec MentorGate
A la même occasion, une autre convention a été signée entre le même accélérateur public «Algeria Venture» un réseau incubateur et accélérateur de startups présent dans plus de 18 pays à travers le monde, appelé «MentorGate».
Elle a été signée par Sid Ali Zerrouki et Mohamed Serri, respectivement directeur général d’Algeria Venture et représentant de MentorGate, également sous la supervision du ministre, Yacine Oualid, auquel s’est joint, dans l’après-midi, le ministre de la Poste et des Télécommunications, Karim Bibi Triki.
De ce deuxième partenariat, rapporte M. Zerrouki, il est attendu que les startups algériennes puissent s’étendre à l’international, exporter leurs produits et services, ainsi que créer des filiales à l’étranger, tout en attirant des investissements dans le pays.
Sonia Miloud
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