Résultats de recherche pour « entrepreneuriat social »

  • Impact-Work: L’Algérie au cœur du programme

    Impact-Work: L’Algérie au cœur du programme

    L’Algérie sera au cœur de la deuxième phase du programme d’entrepreneuriat social Impact-Work.

    Cette nouvelle édition d’Impact-Work inclura la Tunisie le Maroc, et pour la première fois le Sénégal avec l’ambition d’impacter plus de 4000 jeunes dans la région.

    Selon un communiqué rendu public par les organisateurs, après le franc succès de la première phase lancée en octobre 2016, Enactus et la Fondation Citi s’associent pour lancer la deuxième phase du programme d’entrepreneuriat social conçu dans l’optique d’autonomiser les jeunes en les appuyant dans le développement des compétences nécessaires en matière de business, tout en leur permettant de transformer leurs projets en startups à fort impact social, et ce, grâce à des programmes de formation, d’encadrement et d’accompagnement.

    4000 jeunes étudiants vont bénéficier du programme Impact-Work

    En Algérie, comme en Tunisie, ce sont en effet plus de 4 000 jeunes étudiants universitaires âgés de 18 à 25 ans qui vont bénéficier de ce programme en créant, en développant et mettant en œuvre des projets d’entrepreneuriat social et qui seront implémentés dans divers secteurs d’activités  impactant ainsi positivement leurs communautés.

    La deuxième édition du programme Impact-Work a pour focus plusieurs villes d’Algérie avec l’ambition de mobiliser et accompagner 4000 autres étudiants, pour le développement d’une cinquantaine d’idées de projet.

    L’employabilité est également au cœur du programme à travers l’accompagnement des entreprises et la création des emplois.

    Pour rappel,  Impact-Work » fait partie de l’approche globale de la Fondation Citi intitulée «Pathways to Progress » (les voies du progrès), visant à préparer la jeunesse à se développer dans l’économie actuelle.

    Ce programme est la réponse à l’échelle globale de la banque américaine Citi au problème persistant du chômage des jeunes dans le monde. «Pathways to Progress » est l’engagement philanthropique le plus important de Citi qui se base sur le renforcement des capacités des jeunes urbains afin d’améliorer la vie de 500.000 jeunes dans le monde d’ici 2020.

    Cela fera dire à la présidente de la Fondation Citi, Brandee McHale, que «ce programme témoigne des incroyables réalisations qui peuvent résulter de l’exploitation de l’esprit d’entrepreneuriat chez les jeunes. Ce programme aura permis aux jeunes d’être des leaders dans leurs communautés, en les aidant à développer des idées qui répondent aux besoins sociaux et environnementaux locaux».

    Idem pour le président et CEO d’Enactus, Rachel Jarosh, qui estime que é ce programme démontre les exploits incroyables pouvant résulter de l’exploitation de l’esprit d’entreprise par les jeunes. Ce programme a permis aux jeunes de devenir des leaders, en les aidant à mettre en place des idées répondant aux besoins des communautés dans la région».

    Rabah Nadri

  • Orange Corners Algeria : Clôture de la 3eme édition de formation

    Orange Corners Algeria : Clôture de la 3eme édition de formation

    Outre l’accompagnement sur le plan de la formation, les entreprises incubées pourraient prétendre aux financements nécessaires à leur développement grâce aux contacts et aux connexions que le programme d’Orange Corners permet.

    Orange Corners Algeria, programme d’incubation pour startups, a clôturé sa troisième édition lors d’une cérémonie organisée à Alger, en présence des porteurs de projets activant dans le domaine de l’entreprenariat social.

    Pas moins de 346 candidatures ont été reçues pour cette troisième édition, issues de 47 wilayas, selon les chiffres fournis par les responsables de ce programme. Quelque 25 «incubés » ont été accompagnés à travers l’organisation de 16 formations et de 9 master-class, selon la même source.

    Parrainé par l’Ambassade du Royaume des Pays-Bas en Algérie, en partenariat avec le Centre Algérien d’Entrepreneuriat Social (Algerian Center For Social Entrepreneurship – ACSE), le programme Orange Corners Algeria a permis durant six mois à ces jeunes auto-entrepreneurs de mieux penser leurs projets, dont certains ont plusieurs années d’existence, leur management, etc.

     «Ce programme est l’initiative du ministère des Affaires étrangères du Royaume des Pays-Bas consistant à soutenir les solutions innovantes et qui s’inscrit dans la politique de notre pays et répond aussi aux objectifs de l’Onu pour créer un écosystème entrepreneurial», explique d’emblée madame Manon Janssen, Chargée d’affaires à l’ambassade des Pays-Bas en Algérie, expliquant dans son allocution que «favoriser l’entreprenariat fait partie de notre politique pour une société durable et plus prospère. Et c’est pour ça que nous encourageons les jeunes à transformer les bonnes idées en solutions durables».

    Le programme Orange Corners Algéria, qui a débuté en 2020, constitue, selon Mme Janssen, «une passerelle pour mettre en connexion les entreprises ». Et de l’avis des jeunes participants à ce cycle d’incubation, ce programme a été bénéfique pour eux à plus d’un titre. Durant presque trois heures, les participants à ce programme ont présenté leurs projets et ce que cette formation leur apporté.

    Des cours et des séances de coaching ont été menés à destination des jeunes entrepreneurs dans le domaine de l’écotourisme, dans la qualité et l’économie d’énergie, l’esthétique et le fonctionnement des entreprises, explique pour sa part madame Meriem Benslama, directrice de l’ACSE, dont l’existence remonte à 2016 et qui a, à son actif des dizaines de jeunes entreprises accompagnées dans les domaines les énergies renouvelables, l’artisanat, l’éducation, la revalorisation des déchets, la transformation alimentaire et l’éco-tourisme, en plus du travail d’encadrement que le centre mène dans le cadre de partenariats avec plusieurs universités du pays.

    La cérémonie de ce jeudi, à l’issue de laquelle des certificats de fin d’études ont été remis à 16 jeunes entreprises, a été l’occasion pour l’assistance de découvrir des solutions innovantes destinées aux secteurs de l’environnement, du bâtiment, de l’industrie alimentaire, mais aussi à l’accompagnement des personnes aux besoins spécifiques et aux femmes aux foyers.

    Lyès M.

  • Le Salon virtuel «Algeria Work-Links» prévu pour le 19 janvier

    Le Salon virtuel «Algeria Work-Links» prévu pour le 19 janvier

    L’organisation World Learning, basée à Alger, organisera, les 19 et 20 janvier prochain la première édition du Salon virtuel de l’emploi « Algeria Work-Links ».

    Selon les organisateurs, cet événement verra la participation de plus de 40 employeurs et 2 000 jeunes demandeurs d’emploi.

    Soutenu par l’initiative du partenariat avec le Moyen-Orient (MEPI) et de l’ambassade des Etats-Unis en Algérie, en collaboration avec Management and Business Institute (MBI) de Sétif, Algerian Center for Social Entrepreneurship et Emploitic, ce salon virtuel mettra en relation les jeunes et les employeurs via une plateforme en ligne qui va reproduire l’expérience d’un salon d’emploi physique.

    En outre, et pendant deux jours consécutifs, les demandeurs d’emploi vont pouvoir explorer la quarantaine de stands des opérateurs économiques et des employeurs de tous bords pour rechercher des emplois, discuter avec des représentants des ressources humaines et surtout déposer leur CV.

    Aussi, ce rendez-vous permettra aux pourvoyeurs d’emplois d’interagir avec les candidats potentiels, et ce, en examinant leurs candidatures, leurs profils et interviewer des candidats en live sur la plateforme.

    Par ailleurs, le salon virtuel Algeria Work-Links va proposer programme diversifié, notamment des webinaires qui seront animés par des spécialistes dans le domaine de l’emploi, de la ressource humaine et de la planification de carrières.

    Ambitieuse quant au succès de l’événement, Leah Bitat, directrice World Learning en Algérie, estime que « 2020 nous a tous obligés à nous adapter à une nouvelle façon de travailler. La création d’activités en ligne peut en fait accroître les possibilités pour un plus grand nombre de personnes de se connecter à des informations précieuses ».

    Et d’ajouter : « Nous sommes impatients d’observer les résultats de cet événement dynamique, afin de voir comment les foires virtuelles peuvent continuer à servir la jeunesse algérienne à l’avenir ».

    A noter que ce salon virtuel de l’emploi fait partie du Projet pour l’emploi et l’entrepreneuriat en Algérie (AEEP), mis en œuvre grâce à un financement du MEPI et à Alger et Sétif.

    Dans le cadre de ce projet, MBI The Campus de Sétif et le Centre algérien pour l’entrepreneuriat social ont fourni un ensemble complet de formations aux compétences techniques et humaines dans le but de préparer les jeunes au monde de l’emploi.

    Les défis socio-économiques présentés par la pandémie Covid-19 en Algérie rendent le projet AEEP plus pertinent à la réalité actuelle.

    En 2020, World Learning et ses partenaires ont formé avec succès plus de 250 jeunes demandeurs d’emploi aux compétences techniques et interpersonnelles.

    Yanis Oumakhlouf

  • Le financement des startups et les retraites au menu du Conseil des ministres

    Le financement des startups et les retraites au menu du Conseil des ministres

    Le dossier relatif au financement des startups, le projet de loi relatif à l’état civil, les statuts des corps médical et paramédical de la santé, ainsi que le suivi de la réalisation et de l’équipement du projet de nouvelle ville médiatique algérienne et la valorisation des retraites viennent d’être examinés lors de la réunion du Conseil des ministres qui s’est tenue ce dimanche.

    Pour ce qui est du financement des startups, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé que « l’Etat continuera à financer et à soutenir les entreprises innovantes, qui ont connu un développement important ces dernières années, tout en impliquant le secteur privé dans ce processus à travers des mesures incitatives », selon le communiqué rendu public par la Présidence de la république.

    Cependant, pour le chef de l’Etat, la prochaine étape dans le processus de développement des startups consistera à « travailler sur la qualité et non sur la quantité, car le domaine des startups entre dans le cadre de l’économie de la connaissance, de l’intelligence et de l’efficacité économique », tout en soulignant que « le financement des startups doit cibler les jeunes et prendre en compte la qualité des nouveaux projets. »

    Ainsi, il faut noter qu’ayant inscrit cette catégorie d’entreprises innovantes au registre de ses priorités, le président de la République accorde un grand intérêt aux startups, en décidant ces dernières années une multitude de mesures en faveur des jeunes entrepreneurs.

    C’est pourquoi d’ailleurs le secteur des startups en Algérie a été marqué en 2023 par une évolution fulgurante grâce aux mesures d’accompagnement et les textes législatifs qui ont donné un véritable essor à l’entrepreneuriat basé sur l’économie de la connaissance et l’innovation.

    Le succès des startups sur le marché national est en effet le fruit des décisions fortes et marquantes adoptées par le gouvernement, sous la supervision du chef de l’Etat, soucieux d’assurer la réussite de ce projet de promotion de l’économie de la connaissance.

    Ainsi, entre autres mesures clé prises dans le but de promouvoir l’entrepreneuriat dans le milieu des jeunes et l’inclusion financière, il y a eu la promulgation de la loi qui accorde aux entrepreneurs éligibles à ce statut des avantages fiscaux, avec un régime fiscal préférentiel, au taux de 5%, avant d’être réduit à 0,5% dans la loi de Finances 2024, ainsi qu’une couverture sociale.

    Par ailleurs, le Conseil des ministres a adopté l’autorisation de lancer un appel d’offre international pour le suivi, la réalisation et l’équipement du projet de nouvelle ville médiatique algérienne « Dzair Media City », prévue à Ouled Fayet, dans l’ouest de la capitale.

    Enfin, plusieurs autres mesures ont été annoncées au sujet des statuts des corps médical et paramédical de la santé, ainsi qu’au sujet du régime des retraites dont le président de la République a donné son aval pour sa révision.

    A ce propos, le chef de l’Etat a instruit le gouvernement de « chercher de nouvelles méthodes de financement en appoint à la Caisse nationale des retraites afin que ces augmentations (des pensions) soient en phase avec le développement de l’économie nationale. »

    R. N.

  • Raffinage du pétrole, partenariat public-privé, produits de large consommation : Les principales décisions du Conseil des ministres

    Raffinage du pétrole, partenariat public-privé, produits de large consommation : Les principales décisions du Conseil des ministres

    Le raffinage du pétrole, le partenariat public-privé et la régulation du marché des produits de large consommation ont été les principaux dossiers débattus lors du premier Conseil des ministres de cette année 2024 que vient de présider le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, ce dimanche.

    Au sujet de la nouvelle raffinerie de pétrole de Hassi Messaoud, après un exposé présenté à cet effet, le président de la République à souligné «l’importance économique du projet, appelant à accélérer son achèvement, à commencer son exploitation, à renforcer la production nationale d’essence et de diesel et à s’orienter vers leur exportation», tout en tenant à rappeler qu’ «au cours des quatre dernières années, l’Algérie a mis fin à l’importation de tous types de carburants, y compris le kyrosène, et que le secteur de l’énergie doit poursuivre cette démarche ».

    Dans son appréciation des avancées enregistrées dans ce domaine, le chef de l’Etat a exprimé à cette occasion sa «satisfaction» quant aux efforts déployés en la matière, selon le communiqué rendu public à l’issue de la réunion du Conseil des ministres.

    Il faut noter que le chef de l’Etat nourrit un grand intérêt pour ce projet de nouvelle raffinerie de Hassi Messouad. Au cours d’une précédente réunion du Conseil des ministres, en décembre dernier, il a déjà «instruit le ministre de tutelle de relancer le projet dans les plus brefs délais» et ordonné de «doubler d’efforts et de diversifier les capacités de production des produits dérivés du pétrole pour les exporter vers l’étranger, étant une valeur ajoutée considérable».

    Concernant le deuxième dossier examiné lors de ce Conseil des ministres, qui est celui de l’avant-projet de loi portant partenariat public-privé, le président Tebboune a ordonné au gouvernement son report «pour approfondissement et enrichissement», selon le même communiqué.

    Ce n’est pas la première fois que le chef de l’Etat demande aux membres du gouvernement de revoir leur copie lorsqu’il s’agit de la préparation de textes juridiques destinés à définir les règles devant régir des secteurs ou des volets importants de l’économie nationale. C’est le cas, entre autres, des lois sur l’investissement ou celui régissant l’octroi et l’exploitation du foncier économique qui ont été maintes fois renvoyés pour «enrichissement et approfondissement».

    Cependant, faut-il préciser aussi, cet avant-projet de loi portant le partenariat public-privé remonte à plusieurs années déjà. Sa finalisation a été retardée avant d’être relancé par le gouvernement.

    Produits de large consommation : «Importance extrême du contrôle continu des marchés»

    A l’ordre du jour du Conseil des ministres de ce dimanche, il y a eu également le dossier de la relance du dispositif relatif à l’auto-entrepreneuriat. A cet égard, le président de la République a salué «l’orientation de l’Etat vers la création de davantage d’espaces générateurs d’emploi et de richesses, qualifiant l’auto-entrepreneuriat de plus-value pour les jeunes porteurs de projets et les compétences innovantes», tout en soulignant «la nécessité de veiller à ce qu’il n’y ait point d’enchevêtrement entre les métiers de l’entrepreneuriat et certains métiers artisanaux libéraux, pour que ces derniers n’en soient pas impactés», selon le communiqué de la présidence de la République,

    Cette même source précise que le nouveau régime «vise à encadrer une vaste panoplie d’activités (…), les auto-entrepreneurs devant être assujettis à un régime fiscal préférentiel, en vertu de la loi de finances 2024» et «assure aux bénéficiaires (du statut) d’auto-entrepreneur la couverture et la sécurité sociales».

    Au chapitre relatif au renforcement des mesures prises pour assurer la disponibilité des produits de large consommation qui, faut-il rappeler, constitue l’une des priorités de la politique du gouvernement, le président Tebboune a insisté une nouvelle fois sur «l’importance extrême du contrôle continu des marchés, en ce que l’Etat accorde une importance à la régulation pour connaître les taux de disponibilité des produits de large consommation, suivant une vision proactive pour lutter contre les spéculateurs par la force de la loi».

    Dans le même sillage et compte tenu de la réouverture des frontières à l’importation de certains produits de large consommation, comme les viandes, le chef de l’Etat «a instruit le ministre de l’Agriculture et du Développement rural à l’effet d’accorder une grande importance au contrôle sanitaire des produits importés, par la création de laboratoires d’analyses au niveau des ports et des aéroports, à même de veiller au respect des normes sanitaires lors de l’importation de viandes et des produits alimentaires», souligne le même communiqué du Conseil des ministres.

    R. M.

  • Atteindre un million de start-ups à fin 2023 : le gouvernement multiplie les initiatives

    Atteindre un million de start-ups à fin 2023 : le gouvernement multiplie les initiatives

    L’économie des start-ups fait son petit bonhomme de chemin en Algérie, possédant sa propre force de marché.

    Conscient du rôle des start-ups dans le développement économique, le gouvernement multiplie les mesures pour favoriser la naissance de jeunes pousses, par l’octroi des financements et l’accompagnement des entrepreneurs. Un objectif est tracé cette année, celui d’atteindre un million de porteurs de projet à fin 2023.

    Au cours des trois dernières années, 5 000 start-ups ont été recensées dont près de 1 100 ont obtenu le label start-up ou celui de projet innovant au moment où le nombre d’incubateurs actifs sur le territoire national serait passé de 14 à 60.

    Cette avancée a été rendue possible grâce aux différentes initiatives prises dans ce sens, notamment la mise en place d’un climat favorable à la création de start-up et l’accélération du traitement des dossiers au niveau du Fonds algérien des start-up, permettant à ces dernières d’accéder aux sources de financement. A ce propos, le portefeuille de gestion des fonds d’investissement locaux, doté de 58 milliards de dinars, à raison de un milliard DA pour chaque wilaya, était à même de renforcer la capacité du fonds à financer le plus grand nombre possible de start-ups.

    Projet de création des premiers centres de prototypage en Algérie

    Le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises a présenté lors d’une réunion du gouvernement, un projet de création des premiers centres de prototypage en Algérie.

    Dans sa communication, il a souligné «l’importance des centres de prototypage Fab-Lab dans l’écosystème de l’innovation, ainsi que leur rôle dans la prise en charge des besoins des porteurs de projets innovants durant les différentes étapes qui composent la réalisation d’un projet, allant de l’exploration des idées jusqu’à la validation des concepts».

    «La création de ce genre de centres donnera plus de visibilité à notre pays en matière d’innovation et de consolidera les efforts du gouvernement en matière de promotion de l’innovation et des start-ups», indique un communiqué du gouvernement à cet effet.

    Cette mesures ainsi que d’autres prouvent qu’il y a une volonté de la part du gouvernement de poursuivre les efforts pour créer un environnement propice et mettre à la disposition des porteurs des projets tous les moyens afin d’encourager la création de start-up.

    Les premiers résultats sont prometteurs. L’Algérienne Fella Bouti, fondatrice de la start-up Ecodal, spécialisée dans la fabrication de dalles écologiques à base de résidus de culture, a été primée dernièrement à Londres, dans le cadre d’un concours d’entrepreneuriat féminin qui a regroupé près d’un millier de postulants du monde arabe, selon l’APS.

    La distinction de Fella Bouti est intervenue le 8 mars lors du concours Unlock her Future (libérer son avenir), organisé par le groupe britannique The Bicester Collection, visant à «encourager l’entreprenariat féminin, valoriser les femmes fondatrices d’entreprises et start-up à impact social et environnemental».

    Le mécanisme «un diplôme, une start-up»

    Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique met la main à la pâte. Les responsables insistent sur l’encouragement des initiatives d’innovation des étudiants des établissements universitaires de manière à favoriser la création de start-ups.

    Le rôle efficace de l’incubateur et de la maison de l’entrepreneuriat est mis en avant au niveau de différents établissements universitaires dans l’accompagnement des étudiants porteurs d’idées et de projets innovants et créatifs, d’où leur formation et l’incitation des diplômés à la création d’entreprises.

    D’ailleurs, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a conclu une convention avec le ministère délégué auprès du Premier ministre chargé de l’Economie de la connaissance et des Start-up dans le but d’accompagner les étudiants universitaires porteurs de projets innovants et de les inciter à les concrétiser sur le terrain.

    Parmi les initiatives prises dans les universités, on peut citer le mécanisme «Un diplôme, une start-up». Ce mécanisme semble porter ses fruits pour stimuler l’innovation et les projets d’entreprise en Algérie. Le nombre de projets de mémoire enregistrés pour bénéficier des labels «projet innovant» et «start-up» dans les universités de l’est du pays en est une preuve.

    Par exemple, à Oum El Bouaghi, 190 projets de mémoire ont été enregistrés pour l’année universitaire en cours, et 160 ont été retenus. Les projets couvrent les trois niveaux d’études (licence, master et doctorat) ont impliqué de nombreuses facultés différentes.

    A Annaba aussi,  420 idées innovantes ont été proposées par les étudiants et acceptées par le jury d’évaluation de l’Université. Les étudiants des facultés de technologie et des sciences économiques et de gestion ont été les plus actifs dans cet effort, avec 295 idées enregistrées.

    Pas moins de 111 propositions pour la création de projets innovants ont été reçues par l’Université de Guelma. Elles sont réparties entre les cycles de licence et de master, ainsi que les doctorats, et représentent les 7 facultés de l’Université. Ils sont près de 300 étudiants à être impliqués dans ces projets, qui pourraient être développés par des groupes allant jusqu’à 6 étudiants.

    Fatiha A.

  • «Leaders Generation by LG »: La 1ère étape du programme clôturée

    «Leaders Generation by LG »: La 1ère étape du programme clôturée

    LG ELECTRONICS ALGERIE et INJAZ El DJAZAIR ont clôturé aujourd’hui la première session de formation présentielle du programme «Leaders Generation by LG », qui accompagne les jeunes étudiants dans le cadre de la création de projets innovants au niveau de l’incubateur de startup Algeria Venture.

    Lors de la cérémonie de clôture qui a eu lieu au niveau du siège d’ ICOSNET à Chéraga, les responsables de LG ELECTRONICS ALGERIE et INJAZ EL DJAZAIR  ont remis 50 attestations de participations à plusieurs jeunes issus de plusieurs universités et écoles.

    Ce premier atelier du programme «Leaders Generation by LG » est basé sur deux jours d’accompagnement sous forme de 3 modules: une connaissance de l’écosystème entrepreneurial algérien, une acquisition des soft skills nécessaire à l’entrepreneuriat et enfin les compétences clefs pour manager son entreprise.

    Cette action est le fruit d’un partenariat de LG ELECTRONICS ALGERIE et INJAZ EL DJAZAIR conclu le 25 mai 2022 à l’occasion du lancement et de la présentation du programme «Leaders Generation by LG ». Celui-ci s’étalera sur une année pour permettre à près de 500 jeunes universitaires d’acquérir un ensemble de compétences entrepreneuriales.

    Ce cursus est scindé en différentes parties dont des ateliers en ligne ont été organisées et ouvert aux jeunes de l’ensemble des wilayas et qui ont vu la participation de plus de 150 personnes, en plus des séances des ateliers en présentiel.

    A la fin de cette première phase dédiée aux développements de compétences, une vingtaine d’étudiants seront sélectionnés dans l’objectif de concourir pour le titre d’ambassadeur et auront la charge d’organiser des événements entrepreneuriaux locaux.

    A travers le programme «Leaders Generation by LG » LG s’associe à un acteur majeur de l’entreprenariat social pour promouvoir des initiatives citoyennes et donner la chance à de jeunes étudiants algériens de prétendre au rang de leaders de l’innovation dans un futur proche.

    LG ELECTRONICS ALGERIE est heureux de faire partie de cette aventure, à travers laquelle il réaffirme son engagement d’entreprise citoyenne à soutenir l’innovation et les acteurs qui en font leur but. Elle contribue également à promouvoir les acteurs locaux dans un certain nombre d’activités importantes en matière de solidarité, de soutien, de support à des causes et à l’environnement.

    Avec INJAZ EL DJAZAIR, une association riche de 12 années d’existence et qui a pu accompagner plus de 80 000 jeunes dans près de 40 wilayas du pays, à travers plus de 20 programmes d’accompagnement, LG scelle un partenariat social durable qui vise à supporter, soutenir et promouvoir une future génération de jeunes entrepreneurs leaders de l’innovation.

    À propos de INJAZ EL DJAZAIR

    Injaz el Djazair est une association à but non lucratif faisant partie du réseau de Injaz el Arab, un network  régional regroupant 13 pays et activant dans le domaine éducatif avec des programmes d’accompagnements élaborés par Junior Achievement Worldwide; une association internationale qui soutient les jeunes avec des programmes de promotion de l’entrepreneuriat, l’employabilité et l’éducation financière.

    Elle travaille étroitement avec les universités et les grandes écoles. Cette collaboration permet à INJAZ El Djazair de mettre en place ses programmes pour accompagner les jeunes dans le développement de leurs compétences afin de les encourager à réaliser leurs projets entrepreneuriaux ou de rejoindre le monde du travail au sein de l’entreprise.

    Durant ses 12 années d’existence Injaz el Djazair a pu accompagner plus de 80 000 étudiants dans 40 wilayas du pays à travers plus de 20 programmes de formation ce qui représente plus de 1,5 millions d’heures de formation. Cela a été réalisé grâce à des partenaires et institutions dont le nombre a dépassé la barre des 100 organisations.

    A propos de LG ELECTRONICS :

    La philosophie de LG s’articule autour du respect de la personne, de la sincérité, et du retour à l’essentiel. Le géant sud-coréen s’engage à se mettre au service des clients, en leur offrant des solutions répondant à leurs besoins et de nouvelles expériences par un effort d’innovation constant, afin de leur permettre d’améliorer leur bien-être quotidien.

    Les produits signés LG s’adressent à des consommateurs exigeants et sensibles, des individus soucieux d’entreprendre de nouvelles activités et de se lancer de nouveaux défis, de manière à multiplier les expériences et mener une vie meilleure. LG Electronics a développé son image de marque de manière constante et progressive, afin de partager sa devise, « Life’s Good ». LG Electronics s’applique à marier le contemporain et l’authentique et ne cesse d’évoluer pour s’adapter aux idéaux des temps modernes.

  • Algérie-Italie : Les contours des relations stratégiques se précisent

    Algérie-Italie : Les contours des relations stratégiques se précisent

    15 mémorandums d’entente et accords de coopération viennent renforcer les relations stratégiques entre l’Algérie et l’Italie.

    Le quatrième sommet algéro-italien, tenu ce lundi à Alger, sous la présidence du Président Tebboune et du président du Conseil des ministres italien, Mario Draghi, a été sanctionné par la signature d’une Déclaration conjointe et de 15 mémorandums d’entente et accords de coopération, qui viennent renforcer les relations stratégiques entre l’Algérie et l’Italie.

    La déclaration conjointe, a soutenu le président algérien «institue une nouvelle étape dans la coopération bilatérale de plus en plus efficace et dessine les contours des relations entre les deux pays, soucieux de consolider les liens historiques profonds».

    Les mémorandums d’entente et les accords de coopération sont, estiment les experts, voulus pour renforcer davantage les relations stratégiques entre les deux pays. Ils portent sur des domaines considérés de grande importance, entre autres, l’énergie, les énergies renouvelables, le développement des investissements, la coopération industrielle, l’entrepreneuriat, les start-up, l’industrie pharmaceutique et l’économie sociale et solidaire.

    Dans le domaine de l’énergie précisément, et à la fin des travaux du sommet algéro-italien qui a rassemblé plus de 400 opérateurs économiques dont 70 italiens, l’accent a été mis sur la nécessité d’accompagner les compétences locales dans ce domaine, à travers notamment des partenariats entre les universités et centres de recherche des deux pays.

    Les opérateurs italiens se sont engagés à offrir à l’Algérie des solutions innovantes qui seront à même «d’atteindre la neutralité carbone» et assurer le transfert technologique dans les énergies renouvelables et l’industrie de l’hydrogène.

    A cette même occasion, a été rappelé l’engagement de notre pays d’approvisionner l’Europe en énergie solaire et en électricité conventionnelle. Cela en plus de l’autre engagement à augmenter les approvisionnements en gaz naturel.

    En vertu d’un autre accord conclu récemment, l’Algérie exportera vers l’Italie quelques 4 milliards de m3 supplémentaires en gaz naturel, en plus des 13,9 milliards m3 exportés jusqu’ici depuis le début 2022.

    De la sorte, notre pays consolide sa position de premier fournisseur de gaz vers l’Italie. Comme l’a rappelé le président du Conseil des ministres italien, l’Algérie est devenue, ces derniers mois, «le premier fournisseur de l’Italie en énergie».

    Au cours de cette deuxième visite du Premier ministre italien en Algérie, ce dernier a réaffirmé que «l’Algérie est un partenaire très important pour l’Italie dans les domaines de l’énergie, de l’industrie et des affaires». M. Draghi a assuré que cette deuxième visite «se veut un pas de plus vers l’établissement de relations stratégiques».

    Pour rappel, le forum économique algéro-italien a été organisé au CIC «Abdelatif Rahal» à Alger, sous le slogan : «Algérie-Italie : vers une nouvelle approche de partenariat économique». Lors de la cérémonie de clôture, le représentant du ministère italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Carlos Roméo, a assuré de l’engagement du gouvernement italien à apporter le soutien nécessaire aux opérateurs algériens.

    Sonia Miloud

  • QNET promeut les opportunités entrepreneuriales pour les jeunes

    QNET promeut les opportunités entrepreneuriales pour les jeunes

    QNET, la société internationale de vente directe basée sur le commerce électronique, célèbre la Journée mondiale des compétences des jeunes en autonomisant les jeunes grâce à des ateliers de perfectionnement axés sur les compétences entrepreneuriales. La société propose des programmes de formation complets pour ceux qui cherchent à devenir des représentants indépendants de QNET afin de leur permettre de choisir une source de revenus durable en dehors du cheminement de carrière traditionnel moins flexible.

    La Journée mondiale des compétences des jeunes a été déclarée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2014. Cette journée est destinée célébrer l’importance stratégique de la transmission aux jeunes des compétences nécessaires à l’emploi, à l’obtention d’un travail décent et à l’entrepreneuriat. 

    S’exprimant sur l’importance de la Journée mondiale des compétences des jeunes, Malou Caluza, PDG de QNET, a déclaré : « Aujourd’hui est un jour où nous nous concentrons sur l’autonomisation de la génération actuelle de jeunes à poursuivre un avenir stable, heureux et épanouissant. Contrairement aux générations précédentes, les milléniaux ne s’attendent pas à occuper un emploi stable au cours de leur vie. Ils recherchent ce qui en vaut la peine et peut compléter leurs valeurs et leurs choix de vie. »

    « Chez QNET, nous voulons permettre aux milléniaux de tirer parti de leurs prouesses technologiques, de leurs liens solides avec la communauté et de leur sens aigu de la responsabilité sociale pour générer une source de revenus durable en dehors des cheminements de carrière traditionnels moins flexibles avec la vente directe », a-t-elle ajouté.

    La vente directe est une pratique où les distributeurs vendent des biens directement aux consommateurs en dehors des magasins traditionnels, contrairement aux détaillants qui achètent des produits pour rajouter une marge et les revendre après au client final.

    Selon une étude menée par QNET en collaboration avec l’Université de Marmara en Turquie et l’Université d’État de Moscou en Russie, la génération millénaire trouve le modèle commercial de vente directe attrayant car il leur donne le contrôle de leur propre fonctionnement et une flexibilité dans leur vie professionnelle.

    S’expliquant sur ce qui attire la génération millénaire vers le modèle commercial de vente directe, Mme Caluza a déclaré : « Cet intérêt décroissant pour la stabilité de carrière au profit du développement personnel et de la flexibilité du travail a conduit à l’essor de nombreuses start-ups indépendantes au sein de la gig economy (l’économie à la tâche). Il n’est pas surprenant que l’industrie de la vente directe ait connu un afflux majeur de milléniaux au cours des dernières années qui considèrent cette activité comme l’activité secondaire parfaite qui complète leur style de vie. La vente directe peut constituer une source de revenu supplémentaire pour ceux qui poursuivent leur passion, voire une carrière à temps plein pour les esprits d’entreprise, selon ce que la personne recherche.

    Des enquêtes ont montré que les milléniaux considèrent l’entrepreneuriat comme un travail et un style de vie qui leur permet de transformer leur passion, qui peut inclure l’art, la santé personnelle ou la mode, en une activité génératrice de revenus. Ils apprécient également un équilibre sain entre vie professionnelle et vie privée et recherchent des horaires flexibles qui laissent le temps d’explorer divers intérêts tels que les voyages ou le bénévolat, ce qui explique en grande partie pourquoi la flexibilité et le revenu supplémentaire qu’offre le rôle de distributeur pour les entreprises de vente directe est si attrayant pour eux.

    Évoquant son expérience de travail en tant que distributrice pour QNET, Nidaa Ryweck, une distributrice Platinum Star pour QNET, a déclaré : « Avant de commencer mon parcours dans la vente directe, je jonglais entre un emploi régulier et mes études à l’université pour joindre les deux bouts. Mon emploi du temps chargé m’a laissé peu de place pour m’épanouir sur le plan personnel et professionnel. Mais les choses ont changé lorsque j’ai rejoint l’industrie de la vente directe – j’obtiens tous les avantages de gérer ma propre entreprise sans aucun des maux de tête.

    Elle a cofondé une entreprise avec ses frères et sœurs et a récemment été présentée dans le magazine Entrepreneur aux Émirats arabes unis. Mme Ryweck a ajouté : « Le modèle de vente directe vous apprend ce qu’il faut pour devenir un entrepreneur prospère sans avoir à prendre de gros risques, et la flexibilité qu’il offre signifie que je peux dicter comment je passe mon temps.

    QNET offre aux jeunes qui souhaitent se lancer dans l’industrie de la vente directe et devenir des représentants indépendants de la marque, la liberté de gérer leur propre entreprise une expérience utilisateur digitale via le portail de commerce électronique QNET et l’application mobile. La plate-forme QNET fournit aux utilisateurs les outils dont ils ont besoin pour mener leurs activités de manière flexible, où qu’ils se trouvent.

  • Prix AWIEF 2022 : Clôture des inscriptions le 27 juin

    Prix AWIEF 2022 : Clôture des inscriptions le 27 juin

    Les inscriptions pour l’édition 2022 des prestigieux prix AWIEF, qui reconnaissent, honorent et célèbrent les femmes entrepreneurs et chefs d’entreprise en Afrique et dans divers secteurs industriels pour leurs réalisations et leur contribution à la croissance économique inclusive et au développement social du continent seront clôturés le 27 juin 2022.

    AWIEF ( Africa Women Innovation & Entrepreneurship Forum ) est une organisation panafricaine primée d’autonomisation économique des femmes qui s’efforce de combler les écarts entre les sexes en favorisant le leadership et l’entrepreneuriat des femmes en Afrique.

    Les nominées pour les prix AWIEF doivent être des femmes entrepreneurs émergentes et établies dans les secteurs des entreprises privées et à but non lucratif qui ont fait preuve d’une vision, d’un leadership et d’une inspiration exceptionnels malgré les défis pour avoir un impact social significatif et/ou réussir dans leurs entreprises. conformément aux domaines clés de l’AWIEF que sont l’innovation, la technologie, l’entrepreneuriat, le leadership et le développement socio-économique.

    Les lauréats des prix AWIEF 2022 seront annoncés et célébrés lors d’un dîner de gala spécial lors de la conférence AWIEF2022 , qui se tiendra les 26 et 27 septembre 2022, au Caire, en Égypte, sur le thème  » Faire progresser l’Afrique par l’intégration du genre « .

    Les AWIEF Awards couvrent 8 catégories avec les critères suivants :

    Le Prix Jeune Entrepreneur :

    Les candidats doivent avoir entre 18 et 35 ans et doivent illustrer le leadership dans leur domaine et l’importance de l’entrepreneuriat pour apporter des changements positifs. Les jeunes entrepreneurs doivent avoir obtenu un succès tangible et matériel (le chiffre d’affaires et le nombre d’employés peuvent l’indiquer).

    Prix ​​de l’entrepreneur technologique

    Les nominés doivent être des femmes entrepreneures qui ont créé une entreprise ou une start-up technologique innovante, révolutionnaire et révolutionnaire.

    Prix ​​de l’agro-entrepreneur

    Les candidats doivent être des femmes entrepreneurs qui ont démarré avec succès une entreprise agricole et qui ont un produit ou un service innovant dans la chaîne de valeur agricole avec des preuves d’impact dans leurs communautés.

    Prix ​​de l’industrie créative

    Les nominées doivent être des femmes entrepreneurs qui reflètent un succès exceptionnel dans l’industrie créative, y compris la musique, les arts de la scène, le cinéma, la télévision et la radio, les logiciels et le contenu interactif comme la réalité virtuelle et la réalité augmentée, l’écriture médiatique, l’édition et la presse écrite, le design et l’art visuel .

    Prix ​​d’autonomisation

    Les nominées doivent être des femmes qui ont grandement contribué et investi dans l’inspiration, le mentorat et l’autonomisation des femmes et des filles, ayant ainsi un impact significatif sur les communautés dans lesquelles elles opèrent et sur la société en général.

    Prix ​​de l’entrepreneur énergétique

    Les candidats doivent être des femmes entrepreneurs dans les secteurs du pétrole et du gaz et/ou de l’énergie verte et des énergies renouvelables qui exploitent des entreprises prospères ayant un impact sur l’accès et/ou la disponibilité de l’énergie dans leurs communautés et leurs pays.

    Prix ​​de l’entrepreneur social

    Les nominés doivent être des femmes entrepreneurs qui ont développé une solution innovante, systémique et durable qui s’attaque directement à un problème social, ayant ainsi un impact social transformateur sur leurs communautés et leurs pays.

    Prix ​​de la reussite de vie

    Les candidats doivent être des femmes entrepreneures établies qui ont démontré des réalisations durables et constantes dans les affaires, et un leadership commercial exceptionnel et exceptionnel. Le prix reconnaît également les contributions importantes apportées à la création d’emplois et à l’économie.

    Les nominations pour les AWIEF Awards 2022 se clôturent le 3 juin 2022. Vous pouvez soit vous-même proposer votre candidature, soit nommer quelqu’un d’autre.

    Le processus de nomination :

    1. Enregistrez un profil de participant en cliquant sur « Soumettre une participation » dans le coin supérieur droit de la page.
    2. Remplissez le formulaire de nomination et soumettez-le.

    Les candidatures seront jugées par un panel estimé de chefs d’entreprise.

    Cliquez ici pour voir les lauréats 2021 des AWIEF Awards :

    Pour plus d’informations, envoyez un e-mail à awards@awieforum.org